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Olivier Véran : “La vérité, c’est que, sur les masques, nous nous sommes trompés, ni plus ni moins”
L’ancien ministre de la Santé désormais porte-parole du gouvernement Olivier Véran, plus de deux ans après le début de la pandémie de Covid-19, l’a reconnu le mercredi 7 septembre dans Le Parisien.
Le gouvernement a d’abord réservé les masques aux soignants directement exposés aux malades, empêchant les pharmacies d’en vendre au grand public dans un contexte de stocks insuffisants. Le Premier ministre d’alors, Edouard Philippe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, et la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, ont d’abord tous insisté sur son inutilité pour le grand public.
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Comité Adama : les règlements de compte se multiplient entre militants d’extrême-gauche
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Des choses absolument horribles
par Dmitry Orlov.
C’est le pire moment possible pour être un nazi ukrainien. Je déteste avoir à les évoquer encore et encore. Heureusement, je n’aurai plus à le faire longtemps : ils disparaissent assez rapidement. Mais pendant ce temps, des choses vraiment horribles se passent. Pour résumer, le but de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine est de démilitariser et de dénazifier l’Ukraine… et d’assurer la sécurité des régions de Donetsk et de Lugansk… et de la région de Kherson, et de Zaporozhye, et de Kharkov, et de Nikolaev… et d’Odessa… et ensuite d’organiser des référendums dans toutes ces régions pour qu’elles rejoignent la Fédération de Russie. Appelez ça de la folie des grandeurs. Mais c’est le bon genre de dérive de mission du point de vue russe : Les frontières de la Russie se déplacent dans la bonne direction et englobent de plus en plus de terres historiquement russes. Ces terres faisaient partie des « terres sauvages », où les Russes se sont installés pour la première fois sous Catherine la Grande, mettant ainsi fin aux incursions étrangères des Polonais et des Turcs et aux raids des tribus nomades.
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Comment Elon Musk a débusqué le poids de la CIA et des services dans Twitter
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Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine déclare que "la fièvre des sanctions de l'Occident détruit la vie des européens"
Vladimir Poutine a qualifié les sanctions occidentales imposées en raison de la guerre en Ukraine de "fièvre" qui menace le monde entier, lors d'un forum économique à Vladivostok. Selon lui, la qualité de vie des Européens était sacrifiée sur l'autel des sanctions, tandis que les pays les plus pauvres perdent l'accès à la nourriture.
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Il n’y a pas d’interdit à une alliance entre les droites
… en Italie, avec l’accord qui réunit la Lega, Forza Italia et Fratelli d’Italia, plus une galaxie de petites formations centristes. Professeur d’histoire et de sociologie politique à Sciences Po et président de la School of Government de l’université Luiss à Rome, Marc Lazar répond au Figaro :
Ces partis s’allient parce qu’ils y sont contraints par le mode de scrutin. Ils ont de profondes différences, par exemple sur la Russie et la guerre en Ukraine, et il y a une compétition pour le leadership entre Silvio Berlusconi, Matteo Salvini et Giorgia Meloni. Cette dernière cherche à affirmer sa prééminence et à imposer que le parti recueillant le plus de suffrages ait un candidat naturel, en l’occurrence elle, à la présidence du Conseil, bien que ce soit le président de la République qui nomme le président du Conseil.
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Crack à Paris : les riverains de la porte de la Villette dénoncent une «hausse inquiétante» des agressions de jeunes femmes et de mineurs
Depuis près d’un an, les riverains de la porte de la Villette (19e) continuent de dénoncer les agressions physiques et verbales qu’ils subissent, victimes des toxicomanes installés là. Aujourd’hui, ils déplorent une «hausse inquiétante» de ces faits visant «les jeunes femmes et les mineurs».
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« Danger. Vers des révoltes en Europe sur les prix de l’énergie ! » L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le mouvement des Gilets Jaunes est encore dans toutes les mémoires.
Il fallait manquer cruellement de flair politique d’ailleurs pour laisser cette crise s’enkyster comme le gouvernement de l’époque et Macron ont pu le faire.
Cette crise était liée à quelques centimes de plus que le gouvernement voulait mettre sur le diesel.
Notre pays, historiquement éruptif a logiquement « érupté » !
C’était prévisible.
Pourtant, tout le pays n’a pas été gilet jaune.
Logique aussi et prévisible.
Une grande partie de la population ne dépend pas de la « voiture » comme moyen de subsistance, comme outil de travail et comme seul moyen de transport. Globalement les citadins ont pris l’habitude ces dernières années (souvent contraints et forcés d’ailleurs) de se passer des voitures pour préférer les transports en communs.
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Orphée, le grand initié