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  • Covid19 – La confusion mentale comme mode de gouvernance et le bilan des politiques sanitaires

    Une politique se juge à ses résultats. La politique sanitaire française a été particulièrement contreproductive puisqu’elle nous a amené dans le top 6 européen des plus hauts taux de morts par Covid (490/million) derrière la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Grande Bretagne et la Suède (sans mesures restrictives et donc sans morts collatérales liés au non soin), contre 114/M en Allemagne (qui n’a pas confiné à l’aveugle mais pratiqué la quarantaine ciblée) et 376/M, aux Pays-Bas qui ont laissé leur population libre de ses mouvements.[1]

    Le coronavirus de l’année ne serait-il qu’un leurre ?

    Ce n’est pas le Covid19 qui est responsable de la plus grave débâcle française depuis 80 ans, mais les mesures sanitaires inadaptées et disproportionnées (état d’urgence, confinement policier, mesures sanitaires disproportionnées imposées aux Français).

    La confusion mentale comme mode de gouvernance

    L’absence de débat, les mensonges permanents inversant les versions, les chiffres erronés et différents selon les diverses sources officielles entrainent la confusion chez les citoyens et l’impossibilité de s’y retrouver. Entre incompétence et approche totalitaire éprouvée et décrite depuis des années il n’y a qu’un pas que certains évoquent et décident de franchir. Surtout il est possible d’instrumentaliser des personnes pour la mettre en œuvre.

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  • Face à l'islamisme. Partie 1 : Liberté d'expression, et liberté de discussion.

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    Depuis quelques jours, nombre de personnes, connues ou inconnues, me présentent des vœux de courage et des marques de solidarité, me prouvant, au-delà de ma simple personne, que les professeurs gardent une certaine popularité et une estime certaine au sein de la population, et cela malgré les procès d’intention qui peuvent leur être faits et les comportements de plus en plus consuméristes et individualistes au sein de notre société. Ces quelques gestes et ces paroles sympathiques sont-elles suffisantes pour nous protéger des prochains assassinats islamistes ? Il faudrait l’espérer mais, malheureusement, les fanatiques qui frappent n’ont que faire des sympathies et des qualités, aveuglés par ce qu’ils croient être une « mission » motivée par les atteintes à leurs conceptions du monde et du sacré.

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  • Pourquoi la Sécurité sociale est au bord de l'asphyxie (texte de 2010)

    Pourquoi la Sécurité sociale est bord de l'asphyxie.jpeg

    La Sécu est malade ? Ce n'est pas grave, les Français cotiseront pour lui payer une réforme. Souhaitons seulement qu'il ne soit pas trop tard…

    « Je suis allée trois fois chez la même cliente d'origine immigrée, qui était devenue obèse à force de s’empiffrer du matin au soir, raconte une infirmière libérale. Le première fois, je lui ai fait une piqûre pour soulager un mal de dos. La deuxième fois, elle s'était fait poser un anneau gastrique. La troisième fois, comme elle avait maigri et que sa peau pendait, elle avait eu recours à la chirurgie esthétique. Toutes ces interventions avaient été prises en charge par la CMU Etonnez-vous du déficit de la Sécurité sociale ! »

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  • Liberté d’expression : « ne pas porter atteinte à la dignité des personnes »… Vraiment ?

    Liberté d’expression : « ne pas porter atteinte à la dignité des personnes »… Vraiment ?

    Communiqué de l’Agrif :

    Nous lisons ce jour dans le Point de cette semaine un intéressant article intitulé : « La liberté d’expression expliquée à nos enfants ».

    Il est présenté comme des réponses de Jean-Paul Delahaye de la très laïciste Ligue de l’enseignement à des « questions que tout le monde se pose ».

    À l’interrogation, essentielle, « y a-t-il des limites à la liberté d’expression » ? Delahaye répond :

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  • Sur le Cercle Aristote, Collectif Nemesis : l'Entretien 1/2 (hors-série).

    Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/10/24/sur-le-cercle-aristote-collectif-nemesis-l-entretien-1-2-hor-6271976.html

  • Pierre Boutang l'intellectuel corsaire

    Pierre Boutang l'intellectuel corsaire.jpeg

    Le philosophe Pierre Boutang (1916-1998), qui ne dédaignait pas les rudes philippiques et les polémiques orageuses, n'a pas toujours été épargné dans les colonnes d'Éléments. Raison de plus pour y voir de plus près, alors que paraissent deux ouvrages sur une œuvre qui a marqué son temps.

