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  • L'association "Stop éolien 87" lance une campagne pédagogique sur les éoliennes

    Imaginez la multiplication de ces matériaux et de leur impact écologique par 10, 20 ou 30 000 éoliennes comme la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie nous l'impose et vous aurez un désastre écologique.

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    Et voici une seconde leçon qui résume simplement les principaux aspects destructeurs de l'environnement par des machines qui prétendent le sauver. Aucune infrastructure aussi imposante et développant des forces mécaniques sur des surfaces aériennes de presque 2 hectares n'a été implantée dans nos horizons et multipliée par 10, 20 ou 30 000 lieux de nuisances. Il n'y a que des idéologues fanatiques pour croire que cela n'a aucune incidence désastreuse sur l'environnement.

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  • La Petite Histoire : Cuirassiers, les « hommes de fer » de Napoléon

    Unité de cavalerie lourde par excellence, les cuirassiers ont joué un rôle décisif dans l’épopée napoléonienne. Ils avaient pour fonction principale de briser les lignes ennemies par des charges puissantes. Ces charges étaient si impressionnantes que les témoins de l’époque rapportent qu’elles faisaient trembler tout le champ de bataille. Très appréciés de Napoléon, ils étaient surnommés « les Hommes de fer », ou encore les « Gros Frères ». Ils ont été commandés par les meilleurs généraux de l’Empire, tels Ney et Murat, et ont participé aux plus grandes batailles. Leurs charges épiques à Austerlitz, Eylau ou, plus tristement, Waterloo, resteront à jamais gravées dans l’histoire de la cavalerie.


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-cuirassiers-les-hommes-de-fer-de-napoleon

  • Archipelisation ou libanisation ?, par Philippe Germain.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie  : (18/20)

    La combinatoire apocalyptique

    Il faut à la France une alternative aux trois hypothèses d’assujettissement aux partis de l’étranger soutenu par les clans des Yes, des Da et des Hajal. L’alternative devra être française, en un mot  : souveraine.

    Une alternative et non pas une quatrième hypothèse prospective car, comme pour les pôles idéologiques, il est probable qu’aucun des clans ne l’emportera sur les deux autres. Il faut donc nous attendre à ce que les trois hypothèses se combinent dans une proportion encore impossible à définir. C’est l’alternative à cette combinatoire qui est indispensable à la France. Cette combinatoire sera apocalyptique car «  sur le territoire de la France une société nouvelle s’organisera, qui ne sera plus française, même si elle se souvient vaguement d’en avoir reçu l’héritage 1 ».

    En revanche, « Ne désespérons tout de même pas.  » conseillait le romancier royaliste Jean Raspail dans le Figaro du 17 juin 2004. En cela il rejoignait le maurrassien « Tout désespoir en politique est une sottise absolue  ». Il y présentait sa vision de l’avenir français : « Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. »

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  • Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Barbara Mazières, élue Rn à la région Pays de la Loire, est interrogée dans Les 4 Vérités :

    La présidente de région Pays de la Loire a proposé de présenter des vœux à soumettre au gouvernement de la part des régions dans le cadre du soutien à l’économie. Pourtant, deux de vos vœux ont été rejetés.

    En effet, la majorité « Les Républicains » de Mme Morançais a rejeté mes deux vœux. Le premier proposait au gouvernement de favoriser le prêt entre entreprises avec inscription de privilège. Cette idée est défendue par de nombreux entrepreneurs. Le second vœu proposait de ne fiscaliser que les bénéfices distribués. En effet, fiscaliser une entreprise au bilan revient à taxer un bien social. Ne pas fiscaliser les bénéfices non distribués permettrait aux entreprises de renforcer leur trésorerie et leur capacité d’investissement. Nous avons bien vu (enfin, les entreprises ont bien vu) durant la crise du Covid que la trésorerie était un facteur important de protection des entreprises, leur permettant de faire face à des imprévus.

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  • Europe : la déception (2008) 4/4

    Rendu public le 5 octobre 2007 sous le nom de «traité modificatif», ce projet de traité «simplifié», dont Nicolas Sarkozy avait déjà fait adopter le principe à Bruxelles en juin 2007 n'est tout d'abord pas si simplifié que cela, puisqu'il compte 256 pages assorties de 12 protocoles annexes et 25 déclarations diverses renvoyant à près de 3000 pages d'accords antérieurs. Il reprend par ailleurs l'essentiel des dispositions du projet de traité constitutionnel rejeté par voie de référendum par les Français et les Hollandais. Seules modifications : les éléments symboliques (drapeau, hymne et devise) n'y figurent plus, et le ministre des Affaires étrangères de l'Union se voit, pour satisfaire les Anglais, attribuer le simple titre de «haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune». Pour le reste, rien ne change, sinon l'habillage. La référence à l'OTAN, notamment, est toujours présente puisque le nouveau texte renvoie au traité de Maastricht dont le titre V fixait que les positions communes des États membres en matière de défense doivent être compatibles avec les «cadres de l'OTAN». La Charte des droits fondamentaux n'est pas reprise in extenso, mais fait elle aussi l'objet d'une référence, ce qui en droit revient au même.

