Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 764

  • L’ARGENT DES TOURANGEAUX NE DOIT PAS SERVIR À SPONSORISER L’ISLAMISATION !

    Vos Populi

    Nous apprenons, dans l’entretien que Madame Blosch (adjointe au maire de Tours) a accordé à La Tribune de Tours hier, que Tour(s)-plus et le Conseil Régional veulent financer, à hauteur de 2,5 M d’€, la Grande Mosquée de Tours dont les travaux ont été interrompus faute de dons.

    Au mépris des principes de laïcité que la gauche n’hésite jamais à utiliser contre les catholiques, et à bafouer en faveur des musulmans, voilà que nos responsables politiques volent au secours d’une communauté dont les codes (hallal, voile, prières de rue) relèvent davantage du symbole de conquête que de l’assimilation discrète…

    Les citoyens tourangeaux, eux, sont aussi en droit de s’interroger sur le financement de cette mosquée géante (dont le coût s’élève à 7 millions d’euros) par la collectivité… Tout comme il semble légitime aussi de s’intéresser aux activités parallèles qui seront rattachées à ce lieu. Car comme c’est bien souvent le cas, la mosquée de Tours ne sera pas qu’un lieu de culte mais sera également dotée d’un « centre multiculturel » dédié à l’enseignement du Coran et de la langue arabe. On sait malheureusement trop bien le type d’endoctrinement qui a parfois été professé dans de tels lieux, y compris en France (on peut notamment évoquer les djihadistes formés dans la région lyonnaise et retrouvés combattant à l’étranger). Alors que le traumatisme Merah est toujours présent, il n’est pas interdit de s’inquiéter, ou tout au moins de se questionner.

    En démocratie, on consulte le peuple avant de prendre de telles décisions avec son argent. Nous exigeons un référendum local sur le financement de cette mosquée par les pouvoirs publics car c’est avant tout aux tourangeaux de décider s’il est légitime.

    Car l’argent des Tourangeaux ne doit pas servir à sponsoriser l’islamisation de notre ville, Vox Populi étudie d’ores et déjà tous les recours possibles contre les financements directs ou déguisés (via l’aspect cultuRel) qui viendraient à intervenir.

    Source  www.actionfrancaise.net

  • Goldman Sachs finance la prostitution des mineures

    « Goldman Sachs, la plus pourrie des banques. Au menu du jour, le trafic des prostituées mineures. L’info ne vient pas d’un site alter, allumé à l’anti-US primaire, mais du New York Times de ce samedi, et sous la signature d’un journaliste de renom, Nicholas D. Kristof.

    Kristof écrit : « La plus grande plateforme du trafic sexuel de jeunes filles mineures aux Etats-Unis semble être un site Internet appelé Backpage.com ». Ce site gère les annonces pour les escort girl. Mais écrit Kristof, Backpage joue un rôle majeur dans la prostitution des mineurs. Le journaliste fait état de nombreuses démarches de la justice et de parlementaires, et il évoque notamment une affaire judiciaire en cours à New York concernant une jeune fille de 15 ans « droguée, ligotée, violée et vendue à travers Backpage »

    Ce véritable magasin de femmes et de fille est la propriété de la société Village Voice Media, et comme pour nombre de sociétés US, il est difficile d’en connaitre les propriétaires. C’est sur cette question que Kristof a enquêté… et a trouvé : « Nous avons résolu le mystère. Il apparaît que les vrais propriétaires incluent des sociétés financières, parmi lesquelles figure Goldman Sachs dans une proportion de 16% ».

    Kristof raconte que, lorsque la banque a appris qu’il enquêtait sur le sujet, elle s’est activée pour vendre ses actions, et elle l’a appelé vendredi après midi pour lui dire qu’elle venait de signer la fin de sa participation à la direction du site.

