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économie et finance - Page 502

  • Non, ça ne coûte pas plus cher de consommer mieux et local !

    Repenser notre façon de consommer en se passant de la grande distribution pourrait être une solution à la crise agricole. Une journaliste de la rédaction du Figaro.fr a relevé le défi des internautes de ne plus se rendre dans les grandes surfaces. Les premières conclusions de l’expérience participative sont sans appel.

    Sur le marché des producteurs de pays

    En pleine crise du secteur agricole, j’ai décidé de relever un défi lancé par les internautes : celui de ne plus mettre les pieds dans un supermarché pendant un mois. L’expérience gustative et participative vise à privilégier les circuits courts pour soutenir les producteurs. Repenser notre façon de consommer en se passant de la grande distribution pourrait en effet être une solution à la grave crise que traverse le secteur. Mais est-ce réaliste, compliqué, coûteux de bannir les grandes surfaces de notre quotidien ?

    À en croire certains habitués des circuits courts, rien de plus simple. Sauf que, comme beaucoup de consommateurs français, j’étais accro aux grandes surfaces ! Hormis quelques achats sur le marché le dimanche, j’achetais absolument tout au supermarché (je n’en suis pas fière)… et je me faisais livrer (en achetant quelques produits estampillés bio pour me donner bonne conscience). Mais ça, c’était avant. Car après une semaine d’expérience, je ne pourrais plus revenir en arrière.

    Oui, c’est possible de vivre hors des sentiers de la grande distribution

    Au lancement du défi, nous vous avions sollicités pour récolter vos conseils, bons plans, astuces pour trouver des alternatives aux supermarchés. L’expérience participative a suscité un réel engouement sur Twitter et Facebook, ce qui m’a été d’une grande aide.[....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Non-ca-ne-coute-pas-plus-cher-de

  • Sauvons l’agriculture française !

    Intermarché est visé par une enquête de la Commission européenne pour avoir souhaité acheter à un prix plancher aux éleveurs français.
    Le Salon international de l’agriculture de l’année 2016 restera gravé dans les mémoires. Le Président est plus que jamais contesté par les travailleurs du secteur primaire. Acculés, parfois ruinés, les agriculteurs se sentent abandonnés par un pouvoir incapable d’assurer leur protection face à une concurrence internationale de plus en plus déloyale et les règles injustes engendrées par le marché unique. François Hollande, et son ministre Stéphane Le Foll, fidèle parmi les fidèles, sont accusés d’avoir multiplié les mauvais choix et d’être faibles face aux institutions européennes. Tout cela est exact. Songez que la provenance de la viande n’est même pas étiquetée !
    « Nous, on n’est pas des migrants, donc François Hollande ne s’occupe pas de nous ! », hurlaient, samedi, les agriculteurs réunis en un comité d’accueil vengeur. Un cri du cœur qui trouve un écho dans toute la population française. L’idéologie mondialiste abandonne la nation à toutes les prédations, tant migratoires qu’économiques. La France est insuffisamment protégée, il est temps qu’elle retrouve des frontières.

  • Quand Valérie Pécresse et Alain Rousset font le ménage

    Deux présidents de région ont eu des surprises ces derniers jours : à droite, Valérie Pécresse, en examinant les dépenses de son prédécesseur socialiste ; à gauche, Alain Rousset, en faisant l’inventaire de la nouvelle région Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.

    La première vient de découvrir que, dans une longue liste de subventions accordées par l’ancien conseil régional, 100.000 euros avaient été attribués à la Fête de l’Humanité. Une aide culturelle, sans doute ? Honni soit qui penserait que cette subvention pût refléter quelque accointance politique ! Elle a également constaté que la majorité socialiste ne regardait pas à la dépense pour certains frais de fonctionnement : il est vrai qu’il est toujours plus facile d’être prodigue avec l’argent des autres qu’avec le sien.

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  • Programme économique du FN : la mauvaise foi de la droite des valeurs

    Si, sur un plan stratégique, c’est bien à droite que Marine Le Pen a sa plus grande réserve de voix dans la perspective d’une présidentielle, et qu’il est souhaitable que le « ni droite ni gauche » ne devienne pas un « ni droite ni droite », les griefs formulés par les ténors de la prétendue droite des valeurs, qui n’est que trop souvent le cache-sexe de la droite affairiste, sont d’une infinie mauvaise foi et reposent sur ce postulat : le programme économique du Front national serait mélenchoniste. Ne pouvant dépasser le Front national sur sa droite en termes d’identité, de souveraineté ou de sécurité, on l’attaque donc sur l’aspect économique en le rendant anxiogène chez les retraités et petits patrons.

