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élections - Page 459

  • Le Royaume Uni inflige à la dictature européenne sa première blessure

    D'autres pays pourraient suivre l'exemple du Royaume-Uni :

    "Et si finalement le Brexit n'était que la première secousse d'un séisme politique qui pourrait ébranler pendant encore longtemps l'Union européenne ? (...) Ce scrutin est aussi le symptôme d'un mal plus profond qu'a parfaitement résumé l'ancien ministre des Affaires Etrangères Hubert Védrine sur Europe 1 : "Le vrai problème en Europe, c'est le décrochage des peuples par rapport à la construction européenne." Car le cas britannique n'est pas isolé.

    Les Pays-Bas. Après le "Brexit", aura-t-on droit au "Nexit" (...) ? C'est en tout cas ce que promet Geert Wilders, le sulfureux leader du Parti pour la liberté, classé à l'extrême droite, s'il venait à devenir Premier ministre. Et il n'en est pas si loin, puisqu'il caracole en tête de toutes les enquêtes d'opinion. Après l'annonce de la victoire du "oui" au référendum britannique, il a donc pris la parole renforcé dans ses convictions et demandé la tenue d'un référendum sur le maintien des Pays-Bas dans l'UE : "Si je deviens Premier ministre, il y aura un référendum aux Pays-Bas. Nous voulons être en charge de notre propre pays, notre propre monnaie, nos propres frontières, et avec notre propre politique d'immigration" (...) 

    Le Danemark. C'est l'autre place forte de l'euroscepticisme dans le nord de l'Europe. Les Danois ont déjà prouvé qu'ils se méfiaient de l'Union européenne en 2015, en votant à 53% contre le renforcement de leur coopération en matière de police et de sécurité. "C'est un non net. Je respecte totalement la décision des Danois" qui "ont eu peur de perdre le contrôle" de leur destinée, avait déclaré le Premier ministre danois Lars Lokke Rasmussen à l'époque. 

    La Suède. La Suède, alliée historique du Royaume-Uni au sein de l'UE, est très sensible aux résultats du Brexit. C'est du moins ce que semble indiquer un sondage, publié le 20 avril dernier, et qui affirme que 36% des Suédois voudraient quitter l'UE en cas de Brexit contre 32% partisans d'un maintien (...)

    La Finlande. Autre pays nordique concerné : la Finlande. Si Helsinki n'a jamais agité directement la menace d'une sortie de l'UE, le gouvernement a déjà envisagé une sortie de la zone euro en pleine crise de la monnaie unique en 2012. A l'époque, la BCE envisageait d'autoriser l'achat d'obligations par le Mécanisme Européen de Stabilité Financière. Une proposition pas vraiment du goût de la ministre des Finances Jutta Urapilainen : "La Finlande ne s'accrochera pas à l'euro à n'importe quel prix et nous sommes prêts à tous les scénarios, y compris à abandonner la monnaie unique."

    Selon un sondage paru en février 2016, 53% des Français souhaiteraient être consultés par référendum sur le maintien du pays dans l'UE. Un chiffre significatif quand on sait que de nombreux partis, à la droite de la droite (FN, Debout la France) ou à gauche de la gauche (Front de Gauche) prônent a minima une sortie de l'euro. Ou une sortie complète de l'UE, comme le souhaite Marine Le Pen." 

    Victoire de la liberté ! Comme je le demande depuis des années, il faut maintenant le même référendum en France et dans les pays de l'UE MLP

    Du au : Il est désormais temps d'importer la démocratie dans notre pays. Les Français doivent avoir le droit de choisir !

    Le mur de Maastricht est tombé. Il faut un référendum en France.

    Philippe Carhon

  • Trump, Le Pen, Farage : les « populistes » gouverneront-ils un jour ?

    Trump, Farage, Le Pen, Grillo ou Orban sont partout qualifiés de « populistes ». Pour Vincent Coussedière – auteur du livre Eloge du populisme –, interrogé par le FigaroVox, ce mot-valise est souvent une facilité langagière pour ne pas affronter la chute d’un système partisan à bout de souffle.

    Je crois qu’il est de plus en plus évident que la répétition du terme de « populiste » masque une détresse et une incompréhension profonde des commentateurs politiques. Une paresse aussi, parce qu’il est plus facile de répéter « populisme », « populisme » que d’aller voir sur place pour chercher à comprendre ce qui se passe et pour se documenter sur une offre politique émergente. Qui s’intéresse véritablement dans les médias politiques à ces différents mouvements, en dehors des élections, où l’on assiste toujours à la même ignorance hystérique des commentateurs ?