    Andrea Raphael, porte-parole de Goldman Sachs, plaide comme un voyou de seconde zone : « Nous n’avons eu aucune influence sur la conduite de cette compagnie ». Donc, en gros, « on est planté jusque là, mais nous ne sommes que de misérables financiers, sans pouvoir de décision ». Mais Kristof précise  que Scott L. Lebovitz, l’un des managing directors de Goldman, a siégé pendant quatre ans au conseil d’administration de Village Voice Media, jusqu’en 2010.
    Un repentir ? Tu parles ! A cette époque, la situation leur est apparue intenable… car après des enquêtes judiciaires, le Congrès avait lancé les premières enquêtes sur cette société. Scott L. Lebovitz s’est cassé, mais le fric est resté !

    Village Voice Médias annonce être vigilant pour écarter les annonces des trafiquants, mais c’est une juste une plaisanterie. L’État de Washington vient d’adopter une loi prévoyant des sanctions pénales qui seraient applicables si Backpage publie des annonces sans vérifier l’âge des femmes, loi qui s’annonce d’application délicate du fait de la protection de la vie privée.

    Kristof conclut : « Ainsi, depuis plus de six ans Goldman détient une participation importante dans une société connue pour ses liens avec le trafic sexuel, et a siégé parmi les dirigeants de l’entreprise pendant quatre ans. Il n’y a aucun indice pour dire que Goldman a utilisé sa participation au capital pour pousser Village Voice à abandonner annonces d’escort girl ou à vérifier l’âge des jeunes femmes ».

    Comme je suis moins modéré que Nicholas D. Kristof, je conclurai en disant que les dirigeants de cette banque sont des fumiers. »

    Lu ici   http://www.contre-info.com

  • Zone euro : accord pour la recapitalisation des banques

    Zone euro : accord pour la recapitalisation des banques

    Ci-dessus : contributions des états au MES (en pourcentage).

    LUXEMBOURG (NOVOPress via Bulletin de réinformation) – Au terme d’une réunion avant-hier soir à Luxembourg, les 17 ministres de l’euroland se sont mis d’accord sur la manière dont le Mécanisme européen de stabilité (le MES) va fonctionner pour la recapitalisation des banques, directe ou rétroactive.

    Le MES est un gigantesque mécanisme supra-étatique doté d’une force de frappe de 700 milliards d’euros.

    Dès le printemps 2012, l’Espagne avait ainsi bénéficié d’un prêt de plus de 40 milliards d’euros d’aide à ses banques.
    La contribution de la France, votée en février 2012 par la majorité UMP de l’époque, est de 143 milliards d’euros, alors même que l’actuelle majorité socialiste, également aux ordres de Bruxelles, entreprend des coupes claires dans tous les budgets sociaux de la nation.

    Crédit image : Wikipédia. http://fr.novopress.info

  • Les oublis de Marisol Touraine.

    La question des retraites va sans doute très largement animer les débats des mois prochains et cette semaine voit le début d’une vaste préparation d’artillerie médiatique et politique de la part d’un gouvernement et d’un Parti socialiste « godillot » oublieux de ses discours d’il y a trois ans, quand le Pouvoir de MM. Sarkozy et Fillon cherchait à réformer le système et reculait l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans.

    Dimanche, c’est le ministre des Affaires sociales et de la Santé, Mme Marisol Touraine, qui tirait la première salve dans « Le Parisien » en expliquant doctement que « quand on vit plus longtemps, on peut travailler plus longtemps », sans un mot sur le recul de l’espérance de vie en bonne santé observé depuis quelques années en France et développé de façon claire et complète dans le dernier numéro de « Science & Vie » (juin 2013). Il est tout de même surprenant que ce ministre, officiellement chargé de la Santé, « oublie » cet élément qui remet en cause quelques discours simplistes sur l’évolution de l’espérance de vie qui ne peut être limitée à une simple question quantitative (le nombre d’années de vie « espéré », toujours en progression) et qui doit, évidemment, être pensée aussi en termes qualitatifs (le nombre d’années de vie en bonne santé, désormais en repli) !

