- Page 56
-
-
L’urgence sanitaire pour Élisabeth Borne : sauver les éoliennes
Le 1er avril, le ministère de la Transition écologique et solidaire publiait un communiqué intitulé « État d’urgence sanitaire : Élisabeth Borne a réuni les acteurs de la filière des énergies renouvelables électriques. » J’ai d’abord cru à une blague du Gorafi, mais il n’en était rien. En pleine crise du Covid-19, tout un lot de mesures en soutien aux projets de production d’énergie renouvelable ont été prises.
Dans la poursuite des objectifs de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), près de 300 projets lauréats éoliens et photovoltaïques, pour un volume de plus de 1.700 MW, viennent d’être désignés. En fait, avec l’effondrement du prix des énergies fossiles, les énergies renouvelables risquaient de perdre de leur attrait et les investissements pouvaient commencer à fléchir. Pour le gouvernement, il était donc extrêmement urgent de conserver le prix d’achat du solaire photovoltaïque, d’adapter les calendriers ou d’accorder des délais.
-
Sans les dépenses publiques illégitimes, la France aurait pu faire face au Covid-19
Par André Posokhow, consultant ♦ Depuis quelques semaines, la crise pandémique du Covid-19 montre que, dans le domaine sanitaire, notre malheureux pays est devenu une nation, peut-être pas du tiers-monde, mais de second rang par manque de moyens hospitaliers, industriels et financiers.
Certes l’arrogance veule, la psychorigidité mondialiste et européiste à l’égard des frontières, les retards dans la décision, l’incompétence, la négligence, les conflits d’intérêts, les mensonges, le refus de tenir compte des avertissements et, au bout du compte, le mépris et la détestation de la France et des Français que montre l’oligarchie cosmopolite qui a été désignée à la tête de la France constituent la cause première de cette crise nationale.
Mais cette crise que nous affrontons sans moyens fournit l’occasion de souligner les dépenses indues, illégitimes, que nos gouvernants ont accumulées et fait peser depuis plus de 40 ans sur le dos des Français, détruisant ainsi toute marge de manœuvre face une quelconque crise, a fortiori celle du Covid-19.
Après l’intervention de Jean-Yves Le Gallou aux assises des Gilets jaunes du 17 mars 2019 et les articles de Polémia sur ce thème, il est grand temps de mettre sommairement en exergue les conséquences les plus lourdes de ces gabegies.Dans ce type d’évaluations, il n’existe pas de chiffres exacts, seulement des approximations présentées comme telles, ou des fourchettes beaucoup plus utiles pour donner des ordres d’idées.
Une invasion migratoire ruineuse
-
Coronavirus : En Bulgarie, les députés et les ministres offrent leur salaire à la santé publique
Pendant toute la période de confinement, les députés et les ministres bulgares vont reverser leur salaire au système de santé publique pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, a décidé le Parlement, ce lundi soir.
Les députés ont voté, à l’unanimité, la proposition du parti conservateur au pouvoir, Gerb, de renoncer à leur salaire à partir du 1er avril. Les élus ont également prolongé l’état d’urgence qui permet au gouvernement d’imposer des mesures de confinement jusqu’au 13 mai.
-
MALADE DEPUIS +2 SEMAINES - oui, c'est EXACTEMENT ce que tu crois
Lien permanent Catégories : actualité, divers, entretiens et videos, santé et médecine 0 commentaire -
L’administration française que le monde nous envie… (ou pas)
3 informations viennent aujourd’hui se bousculer, et je les laisse à votre sagacité :
- Les masques commandés par la France en Chine seront livrés d’ici la fin juin (sans doute pour la future pandémie de Covid-20), a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. La France poursuit ses efforts pour s’approvisionner en masques, et ses commandes auprès de fabricants en Chine atteignent désormais près de deux milliards d’exemplaires. Ces masques qui ne servaient à rien, selon Sibeth, porte-parole du gouvernement… (“Peut-être” que le port du masque sera prochainement obligatoire en France, selon Olivier Véran)
- Le fondateur du groupe de chimie SNF, à Andrézieux-Bouthéon (Loire), a été placé lundi en garde à vue puis relâché, soupçonné de proposer de la chloroquine aux salariés de sa société pouvant souffrir du Covid-19. René Pich, 79 ans, également directeur général délégué de SNF, a été entendu par les gendarmes, dans le cadre d’une enquête pour « exercice illégal de la pharmacie et de la médecine », ouverte par le parquet de Saint-Etienne. L’enquête a été ouverte à la suite d’un signalement effectué le 31 mars par l’inspection du travail de la Loire. Le dirigeant écrit dans une note : « Nous nous sommes informés en Chine dès la fin janvier et nous avons compris que ce produit était la solution. Aujourd’hui, Trump aux USA, en passant au-dessus de toutes les procédures médicales, a préconisé ce produit pour tous les cas graves. Ce produit est maintenant utilisé avec succès en Chine, Corée du Sud et Thaïlande ».Une plainte du syndicat CFDT de la chimie a été déposée auprès du parquet de Saint-Etienne pour « mise en danger de la vie d’autrui, exercice illégal de la médecine et de la pharmacie et administration de substances vénéneuses ».
