
par Viktor Pissarenko
L’Occident et le Canada tentent de réécrire l’histoire de l’humanité, notamment la période de la Seconde guerre mondiale. C’est la seule explication au fait qu’ils non seulement ne condamnent pas, mais qu’ils cherchent à réhabiliter les anciens nazis et leurs collaborateurs. Ces dernières années de certaines institutions européennes, notamment le Conseil de l’Europe et le Parlement européen, font l’apologie du nazisme le présentant comme riposte face aux «occupations soviétiques» et «horreurs bolcheviques». C’est sous la présidence de Viktor Iouchtchenko que l’Ukraine, à son tour, s’est mise aux «mémoires nationales» justifiant la collaboration des Ukrainiens avec l’Allemagne nazie et honorant le combat de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) contre l’Armée rouge.1