Comme dans beaucoup d’autres matières, l’entre-deux-guerres a provoqué une rupture fondamentale dans le domaine de l’illustration de presse. Le caricaturiste à moments perdus ou professionnel, le peintre qui faisait bouillir la marmite en illustrant des journaux et le dessinateur besogneux qui avait rêvé d’être un artiste n’auraient plus rien à voir avec le journaliste-dessinateur – de presse, l’expression date des années 1970.
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Trois livres sur la crise du Covid-19
Les ouvrages se bousculent en librairie, pour se pencher sur le, »pendant » et sur « l’après » de la crise du coronavirus. J’en ai retenu trois : celui du Pr Christian Perronne, clinique, implacable. En second lieu, le réquisitoire de Philppe de Villiers, paradoxalement le plus positif. Et, troisièmement, sans doute le pus révélateur, celui d’un Jacques Attali égal à lui même : le plus incantatoire.
La France mise aux arrêts pour ralentir la progression du coronavirus chinois, dix points de PIB sacrifiés pour préserver la vie des plus âgés et des plus fragiles (morts, tout de même, en masse dans les Ehpad, privés de protection, de soins et de la présence de leurs proches), une hystérie collective alimentée par des points de presse quotidiens les plus anxiogènes possibles. Comment vivre après ça ?
Christian Perronne donne des noms
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Nouveau meurtre gratuit d’un jeune homme par des migrants à Lyon – par Olivier Piacentini
Tribune libre d’Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :
« La nuit dernière, à Lyon, un jeune homme de vingt ans a été assassiné à coups de couteau à la station de métro Gerland.
Pauvre garçon, fauché dans la fleur de l’ âge.Les meurtriers ? Ils ne s’appelaient ni Jean-Edouard, ni Eudes, ni François-Xavier, n’étaient pas cathos intégristes ni d’extrême droite. C’étaient deux migrants en situation irrégulière, ivres au moment des faits, qui s’en sont pris à ce garçon, on ne sait trop pourquoi.
Ce que l’on sait, par contre, mais que personne ne veut relayer dans les médias, c’est que l’immigration irrégulière tue, et souvent.
Et elle tue des innocents de passage, des jeunes qui ne font rien de mal, des jeunes filles dont la tenue déplait, et toutes sortes de quidam qui auraient dû rentrer tranquillement chez eux. -
Diabolisés de toutes les tendances, unissez-vous
Jean-Yves Le Gallou vient de publier un petit (75 pages) Manuel de lutte contre la diabolisation. L’exemple récent contre Valeurs Actuelles montre que nos ennemis, plutôt que se placer sur le terrain du débat d’idées, utilisent désormais quasiment systématiquement le lynchage, la diabolisation de l’adversaire et il est très difficile de résister, quand on a l’impression d’être seul contre tous.
Ce n’est pas un phénomène récent et Jean-Yves Le Gallou commence par évoquer saint Jeanne d’Arc, abandonnée par ses soutiens, faisant face à 120 juges, l’université de Paris, les Anglais… Plus proche de nous, rappelons-nous les lynchages récurrents contre le pape Benoît XVI, lequel déclarait :
“Il y a cent ans, on aurait jugé encore absurde de parler de mariage homosexuel, aujourd’hui, on est excommunié quand on s’y oppose.”
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La question des races en France : une instrumentalisation américaine, par Pierre Wariou.
Les indigénistes et leurs émules s'acharnent à inventer, en France, une question qui n'est que le duplicata d'une situation américaine sans équivalent en France. Mais les États-Unis projettent en France une vision racialiste, soutenue par leur ambassade.
Le mouvement Black Lives Matter en France suppose qu’on peut importer en France des concepts américains sans pertinence historique locale – ce qui ne signifie pas qu’ils ne soient pas dangereux pour le corps social français.
On voit aussi à la lumière de ce mouvement que le séparatisme n’est pas exclusivement le fait de l’Islam mais aussi celui de la pensée postcoloniale et indigéniste qui se diffuse au sein des structures officielles (université, musées, etc.).
