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  • [vidéo] Covid-19 : multiples rassemblements contre les restrictions sanitaires

    Face au coronavirus, les restrictions ne cessent d’augmenter.

    Ces 19 et 20 septembre ont été marqués par de nombreux rassemblements partout dans le monde pour protester contre les reconfinements, les masques et les mesures sanitaires imposés par les gouvernements.

    https://fr.novopress.info/218901/video-covid-19-multiples-rassemblements-contre-les-restrictions-sanitaires/

  • Agnès Thill dénonce le totalitarisme de LREM, la dictature de la pensée et la restriction de nos libertés

    Agnès Thill dénonce le totalitarisme de LREM, la dictature de la pensée et la restriction de nos libertés

    Dans un ouvrage sortant ces jours-ci, le député Agnès Thill retrace son parcours, des quartiers populaires du 93, issue d’un milieu ouvrier, à l’exclusion de LREM. Ignorante du jacobinisme intrinsèque aux milieux de gauche, elle a découvert brutalement la face cachée du « nouveau monde » et la réalité des relations au sein de La République En Marche, faites de mensonges, d’intolérance, d’insultes et d’exclusions au point qu’un des hauts responsables lui a jeté à la figure : « Démissionne, tu n’es pas des nôtres ! ».

    Elevée en Seine Saint-Denis dans une famille modeste, catholique ancré à gauche, au travail dès 16 ans, institutrice puis directrice d’école à Paris et en banlieue, Agnès Thill, anticléricale (elle est revenue à l’Eglise depuis et confirmée en 2012) et franc-maçon au Grand-Orient (initiée en 2000 au Droit Humain), a été membre du Parti Socialiste. Ecoeurée par les magouilles et le totalitarisme du parti (elle ose estimer Michel Rocard et François Bayrou), elle quitte le PS au début des années 1990.

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  • RÉGULARISATION DES SOI DISANT "SANS-PAPIERS", EN FAIT DES ESCROCS : D'ACCORD AVEC COLLARD, C'EST NON !

    Gilbert Collard
    Marche des sans papiers pour la régularisation d'un droit qu'ils n'ont pas. À quand une marche pour la régularisation des sans permis de conduire, des sans permis de construire, des sans permis de chasse, des sans assurance, des sans carte vitale ?
  • Sur BFM TV, Natacha Polony VS Alain Duhamel sur le séparatisme et l'islam.


  • Amy Coney Barrett, la candidate de Donald Trump à la Cour Suprême ?

    Amy Coney Barrett, la candidate de Donald Trump à la Cour Suprême ?

    Amy Coney Barrett, professeur à la faculté de droit de l’université Notre-Dame (Indiana), mère de 7 enfants, avait été nommée par Donald Trump juge à la 7e cour d’appel fédérale (Chicago) en 2017. Cette mère de sept enfants (dont 2 adoptés) est catholique et pro-vie. Le choix de Trump avait été ratifié par le Sénat des États-Unis par 55 voix contre 43, alors que le Sénat ne comptait alors que 51 membres Républicains (ils sont 53 actuellement) : preuve que plusieurs sénateurs Démocrates avaient alors voté pour elle.

    « Alliance pour la Justice » avait publié un tract contre cette nomination, vitupérant que Barret elle est une grave menace pour les « droits reproductifs » puisqu’elle croit que « la vie commence à la conception » et qu’elle a critiqué l’obligation pour les employeurs d’inclure la contraception dans la couverture maladie des salariés. Amy Coney Barrett est membre d’un mouvement chrétien appelé People of Praise, qui rassemble des catholiques et des protestants. Elle a toujours regretté l’arrêt Roe v. Wade, qui a légalisé l’avortement aux États-Unis en 1973.

    Elle fut déjà pressentie à la Cour Suprême en 2018, pour remplacer Anthony Kennedy. Ce fut Brett Cavanaugh qui fut alors nommé. “Je réserve (Barrett) lorsqu’il faudra remplacer Ginsburg”, aurait alors dit Trump. De fait, pour remplacer Ruth Bader Ginsburg, Donald Trump a déjà évoqué de nommer une femme. Or, dans la liste de quarante noms que le président des États-Unis a rendue publique le 10 septembre, trois magistrates se détachent. Mais une a sa préférence : Amy Coney Barrett.

    Si Donald Trump choisit Amy Coney Barrett, elle pourrait devenir, à 48 ans, la plus jeune juge de la cour suprême.

    Deux autres femmes sont dans la course :

    • Barbara Lagoa, première femme hispano-américaine nommée à la Cour suprême de Floride que le Président a hissée à la onzième cour d’appel en 2019.
    • Allison Rushing, propulsée à l’âge de 35 ans à la quatrième cour d’appel de Richmond (Virginie), en 2018.

    https://www.lesalonbeige.fr/amy-coney-barrett-la-candidate-de-donald-trump-a-la-cour-supreme/

  • Peine de mort : pour un vrai débat

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    Rediffusion Polémia – François Mitterrand a ouvert symboliquement sa présidence en abolissant la peine de mort. Non moins symboliquement, Jacques Chirac a achevé la sienne en voulant inscrire cette abolition « en toutes circonstances » dans la Constitution. Pour autant le débat n’est pas clos. Il reste plus que jamais ouvert… pour peu que les abolitionnistes acceptent la confrontation avec les faits. Et puisque le point de vue abolitionniste s’exprime partout et celui de leurs adversaires nulle part, Polémia va résumer, dans un souci pluraliste de rééquilibrage, les arguments de ces derniers.