    En dépit de nombreux disciples, tels, parmi les plus notables, l'éditeur et théologien orthodoxe Jean-François Colosimo ou le philosophe Jean-François Mattei, le romancier et métaphysicien Pierre Boutang reste une figure méconnue de la pensée française. Sa fidélité à Charles Maurras et au royalisme de sa jeunesse, son catholicisme intransigeant et une œuvre philosophique parfois hermétique sont sans doute les raisons qui le maintiennent dans une sorte de purgatoire intellectuel depuis sa mort en 1998. Les lecteurs de Robert Brasillach se souviennent de son apparition furtive dans les dernières pages de Notre avant-guerre, où il est décrit en jeune fauve, éclatant d'une insolente jeunesse, aussi agile en version grecque que prompt à charger la maréchaussée et à défier les gardiens de la république bourgeoise. Mais la plupart de nos contemporains, hors de certains cercles de la droite non-conformiste, ignorent tout de l'auteur de L'ontologie du secret. Dans un livre bref mais vif et passionnant, Jérôme Besnard, fin connaisseur de la pensée contre-révolutionnaire- à laquelle il a récemment consacré une anthologie(1) -, dresse le portrait de cet homme aux talents multiples qui pensa, vécut et combattit, souvent à rebours des modes idéologiques de son temps et sans jamais s'épargner. Car Boutang n'était pas un pâle et triste amateur de ces tours d'ivoire d'où l'on regarde le monde s'effondrer et pourrir. Cet homme était un vivant au cœur bien battant, un sensuel et un passionné que n'effrayait aucun combat périlleux.

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  • Pour que la guerre ne soit pas perdue d'avance

    6a00d8341c715453ef0263e970980b200b-320wiOn ne gagnera pas la guerre contre l'islamo-terrorisme dans la confusion. La prétention d'imposer de force la laïcité suppose en effet que la religion mahométane soit compatible avec l'idée que la république se fait elle-même de la laïcité.

    Or, le laïcisme, que l'on confond avec la laïcité, godille entre ambiguïtés, faiblesses et illusions. Et, c'est le premier drame, nous demeurons docilement régis par des principes constitutionnels et par une jurisprudence interprétative qui les rend paralysants.

    Tous les actes politiques de combat que peut envisager le gouvernement, se heurtent, dans ce domaine à des tribunaux administratifs, au conseil d'État et, au dessus, de l'édifice au Conseil constitutionnel. Tout ce dispositif amène nos brillants ministres à reculer quand il s'agit de dissoudre une association subversive ou de fermer une mosquée salafiste.

    Ah quand les cibles désignées de ce type de mesure sont qualifiées d'extrême droite : c'est facile. Personne ne protestera.

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  • Guerre contre le cash, les cryptomonnaies d'état arrivent, et ça va tout changer Part 2

  • Maurras et le Fascisme [5]

     

    Par Pierre Debray

    C'est une étude historique, idéologique et politique, importante et profonde, que nous publions ici en quelques jours. Elle est de Pierre Debray et date de 1960. Tout y reste parfaitement actuel, sauf les références au communisme - russe, français ou mondial - qui s'est effondré. L'assimilation de l'Action française et du maurrassisme au fascisme reste un fantasme fort répandu des journalistes et de la doxa. Quant au fascisme en soi-même, si l'on commet l'erreur de le décontextualiser de sa stricte identité italienne, il reste pour certains une tentation, notamment parmi les jeunes. On ne le connaît pas sérieusement. Mais il peut-être pour quelques-uns comme une sorte d'idéal rêvé. Cette étude de Pierre Debray dissipe ces rêveries. Elle s'étalera sur une dizaine de jours. Ceux qui en feront la lecture en ressortiront tout simplement politiquement plus compétents.LFAR

    Certes Mussolini laisse subsister le capitalisme. C’est uniquement pour des raisons d’opportunité. Le premier ministre de la justice de l’État fasciste, M. Rocco, constate qu’une certaine liberté économique n’est préservée que parce que « l’aiguillon de l’intérêt individuel est le plus efficace des moyens, pour obtenir le maximum de résultat, avec le minimum d’effort ». En réalité, l’initiative privée ne subsiste qu’autant qu’elle accepte la direction de l’État. Quand Mussolini écrit que « c’est l’État qui doit résoudre les contradictions dramatiques du capitalisme », il ne tient pas un autre langage que Lénine. Il s’autorise, d’ailleurs, de l’exemple du grand doctrinaire marxiste, qui lui aussi a rétabli, momentanément, une liberté économique relative. Qu’importe puisque le capitalisme subit une métamorphose radicale, en devenant, selon l’expression de Lénine, « capitalisme d’État ». Dans le discours de Trieste du 20 septembre 1920, Mussolini reconnaît que la mise en place d’un État prolétarien serait prématurée. « Le prolétariat, explique-t-il, est capable de remplacer d’autres valeurs sociales ; mais nous lui disons : avant de t’étendre au gouvernement d’une nation, commence par te gouverner toi-même, commence par t’en rendre digne techniquement et auparavant moralement parce que gouverner est une chose terriblement complexe, difficile et compliquée » ... Ainsi tout comme Staline, Mussolini rejette l’État prolétarien à l’horizon de l’histoire, mais avec beaucoup plus de franchise. On pourrait dire du fascisme qu’il est, par quelques côtés, un stalinisme honnête, ou, selon l’optique, un stalinisme honteux.

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