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Elle perd un débat et appelle ça de la "Violence contre les femmes" !
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Gilets jaunes : bilan temporaire et perspectives, très complets.
Pour ceux qui ont raté des épisodes, comme pour ceux qui ont à peu près suivi : remarquable revue et analyse des faits, et intéressantes perspectives, par Michel Drac, dont la chaine You Tube est ici. ça peut s’écouter sans avoir le nez sur l’écran.
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Acte 5 : les Gilets jaunes se mobilisent dans toute la France (EN CONTINU)
Ni l'intervention d'Emmanuel Macron, ni l'attentat de Strasbourg n'ont eu raison de la détermination des Gilets jaunes, qui poursuivent leur mobilisation dans toute la France. Ils revendiquent désormais un référendum d'initiative citoyenne.
Mise à jour automatique-
Quelque 4 500 Gilets jaunes ont manifesté dans le centre de Toulouse où des échauffourées ont opposé des manifestants aux forces de l'ordre, ont constaté des journalistes de l'AFP. La préfecture a fait état de 29 interpellations et de neuf personnes légèrement blessées, dont deux parmi les forces de l'ordre.
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Selon la préfecture de police, 2 000 personnes ont manifesté à Marseille. Selon une source policière, relayée par l'AFP, les forces de l'ordre ont procédé à 12 interpellations, pour jets de pierre notamment.
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Les forces de l'ordre ont procédé à 157 interpellations, dont plus d'une centaine de gardes à vue ce 15 décembre à Paris, à l'occasion de l'acte 5 de la mobilisation des Gilets jaunes, selon la préfecture de police, citée par l'AFP.
Les autorités dénombraient 104 gardes à vue peu avant 18h et comptabilisaient cinq blessés légers transportés par les secours lors de cette journée marquée par une mobilisation en net recul.
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Selon Le Figaro, des manifestants ainsi que d'autres personnes, «désireux d'en découdre», ont été chargés à l'intérieur du forum des Halles à Paris par les forces de l'ordre. Des CRS et gendarmes auraient tiré des grenades de désencerclement.
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Jets de bouteille, pétards, gaz lacrymogènes et canon à eau : des heurts opposent les forces de l'ordre à des manifestants dans le centre de Bordeaux, qui fut déjà le théâtre de violences lors des précédentes protestations des Gilets jaunes, selon l'AFP.
Les heurts ont commencé après une heure de face-à-face où les manifestants criaient leurs slogans devant les forces de l'ordre. S'en est suivie une heure de confrontations sporadiques, quelques dizaines de manifestants étant régulièrement repoussés alors que de nombreux autres restaient spectateurs sur les côtés.
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Samedi 12 janvier : conférence de Robert Steuckers et de Georges Feltin-Tracol dans les Landes
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Bistro Libertés avec Charles Millon
Caroline Parmentier et Martial Bild reçoivent l’ancien ministre de la Défense Charles Millon. Ils débattent des solutions à apporter à la crise qui secoue le pays et du Pacte mondial sur les migrations imposé par l’ONU. Et ils concluent tous : le Pacte de Marrakech, c’est le pacte du diable !
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°527
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Le premier objectif de l’ISSEP est atteint
Dans la lettre d’information de l’ISSEP, Marion Maréchal estime qu’une première étape a été franchie :
[…] Nous proposons un cursus pédagogique inédit en France dont nous savions qu’il souffrirait quelques caricatures à ses débuts. Malgré cela, nous avons rapidement réussi à associer de nombreuses personnalités, reconnues pour leurs compétences et leur expérience, tant au sein de l’équipe dirigeante, du conseil scientifique, du corps professoral que parmi les conférenciers.
Nous mesurons l’exigence d’excellence qui nous incombe. La responsabilité dont nous héritons. L’ISSEP doit nous dépasser et nous survivre si nous souhaitons qu’il pèse durablement dans la vie politique, intellectuelle et économique de notre pays.Une soixantaine d’étudiants nous font déjà confiance ainsi qu’une quarantaine d’enseignants. Nous projetons le double pour l’année prochaine.
L’ISSEP invite chaque mois des conférenciers extérieurs et publiera une revue semestrielle d’analyses. Notre club de partenaires (chefs d’entreprise et managers) continue de s’étoffer et favorise un lien permanent et diversifié entre l’école et le monde de l’entreprise.
Actuellement, nous nous attelons à construire le réseau international de l’ISSEP, au travers de partenariats éducatifs avec d’autres établissements, prouvant ainsi que le patriotisme se combine aisément avec des relations internationales constructives.
