Lorenzo Fontana, membre de La Ligue de Salvini, et Ignazio La Russa, du parti gagnant aux dernières élections italienne, Frères d’Italie, ont été élus respectivement présidents de la Chambre et du Sénat italiens.
Deux noms qui font frémir la gauche bien-pensante qui lance sa complainte, attitude classique de ceux qui n’acceptent pas la défaite et prétendent dicter la ligne au gouvernement même s’ils sont rejetés par les citoyens. D’où la plus grande agitation dans le microcosme gauchiste, bavardant sur les présidents des chambres « qui divisent », « passant au crible les dictons et non-dits du passé qui habilleraient Fontana et La Russa tout en noir ».