    Explications :

    Il est mensonger d’affirmer que la tendance à l’abolition de la peine de mort soit irréversible. En dehors des 27 États de l’Union européenne, sortis de l’histoire, tous les grands États la pratiquent : la Chine, bien sûr, mais aussi et surtout l’Inde, la plus grande démocratie du monde, le Japon et les États-Unis qui, après l’avoir suspendue en 1967, l’ont progressivement rétablie pour 38 États et l’État fédéral.

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  • Bobigny : les étranges protections municipales pour la famille d’un tueur

    9704-20200922.jpgAbdel Sadi, le nouveau maire communiste de Bobigny, s’est fait photographier avec l’une de ses administrées, une femme voilée nommée Lynda Benakouche. Cette femme n’est pas n’importe quelle intégriste islamique. Employée municipale de la ville, elle est la conjointe du tueur Christophe Soumbou, condamné en 2009 à 18 ans de prison (et libéré en juillet 2019) pour l’enlèvement, la séquestration (pendant trois semaines), la torture collective dans une cave de Bagneux, et le meurtre du jeune Ilan Halimi en 2006.

    Le « gang des barbares », dirigé par le dénommé Fofana, et dont Soumbou était l’un des trois principaux « animateurs », comportait environ 25 membres. Criminalité et prosélytisme salafiste constituaient les deux activités essentielles du groupe. Ilan Halimi, 23 ans, avait été choisi au hasard, sur le seul critère de sa judaïté, l’objectif étant d’obtenir une rançon de sa famille. Mais les barbares – comme ils s’appelaient eux-mêmes –, l’avaient torturé puis assassiné. A Bagneux, une stèle, destinée à perpétuer le souvenir du jeune homme dans cette ville, est régulièrement saccagée. Ce gang des barbares a donc des disciples, des admirateurs. Et d’ailleurs, la plupart de ses membres ont retrouvé la liberté, aujourd’hui. Selon notre pointage, seul Fofana lui-même est encore incarcéré.

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  • Pas de pardon pour le président Loukachenko

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    Georges Feltin-Tracol

    Bien avant Donald Trump, Jair Bolsonaro, Rodrigo Duterte, Viktor Orban ou les frères Kaczynski, il est le premier chef populiste, voire illibéral, de l’après-Guerre froide. Par son action politique, il anticipe la « verticale du pouvoir » poutinienne. Son indéniable charisme, son bon sens, son application à servir, son habilité diplomatique et son caractère déterminé ont contredit Francis Fukuyama et sa prophétie foireuse de la « Fin de l’Histoire ». En vingt-six ans de présidence, Alexandre Loukachenko n’arrive pas à se faire pardonner par le Système du mauvais Bien.

    L’agitation actuelle qui secoue le Bélarus commence dès la confirmation de la réélection dès le premier tour du président sortant. Comme à chaque fois, les pègres étatiques occidentales n’approuvent pas le choix souverain du peuple, encouragent des candidats en carton pâte et dénoncent des fraudes électorales, estimant que Minsk imite les vieilles habitudes politico-mafieuses de Chicago, de Los Angeles, de Londres ou de Marseille…

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  • Hubert de Champris : « Les archives : entre formation et information de la vérité »

    Bibliothèque Sainte-Geneviève

    L’Association des Archivistes français, qui a tenu un premier forum angevin fin mars 2013, ne sait pas qu’elle manie un trésor. Elle croit gérer de la connaissance et toute la matière, qui fait l’Histoire de France, de Navarre et d’ailleurs. Cela est juste. Elle croit traiter d’un patrimoine tant matériel (le support) qu’immatériel. Cela est encore juste. Elle croit œuvrer pour le bien public, la conservation de la mémoire. Et, de fait, les archives sont en elles-mêmes une vaste mémoire dont cette association veut prévenir les dégénérescences : assister, tel un médecin sans remèdes, au dépérissement de ces supports, serait tout aussi dommageable à la société que la décrépitude d’un vieillard atteint de la maladie d’Alzheimer. On ne sait si l’on peut ici ouvrir à bon droit une parenthèse en établissant un parallèle entre le cerveau et l’archive : il apparaît qu’une pensée accrue chez l’homme non pas empêcherait, mais retarderait la manifestation de la maladie. Peut-on en déduire que la richesse intrinsèque d’une archive serait liée à ses chances de conservation, qu’elle prolongerait son pronostic vital ? Bref, cela est acquis, les archivistes manient en permanence ce qui constitue le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité : le temps qui court.

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  • Véran et les délires des tests et des masques : débranchez-le et mettez-nous Luchini tous les soirs à 20 heures !

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    Je suis très inquiet pour la santé des Français. Non pas pour les risques liés au Covid-19. On sait, désormais, à quoi s’en tenir sur les personnes vraiment à risque, sur les profils des décès (comorbidité, etc.) et la médecine, « raoultienne » ou pas, réussit désormais à mieux prendre en charge les cas graves. Non, je suis très inquiet pour leur santé… mentale et l’impact des injonctions d’un pouvoir par ailleurs discrédité par ses incessants changements de pied sur les masques, les tests, les quatorzaines, les « On ferme/on ferme pas une classe ». Et j’en passe.

    Dernier épisode de cette danse du Covid-19, la dernière sentence du ministre de la Santé : « Les cas contacts de cas contacts ne sont pas des cas contacts. » Les amis de mes amis… Ce sont des cas contacts « à risque négligeable ». Dans la classe de mes enfants, cela donne : « Ben oui, on lui parle pas, à lui, on mange jamais avec lui. » Entendu, chéri, j’ai compris. Si on y réfléchit un peu, tout cela se défend, et Le Huffpost explicite tous les cas possibles, les degrés de contact.

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