Emmanuel Macron et Olivier Véran ont exprimé des regrets limités sur la politique de santé menée depuis 2017, affirmant ne pas être allé « assez vite ». En réalité, le gouvernement a surtout maintenu une intense cure d’austérité dans les hôpitaux, contraints de réaliser 2,6 milliards d’économies en 2018 et 2019.
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JEAN-MARIE LE PEN EN RIT ENCORE !
Laurent Lopez (FB)
Lors du confinement je me suis adonné, comme beaucoup de mes compatriotes, à de petits travaux de bricolage. J’étais en effet peu motivé pour m’asseoir derrière un clavier, préférant profiter du chant des oiseaux qui ont élu domicile dans mon jardin.
Je n’ai prêté que peu l’oreille aux journaux télévisés qui répétaient, tels des mantras, les mêmes choses, jour après jour. Les journalistes interrogeaient les mêmes « spécialistes », lesquels formulaient les mêmes réponses, commentées par les mêmes chroniqueurs… Seuls les chiffres des victimes variaient, hélas, quotidiennement.
Pour autant j’observe, à la fois amusé et consterné, nos responsables politiques qui s’efforcent en ce temps de crise d’exploiter à leur profit la situation dramatique de la France.
Les membres du gouvernement et ses divers soutiens font de leur mieux pour convaincre les Français que la situation est sous contrôle, les mesures utiles ayant été prises en temps voulu. Qui peut croire cela si l’on considère la pénurie de masques, de gants et de gel hydroalcoolique ?
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Dieudobus/les alerteurs/Stan
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Salutaire commission d’enquête sénatoriale, par Maxime Tandonnet
L’annonce de la création d’une commission d’enquête sénatoriale sur la gestion de la crise du covid 19 a suscité le trouble en haut lieu. Or, avant toute autre chose, face au bilan d’une tragédie les Français ont le droit de savoir de manière factuelle ce qui s’est passé, d’établir les responsabilités et d’en tirer les conséquences en termes de sanctions politiques. C’est là un principe démocratique absolu dont il est inconcevable de les priver.
Art. 15 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen : La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
Cela concerne toute personne en charge d’une responsabilité publique, aussi bien le chef de l’Etat, le Premier ministre, les ministres et les fonctionnaires. -
L’actionnariat salarié pour en sortir
Mantra ? Incantation ? Vœu pieux ? Martingale ? Serpent de mer ? Panacée ? Nous pouvons bien sûr l’imaginer. Le chef d’entreprise et chroniqueur Xavier Fontanet signe une tribune publiée par Le Figaro où il propose l’actionnariat salarié comme une des pistes de sortie de crise à long terme.
Sur l’impératif de mettre en place une espèce de flexi-sécurité qui soit une remise en cause d’un droit du travail trop tatillon est une évidence. Même sans la crise que nous traversons, la compétitivité internationale en berne et en déclin que nous affichons est suffisante pour convaincre que ces rigidités d’un autre âge créent un carcan dont il faut s’affranchir.
Sur l’effort nécessaire de formation et d’adaptation constant de la main-d’œuvre, rien à redire, c’est une évidence.
Sur la menace effective que ferait peser tout alourdissement d’une fiscalité déjà confiscatoire, là encore, cela va sans dire, et encore mieux en le disant.
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Macron dément la pénurie de masques et parle d’une «doctrine restrictive» assumée par l’exécutif
Ne pas distribuer massivement des masques aurait été une stratégie assumée par l’exécutif pour éviter «la rupture», a expliqué Emmanuel Macron lundi soir dans un documentaire diffusé sur BFM TV.
Y a-t-il eu une pénurie de masques pendant la crise? Si certains au sein du gouvernement ont semblé l’admettre du bout des lèvres ces dernières semaines, Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine. Dans un documentaire diffusé sur BFM TV lundi soir, le chef de l’État a assuré que le France n’a «jamais été en rupture» de masques. «Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des manques, il y a eu des tensions. C’est ça qu’il faudra regarder, pour le corriger, pour le prévenir», a indiqué le chef de l’État.
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Zoom – Alexis Poulin : De la colère sociale au contrôle de masse
Frappée de plein fouet par l’épidémie de Covid-19, la France accuse le coup. Cette crise sanitaire qui engendre une crise économique va laisser des traces. Alors que la contestation sociale grondait depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron (hôpitaux, cheminots et bien sûr Gilets Jaunes), la menace du retour de la colère pétrifie le pouvoir. Pour l’exécutif, la réponse repose sur la restriction des libertés et un élargissement de la surveillance de masse. Alexis Poulin, journaliste, éditorialiste et Co-fondateur du Monde Moderne revient sur ce vent « orwellien » qui souffle sur la France.
https://www.tvlibertes.com/zoom-alexis-poulin-de-la-colere-sociale-au-controle-de-masse
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Michel Onfray annonce sa nouvelle revue Front Populaire.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
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L’arrestation de Félicien Kabuga, ou quand les médias rajoutent un chapitre à la fausse histoire du génocide du Rwanda
Félicien Kabuga qui vient d’être arrêté en France est présenté comme étant à la fois le financier de l’Akazu, une cellule familiale qui aurait préparé le génocide, et le fondateur des Interahamwe, milice associée au génocide des Tutsi et des Hutu alliés au FPR du général Kagamé, les « Hutu modérés » des médias. Or, l’Akazu n’a jamais existé et Félicien Kabuga n’a pas fondé les Interahamwe.
1) L’Akazu n’a jamais existé
Devant le TPIR, le Procureur a échoué à convaincre les juges « au-delà de tout doute possible », que :
- le génocide du Rwanda avait été planifié au sein de l’Akazu, une prétendue cellule familiale postulée avoir été financée par Félicien Kabuga et dirigée par Protais Zigiranyirazo, beau-frère du président Habyarimana,
- que le maître-d’œuvre de cette opération criminelle était le colonel Théoneste Bagosora, qu’il présentait comme le« cerveau du génocide ».
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Bienvenue dans le monde d’après… Voltaire a dû se retourner dans sa tombe !
« Non, Raphaël, tu ne dois pas prendre la main d’Emma ! C’est impossible et dangereux », affirma l’institutrice. « Mais c’est mon amie, maîtresse », lui répondit le gamin, en souriant tristement. « À la récréation, tu devras rester à l’intérieur de ton carré. ». Emma sera tout près de toi, mais dans l’autre carré », ajouta la maîtresse.
« Est-ce que j’ai tous les papiers pour sortir ? » s’interrogeait André. Attestation de mon employeur, attestation de déplacement de plus de 100 km chez un proche vulnérable, justificatif de domicile, pièce d’identité en cours de validité, billet de train TER avec le code-barres de la réservation. « P…., j’allais sortir sans mon masque », s’écria-t-il intérieurement.