D’ores et déjà, le premier objectif est atteint : bousculer l’homogénéité et le conformisme idéologique qui sévissent dans une partie du monde universitaire et supérieur français, renouer avec un véritable pluralisme intellectuel sans sectarisme ni caricature, démontrer qu’une école revendiquant la formation de dirigeants libres et enracinés peut être moderne et plébiscitée.
Beaucoup reste à faire, et nos projets sont nombreux pour que l’ISSEP s’impose comme un des hauts lieux culturels, éducatifs et intellectuels de la vie politique française. Nous avons mis le pied dans l’embrasure de la porte, reste dorénavant, avec votre aide, à l’ouvrir en grand.
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Les Idées à l’endroit : De Benoist sur les pas de Spengler
Il y a tout juste un siècle, en 1918, le philosophe et historien allemand Oswald Spengler (1880-1936) publiait le premier volume de son maître-ouvrage « Le déclin de l’Occident ». Partisan d’une approche « morphologique » de l’histoire, Spengler décrivait les différentes cultures de l’humanité comme des organismes collectifs, passant toutes par les mêmes phases depuis leur naissance jusqu’à leur mort. La civilisation était à ses yeux la forme que prennent les cultures sur leur déclin. Ces thèses furent discutées passionnément dans le monde entier. Dans cette émission de la série « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist s’entretient avec deux spécialistes de l’œuvre de Spengler : le Français Gilbert Merlio et le Belge David Engels. Un débat instructif. -
Pour une consommation responsable à Noël !
La crise n’en finit pas de finir, comme dit l’ironique formule : le discours tant attendu du président de la République va-t-il répondre aux attentes et aux impatiences, ou remettre de l’huile sur le feu ? Nous verrons bien mais, au-delà des déclarations et des suites de cette crise sociale devenue politique et économique, sans doute faut-il aussi repenser notre rapport à l’économie, simplement, dans notre vie quotidienne et, aujourd’hui, face aux fêtes de Noël. Car les réponses nous appartiennent aussi, et, comme le disait un slogan aperçu à Versailles ces dernières années, « Nos emplettes sont nos emplois », même si le rôle de l’Etat doit être d’ordonner « la grande économie » et de garantir l’équité économique et sociale dans l’unité française, tout en préservant les intérêts français face au monde et à la mondialisation, rôle qu’il semble ne plus remplir désormais.
Consommer intelligemment et « socialement », c’est d’abord ne pas acheter sur ces grandes plateformes de commerce en ligne, dont celle qui porte le nom du grand fleuve d’Amérique du Sud, multinationale fraudeuse qui prive les Etats, et particulièrement le nôtre, de ressources fiscales qui se comptent en milliards d’euros annuels. Or, je constate que les classes moyennes et aisées ont pris l’habitude de commander par la toile ce qu’elles pourraient acheter (ou commander) dans les boutiques réelles, par une facilité qui confine parfois à de la paresse. Pourtant, cela a un coût caché mais très lourd pour les finances françaises : car, trop souvent, le commerce dit « en ligne » échappe aux contraintes fiscales et concurrence directement le commerce réel, qui reste, par nature, limité par des horaires humains et c’est d’ailleurs heureux ! Or, c’est bien ce dernier commerce qu’il faut aider et sauvegarder, pour éviter une « dématérialisation » trop avancée de l’économie qui serait une catastrophe, pas seulement économique mais aussi tout simplement sociale et humaine.
Acheter à des commerces à taille humaine et de proximité, ruraux ou urbains, c’est aussi le meilleur moyen de conserver un tissu de liens sociaux près de chez soi et au cœur de notre pays, de ses campagnes, de ses villes et de ses quartiers : c’est une pratique individuelle multipliée par autant d’habitants qui peut avoir de vraies et heureuses conséquences sur la réalité économique de notre pays. Mieux vaut acheter à des personnes concrètes, vivant près de chez nous, que de financer des plateformes ne profitant qu’à quelques uns, souvent actionnaires résidant de l’autre coté de l’Atlantique ou confinés dans des quartiers protégés des villes mondiales occidentalisées.
De plus, privilégier les produits fabriqués en France, c’est préserver les emplois industriels tout comme acheter des volailles ou des viandes françaises, tout comme légumes, champignons ou fruits locaux, peut permettre de maintenir et de développer une agriculture qui doit, si elle veut survivre, se dégager du piège d’une mondialisation incontrôlée qui se définit et se marque trop souvent comme « la guerre de tous contre tous » au profit de quelques uns. Ainsi, pour les fêtes, je ne me fournis que chez des boulangers et pâtissiers locaux, des petits artisans bouchers et des cavistes indépendants, sans passer par les grandes surfaces qui tirent les prix vers les bas en se fournissant dans des pays où les salaires sont (très et trop) bas, et dans lesquels la qualité des produits est souvent dévalorisée au profit de la quantité !