- La ville de Biarritz a interdit la station assise de plus de deux minutes sur ses bancs afin de rappeler “l’impossibilité de flâner”, a indiqué la municipalité. On imagine les policiers municipaux avec leur chronomètre devant les bancs publics… L’arrêté municipal précisait que cette interdiction ne s’appliquait pas à des “circonstances particulières” comme “l’attente du bus ou des services médicaux” ou “des raisons de santé”. Nous voilà rassurés.
https://www.lesalonbeige.fr/ladministration-francaise-que-le-monde-nous-envie-ou-pas/
-
Question de vie ou de mort, par Hilaire de Crémiers.
Les gens qui nous gouvernent étaient persuadés qu’ils allaient changer la vie. C’était leur programme ! Comme leurs prédécesseurs. Or la question qui se pose aujourd’hui c’est de savoir tout simplement comment survivre.
Oui, il convient de commencer par dire que la France est admirable dans l’effort qu’elle fournit aujourd’hui pour survivre. Car, aujourd’hui, il s’agit de cela ; survivre. Et il y en a encore pour un long bout de temps, quand il faudra affronter demain les conséquences des décisions prises précisément aujourd’hui.
La France toujours là
La majorité des Français qui se savent, se sentent et se veulent français – ça existe encore ! –, en ont parfaitement conscience et y consentent volontiers, même quand on leur demande, à la plupart d’entre eux, de rester confinés chez eux plusieurs semaines, cinq, six, peut-être plus, alors qu’ils ne souhaiteraient pas mieux que d’aider si la possibilité leur en était offerte ; ce qu’ils font dès qu’ils en ont l’occasion, ne serait-ce qu’en famille, cette famille dont on retrouve en ces jours difficiles toute la vertu, ou entre voisins, ce qui n’est autre que l’exercice de la charité.
-
Comment l'Europe réinvente le bio... chimique
Il est prouvé depuis longtemps maintenant que, si toutes les terres cultivées du monde étaient en agriculture biologique, cela suffirait à nourrir la population mondiale. C'est bien ce qui ennuie l'industrie agroalimentaire (ainsi que ces Messieurs de l’industrie phytosanitaire et pharmaceutique), qui a besoin du mode de culture conventionnel (intensif chimique, etc.) pour continuer à faire des bénéfices. Avec le blanc-seing de Bruxelles.
On sait combien l'Union européenne, au moins depuis les accords de Marrakech en 2004 (qui vinrent clore le cycle de l'Uruguay et instituèrent l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce), cultive un laxisme qui va bien dans le sens des intérêts américains. Pour preuve, la lassitude de certains députés européens - pourtant très endurants - face à l’ultralibéralisme forcené de la Commission européenne. Des observateurs, rompus aux subtilités du « machin » européen, tel Robert Tinlot (juriste spécialisé dans le droit de la vigne et du vin), s'attendent même à « une probable atténuation des effets pervers d'un libéralisme sauvage ». Selon ce dernier, « il apparaît dans la position du Parlement [européen] que l'on va amortir les effets abusifs de l'accord OTC » (accord sur les Obstacles techniques au commerce), pour la raison que, « les problèmes d'environnement [étant] devenus incontournables », on devrait voir « les contraintes environnementales [peser] sur les importations européennes ». Autrement dit, certains eurodéputés seraient tentés de rétablir des règles contraignantes pour bloquer (ou limiter) les importations de produits à l'impact environnemental excessif. Tout le monde convenant que « l'agriculture bio devient une nécessité ». Il n'est jamais trop tard…
-
Une autre crise dans la crise économique qui suivra la crise sanitaire.
Pieter KERSTENS
Les gouvernements occidentaux, particulièrement en Europe, ont imposé l’assignation à résidence à leurs populations, contrairement à certains pays asiatiques qui, eux en première ligne, ont permis une liberté de circulation à leurs concitoyens, forts de leurs expériences passées face à diverses épidémies.
En effet, la « grippe de Hong Kong » en 1968 avait entrepris le tour du monde et tué 31.226 personnes en France en décembre 1969 et janvier 1970 (soit 2 fois plus de morts que la canicule en 2003). L’Asie avait affronté le SRAS en 2003, et la grippe H1N1 en 2009. La Chine, le Japon, Singapour, Hong Kong, la Corée du Sud ou la République de Taïwan conseillent le port d’un masque pour tous, le dépistage massif, une hygiène stricte et disposent par ailleurs d’une infrastructure hospitalière adéquate et rapidement mobilisable pour une épidémie mortelle.Le Monde est « un village » ?
C’est avec cette affirmation chère aux laquais du mondialisme, que les Eurocrates de Bruxelles ont facilité les échanges et la circulation incontrôlée des biens, des hommes et des finances, avec la bénédiction de Pascal Lamy, ancien commissaire européen pour le commerce de 1999 à 2004 et directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMS) de 2005 à 2013. Ce sont eux, les Romano Prodi, les Jacques Delors, les Pascal Lamy, les principaux responsables du chaos social, économique, culturel, financier et sanitaire que nous vivons depuis des décennies. Car les mêmes nous ont imposé leurs dogmes socialauds-humanistes et leur credo d’une mondialisation « heureuse », pour le plus grand bénéfice de l’Empire du Milieu.
-
Louis VII & Aliénor d'Aquitaine [Gallia - notre histoire de France]