    Or, le Front national n’a jamais remis en cause l’économie de marché mais en critique légitimement ses dérives. Le terme de libéralisme étant fourre-tout et recouvrant des philosophies aussi différentes que celle d’un Tocqueville, Bastiat, Hayek, Adam Smith ou Milton Friedman, il peut dire tout et son contraire. C’est donc bien à dessein que Marine Le Pen ne critique pas le libéralisme mais bien l’ultralibéralisme, à l’instar de Chantal Delsol.
    Or, c’est une lapalissade de rappeler que les grandes entreprises multinationales ne sont mues par aucun sentiment philanthropique de recherche du bien commun mais par la volonté de réaliser un maximum de profit au bénéfice de ses actionnaires, quitte à délocaliser, licencier à tour de bras en mettant sur le carreau des dizaines de milliers de familles. Cela n’est pas très moral, convenons-en honnêtement, ni très catholique, Monsieur de Kerdrel.
    Elles sont la forme moderne des antiques féodalités du Moyen Âge que la royauté a dû combattre pour préserver l’unité du royaume ainsi que les plus petits. Sauf que dans un contexte de mondialisation, ces multinationales ont des capacités largement supérieures aux anciennes baronnies féodales.
    Promouvoir l’État stratège dans un tel contexte, c’est ni plus ni moins rappeler le principe de primat du politique sur l’économique cher à Carl Schmitt et à toute une pensée de droite.
    C’est rappeler, à l’instar de Lacordaire à l’époque du développement du capitalisme sans foi ni loi du 19e siècle, « qu’entre les riches et les pauvres, c’est la loi qui protège et la liberté qui opprime », comme aussi toute la pensée sociale catholique, à des années-lumière de la droite affairiste et louis-philipparde, qui faisait sienne la formule de Guizot : « Enrichissez-vous, enrichissez-vous ». Faut-il rappeler que toute la tradition de la vraie droite, qu’elle soit contre-révolutionnaire ou bonapartiste, a été de combattre le capitalisme financier, autrement dit le primat de la finance sur le travail ?
    Aujourd’hui, ce sont ces mêmes multinationales qui font la promotion de l’immigration de masse pour réduire les coûts salariaux, à l’image du patronat allemand qui y voit une main-d’œuvre fraîche et bon marché, et ce, alors que le taux de pauvreté a augmenté de 48 % depuis 2006.
    Ce sont également elles qui soutiennent massivement les lobbys LGBT afin de promouvoir toutes les prétendues réformes sociétales à l’instar de Microsoft, Apple, Amazon, Starbucks ou encore Nike.
    En réalité, ce capitalisme libéral, mondialisé, fait au moins autant pour la destruction des peuples, des familles et des esprits que madame Najat Vallaud-Belkacem et, avant elle, Vincent Peillon, dans leurs programmes scolaires. Ce sont les frères jumeaux, les deux faces d’une même médaille libérale-libertaire, l’union des soixante-huitards et des traders, le « cœur » à gauche et le « portefeuille » à droite.
    Droite des valeurs, vous avez dit ? Non, droite des voleurs !

    Me Frédéric Pichon

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVyVpVVlZDLzukgVu.shtml

  • Pierre Moscovici demande la création d’une nouvelle taxe pour financer les « réfugiés » !

    La folie immigrationniste semble ne pas avoir de limite ! Pierre Moscovici, nullissime premier ministre de l’économie et des finances du président Hollande et actuel commissaire européen à l’économie, a fait part dans l’émission Cpolitique du 21 février 2016 de son souhait de voir créer à l’échelle européenne une nouvelle taxe visant à financer l’arrivée massive des pseudo réfugiés !

    Il est vrai que la générosité du socialiste ne devrait pas affecter son revenu qui grimpe tout de même à 24.000 € par mois, sans compter les petits à côtés…

    http://www.medias-presse.info/pierre-moscovici-demande-la-creation-dune-nouvelle-taxe-pour-financer-les-refugies/49752

     

  • Fin février, le gouvernement cherche déjà de l'argent

    Le budget voté à l'automne 2015 ne tient déjà plus, suite aux nombreuses promesses démagogiques :

    • le plan pour l'emploi et la formation annoncé par François Hollande (2 milliards)
    • la facture du soutien aux agriculteurs (entre 800 et 900 millions)
    • le plan pour l'entretien du réseau routier et fluvial (150 millions)
    • l'aide à la recherche (30 millions)…

    En outre, l'inflation devrait être nettement révisée à la baisse en 2016, ce qui réduira les économies liées au gel des prestations et pèsera sur les rentrées de TVA. De quoi creuser le déficit de 4 à 5 milliards. Globalement, il manque donc d'ores et déjà 7 à 8 milliards par rapport au budget initial

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le soutien des entreprises pour le #SemiParis pour les #ChrétiensdOrient est indispensable !

