écologie et environnement - Page 144
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Zoom - Alban d'Arguin : éoliennes un scandale d'État
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Café Histoire de Toulon, mercredi 29 mars : « La catastrophe écologique vue par les alter-cathos ».
Le Café Histoire de Toulon annonce la prochaine causerie du mercredi 29 mars 2017 devant les Amis du Pub Le Graal. Cette causerie, animée par Luc Richard, portera sur le thème : La catastrophe écologique vue par les alter-catholiques.
Chrétiens et écologistes peuvent-ils œuvrer ensemble face à une société de consommation dévastatrice des écosystèmes et des communautés humaines ? Pour passer du Global au Local, il leur est nécessaire de regarder en face la catastrophe écologique. Pour les y aider, Luc Richard a dirigé le livre collectif La catastrophe écologique, fruit pourri du capitalisme, fruit d’une journée de réflexion organisée par l’Observatoire Socio-Politique diocésain de Toulon et la revue LIMITE, en écho à l’encyclique Laudato Si.
Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
377 avenue de la République , 83000 Toulon
La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.comSignalons en outre le texte passionnant de la causerie du mois de janvier 2017, de Danièle Masson, agrégée de Lettres classiques sur Eric Zemmour et le fait religieux.
A lire ci-après. Café Histoire de Toulon Danielle Masson.pdf
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EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !
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Deux agriculteurs américains témoignent des méfaits des OGM
« Les OGM détruiront votre modèle d’agriculture familiale s’ils sont adoptés ! »C’est en substance le message que sont venus porter en France deux agriculteurs américains « repentis » des OGM. L’un, Wes Shoemyer, petite barbichette, grand sourire et chevalière frappée d’un symbole franc-maçon, dirige une exploitation de 1 200 hectares dans le Missouri, l’Etat abritant le siège de Monsanto. Elu démocrate au sénat du Missouri, il est en lutte contre « l’accaparement monopolistique de l’agriculture par une poignée de firmes ». A ses cotés, Wendel Lutz, la cinquantaine débonnaire du typique « mid-west farmer », l’air tragique en plus de l’homme en résistance. Ils ont été invités à témoigner par Greenpeace afin de raconter « leur réalité ».Solidement installé au fond de sa chaise, Wes Shoemyer raconte : « Avant l’introduction des OGM, nous utilisions déjà l’herbicide Roundup pour brûler les mauvaises herbes, c’était miraculeux ! Entre 1996 et 2001, au moins 80% des agriculteurs ont adopté ce système des OGM. » L’élu reproche aujourd’hui à Monsanto d’avoir mis en place une stratégie de capture du marché avec des prix attrayants, en particulier sur le Roundup, pour ensuite organiser l’envolée des prix. Il est inquiet de voir « les agriculteurs payer de plus en plus cher, non plus pour financer la recherche ou améliorer leur production, mais pour s’acquitter d’un brevet contrôlé par une seule compagnie ». Aux États-Unis, la technologie brevetée Roundup Ready de Monsanto est présente dans 94% des variétés de soja génétiquement modifié et 70% du maïs génétiquement modifié d’après le ministère de l’Agriculture.
Des mauvaises herbes résistantes au RoundupAux Etats-Unis, entre 2000 et 2011, la consommation annuelle de glyphosate, la substance active du Roundup est passée dans les champs de maïs de 1,8 million à 30 millions de tonnes dues à l’expansion massive des OGM. Une explosion de la consommation qui s’explique également par l’augmentation des doses pour tenter de contrôler certaines mauvaises herbes devenues tolérantes au Roundup, découvertes pour la première fois en 2000 dans le Delaware. Une mauvaise surprise dure à digérer pour Wendel Lutz : « C’est en 2011, que j’ai observé les premiers plants d’amarantes rugueuses résistants au glyphosate se développer dans mes champs. C’est injuste qu’après seulement cinq ans d’exploitation des OGM mes champs aient été envahis, c’est à ce moment que j’ai décidé d’arrêter et d’alerter mes collègues ! »Au moins 5 millions d’hectares de cultures, d’après l’industrie, seraient contaminés par ces « super adventices », capables de résister à plusieurs classes d’herbicides. L’organisation internationale chargée de leur contrôle (ISHRW), financée par les producteurs de pesticides, a déjà recensé 23 espèces sauvages résistantes, un chiffre sous-estimé selon d’autres experts.