L’ethnie plus que la race
Partons du commencement : la question noire. Y a-t-il une question noire en France ? Les Noirs aux États-Unis sont présents sur le sol depuis les premiers moments de ce pays. Issus de l’esclavage, ils ont développé une culture originale mais ont oublié leur culture d’origine : s’ils sont des « afro-descendants » ou des « Afro-Américains », ils n’ont plus grand chose d’africain. En France, c’est le contraire. L’immigration de personnes noires est beaucoup plus récente et, de fait, les questions ethniques ou culturelles y subsistent – à la différence des États-Unis où elles n’ont aucun sens.
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Une des raisons de notre Royalisme...
Les Français sont les plus taxés au monde, et ce "pognon de dingue" qui nous est volé est gaspillé dans le "copinage/coquinage" du Système ou dans les différentes fraudes de tous ordres, les plus scandaleuses et aberrantes étant les fraudes sociales, liées très majoritairement à l'immigration...
La seule action qui vaille d'être menée ? :
"Une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion de Régime !" (Léon Daudet)
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Italie : la coalition de droite gouverne désormais 15 régions sur 20
Matteo Salvini, après avoir raté en janvier la prise de l’Emilie-Romagne, n’a pas réussi dimanche à emporter la Toscane, l’autre grande région rouge du centre de l’Italie. Sa candidate Susanna Ceccardi obtiendrait 41 % (contre 20% en 2015) des voix soit sept points de retard sur le président sortant et tête de liste de la coalition de centre-gauche Eugenio Giani.
La presse française estime que c’est une “douche-froide” et que la Ligue est stoppée.
La réalité est plus complexe : la coalition de droite confirme facilement son implantation en Vénétie et en Ligurie. Elle a également ravi une région historiquement de gauche, celle des Marches, dans le centre du pays. La Ligue et le centre-droit gouvernent désormais 15 régions sur 20.
La gauche, alliée désormais au mouvement de Beppe Grillo (qui enregistrent un peu partout des revers), conserve la Toscane et les régions méridionales des Pouilles et de la Campanie.
La Ligue reste la première formation d’Italie.
https://www.lesalonbeige.fr/italie-la-coalition-de-droite-gouverne-desormais-15-regions-sur-20/
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le sens Patriotique USA. Une leçon à la France soumise a l'internationalisme socialisteUE
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Alerte écarlate aux States : une catho, mère de famille nombreuse, conservatrice, bientôt à la Cour suprême ?
Alerte écarlate annoncée, crise d’apoplexie histrionique prévue chez les progressistes, les féministes et la gauche en général, le pop-corn est de mise. Ruth Bader Ginsburg, juge nommée à vie à la Cour suprême des États-Unis, vient, à la suite d’une « longue maladie » – un cancer du pancréas dont on ne se relève quasi pas -, de rejoindre son Créateur. Discussions animées prévues par de torrides chaleurs de circonstance.
Nul doute : au royaume des valeurs républicaines, cette ayatollah des dérives progressistes aurait eu sa place au Panthéon. Donald Trump promet de remplacer cette égérie démocrate, zélatrice de l’avortement, l’immigration, l’homosexualité et de la destruction du mariage, avant les élections prévues le 3 novembre, avec l’aval constitutionnel du Sénat, actuellement à majorité républicaine.
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Les conséquences économiques du Covid en Europe
Les conséquences de la crise du coronavirus n’ont pas terminé de se dévoiler : santé, économie, politique, jusqu’au fondement de l’Union Européenne. Dans ma jeunesse, une telle perspective était généralement considérée comme un prélude à un effondrement.
Mais nous ne sommes pas là pour jouer les (mauvais) augures. Pour nous en tenir à l'économie, dont la situation ne peut manquer d'inquiéter tout de même tout un chacun, et puisque Monde&Vie, dans son numéro de fin mai, évoquait le plan de relance appelé de leurs vœux par le duo Merkel-Macron, il convient d'observer ce qui se passe, effectivement, au niveau européen.
Comme sur tant d'autres plans, le fossé semble se creuser chaque jour davantage. Le défaut de réaction - surtout de réaction efficace et cohérente - de Bruxelles au plus fort de la crise sanitaire a sans doute éloigné un peu plus les Européens de l'Union européenne. Sa réaction économique n'est pas faite pour améliorer la situation.