Dans une étude parue ce mercredi 21 janvier, l’association de consommateurs UFC Que Choisir a passé au crible l’évolution des prix de la consommation depuis trente ans.
économie et finance - Page 584
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Consommation : L’évolution des prix depuis 30 ans
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TVL : Philippe Herlin: baisse de l'euro et effondrement de la bourse suisse.
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Russie : Le Kremlin investit dans un réseau de jeunes élites pro-Poutine
Alors que la Russie traverse l’une de ses plus graves crises économiques, des projets financés par le Kremlin, pour glorifier le patriotisme russe, se multiplient.
Enquête dans le monde de “SET”, la nouvelle organisation de jeunesse pro-pouvoir. Le concept : un centre “créatif” chaperonné par des “producteurs”, qui a pour mission de sponsoriser des projets patriotiques, souvent a la gloire de Vladimir Poutine.
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La culture des OGM facilitée dans l’Union européenne
L’Europe a mis fin à des années de blocage sur le dossier OGM. Mardi 13 janvier, les eurodéputés ont adopté à une large majorité (480 voix contre 159), en deuxième lecture, un amendement à une directive datant de 2001, permettant à un pays de l’Union de s’opposer aux cultures d’organismes génétiquement modifiés sur son territoire, même si une autorisation a été délivrée au niveau de Bruxelles. Dans le même temps, cette législation, qui entrera en vigueur au printemps, devrait faciliter la culture de semences transgéniques sur un Vieux Continent hostile aux biotechnologies.
Jusqu’à présent, la Commission autorisait les OGM après avis de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), mais se retrouvait systématiquement confrontée à l’hostilité des Etats anti-OGM lors des conseils européens et ne parvenait pas à obtenir de majorité qualifiée lors des votes. De leur côté, les Etats « anti-OGM » (ils sont 19, dont la France, à s’opposer à ces cultures) ne pouvaient interdire les cultures transgéniques qu’en prenant sur leur territoire des clauses de sauvegarde ou des mesures d’urgence pour des motifs environnementaux et sanitaires. Une procédure très fragile juridiquement.
Désormais, les capitales pourront évoquer également des motifs de politique agricole, d’aménagement du territoire ou des conséquences socio-économiques. Dans le détail, les Etats qui souhaitent bannir des OGM devront négocier avec les semenciers, sous la houlette de la Commission, pour leur demander d’être retirés du périmètre de culture proposé par les entreprises. Si la firme refuse, l’Etat membre pourra néanmoins interdire de manière unilatérale l’OGM. Ce qui devrait, en toute logique, empêcher les firmes des biotechnologies (Monsanto, etc.) de contester leurs décisions devant la Cour de justice de l’Union européenne.
DISTORSION DE CONCURRENCE
Pourtant, beaucoup d’eurodéputés, à part la famille sociale-démocrate, restent sur leur faim, ou alors franchement insatisfaits. Les anti, comme les pro-OGM. Côté conservateurs – majoritaires dans l’hémicycle –, on dénonce, à l’instar du député UMP Alain Lamassoure, un« recul de l’Europe qui va laisser les pays décider comme ils l’entendent ». Le texte voté mardi prévoit ainsi des garde-fous, pour éviter la dissémination des OGM d’un pays qui en aurait autorisé la culture à un voisin. Mais la nature des « zones tampons » à mettre en place, leur surface, etc., tout cela sera à la discrétion des capitales.
Autre crainte des députés conservateurs : « Ce texte risque d’introduire une distorsion de concurrence entre agriculteurs, entre ceux des pays qui ont autorisé les cultures et les autres. Ce serait redoutable », relève l’eurodéputée UMP Françoise Grossetête. Les Verts, qui ont voté contre le texte, soulignent aussi ce risque de distorsion de concurrence, mais à l’inverse pour les agriculteurs n’utilisant pas d’OGM.
RECOURS D’UNE FIRME OGM
Mais surtout, José Bové, pour la délégation française, s’inquiète qu’en voulant corriger une incertitude juridique la nouvelle directive en introduise d’autres, peut-être plus graves, selon lui. « On n’est pas à l’abri d’un recours d’une firme des biotechnologies contre un Etat européen qui déciderait de s’opposer à une semence génétiquement modifiée, en utilisant des mécanismes d’arbitrage privé [prévus dans de nombreux traités bilatéraux entre Etats],au motif que leur investissement dans ce pays en pâtira », assure l’eurodéputé français.« D’autres pourraient être tentées de faire un recours devant l’Organisation mondiale du commerce [OMC], pour entrave au commerce, en instrumentalisant un petit pays extra-européen [seuls des pays peuvent faire des recours devant cette instance] », ajoute M. Bové. Or, l’OMC peut sanctionner des décisions politiques basées sur des arguments socio-économiques et non scientifiques.