    Il y a autre chose que semble oublier ce ministre, c’est qu’une partie de la résolution de la question des retraites passe par la baisse du chômage, en particulier par celui des actifs les plus âgés, aujourd’hui de plus en plus délaissés par un marché de l’emploi qui semble vouloir, d’une façon un peu triviale, de « la chair fraîche » ou, en tout cas, plus malléable et moins marquée par le passé « revendicatif » des générations du « baby boom ». Or, aujourd’hui, la mondialisation, qui prend en France le double aspect des délocalisations spéculatives et de la désindustrialisation accélérée, entraîne la destruction de nombreux emplois, considérés comme « trop coûteux » en France, pas tant à cause des charges sociales (effectivement trop lourdes pour de nombreuses entreprises, en particulier petites et moyennes) qu’à cause des salaires des travailleurs et cadres eux-mêmes, évidemment et heureusement plus élevés qu’au Bengladesh ou qu’en Chine…

    Pour régler, autant que faire se peut, la question des retraites, ce n’est pas un simple discours sur l’âge de départ ou sur la durée de cotisations qu’il faudra mais une véritable réflexion, argumentée et constructive, imaginative surtout et consolidée par une véritable pensée sociale et politique sur ce que l’on veut pour notre pays et sa société : il est à craindre que le gouvernement, dans cette urgence qu’il théâtralise pour mieux faire passer ce que ses membres actuels refusaient quand ils étaient dans l’Opposition, ne commette le péché d’injustice et de forfaiture sociale !

    En tout cas, avant de faire quelques propositions réalistes dans les temps qui viennent, je m’emploierai à développer les éléments évoqués plus haut pour montrer que la question des retraites est plus complexe que notre ministre n’essaye de le faire croire et qu’il ne sera pas possible de négliger la réflexion de fond sur la question sociale en France et sur les moyens politiques et institutionnels de la maîtriser, sinon de la résoudre…

    http://jpchauvin.typepad.fr/

  • Krach obligataire : la Fed n’est pas seule en cause

    Les écarts de taux obligataires, les “spreads“, entre les pays périphériques de la zone euro et l’Allemagne se creusent. Certes, les tensions autour de la Fed jouent un rôle, mais les inquiétudes ont d’autres excellentes raisons de poindre à l’horizon.

    Et si la crise de la dette souveraine revenait en Europe ? En dépit des incantations de François Hollande qui, voici deux semaines, avait décrété que la crise de la zone euro était terminée, en dépit également de la satisfaction de Mario Draghi qui, lors de sa dernière conférence de presse, a insisté sur l’effet apaisant de l’annonce de son programme OMT, les spreads sont de nouveau à la hausse.

    Hausse des taux et des spreads

     

    Ce jeudi, vers midi, l’écart entre le taux à 10 ans allemand, le Bund, et le taux à 10 ans grec bondissait de près de 30 points de base (0,3 point de pourcentage). Le 10 ans espagnol s’écartait de 16,8 points de base du Bund, l’équivalent italien de 11,7 points de base et l’équivalent portugais de 13,4 points de base. Et le mouvement n’est pas isolé : sur un mois, le spread grec s’est élargi de 2 points de pourcentage… Parallèlement, l’adjudication d’obligations à 10 ans espagnoles a donné lieu à une hausse du taux demandé par le marché par rapport à la dernière offre du 6 juin dernier : 4,77 % contre 4,517 %.

    L’effet Fed

    Evidemment, ce coup de chaud sur les taux des pays périphériques de la zone euro s’explique en grande partie par « l’effet Fed » qui conduit les investisseurs à se débarrasser plus ou moins massivement de toutes leurs obligations dans la crainte d’un « krach obligataire. » Le Bund lui-même a décroché. Mais il n’en reste pas moins que les marchés ne se délestent pas à la même vitesse de toutes leurs obligations. L’évolution des spreads montre très clairement qu’ils vendent d’abord la dette périphérique. Preuve que le regain de confiance de fin avril-début mai était bien précaire : il y a encore des doutes sur la dette des pays du sud.