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  • Covid-19. Des héros et des salauds

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    Dresser un bilan provisoire de l’épidémie de Covid-19, ce n’est pas seulement comptabiliser les victimes de la maladie et les effets économiques du confinement. C’est aussi s’intéresser au monde de la Santé et à sa médiatisation. Dominique Remmaker dresse un bilan incisif de cette période pour les professionnels de santé.
    Polémia

    Don et contre don

    On doit à l’écrivain Alphonse Karr (1808-1890) cette phrase un rien sibylline : « Un service que l’on rend est une dette que l’on contracte ». À la suite de Marcel Mauss et des théoriciens du don – contre don, il ne faut jamais perdre de vue en effet que contracter une dette, c’est subir en retour le pouvoir et le prestige du donneur. Un sentiment difficile pour l’ego, d’autant plus que le créancier est une construction sans chair ni os. Voici donc « les soignants », héros de vingt heures comme le gigot l’est de sept, qu’il fallut applaudir dans un élan de concorde nationale, à l’unisson des propagandistes médiatiques. Un peu comme dans le temps de la guerre – mythifié par un président qui ne l’a jamais connu –, tous montèrent au front en gants blancs et masques invisibles, contre un ennemi qui ne l’était pas moins. En face d’un simple bout d’ARN ceint de quelques protéines, notre société des droits individuels s’éprit d’un travers collectif : renoncer à la haine de classe, de caste, corporatiste, raciale, religieuse, anti-mâle blanc, progressiste, traoriste, en un mot, multiculturelle. Point de distinction entre médecins, infirmières ou aides-soignantes parmi ces professionnels qui consentirent à prendre le risque de leur vie pour leur idéal. Point de médecins nantis, corrompus et surpayés, à opposer à des personnels affamés et opprimés par un pouvoir d’essence patriarcale. Seulement de vrais courageux, altruistes et solidaires, qui s’infectèrent et parfois moururent sans distinction d’appartenance. Et dont on découvrit soudain l’importance sociale, la précarité, les faibles rémunérations et la mise en coupe réglée par la technocratie politico-gestionnaire. Des idoles, en somme, qu’il fut bon de célébrer au son des casseroles entre l’apéro et le repas du soir, durant deux mois de grande trouille nationale entretenue par les clairons mortifères de BFMTV. Ils n’en demandaient pas tant. L’ennui, c’est que ce qu’ils demandent aujourd’hui, ils ne l’obtiendront pas. Et que les groupies d’hier commencent à déboulonner leurs statues – décidément, une manie !

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  • Il y a plus de glace au Pôle sud qu’il y a 40 ans

    Il y a plus de glace au Pôle sud qu’il y a 40 ans

    Le réchauffement climatique se fait vraiment attendre… L’étendue de la banquise en Antarctique a atteint 13,2 millions de km² en moyenne en juin 2020 : elle est nettement supérieure aux valeurs enregistrées en juin au cours des 3 dernières années, selon les données du Copernicus Climate Change Service (C3S). L’étendue de la banquise en juin 1980 était de 12,5 millions de km².

    La concentration de glace de mer en juin 2020 était de 10,6 millions de km² (9,6 millions de km² en juin 1980).

    Le pôle Sud est toujours le pôle Sud : froid. Les températures moyennes annuelles ont établi un record de -47 ° C en 2018.

    https://www.lesalonbeige.fr/il-y-a-plus-de-glace-au-pole-sud-quil-y-a-40-ans/

  • Thierry Mariani : “C’est la première étape vers la création d’un véritable impôt européen”

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    Après un weekend de négociations à Bruxelles, le plan de relance à 750 milliards d’euros n’est toujours pas validé. Thierry Mariani, député au Parlement européen, réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/thierry-mariani-cest-la-premiere-etape-vers-la-creation-dun-veritable-impot-europeen/

  • Plan de relance européen : encore la désunion

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    Par Mathieu Solal

    Ils voulaient la paix. En arrivant à Bruxelles, Angela Merkel et Emmanuel Macron entendaient faire de leur alliance le socle de la relance européenne. Dans la droite ligne de leur initiative historique du 18 mai, le Président et la chancelière n’avaient plus qu’à transformer l’essai en convainquant leurs partenaires de réaliser pour la première fois l’union de la dette, pour faire face à la crise qui s’annonce. Quitte à faire des concessions, ils imposeraient leur leadership à cette nouvelle Union européenne débarrassée de l’épouvantail britannique et enfin encline à resserrer ses liens face à l’adversité.

    Ils voulaient la paix, mais ils ont oublié de préparer la guerre. En arrivant à Bruxelles « dans un esprit d’unité et de compromis » vanté par leurs entourages, et avec comme unique but de défendre la proposition de plan de relance mise sur la table par la Commission européenne, le Français et l’Allemande se sont logiquement retrouvés en position de faiblesse.

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