Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 35

  • Crime et délinquance : selon la Préfecture, «près de 50% des mis en cause» à Paris sont «de nationalité étrangère»

    Selon les chiffres obtenus par Le Figaro, la part des étrangers mis en cause dans les faits de délinquance a littéralement explosé à Paris. Les infractions ont augmenté de 2 % dans le ressort de la préfecture de police de Paris (PP) en 2019, alors qu’elles ont diminué de 4,7 % « en province », dans les circonscriptions rattachées à la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP).

    Lire la suite

  • L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France

    Mila-Quotidien_0_1.jpg

    Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.

    Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.

    Lire la suite

  • Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Fréjus : David Rachline (RN) l’emporterait dès le premier tour avec 51% face à l’alliance LR-LReM-Modem-EELV

    Davis Rachline (RN) l’emporterait à Fréjus dans tous les cas de figure et une victoire au premier tour est même possible :

  • Migrants : la frontière hongroise prise d’assaut – Journal du jeudi 13 février 2020

     

    Migrants : la frontière hongroise prise d’assaut

    Cinq ans après la grande crise migratoire qui frappa l’Europe, les frontières hongroises sont encore mises à rude épreuve. Une guerre d’usure semble engagée… un reportage exclusif de nos correspondants en Europe Centrale.

    Macron : un président

    Après avoir fait mine de s’intéresser au handicap, Emmanuel Macron tente de se faire passer pour un écologiste. Un nouveau coup de com’ qui ne trompe personne à quelques semaines des élections municipales.

    Décathlon : à fond les ventes !

    Après un exercice 2018 compliqué, l’enseigne de sport, Decathlon a redressé la barre l’année dernière. Avec un chiffre d’affaires en augmentation de 3%, la stratégie des marques propres de ce groupe français semble porter ses fruits.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/migrants-la-frontiere-hongroise-prise-dassaut-journal-du-jeudi-13-fevrier-2020

  • RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE : LA DROITE HELVETIQUE VICTIME D’UN « COUP DE BOOMERANG » !

    suisse-referendum-abolition-privileges-fiscaux-multinationales-une-2.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Dimanche 12 janvier, la loi condamnant l’homophobie a été adoptée par référendum avec 62% des électeurs suisses qui avaient fait le déplacement. Mais, paradoxe et pas des moindres, ce sont les partis conservateurs qui l’avaient provoqué, - et qui espéraient, bien sûr, un tout autre résultat -, qui en ont été pour leurs frais.

    En effet, il s’agissait d’un référendum d’initiative populaire au résultat ayant abouti à l’inverse de  celui qu’espéraient ses promoteurs. Il y avait un petit parti chrétien, l’UDF emmené par Marc Frueh allié pour la circonstance à l’UDC, Union démocratique du Centre, premier parti de Suisse, - on pourrait dire qu’il est de nos amis en dépit de son appellation centriste -, comme initiateurs de cette consultation électorale. La question était d’approuver oui ou non, la réforme du code pénal suisse interdisant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et, surtout, désormais, la pénalisant. Il s’est trouvé une majorité d’Helvètes, - rappelons le pourcentage : 62% -, pour l’approuver. La nouvelle loi ainsi  sanctifiée, élargit un dispositif déjà copieux, comme en France, qui sanctionne les appels à la haine raciale.

    Lire la suite

  • François Bousquet : “Les antifas bénéficient d’un sentiment d’impunité et d’une complicité des médias”

    capture-decran-2020-02-13-a-23-42-05.png

    À  ce 12 février, des dizaines de militants d’extrême-gauche particulièrement violents, ont tenté d’empêcher la tenue d’une conférence de François Bousquet et Robert Ménard, le maire de Béziers. Les antifas ont jeté des projectiles vers la salle et sur le service d’ordre qui devait sécuriser cet événement.

    Au micro de Boulevard Voltaire, François Bousquet revient sur cette scène “surréaliste et impressionnante”.

     
  • "Violents, bêtes et méchants" mais surtout vrais terroristes, les soi-disant antifas ont sévi à Toulouse...

    Association organisant régulièrement des conférences avec des personnalités politiques et médiatiques de droite, le Cercle des Capitouls invitait hier soir 12 février à Toulouse le maire de Béziers Robert Ménard et l’essayiste François Bousquet. Une conférence en partie perturbée en raison d’une attaque très violente d’un groupe d’activistes de gauche radicale appelé « Antifas Toulouse ».

    Lire l'article sur l'Incorrect

  • Entretien avec Alain de Benoist « Il n'y a plus de solution d'en haut » (texte de 2006)

    Entretien avec Alain de Benoist Il n'y a plus de solution d'en haut .jpeg

    Pour le philosophe Alain de Benoist, directeur de la revue Krisis, le populisme actuel est un phénomène certes multiforme mais bien plus politique qu'on ne le dit. Produit d'une disparition du clivage gauche-droite, du divorce entre les élites et les peuples, il laisse entrevoir une réappropriation « citoyenne » du politique. À condition que le peuple ne se laisse pas confisquer la parole par de nouveaux leaders.

    Le terme de populisme est-il pour vous porteur d'une signification politique de fond, ou ne désigne-t-il qu'une manière particulière de faire de la politique ? Celle-ci est-elle d'ailleurs nouvelle ?

    Alain de Benoist : Le terme de populisme est aujourd'hui presque toujours employé de manière péjorative ou à des fins disqualifiantes. Il partage ce sort avec le « communautarisme ». Par un effet de surenchère, on a fini par l'utiliser pour désigner à peu près n'importe quoi. Si l'on veut savoir de quoi l'on parle, je pense qu'il faut déjà distinguer le néopopulisme actuellement observable en Europe occidentale des « populismes-régimes » qui ont pu exister ou existent encore, notamment en Amérique latine et dans le tiers monde (la Libye de Kadhafi, le Venezuela de Hugo Chavez), ces derniers étant souvent, mais pas toujours, des régimes autoritaires ou semi-plébiscitaires, relevant parfois d'un simple césarisme de l'ère des foules. Il faut aussi le distinguer de phénomènes particuliers comme la tradition populiste russe ou encore le populisme agraire aux États-Unis, qui ont connu l'un et l'autre leur heure de gloire au XIXe siècle, où ils ont aussi bien pu déboucher sur l'anarchisme que sur le « nativisme » chauvin. Le néopopulisme actuel est un phénomène multiforme, dont la cause réside d'abord dans l'effacement du clivage gauche-droite et dans l'apparition d'un fossé qui n'a cessé de se creuser entre le peuple et la classe politique, toutes tendances confondues. Le populisme exprime le malaise et la volonté de protestation des milieux d'« en bas », des couches populaires, contre une « Nouvelle Classe », tant politique que médiatique, jugée irresponsable, lointaine, essentiellement préoccupée de se reproduire à l'identique et de surcroît fréquemment corrompue.

    Lire la suite