    Doutes sur Chypre, inquiétudes sur la Slovénie

    Il est vrai que ces doutes ne sont pas entièrement infondés. Chypre est dans une situation quasi inextricable et une nouvelle aide, quoique encore refusée par les pays de la zone euro, semble inévitable. La Slovénie, dont la situation réelle est toujours sujette à interrogations, a revu ce jeudi sa prévision de croissance en forte baisse : le PIB devrait reculer de 2,4 % cette année (contre 1,8 % prévu) et encore de 0,2 % l’an prochain (alors que, jusqu’ici, on tablait sur un retour de la croissance en 2014. Ceci va encore peser sur les mauvaises créances qui encombrent déjà les bilans des banques slovènes et compliquer la tâche de Ljubljana pour restructurer son secteur financier.

    La dette portugaise est-elle tenable ?

    Ce jeudi matin, le Financial Times s’interroge, compte tenu de la hausse des taux, sur le retour sur les marchés de l’Irlande, mais surtout du Portugal. La vraie question demeure de savoir si la dette de Lisbonne, prévue à 130 % à la fin de l’année, est tenable. En fait, la question de la restructuration de la dette portugaise est une option, mais une option qui effraie encore. Selon le FT, l’UE pourrait ouvrir des lignes de crédit « de précaution » pour le Portugal et l’Irlande auprès du MES avant de leur ouvrir, éventuellement, le programme OMT de la BCE. De telles perspectives ne contribuent pas à soutenir les cours.

    L’Espagne

    L’Espagne reste également une raison d’inquiétude. Le FMI, mercredi, s’est ouvertement inquiété du taux de chômage élevé et a exhorté le gouvernement de Madrid à engager des réformes plus amples du marché du travail. Par ailleurs, le risque bancaire demeure important au-delà des Pyrénées. Les propos, la semaine dernière, du ministre des Affaires étrangères espagnol qui a demandé des moyens « illimités » au MES a jeté un doute sur l’ampleur des besoins de recapitalisation des banques du pays. Enfin, malgré des améliorations, la conjoncture et le budget espagnol demeurent des sources d’inquiétudes.

    Risque politique en Grèce

    Il y a aussi la Grèce. La coalition au pouvoir a été très fragilisée par l’affaire de la fermeture précipitée de la radio télévision RTE. Or, si la coalition d’Antonis Samaras venait à tomber, de nouvelles élections mettraient encore en jeu la participation du pays à la zone euro et son désendettement. Actuellement, Syriza, la coalition de gauche, est toujours en dessous, mais très proche dans les sondages de la Nouvelle Démocratie et les néo-nazis dépassent les 10 % des intentions de vote. Surtout, Pasok et Dimar, les deux alliés de gauche d’Antonis Samaras sont en chute libre. Pour stopper cette chute, ils pourraient vouloir obtenir plus de concessions du gouvernement. Mais ce dernier est en difficulté, car il sait que même dans le meilleur des scénarios, il devra en passer par une restructuration.

    Un trou de 2 milliards d’euros dès cette année dans les comptes grecs ?

    Or, cette dernière pourrait arriver plus tôt que prévu : comme l’indique le quotidien grec Kathimerini, la BCE hésiterait à renouveler les créances grecques qu’elle détient après rachat sur le marché secondaire. Des banquiers centraux mettraient en garde contre le fait qu’un tel renouvellement de la part de la BCE enfreindrait l’interdiction de financer directement les Etats. Du coup, la Grèce pourrait avoir besoin de 1,5 à 2 milliards d’euros d’ici à la fin de l’année. Et l’on sait que le FMI doit disposer d’une visibilité de 12 mois pour continuer à participer au programme. Autrement dit, la Grèce pourrait devoir revenir au guichet européen rapidement. Dans ce cas, une troisième restructuration de la dette semble inévitable.

    L’énigme OMT

    Le programme OMT de la BCE qui prévoit le rachat illimité de dettes souveraines de la zone euro sur le marché secondaire reste un mystère. Mario Draghi ne cesse d’affirmer qu’il est prêt. Mais la publication du cadre légal se fait toujours attendre. Tout se passe comme si la BCE voulait surtout agiter la menace sans passer à l’acte. Récemment, Mario Draghi a prévenu : il ne rachètera pas de dette pour sauver un Etat. Un an après avoir été dégainée, cette arme pourrait bien commencer à s’émousser. Or, l’OMT n’a été efficace que parce qu’il a fait peur. S’il est testé, il risque de devenir pour la BCE ce qu’est le QE pour la Fed…

    Ce faisceau d’indications et de craintes n’est pas de bon augure pour l’automne. Si Ben Bernanke perd son pari et que les marchés commencent à paniquer et à vendre en masse, la crise de la dette européenne pourrait bien connaître un nouvel épisode. D’autant qu’une épée de Damoclès de la décision, attendue en septembre, du Tribunal constitutionnel de Karlsruhe, continue à peser.