La fuite en avant vers toujours plus de pesticidesWendel raconte : « Certains de mes voisins qui ont le même problème préfèrent continuer en augmentant les doses ou en cumulant plusieurs molécules. C’est une fuite en avant avec le risque qu’à terme la plupart des mauvaises herbes deviennent résistantes à tous les herbicides. »Une tendance que suit l’industrie. Sur 20 nouveaux OGM en cours d’évaluation auprès de la FDA, l’agence de régulation sanitaire américaine, 13 sont élaborés pour résister à de multiples herbicides. La firme Dow pense répondre à ce fléau en réintroduisant d’anciens herbicides comme le Dicamba ou le 2-4 D, ayant servi dans la composition de l’agent orange lors de la guerre du Vietnam et auquel des résistances de plantes sauvages ont déjà été observées.
Un retour aux semences conventionnelles ?Pour Wes, il est encore possible d’agir : « Il faudrait revenir en arrière, vers des semences conventionnelles ; certaines compagnies en ont fait une spécialité. Malheureusement, il y a une vraie dépendance des agriculteurs vis-à-vis de ces technologies que les compagnies ont intérêt à entretenir et cela au détriment des bonnes pratiques culturales. »Pour Wendel il faudrait « une impulsion économique, une plus grande demande pour du non-OGM, pour voir un changement d’orientation » dont l’étiquetage des OGM, actuellement en débat, pourrait être le socle.En guise d’avertissement final, Wes Shoemyer lance : « Si la France ou l’Union européenne adoptaient les OGM, cela aurait un impact majeur sur les campagnes. Si vous voulez de grandes fermes en monoculture, si vous souhaitez vider les zones rurales de leurs habitants, alors vous adoptez le modèle OGM. C’est cela l’expérience américaine : une agriculture sans agriculteur contrôlée par des entreprises multinationales ! »
Source Rue89 planète -
Marion Maréchal-Le Pen : « La souveraineté alimentaire est d’ordre stratégique »
Marion Maréchal-Le Pen, qui s’est rendue hier, avec Marine Le Pen, au Salon international de l’Agriculture, a accordé un entretien au quotidien Présent.
Présent : Comment expliquez-vous l’accueil chaleureux que les exposants font à Marine Le Pen ?
Marion Maréchal-Le Pen : L’accueil est toujours très bon ici, mais il est sans doute cette année exceptionnel. Les agriculteurs voient en Marine Le Pen l’occasion de sortir du cycle infernal dans lequel ils sont empêtrés à cause de la politique de l’Union européenne. Le programme présidentiel de Marine présente des engagements concrets comme le patriotisme économique qui consiste à rendre nos producteurs prioritaires sur le marché français (avec un avantage notamment dans les marchés publics), l’amélioration de l’étiquetage des produits français qui mentionnerait le lieu d’élevage, d’abattage, de transformation – cela permettrait au consommateur de pouvoir acheter français plus facilement. Nous sommes également les seuls à exiger que les produits importés respectent a minima les mêmes normes sanitaires et environnementales que les produits français. Des mesures aussi concrètes expliquent l’enthousiasme d’agriculteurs et d’éleveurs largement revenus des politiques européennes.
La mort de l’agriculture française n’est donc pas une fatalité ?
Non, elle n’est pas une fatalité, elle est une question de choix. Un choix vital : la souveraineté alimentaire est d’ordre stratégique puisqu’une dépendance alimentaire de l’étranger nous rend fragiles, or c’est partiellement le cas aujourd’hui. La vie de notre agriculture est aussi une question d’identité : elle a façonné notre territoire, la diversité des régions et des écosystèmes, sans oublier notre gastronomie dont les excellents produits des terroirs sont la matière première. Notre agriculture est essentielle également pour le maintien de la vie dans les régions rurales, que ce soit la vie sociale ou l’emploi.
L’enjeu n’est pas purement productiviste ou économique, il est d’ordre stratégique et territorial. Que nos gouvernants, de droite comme de gauche, aient pu aussi cyniquement depuis des années accompagner la politique ultra-libérale de l’Union européenne avec tous ses traités de libre-échange, cela est pour moi de l’ordre de la trahison.
Cela s’est fait dans l’indifférence générale quand on voit le taux de suicide qui frappe le monde agricole. Les agriculteurs et les éleveurs ne sont pas entendus car eux ne brûlent pas les voitures, ne saccagent pas les centres villes, n’ont ni le temps ni le loisir de faire grève… Les plus grandes souffrances étant muettes, à nous d’avoir la décence de les entendre et de répondre à leurs difficultés.