  • La Sécu, forme étatique de contrôle et de déresponsabilisation, est « un des fromages » des syndicats

    Eric Verhaeghe a été administrateur de l’ACOSS (la caisse nationale des Urssaf), de la CNAV (les retraites), de l’UNEDIC (l’assurance chômage), de Pôle Emploi, de l’AGIRC (les retraites complémentaires), de l’ARRCO (les retraites des cadres), et président de l’APEC (association de conseil de cadres)… Il déclare à Samuel Martin dans Présent :

    "[...] Les organisations syndicales détiennent des milliers de mandats dans les innombrables conseils d’administration de la sécurité sociale. Ce sont autant de raisons de vivre pour des délégués qui n’ont absolument pas envie de retourner à l’usine. Pour les syndicats, le détricotage de la sécurité sociale présente donc un risque de déstabilisation interne. C’est d’ailleurs pourquoi les syndicats s’opposent à la fiscalisation de l’assurance-maladie : du jour où la santé n’est plus financée par des cotisations, mais où elle est financée par l’impôt, la gouvernance paritaire de la branche maladie ne se justifie plus. Toutes les organisations syndicales se battent donc pour conserver une forme paritaire à la Sécu et éviter une fiscalisation de ses ressources, même si celle-ci serait plus juste en étant financée par l’impôt plutôt que par les cotisations sur le travail.

    On nous assure que la France a « le meilleur système » de protection du monde. Lieu commun ou gros mensonge ?

    La France a le système le plus assisté du monde, mais ses performances sont médiocres par rapport à son coût. Pour le maintenir à flot, le gouvernement est obligé de diminuer sans cesse ses remboursements tout en augmentant ses recettes. Regardez ce que la Sécurité sociale rembourse sur les lunettes et les soins dentaires et vous aurez la réponse à cette affirmation. Les Français auraient une meilleure vue et une plus belle dentition pour moins cher si la Sécu ne s’occupait plus de ces sujets. [...]

    Une des clés de sortie du système est le revenu universel, selon vous, afin d’équilibrer la liberté de chacun et la solidarité de tous. Quels seraient, en quelques mots, les avantages de ce revenu universel ?

    Le revenu universel a deux avantages majeurs. D’abord, celui de la simplicité : toutes les allocations si compliquées seraient remplacées par une allocation unique, d’un montant uniforme, qui permettrait à chacun de s’assurer tout au long de sa vie contre les risques sociaux. On remplacerait donc la Sécu par un système qui ressemble à l’assurance auto (sauf pour les maladies graves, bien entendu, qui continueraient à être prises en charge par la société) : on est obligé de s’assurer, on reçoit une somme mensuelle pour ce faire, mais on choisit librement son assureur et son niveau de couverture. C’est ici le deuxième avantage du revenu universel : il est extrêmement égalitaire, solidaire et responsable. Il est versé à tout le monde de la même façon. Il n’y a donc pas ceux qui reçoivent et qui ont intérêt à ne pas travailler, et ceux qui ne reçoivent pas et qui sont lésés. Notez que ce système ne désincite pas à travailler : les sommes versées au titre du revenu universel doivent être utilisées pour s’assurer contre les risques. Ceux-ci peuvent être élargis. On pourrait utiliser le revenu pour financer les études des enfants, ou pour acquérir des biens de ce type. Dans tous les cas, il serait versé quelle que soit la condition des bénéficiaires."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sécurité rentière : deux nouveaux dispositifs pour piéger les automobilistes

    C’est bien connu, la République veut toujours d’argent dans les caisses. Pour que la collecte soit bonne, deux nouveaux pièges seront progressivement installés dans les années à venir sur les routes de France.

    Le leurre par panneau

    Ils ont la forme d’un radar, les effets dissuasifs d’un radar, mais ce ne sont que des leurres. La première zone de radars leurres en France a été installée, mardi 9 février, sur une portion d’une route départementale dans le Pas-de-Calais, entre Aubigny-en-Artois et Le Parcq.

    Principe de ce nouveau dispositif appelé « leurre par panneau » ? Onze panneaux de signalisation « Pour votre sécurité, contrôles radars fréquents » ont été placés le long de la départementale 939. Mais il n’y aura en réalité qu’un seul radar, caché derrière l’un de ces panneaux, et qui sera régulièrement déplacé.

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    Radar de « Stop »

    Le dernier né, qui en fait n’en est pas un à proprement parler, est composé d’une caméra vidéo et d’un système de lecture automatique des plaques d’immatriculations. Sa cible? Les panneaux « stop ». Si un automobiliste s’approche de la zone en question à trop vive allure, alors le dispositif considère que le conducteur ne compte pas marquer l’arrêt et déclenche l’enregistrement vidéo ainsi que le relevé d’immatriculation. Ensuite, un policier installé dans un centre de contrôle peut constater l’infraction éventuelle et rédiger un PV électronique.

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    http://www.contre-info.com/securite-rentiere-deux-nouveaux-dispositifs-pour-pieger-les-automobilistes