    La Tribune  http://fortune.fdesouche.com

  • Saumon norvégien : danger pour la santé !

     

    Le gouvernement norvégien vient de recommander, pour les femmes enceintes et jeunes, de ne pas manger de saumon plus de deux fois par semaine. Il a été forcé de reconnaître – tardivement – que ce poisson gras est aussi bourré de produits toxiques.

    « Le gouvernement aimerait surtout que la nouvelle ne traverse pas la frontière. Pensez : la Norvège a été en 2012 à l’origine de 60% de la production mondiale de saumon atlantique, le pays a produit près d’1,2 million de tonne de ce poisson. Et les 29 milliards de dollars annuels générés par les exportations de ce secteur-clé de l’économie pourraient s’en trouver affectés.

    Un Français consomme environ 2,3 kilos de saumon norvégien en moyenne par an. La France a importé, en 2012, quelque 161 175 tonnes de saumon norvégien, soit environ 15% de la production du pays nordique. C’est le premier marché d’export, devant la Russie. »

    Le saumon est réputé bon pour la santé (coeur, circulation, etc.). Mais quand ce poisson est nourri aux farines animales, aux antibiotiques et même aux pesticides, on peut imaginer que c’est très différent… La pharmacologue Claudette Béthune, qui a travaillé pour l’organisme norvégien de sécurité alimentaire (le Nifes), avait clairement tranché en 2011 :

    « La présence de polluants tels que les dioxines et le PCB dans le saumon génère un risque de cancer, qui, pour les personnes jeunes, dépasse les bénéfices attendus du saumon sur la santé. »

    « Ce n’est qu’à la suite d’une grosse pression médiatique que les autorités sanitaires ont fini par reconnaître qu’elles avaient trop poussé à la consommation. L’alerte lancée par le journal norvégien VG est très claire :

    « Les médecins appellent à ne pas manger de saumon d’élevage. »

    Le journal fait parler une équipe indépendante du laboratoire de biochimie de Bergen, qui estime que ce poisson est tout simplement dangereux pour les jeunes enfants, adolescents et femmes enceintes en raison des polluants organiques persistants qu’il contient. »

    « Le Dr Anne-Lise Bjorke Monsen, membre de ce labo, précise :

    « Les polluants retrouvés dans le saumon d’élevage ont une mauvaise influence sur le développement du cerveau, et sont associé à l’autisme, à l’hyperactivité et à la baisse de QI.

    On sait aussi qu’ils peuvent avoir un effet négatif sur les défenses immunitaires, le système hormonal et le métabolisme. Ils se transmettent aussi par allaitement. Si l’on a besoin d’oméga-3 provenant du poisson, le maquereau et le hareng sont très bien. »

    De surcroît, le toxicologue Jérôme Ruzzin avait établi un lien, chez les souris entre une nourriture exclusive au saumon d’élevage pendant huit semaines et le développement de l’obésité et du diabète de type 2.

    La Russie avait stoppé toute importation de saumon norvégien en 2006 et des chercheurs américains avaient déjà prévenu qu’il ne fallait pas manger de saumon norvégien d’élevage plus de trois fois par an. »

    Source   http://www.contre-info.com

  • L’UE a envoyé 1 milliard d’euros à l’Egypte mais personne ne sait où est passé cet argent

    Mahmud Hams 

    Sur les 7 dernières années, l’UE a donné 1 milliard d’euros à l’Egypte pour soutenir la démocratie et les droits de l’homme, mais les auditeurs de la Cour des Comptes européenne ne savent pas comment cet argent a été utilisé. «Ils n’ont pas du tout rempli les conditions, et néanmoins, l’argent leur a été tout de même remis », note Karel Pinxten, l’eurocrate de la cour qui s’est occupé de ce dossier.