Entretien réalisé par Samuel Martin
pour le quotidien Présent daté du 2 mars 2017 -
COP21 : ce que la presse française ne vous dit pas
Il est de plus en plus évident que les États-Unis vont se retirer de l’accord de Paris, le fameux « succès du quinquennat ».
Il y a quelques jours, le président Trump essuyait un revers avec la démission forcée de son conseiller à la Défense nationale, le général Flynn, suite à des révélations de la NSA et de la CIA à la presse, qui en a fait ses gros titres. Sur le dossier environnement, les choses sont différentes et l’administration démocrate du pays a du souci à se faire.
Le très redouté Scott Pruitt a été confirmé récemment par le Sénat à la tête de l’EPA (Environmental Protection Agency/Agence de protection de l’environnement). Évidemment, cette information n’a pas filtré dans les médias français, et pour cause : il se présente lui-même comme « un opposant à la politique activiste de l’EPA ». Cet organisme, noyauté par l’administration Obama, finançait entre autres les études sur le climat, pour peu qu’elles soient alarmistes.
Pourquoi la presse française aurait-elle dû s’intéresser à cette nouvelle ? Premièrement, si la communication autour de la science climatique devient enfin objective, cela aura des répercussions sur les politiques de transition énergétique propres à chaque pays. Nos candidats à la présidentielle feraient bien d’en tenir compte.
Deuxièmement, il est de plus en plus évident que les États-Unis vont se retirer de l’accord de Paris, le fameux « succès du quinquennat ».
Myron Ebell, qui était à la tête de l’équipe de transition de l’EPA, l’a affirmé publiquement début février, lors d’un colloque organisé à Bruxelles.
Autre signe allant dans ce sens, le thème « changement climatique » a disparu du site officiel de la Maison-Blanche. Il est remplacé par une annonce disant que « la nouvelle politique américaine va mettre en place un nettoyage des lois et des taxes climatiques inutiles ». Si cela se fait, nous devrons nous adapter, sous peine de voir nos entreprises un peu plus handicapées.
Autre indice, le thème du climat a été évacué de la déclaration commune qu’ont effectuée Justin Trudeau et Donald Trump lors de la visite de ce dernier au Canada. En fait, la question n’est plus que de savoir comment les USA vont procéder pour sortir de cet accord. Un rapport du Sénat américain s’est déjà penché sur la question, et diverses solutions sont possibles.
Face à cette menace, selon un communiqué de l’AFP, notre Président Hollande a affirmé qu’il fallait répondre avec « fermeté » à Donald Trump, en marge d’un sommet de sept pays du sud de l’Union européenne à Lisbonne. Lors de son entretien téléphonique avec son homologue américain, cette question a été évoquée et, selon le Washington Post, Trump lui a répondu textuellement qu’il voulait que les USA se retirent de l’accord.
Pour ceux qui seraient inquiets de l’avenir climatique de la planète, sachez que Christiana Figueres, la représentante officielle des Nations unies pour le climat, a affirmé ce mois-ci, durant une conférence à Bruxelles, que « le but des conventions climatiques signées par l’ONU n’était pas de sauver le monde de calamités écologiques, mais de détruire le capitalisme ». Trump l’a bien compris.
http://www.bvoltaire.fr/marclemenn/cop-21-presse-francaise-ne-dit,315805
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EOLIENNES UN SCANDALE D'ETAT, LE LIVRE RÉQUISITOIRE D'ALBAN D'ARGUIN EST SORTI : COMMANDEZ-LE, DIFFUSEZ-LE !
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Sortie (très attendue) à la fin du mois de janvier du livre d'Alban d'Arguin : EOLIENNES SCANDALE D'ETAT
C’est l’ouvrage le plus complet sur la question des éoliennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pensance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des derniers trotskystes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialectique et les enjeux fondés sur trois affirmations hasardeuses : la lutte contre le « réchauffement » climatique, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.
La thèse de l’auteur est terrible : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberration devant la Cour de justice de la République.
Ce livre est une arme essentielle et exhaustive dans le combat, à la disposition des médias objectifs, des politiques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nouveaux parcs éoliens.
Il y a une impérieuse urgence à rejeter les injonctions dictatoriales de la Commission européenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...
Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €
L'auteur : Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de management et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs revues sous forme de chroniques. Passionné par l'ornithologie et les questions environnementales, il a participé récemment à la création d'une association opposée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en FranceLe commander en ligne cliquez ici
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Oxygène n°7 : Pesticides, du poison dans vos vies ?
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Sortie très prochainement d’un livre d’Alban d’Arguin dénonçant le scandale d’état des éoliennes !