Consommer en responsabilité, c’est aussi un acte civique et, même, politique ! Ce n’est pas toujours facile, certes, mais si les consommateurs français ne le font pas, le risque est de voir la facture sociale (donc fiscale) s’aggraver ! L’Etat, s’il n’avait pas si peur de froisser les ayatollahs du « libre-échange » qui contrôlent la Commission européenne, devrait agir pour inciter (et non forcer, évidemment) nos concitoyens à cette consommation responsable et juste. Mais une République soumise aux intérêts de l’Argent et de la Société de consommation (cette « Société » qui est incapable de concevoir la prospérité sans la croissance, alors que c’est pourtant et sans nul doute un enjeu pour la suite !) peut-elle s’engager dans une telle politique, librement et intelligemment ? Par expérience et par réflexion, j’en doute !
Là encore, une « révolution royale », qui n’est pas un simple changement de locataire du Pouvoir, pourrait ouvrir de nouvelles possibilités à l’économie et à la consommation dans notre pays. En attendant, chaque consommateur, royaliste ou non, peut s’engager dans une « régence » économique en pratiquant ces quelques gestes simples qui transforment l’acte de consommer en acte social, économique et politique éminemment français. Le jeu en vaut la chandelle, et peut permettre une suite heureuse : alors, au-delà des paroles, agissons, concrètement et simplement, pour un Noël français !
Jean-Philippe CHAUVIN
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Un samedi à Paris : le témoignage d'un spectateur engagé. Partie 3 : La place de l'Etoile, ce champ de bataille...
Je publie ci-dessous la troisième partie de mon témoignage sur les événements de samedi : après la charge des motos et l'éclatement du fort groupe de manifestants dans toutes les rues voisines, il est temps de remonter vers l’Étoile...
Après une longue errance avec des petits groupes de gilets jaunes désorientés et agacés, harcelés par des forces de l'ordre visiblement aussi décontenancées que nous, avec des « en civil » casqués qui pointent leur sorte de tromblon noir vers les manifestants alors même que ceux-ci lèvent les mains vers le ciel en signe d'apaisement, je décide de remonter seul vers la place de l’Étoile d'où l'on entend la rumeur qui enfle régulièrement pour s'apaiser ensuite quelques minutes, comme pour mieux reprendre son souffle. L'avenue que j'ai déjà empruntée est encore plus dévastée que l'heure d'avant mais plus personne ne semble se soucier des voitures calcinées ou en cours de combustion : tout n'est plus qu'un immense grondement, comme une tempête sans pluie, et l'émeute semble maître du terrain, les forces de l'ordre ayant visiblement abandonné cette avenue, sauf au commencement des rues adjacentes. Là, les cars de police se tiennent les uns contre les autres, formant un barrage infranchissable et les policiers tiennent en joue des ennemis que je ne vois pas, sans doute derrière moi. Tout autour de moi, ça fume des cigarettes, ça discute, ça rigole, ça se moque, ça se repose aussi, et nombre de manifestants sont assis sur le pas des portes, un masque de papier autour du cou pour la plupart. Ici, beaucoup de jeunes, aux apparences très diverses, entre loden et blouson de cuir, tenue de ville ou de sport, parlant riche ou rural, voire banlieue. Des gens très différents qui, d'ordinaire, ne se croisent ni ne se parlent... Magie de l'émeute !
Voici la place de l’Étoile, enfin ! Il n'y a rien qui empêche de l'atteindre, et elle semble même devenue le point de convergence de tous les groupes que j'ai croisés depuis le début de l'après-midi : viennent-ils par curiosité ou par envie d'en découdre ? Sans doute un peu des deux à la fois, car je sens une forte excitation parmi les gens qui m'entourent. J'écarquille les yeux, tant le spectacle est étonnant et a, même, un aspect dantesque : sur la place et particulièrement sur la chaussée, d'ordinaire couverte de voitures, c'est une véritable marée de gilets jaunes. Le midi, j'avais entendu à la radio qu'il y avait ici « 3.000 » casseurs : mais, à regarder tout autour de moi, j'ai du mal à imaginer que ce chiffre puisse être crédible ! Je suis au cœur de la tourmente, et pourtant, je ne sens aucune peur parmi les gens présents, que de la colère mêlée à l'odeur âcre des lacrymogènes, et une colère qui, là encore, n'a qu'un nom : Macron. Comme si, en quelques jours, celui-ci avait concentré sur son patronyme et sa personne tout le ressentiment accumulé depuis quarante ans, ces « quarante ans » que j'entends évoquer depuis mon arrivée par la plupart de mes interlocuteurs, même ceux qui sont loin d'atteindre cet âge. « Cela fait quarante ans que ça dure, il faut que ça cesse », revient régulièrement dans les propos des émeutiers comme des retraités au style soixante-huitard, des ruraux comme des citadins bretons (des voisins de là-bas !), de la jeune femme au keffieh palestinien comme de l'assistante maternelle. En somme, depuis Giscard d'Estaing... ou la première élection du parlement européen au suffrage universel ! En fait, ce « quarante ans » vaut condamnation d'un système qui dépasse ceux qui l'ont porté successivement aux plus hautes fonctions de l’État, et cela signifie un rejet des partis de gouvernement, de droite comme de gauche : terrible constat d'échec d'une présidence entamée il y a à peine 18 mois, débutée au Louvre et qui semble s'achever ce soir à l'Arc de Triomphe, dans les fumées et les cris...