    Les auditeurs ont conclu que le gouvernement de Mohammed Morsi affichait encore moins d’intérêt que celui de son prédécesseur, Hosni Moubarak, pour les programmes de l’UE censés développer les droits de la société civile, ceux des femmes et des minorités. « Il est assez clair que sous le régime de Moubarak, mais aussi maintenant sous celui de Morsi, du côté égyptien, il n’y avait pas une très grande volonté de collaborer avec la Commission. Et c’est encore en dessous de la vérité », affirme Pinxten. Le rapport note même « une aversion croissante envers la société civile et plus largement les droits de l’homme » depuis les soulèvements en Egypte en 2011. Les droits des femmes ont reculé, et ceux des minorités sont de plus en plus menacés, notamment pour les Chrétiens.

    Pire, la cour des comptes européenne est incapable de retracer ce qu’il est advenu de 60% des fonds versés à l’Egypte, et l’on s’inquiète qu’ils se soient vaporisés au travers de fraudes et de gaspillages.

    Pinxten réclame que l’on en réforme la politique d’attribution. « Cette inaction de l’UE tourne sa politique des Droits de l’Homme en plaisanterie », a estimé Guy Verhofstadt, qui préside le groupe parlementaire Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ALDE) au Parlement européen. Il demande que l’UE envisage de suspendre le versement de ces fonds.

    Source: express.be

    http://lesmoutonsenrages.fr/

  • Comptes en Suisse : une nouvelle affaire d'Etat ?

    C'est ce que pense Antoine Peillon, journaliste à La Croix, spécialiste de l'évasion fiscale et frère du ministre de l'Education nationale, après les révélations faites le 13 juin dernier par Pierre Condamin-Gerbier, ancien employé de la banque Reyl & Cie :

    "Antoine Peillon, grand reporter au quotidien « La Croix » et auteur l’an passé d’un ouvrage remarqué sur les activités illicites de la banque UBS en France, détient ces pièces.« Quand on découvre les identités des hommes politiques concernés, il n’y a pas vraiment de surprise, souligne-t-il. Les gens de droite sont un peu plus nombreux. À gauche, on trouve diverses personnalités ainsi qu’un membre éminent de l’actuel gouvernement."

    Antoine Peillon déclare par ailleurs :

    "Lors de notre dernière rencontre, le 29 mai à Genève, il m’a donné les noms et m’a expliqué les processus très complexes d’évasion fiscale. Je confirme qu’il y a sur cette liste des ministres et des anciens ministres. Nous sommes potentiellement en face d’une autre affaire d’Etat, puisqu’il s’agit de situations dont il a été le témoin direct.

    Je remarque que je ne suis pas le seul à lui accorder une grande crédibilité. Depuis le mois de février, il est relation avec la police judiciaire et les douaniers qui ont été mobilisés par des juges d’instruction pour enquêter sur l'évasion fiscale."

    Quant au ministre éminent du gouvernement, il y a eu la piste Fabius lancée maladroitement par Libération et démentie par l'intéressé. Il y a désormais la piste d'un ministre aux origines suisses évoqué dans un article payant de ce site (article le plus lu avec plus de 5 000 vues). Nul doute que Manuel Valls va rapidement démentir... 

    En attendant, Bercy s'inquiète et exige les noms.

    Philippe Carhon  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Retraites : la réforme impossible du Monopole

     

    130621La tournure que prend la Conférence sociale du président Normal ne surprend probablement personne. Elle correspond à la fois aux tropismes bien repérables du personnage. Et elle confirme le mode de fonctionnement du gouvernement Ayrault, en place depuis plus de 12 mois.

    Sans doute quelques décisions s'imposeront et elles ne manqueront pas de prévaloir, y compris dans le dossier des retraites. Elles ne donneront satisfaction à personne mais elles tendront, comme toujours, à la moindre irritation des bureaucraties syndicales.