    (…)

    Ce qu’il y a de commun entre ces mouvements, ce n’est pas leur « idéologie », ces mouvements étant assez pragmatiques, même si, pour donner un peu de « liant » à ce pragmatisme, ils proposent parfois une forme de syncrétisme idéologique. Sur ce plan « idéologique » on constate en réalité d’énormes différences.
    Ce qu’il y a de commun entre les mouvements populistes, c’est bien davantage la situation politique des peuples qui les font émerger. On peut résumer très simplement cette situation: les peuples politiques européens (et le peuple américain est peut-être moins éloigné d’eux qu’on ne le croit) se trouvent confrontés à des défis démographiques, culturels et économiques dramatiques, et à une offre politique partisane vieillie dont les clivages ne sont plus en prise sur la réalité et la profondeur de la crise.

    http://fr.novopress.info/202025/trump-pen-farage-populistes-gouverneront-jour/

  • Marine Le Pen: Brexit, casseurs, Loi travail, UE, élections autrichiennes…

    Marine Le Pen s’exprime sur l’actualité: Elle expose son opposition à la loi du Travail-El-Khomri, les raisons bien plus importantes de la France de sortir de l’UE que la Grande Bretagne puisque la France, à la différence du Royaume-uni fait partie de Schengen et est enfermée dans la zone euro. Elle parle de la différence de traitement entre la Manif pour tous et les casseurs autour des manifestations de la CGT, elle s’est rendue auprès de M. Hofer en Autriche et revient sur les tricheries concernant cette élection. Le tout face à un journaliste peu amène.

     

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-brexit-casseurs-loi-travail-ue-elections-autrichiennes/56835

  • Brexit! à qui le tour?

    Bruno Gollnisch l’affirmait mardi lors de son entretien vidéo depuis le Parlement européen, le meurtre ignoble de la travailliste Jo Cox, adversaire du Brexit, était de nature à faire basculer le référendum britannique dans le camp des partisans du maintien dans l’UE, de la même manière que François Mitterrand avait mis dans la balance la révélation de son cancer de la prostate pour faire gagner le oui au traité de Maastricht lors de référendum de 1992. Cela n’a pas été le cas. Malgré les pressions, les annonces catastrophistes, les sondages divers et variés, notamment ceux de la dernière heure commandités par  des fonds de pension(hedge funds) annonçant le maintien dans l’UE,   les bookmakers enregistrant pareillement une défaite des pro-Brexit, près de 52% des sujets de sa gracieuse majesté ont dit goodbyeà Bruxelles.

    Cette consultation a matérialisé aux yeux des Français, comme l’ont  fait il y a quelques semaines la présidentielle autrichienne, mais aussi les élections en Pologne, en Hongrie, voire les toutes récentes élections municipales italiennes, la montée continue d’un  populisme (ce n’est pas un gros mot), d’une hostilité à Bruxelles, d’une exigence de défense  d’une Europe des patries  libres, des identités et des souverainetés nationales.  La  nature de  ce  refus des diktats européistes  diffère  parfois sensiblement d’un pays à l’autre, même si le refus de l’immigration  est très largement partagé  chez les différentes formations  dites eurosceptiques; il n’a échappé à personne  que les soutiens britanniques en faveur du Brexit émanaient principalement des libéraux,lesquels chez nous y étaient  (très majoritairement) farouchement opposés.

    Interrogé   dans Libération, l’écrivain britannique « à succès »  Robert Harris, « européen convaincu »  expliquait quelques heures avant le vote outre-manche  qu’interroger le peuple  sur son avenir était une idée aberrante  au motif que le « système politique  (britannique) n’est pas conçu pour répondre à une seule question. La vie est bien trop compliquée pour la réduire à une simple réponse, oui ou non.(…). « Des électeurs qui devraient donc abandonner leur destin à des grands initiés, des cénacles  éclairés ? Car manifester son euroscepticisme serait une  marque de débilité (au sens étymologique du terme) intellectuelle affirme M. Harris, réaffirmant tout haut ce que  le microcosme assène plus ou moins mezzo voce à longueur de temps. Pour preuve dit-il encore,  » Le rejet systématique, par le camp du (Brexit), de la parole des experts, des élites, c’est une version britannique du trumpisme. L’attaque populiste classique que l’on retrouve un peu partout. Ce référendum est en fait un exercice d’anti-intellectualisme. Il répond à une désaffection générale pour la politique. » Manière commode d’évacuer le fond du problème car il s’agit plus certainement dune désaffection  générale pour  LEUR  politique ce qui  n’est pas la même chose!

