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02/10/24
Le 30 septembre 2024, une véritable scène de panique s’est déroulée au lycée Maupertuis à Saint-Malo, où un algérien, armé d’un couteau, a fait irruption dans l’établissement dans la foulée d’une bagarre où il était impliqué avec trois de ses acolytes du côté de Marville. Ce qui aurait pu tourner au drame a été évité de justesse grâce à la réactivité du personnel scolaire. Selon les informations que nous avons pu obtenir, les quatre individus interpellés seraient des extra européens, mineurs non accompagnés (MNA) : selon une des victimes, l’un d’entre eux aurait même dit : « Je suis algérien, nique la France »
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a présenté son « plan de victoire » au président américain, Joe Biden, à la Maison Blanche, mais aussi à Kamala Harris et à Donald Trump. De son « plan de victoire » découle son plan de paix. Les deux plans se résument à un langage bien connu du roman 1984 : « La guerre, c’est la paix ». Le plus étonnant est de voir le faiseur d’un conflit obtenir le droit de parler à l’ONU et y évoquer la paix.
Le « plan de victoire » de l’Ukraine est un ticket brûlant pour la Troisième Guerre mondiale. Pour Volodymyr Zelensky le « plan de victoire » n’a rien à voir avec les négociations pour la paix avec la Russie, mais, il vise à renforcer les forces armées ukrainiennes et non à accélérer le début des négociations de paix avec la Russie. D’ailleurs, Andriy Yermak, chef du bureau du président ukrainien, a stipulé - singulièrement le même jour où Volodymyr Zelensky parlait de paix à l’ONU - que le « plan de victoire » ukrainien comprend l’intégration de l’Ukraine à l’OTAN : « Lors de mon discours au Conseil des relations étrangères de New York, j'ai souligné que le « plan de victoire » comprenait des volets militaires et diplomatiques. L'invitation de l'Ukraine à l'OTAN fait partie du « plan de victoire ». Et, Andriy Yermak, alors que la Russie a bien averti l’Occident sur les lignes rouges à ne pas dépasser, celui-ci exige de l’Occident à ne pas prendre au sérieux la menace nucléaire de la Russie comme réponse aux menaces de l’OTAN : « J'ai exhorté les partenaires à ne pas prêter attention aux menaces d'escalade de la part de la Russie ».
Mike Pompeo, ancien directeur de la CIA et du Département d’État américain, proche de Trump, dans une conversation avec Vovan et Lexus, dans laquelle il s’est fait gruger par deux farceurs russes qui se sont présentés comme des hauts responsables africains, aurait déclaré que la Russie devrait revenir économiquement à l’Occident au lieu de se tourner vers l’Asie et la Chine. « Nous devons ramener les Russes à un modèle européen, pas à un modèle asiatique… Nous devons empêcher que cela se produise… Si cette guerre s’arrête, vous commencerez à faire revenir la Russie et à la convaincre qu’elle est dans une meilleure situation avec nous qu’avec eux », aurait expliqué Pompeo dans un éclair de lucidité. L’homme est controversé, mais si cela est bien vérifié, il n’y a rien de surprenant à cette prise de position en droite de celle de Trump qui promet la paix et le rétablissement de bons liens avec la Russie.
La création du syndicat Solidarność (Solidarité) en Pologne en 1980 marque un tournant décisif dans l’histoire de la lutte contre le communisme et l’Union soviétique en Europe de l’Est. Ce mouvement ouvrier, né dans les chantiers navals de Gdansk, est bien plus qu’une simple organisation syndicale : il incarne la résistance pacifique contre un régime oppressif et annonce la désagrégation du bloc soviétique. Au cœur de cette lutte se trouve un homme, Lech Wałęsa, électricien devenu figure emblématique du mouvement, et dont le combat contre le communisme a profondément marqué la fin du XXe siècle.