    On a d'abord laissé la très grise Yannick Moreau née Polo, ancienne directrice de cabinet de Chevénement à l'Éducation nationale, aujourd'hui porte-plume du très administratif Conseil d'orientation des retraites, technocrate inodore et sans imagination, dresser avec méthode le tableau de toutes les options possibles : toutes sauf une, celle qui laisserait aux Français le maximum de libre choix.

    Sur cette exclusive, d'ailleurs si ordinaire à notre soi-disant débat citoyen, personne n'a protesté jusqu'ici : je me permets de le faire dans le cadre de ma petite fenêtre d'autonomie, mais sans illusion.

    Une fois rédigé ce catalogue des mesures à la fois impopulaires, sans novation et sans audace il ne reste plus qu'au sauveur suprême de pratiquer la médecine la plus indolore

    La préférence du chef de l'État s'exprime assez nettement en faveur du rallongement global des durées de cotisations obligatoires. Cela ne fera que confirmer l'illusion collectiviste de ce qu'on appelle aujourd'hui la répartition.

    Un homme fort compétent, M. Henri de Castries, président du groupe d'assurances Axa, et de la conférence si discrète de Bilderberg de 2013, intervenait à ce propos ce 20 juin sur Radio-Classique. En cette occasion il a donné un certain nombre d'indications sur l'espace de liberté que le système social démocrate s'apprêterait généreusement à octroyer aux Français : 80 % de "répartition" et 20 % de "capitalisation". Il recommande à ce sujet de renforcer le dispositif fiscal en faveur du Perp "Plan d'épargne retraite populaire".

    Sur le mot et l'idée de répartition, personne n'ose jamais réagir non plus : cette expression ne figure même pas dans le Grand Larousse Encyclopédique de 1962. Cependant on la fait remonter au fameux programme du Conseil national de la résistance, rédigé en fait par le communiste Villon. (1)⇓

    Promise par le front populaire en 1936, apparue en 1941 dans le cadre de la charte du travail, confirmée à partir de la libération en 1944, la "retraite des vieux travailleurs" n'a reçu que très tardivement son appellation de "retraite par répartition", lorsque 25 ans plus tard on entreprit sa généralisation abusive à toutes les catégories professionnelles, à l'exception des fonctionnaires et des bénéficiaires de statuts privilégiés, institués par les ministres communistes de 1945, Thorez à la fonction publique, Marcel Paul à la production industrielle et créateur du monopole EDF-GDF.

    On ne peut vraiment comprendre le mensonge de la retraite par répartition que comme une partie de l'héritage hexagonal communiste.

    Ce monopole de plus en plus ruineux pour les épargnants cyniquement spoliés ne sera balayé que par une revendication de liberté : libre choix de l'épargne, personnelle et familiale pour chacun, professionnelle pour les travailleurs indépendants, libre choix de l'âge de départ, moyennant une pension proportionnelle aux cotisations, libre choix de l'auto entreprise, etc.

    Il faut appeler les choses par leur nom : les gens qui dénigrent ces élémentaires libertés, ne sont pas autre chose que les adversaires de la Liberté.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1. On soulignera à ce sujet que le programme du CNR est supposé avoir été adopté en mars 1944 alors qu'aucune réunion plénière de cet organisme – dont l'objet était la libération du territoire – ne s'est tenue entre novembre 1943 et août 1944
  • Chypre : Le nouveau cauchemar des Européens

    L’appel au secours du président chypriote doit être pris au sérieux par les Européens, s’ils ne veulent pas que Chypre redevienne un cauchemar. Car les avantages de l’euro s’estompent pour le pays.

    Comme la lettre du président chypriote vient de le rappeler, l’affaire chypriote n’a rien perdu de son caractère exemplaire pour le reste de l’Europe. A l’heure où le FMI reconnaît – à la grande fureur de la Commission européenne et de la BCE – des erreurs dans la gestion de la crise grecque, la troïka semble en passe de doubler la mise avec Chypre.

