Retour en France loin des grands conflits géopolitiques du moment avec la publication de cet ouvrage de Klaus Kinzler, ce professeur de langue et civilisation allemande qui, en quelques mois, au gré d'échanges de mails et d'une campagne extraordinairement violente sur les réseaux sociaux, a vu sa tête mise à prix pour « islamophobie » au sein même de l'IEP de Grenoble.
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Emmanuel Macron verrouille le débat pour se préserver du devoir d’inventaire auquel doit se plier tout président sortant
Dans un entretien à Valeurs Actuelles, Marion Maréchal estime qu’Eric Zemmour a les meilleures cartes en main pour s’imposer :
L’élection n’est pas jouée, souvenons-nous d’Édouard Balladur, en 1995, dont toute la presse présentait l’élection comme une formalité… et finalement c’est Jacques Chirac qui l’a emporté.
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Patriotisme, souveraineté, nation
Natacha Polony, dans la dernière livraison de Marianne, pose la question de savoir que ce qui vaut pour l’Ukraine vaut-il également pour la France ? Histoire de nous préciser avec justesse ce qu’implique les notions de patriotisme, de souveraineté et le recours nécessaire à la nation. En ces temps de confusion politique et mentale, une petite explication de texte ne fait pas de mal.
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Vous cherchez des héros ? Découvrez ceux de la résistance catholique française face au péril protestant
Un pays trahi par ses chefs politiques. Qui, par négligence, puis par faiblesse, et finalement par calcul machiavélique, laissent une religion étrangère s’établir, se fortifier et fomenter une guerre civile.
En face, une famille se dresse. Pendant trois générations successives, elle fournit les chefs de la résistance. Respectant autant que possible le pouvoir légitime, elle le pousse à défendre le bien commun. Au besoin, elle l’y contraint par la force. Immensément populaire, elle finit par sauver la foi et la patrie.
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Insécurité à Maubeuge (59) : un supermarché Lidl a décidé de fermer “pour au moins trois mois” après une série d’agressions
C’est une décision extrêmement rare qu’a prise la direction de Lidl. Alors que le personnel du magasin a été pris à partie à plusieurs reprises, celle-ci a décidé de fermer « pour trois mois au moins » le supermarché basé dans le quartier de Sous-le-Bois.
Depuis plus d’une semaine, les clients habitués du Lidl de Sous-le-Bois se heurtent à un portail fermé. Aucune indication, aucune raison n’explique cette fermeture sans crier gare, si ce n’est une bâche les invitant à se rendre à celui de Feignies, situé dans la zone de l’As de trèfle. En réalité, le groupe allemand a décidé de fermer « pour au moins trois mois » son magasin. La faute à une série d’agressions à répétition. Lidl n’en dira pas plus. Une décision forte, comme un ultime coup de poing sur la table.
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Maxime Thiebaut "ça suffit de se faire insulter pour défendre des libertés"
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Viktor Orbán sur la guerre en Ukraine : apaisement avec la Russie et besoin d’une Europe-puissance
Dans ce conflit sanglant entre la Russie et l’Ukraine, la position de Viktor Orbán est intéressante. Constatant d’un côté que la Russie intervient à cause de l’OTAN, le Premier ministre hongrois soutient malgré tout le peuple ukrainien… tout en appelant à la paix et en refusant l’escalade contre la Russie. Une position qui montre que les implications de cette guerre sont loin des déclarations simplistes de certains responsables occidentaux.
Voici la traduction d’un article paru dans le Magyar Nemzet le 3 mars 2022 réalisée par le Visegrád Post. -
[Reportage] – Des Africains parmi les familles ukrainiennes réfugiées
Mohamed est Algérien. Il était étudiant à l’université de Kiev en développement international. « Je n’ai plus de papiers pour prouver qui je suis, j’ai dû fuir l’Ukraine sans rien », me raconte-t-il. Sur sa main droite, des hématomes. « Les militaires ukrainiens sont racistes, ils m'ont frappé avec leurs armes parce que je voulais sortir d'Ukraine, regardez mes blessures ! », témoigne le réfugié, avant de constater : « En France, on est bien reçus. »
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L’incitation à la violence et à la haine est désormais autorisée sur Facebook
… mais uniquement contre les autorités russes. Ce sont les deux minutes de la haine que George Orwell avait évoqué dans son roman 1984.
Meta, la maison mère de Facebook et d’Instagram, a annoncé jeudi faire des exceptions à son règlement sur l’incitation à la violence et à la haine en ne supprimant pas des messages hostiles à l’armée et aux dirigeants russes.
«En raison de l’invasion russe de l’Ukraine, nous faisons preuve d’indulgence pour des formes d’expression politique qui enfreindraient normalement nos règles sur les discours violents telles que ‘mort aux envahisseurs russes». «Nous continuons de ne pas autoriser des appels crédibles à la violence contre des civils russes».
Que personne ne s’en prenne à Macronescu !
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Ukraine : des couloirs humanitaires sans issue
Les premières négociations entre Kiev et Moscou avaient pour but de mettre en place des couloirs humanitaires pour évacuer les civils de Kiev, Marioupol, Soumy et Kharkiv, quatre villes qui subissent des bombardements et qui s’attendent à une attaque au sol. Mais même cette mesure tourne à l’épreuve de force, car quatre des six couloirs proposés par Moscou conduisent à Moscou et à la Biélorussie.