Durant de longues minutes, je n'ose m'approcher de l'Arc que j'aperçois entouré d'un halo gris et qui, étrangement, me semble plus grand que dans mes souvenirs pourtant récents. Les combats sont visiblement très violents si j'en crois le nombre d'explosions qui retentissent, parfois trois ou quatre par minute. Sur la place, des vagues se succèdent, dans les deux sens, dans un aller-retour permanent et enivrant : des centaines, peut-être plus, de personnes courent, s'arrêtent d'un coup, et lancent vers des ombres lointaines moult projectiles avant que de refluer sous l'effet des grenades et, parfois, d'un canon à eau qui n'a pas assez de pression pour être efficace... Le sol est luisant, détrempé, et couvert de restes des munitions policières, des sortes d'étuis en plastique dur et gris, avec une extrémité rouge, mais aussi de bouchons noirs provenant sans doute des mêmes matériels. Quelques uns des manifestants, les derniers arrivés, se penchent pour les observer mais sans les ramasser, peut-être pour éviter des ennuis en cas d'interpellation.
Je me retourne : les Champs Élysées sont là, tranquilles, illuminés des guirlandes rouges des décorations de Noël accrochés aux arbres de la plus belle avenue du monde. Je me rends compte alors que la nuit vient de tomber : je n'ai pas vu le temps passer ! L'impression est totalement surréaliste : les cars blancs de la police semblent rosés par les lumières de Noël, serrés les uns contre les autres comme une « tortue » de légions romaines. De ce côté-là, quasiment plus de bruit, à part quelques phrases chuchotées. Des badauds flânent le long des grilles policières ; un journaliste étranger, micro en main, s'adresse à une caméra en prenant un air de profonde désolation, et s'inquiète même lorsque je m'approche de lui... Je crois entendre le mot de « révolution » dans sa bouche, dans un sabir anglo-saxon apparemment destiné à un public arabe, si j'en crois l'inscription sur le manche de son enregistreur. En tout cas, il paraît totalement effaré par ce qu'il a vu, voit et verra s'il reste encore un peu !
Enfin, je me décide à traverser la place pour constater de visu les dégâts qu'annoncent complaisamment les sites d'informations que je consulte sur mon téléphone portatif. Je ne prends pas la peine de courir car les forces de l'ordre paraissent fort éloignées de l'Arc, bloquant la plupart des accès à l’Étoile sans pour autant chercher à la reconquérir. Le spectacle sous l'Arc de Triomphe est absolument étonnant et donne une impression de bivouac improvisé et confus : des jeunes et des moins jeunes sont assis nonchalamment le long des murs tandis que, tout autour de la tombe du Soldat inconnu, une sorte de garde d'honneur des gilets jaunes veille au respect de l'endroit et du symbole, et que les gerbes et les couronnes de fleurs ont été redisposées auprès de la flamme qui, visiblement, vient d'être rallumée, comme tous les soirs. De temps en temps retentit une vibrante Marseillaise, mais qui ne motive guère quelques uns des occupants de l'endroit, très décontractés et plus enclins à préférer d'autres hymnes ou rythmes... Sur les murs, de multiples graffitis, de plus ou moins bon goût, et qui signalent une grande diversité d'opinions et de centres d'intérêt : ces dégradations, instinctivement, me choquent et, à bien y regarder, semblent ne pas avoir grand-chose à voir avec la protestation présente elle-même. Un grand « Fin de régime », sans signature politique, m'intrigue néanmoins : dois-je, ici, y reconnaître un de ses intersignes chers à Léon Daudet ?
(à suivre)
Jean-Philippe CHAUVIN