    La quadrature du cercle bancaire

    L’aide à cette petite république a en effet été montée en urgence, sous la pression de la BCE qui brandissait la menace d’une sortie de Chypre de la zone euro. Nul n’a semblé réellement prendre la mesure des conséquences et de la faisabilité des recettes préconisés. Surtout, un seul critère a servi de fil conducteur : engager le moins possible les contribuables des autres pays, tout en maintenant Chypre dans la zone euro.

    Ainsi a-t-on exclu 15 milliards d’euros d’engagements grecs de toute participation au sauvetage afin de préserver les banques grecques que l’on ne voulait pas à nouveau recapitaliser. Ainsi a-t-on également maintenu dans le bilan de la Bank of Cyprus 9 milliards de créances sur la BCE au titre de l’aide à la liquidité d’urgence, l’ELA. Autant de poids que le système bancaire chypriote ne peut supporter, lui qui n’a guère dans son bilan que des dépôts qui, depuis mars, ont fondu de près d’un cinquième, malgré le contrôle des capitaux.

     

    Depuis plusieurs mois, Nicosie et la troïka tente de résoudre la quadrature du cercle en tenant de monter une restructuration viable du système bancaire chypriote dans ces conditions. C’est évidemment impossible, à moins de faire sortir le pays de la zone euro et de payer en nouvelle monnaie ou d’augmenter le montant de la solidarité européenne. Deux options exclues pour le moment. Mais la situation ne pourra rester indéfiniment bloquée.

    L’économie se délite

    Car, pendant ce temps, l’économie chypriote se désintègre progressivement. Les prévisions de la troïka étaient de toute évidence irréalistes. Le PIB chypriote va reculer de 9 % cette année, peut-être 5 % selon le FMI l’an prochain, En deux ans, la richesse du pays sera réduite de 15 %. Même la Grèce n’a pas connu une telle cure.

    Les mesures d’austérité imposées par la troïka pèsent bien sûr, mais c’est surtout l’absence de vrai secteur bancaire et d’investissement en raison du contrôle des capitaux qui asphyxie l’économie chypriote. Tout ceci amène l’absence absolue de confiance dans l’avenir qui gèle encore le fonctionnement de l’économie. Et cette fois, il sera difficile de faire admettre que cette potion permettra d’assurer la « croissance future » du pays.

    Quitter l’euro est-il une solution ?

    En réalité, la zone euro est devenue un enfer pour Chypre. Il est désormais difficile de penser qu’une sortie du pays de l’UEM – aussi catastrophique soit-elle – donne lieu à une situation pire que celle que connaît le pays aujourd’hui.

    Sans doute, les Chypriotes devront-ils compter avec l’inflation générée par la dévaluation rapide de leur monnaie. Sans doute, l’Etat chypriote, devenu insolvable et incapable d’emprunter sur les marchés, devra-t-il serrer les vis. Mais, du moins, une nouvelle monnaie permettrait de faire fonctionner à nouveau l’économie, en particulier le système bancaire.

    Prendre le risque de laisser sortir Chypre ?

    La question se pose donc à nouveau de savoir si Chypre doit rester ou non dans la zone euro. Si l’Europe pense pouvoir régler le problème en l’ignorant, elle se trompe. Une sortie de l’île de la zone euro pourrait coûter cher à cette dernière. L’OMT, dont se vante tant Mario Draghi, le gouverneur de la BCE mais qui n’est encore qu’une menace, pourrait bien alors devoir être actionné. Les marchés seraient en effet tentés de tester la BCE sur le fameux « whatever it takes » (quoi qu’il en coûte) pour sauver l’euro de Mario Draghi. Or, ce dernier doit craindre un tel scénario, lui qui n’a pas encore, malgré ses promesses, publier le cadre légal de l’OMT (9 mois après son annonce !). Sans compter que si Nicosie quitte la zone euro, il y a fort à parier que le MES et la BCE doivent encaisser des pertes. Que l’Europe se méfie donc : la bombe chypriote est encore bourrée d’explosifs. Et c’est ce qu’a voulu dire Nikos Anastasiadès avec son appel au secours. L’ignorer serait inconscient.

    La Tribune  http://fortune.fdesouche.com