« Certains Etats anti-OGM vont se retrouver dans une position schizophrénique, prévient en outre Eric Meunier, chargé de mission pour l’association Inf’OGM. Ils pourront interdire un OGM sur leur territoire mais, en échange, la Commission européenne attend qu’ils ne s’opposent pas à l’autorisation de cet OGM dans le reste de l’Europe. »
HUIT OGM EN ATTENTE D’AUTORISATION
Une chose est sûre, la nouvelle législation va accélérer la mise en culture de semences transgéniques sur le sol européen. Conséquence des années de blocage, un seul OGM est actuellement cultivé en Europe : le maïs MON810 du groupe américain Monsanto. Cette semence, plantée presque exclusivement en Espagne et au Portugal, fait l’objet d’un moratoire dans huit pays, tandis que la France a voté une loi en mai 2014 pour interdire la culture des maïs transgéniques. Trois autres semences génétiquement modifiées ont été autorisées mais abandonnées par les entreprises qui les commercialisaient, faute de débouchés : le maïs Bt176 de Syngenta, le maïs T25 de Bayer et la pomme de terre Amflora de BASF.
Or, huit dossiers d’OGM attendent une autorisation européenne de culture, selon Inf’OGM : le MON810 (demande de renouvellement), le TC1507 de l’Américain Pioneer, proposé à la culture par la Commission en novembre 2013 sous la pression d’un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne, ainsi que six autres maïs de Pioneer, Dow AgroSciences et Syngenta. Les premières mises en culture ne devraient pas intervenir avant 2016, au vu des délais pour la mise en œuvre de la nouvelle législation.
D’ici là, la situation pourrait même encore avoir changé. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a ainsi inscrit dans ses priorités de 2015 la révision de la procédure d’autorisation des OGM. La controverse n’est peut-être pas close.
http://fortune.fdesouche.com/371757-la-culture-des-ogm-facilitee-dans-lunion-europeenne
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L’ultra-libéralisme, le pire ennemi de la liberté réelle
L’un des dogmes fondateurs de l’Union Européenne depuis le traîté de Maastricht de 1992 est la totale « liberté » de circulation des biens, des capitaux et des personnes. Au nom de ce dogme ultra-libéral, tout contrôle des frontières est interdit aux Etats membres de l’Union Européenne. Incidemment, c’est à cause de ce principe économique qu’on dénie au peuple français le droit de se préserver de toute la faune islamo-terroriste, qui déambule sans entrave.
En contradiction totale avec ce culte fanatique de la logique économique, ces derniers jours, on assiste à un concours de déclarations liberticides à l’UMP. Observons quelques tweets et déclarations :
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Ce que la mairie de Paris fait de l’argent public…
Pourquoi la municipalité parisienne fait-elle casquer sans cesse davantage les citoyens ?
Pour financer toutes sortes d’initiatives et d’associations gauchistes, homosexualistes, ou… islamiques :
Source P. Gofman
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"Nous ne devons pas voir l'immigration économique comme ayant une quelconque utilité"
Viktor Orban, Premier ministre hongrois, a participé à la manifestation de Paris. Face aux menaces terroristes, il déclare :
« Nous ne devons pas voir l'immigration économique comme ayant une quelconque utilité, parce qu'elle ne fait qu'apporter des troubles et des menaces aux peuples européens. Par conséquent, l'immigration doit être stoppée. C'est la position de la Hongrie. »
« La Hongrie ne deviendra pas une destination pour les immigrants. Nous ne le permettrons pas, du moins tant que je serai Premier ministre et que ce gouvernement sera au pouvoir. »
« Nous ne voulons pas voir parmi nous de minorité significative qui aie des caractéristiques et un passé culturels différents. Nous voulons que la Hongrie reste la Hongrie. »
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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La corruption du système français
Des policiers de la BAC pris en flagrant délit de corruption, des élus soupçonnés de malversations, des handballeurs, champions adulés, mis en examen pour avoir triché : la corruption ferait-elle son retour en France ?
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La décroissance, une solution ?
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Plus de 25 milliards d’euros de dette pour l’assurance chômage
Les gens compétents qui nous gouvernent voient se traduire dans les chiffres les résultats calamiteux et catastrophiques de l’économie française.
Selon l’Unedic, l’organisme paritaire gestionnaire de l’assurance chômage, la dette cumulée sera de 25,9 milliards d’euros, après avoir augmenté encore de 4,4 milliards d’euros en 2015. Car 2015 sera une année catastrophique pour l’emploi, avec une prévision d’environ 200.000 chômeurs de plus sur la base des « inscrits » !
Ces chiffres réjouissant ont été calculés sur la base de 0,8% de croissance pour 2015, prévision de croissance très optimiste, comme d’habitude.
Hollande a inversé la courbe du chômage : elle est exponentielle.
Xavier Celtillos
http://www.medias-presse.info/plus-de-25-milliards-deuros-de-dette-pour-lassurance-chomage/23195