Passionné par le mensonge, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin a beaucoup écrit : Tchernobyl, Fukushima, et puis plus récemment, Covid-19, avec deux premiers tomes de «Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font», décrivant avec précisions et multiples exemples ce qu’un complexe politique, médiatique, pharmaceutique, militaire, quelques milliardaires, a créé et les ravages qui s’ensuivent. JM Jacquemin-Raffestin nous propose à un troisième tome «L’empire du mensonge», publié il y a un peu moins d’un an, portant sur cette guerre que les Américains font contre la Russie.
actualité - Page 76
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Ukraine et l’empire du mensonge
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Nous ne voulons pas vivre avec des barbares qui se comportent comme des primates
Les idéologues gauchistes nous parlent des charmes du vivre-ensemble, de l’enrichissement multiculturel et bien sûr qualifient de « racistes » et de « fachos » les gens comme nous qui préférons l’entre-soi, où nous sommes très très largement majoritaires, nous les Blancs de culture catholique, même si notre ouverture peut accepter, en nombre très limité, et à condition qu’ils acceptent nos lois, des personnes d’une autre couleur, issues d’une autre culture, d’une autre religion et d’une autre civilisation.
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Construction. La puissance de la Chine, le déclassement de la France en une vidéo !
Ce n’est pas du France « bashing » d’ailleurs, je ne suis pas parti me planquer à Dubaï pour ne pas payer les impôts en France. Non, je suis modestement en Normandie, et côté climat, ce n’est franchement pas Dubaï, même si le calva peut réchauffer les cœurs de même que les soirées devant le feu du poêle à bois.
Vous l’avez compris, l’objectif ici et de « réveiller » un peu les consciences françaises endormies.
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Pétition anti-agricole : un modèle de manipulation de l’extrême gauche verte
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Pays légal, Établissement, Administration, technocratie
Combat royaliste 83
Par Philippe Germain
Dans l’Indopacifique, les graves risques d’intégrité territoriale française mettent en évidence que le pouvoir n’est pas sur une ligne politique nationale. Loin de s’opposer à nos ennemis extérieurs pour défendre l’unité française, le pouvoir préfère désorganiser nos régions outre-mer.
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C’est quoi exactement, la guerre civile ?
Le terme de guerre civile revient en boucle pour décrire les phénomènes, pas nouveaux mais en multiplication, de violence sur la voie publique. Il faut faire le tri entre les violences de type territorial, qui consistent pour des « racailles », qui sont en réalité des bandes ethnico-religieuses qui interdisent l’accès de leur quartier à la polie, c’est à dire qui refusent la République et sa loi, au profit de la leur, dans laquelle le meurtre du dhimmi n’est pas puni. Mais il existe aussi une composante purement délinquante sur fond de trafic de drogue et de rivalités entre « entreprises » locales. Les deux sont en fait liées. La nouveauté est que cela quitte les quartiers et se propage aux villes moyennes, comme Nîmes ou Limoges très récemment et bien d’autres, encore, plus petites même. Le tout permis par une certaine retenue des forces de l’ordre qui savent que la justice cherche avec plus d’opiniâtreté, à savoir si le tir du policier était justifié, que savoir si le délinquant était bien en état de flagrant délit. Objectivement, l’arsenal juridique est d’une extraordinaire clémence avec les voyous qui se savent relativement à l’abri des foudres de la République qu’ils combattent.
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Cette petite odeur de FMI
Si les Français se chamaillent souvent et sur à peu près tous les sujets, il en est un qui, actuellement, recueille un large consensus : 80% d’entre eux veulent un gel (voire une baisse) des dépenses de l’État et la proposition de budget Bayrou ne fait pas l’affaire. D’ailleurs, pour 78% des Français, Bayrou lui-même ne fait pas non plus l’affaire.
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Limoges et Compiègne : les derniers signes de la guerre civilisationnelle
Il faut savoir regarder les choses en face, sans les affadir sous le vocable commode de faits divers. Les flammes qui ont embrasé Limoges et Compiègne ne sont pas de simples étincelles allumées par l’ennui ou la misère ; elles sont les torches brandies par des mains qui défient la Cité elle-même. Là-bas, ce ne sont pas seulement des vitrines qui volent en éclats, ce sont les vitres mêmes de la Maison France qui se brisent sous les coups.
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Macron veut faire la guerre aux Russes pour confisquer le pouvoir, comme Zelensky
En écoutant les baratineurs des Télés-bidon, une phrase m’est revenue à l’esprit. Celle du maréchal Le Boeuf en 1870 assurant à Napoléon Le Petit « Nous sommes prêts et archiprêts. La guerre dut-elle durer deux ans, il ne manquerait pas un bouton de guêtre à nos soldats.»
Ces propos optimistes ne furent pas reprochés au Burkhard de l’époque, pas plus que sa capitulation devant les Boches. Et après une commissions d’enquête bien indulgente, le bovin put finir sa vie dans son étable. Pardon, son château.
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Ukraine : une guerre contre la montre ? - JT du lundi 21 juillet 2025
Au programme de cette édition, retour sur la situation en Ukraine. L’ultimatum des 50 jours de Donald Trump a tout du coup de communication, à l’instar du voyage théâtral de Jean-Noël Barrot à Kiev. Pendant ce temps, la paix tarde et des Européens meurent au front.