    Et Robert Harris d’asséner l’argument ultime, entre une description de raz de marée et de nuées de sauterelles s’abattant son peuple : « le référendum aura été notre affaire Dreyfus à nous. Si nous quittons l’UE, ce sera le début d’un très long et difficile processus. Et le Parti conservateur pourrait bien imploser. Avec en toile de fond la chute de la livre sterling, la hausse des taux d’intérêts, la panique des marchés… Nous ferons face à un profond chaos politique. Si le remain l’emporte, je suspecte que pas mal de partisans du leave qui n’ont jamais espéré gagner  seront secrètement soulagés (sic). Parce qu’ils sont un peu dépassés, un peu alarmés par la perspective de devoir gérer ce qu’ils auront généré. Si le remain l’emporte, le soupir de soulagement sera collectif et les vacances d’été pourront démarrer. » Le bonheur couché attendra donc encore un peu M. Harris…

    Il  existe, ô combien, des raisons formelles,  fondées, légitimes à cette défiance vis-à-vis de  cette Union européenne , de son évolution (involution), largement étrangère au génie européen, au message, aux  enseignements, aux valeurs de notre civilisation.

     Les critiques formulées par le FN  contre le fonctionnement de l’UE ne sont que le fruit du constat  de ses tares, et non d’une hostilité a priori  comme Bruno Gollnisch a souvent eu l’occasion de le dire.  Le Royaume-Uni est souvent décrit comme le cheval de Troie de Washington, le porte-avion du monde anglo-saxon, des Etats-Unis en Europe - mais Albion n’est pas la seule à faire allégeance à l’atlantisme… Un  article de Henri Langeau (« Apocalypse Brexit ? ») paru dans Minute mercredi, rappelle, et c’était aussi un des arguments de vente de François Mitterrand au moment de Maastricht, qu’ « on nous avait aussi affirmé pour construire l’Union européenne (…) que  l’Europe représentait un pôle de résistance à la suprématie des Etats-Unis (…). Aujourd’hui l’Europe bruxelloise  négocie avec les Etats-Unis un traité transatlantique (auquel  Donald Trump est  d’ailleurs opposé, NDLR) qui consacra sa vassalité. »

    « L’Europe allait assurer la prospérité des économies nationales. L‘Allemagne en a bénéficié. La France a perdu son maillage de PMI et PME. Les Britanniques s’en sont bien tirés, justement parce qu’ils avaient refusé de rentrer dans la monnaie commune. Ils ont le plein emploi, une croissance à plus de 2% et… le contrôle de leur monnaie, tandis que les Français sont sous la coupe  de la banque européenne de Francfort. Giscard estimait déjà, lorsqu’il était président de la République, que la plus grande ambition que puisse avoir notre pays, était d’occuper un strapontin à la Bundesbank... » Nous avons  au Front National d’autres ambitions, d’autres espoirs, d’autres  projets pour la France et les Français,  nous les patriotes de l’espèce amoureuse! 

    http://gollnisch.com/2016/06/24/brexit-a-tour/

  • La victoire du Brexit ou la deuxième chute du mur de Berlin !

    Ce jour historique en appelle d’autres. Partout en Europe, les peuples voudront pouvoir décider librement de leurs destins respectifs.

    Il est parfois permis de s’enthousiasmer, ce sera le cas ce 24 juin 2016. Les Britanniques l’ont fait, ils ont fait chuter le deuxième mur de Berlin ! Ils ont quitté l’Union européenne. Ils ont défié la froide machine administrative bruxelloise et ils ont gagné. Un très grand peuple a montré comment fonctionnait une vieille démocratie. Ils n’ont d’ailleurs pas fait les choses à moitié, le « Out » l’ayant largement emporté avec environ 52 % des suffrages exprimés, au terme d’un vote qui a passionné l’Angleterre en entrainant 72,2 % des inscrits dans les urnes (un chiffre important outre Manche).

    L’Union européenne est désormais en sursis. Cette entité post-politique a cru qu’elle pouvait se passer des peuples, de leurs identités, de l’histoire. Elle s’est crue invincible après la chute du mur de Berlin, pensant l’histoire finie. Elle s’est trompée. Des premiers signes annonçaient que l’Union européenne était menacée dans ses fondements mêmes. Obligée de menacer les peuples, de se moquer de la démocratie. En Grèce, il s’en était déjà fallu de peu. La sortie était proche sans les chantages des technocrates, et la soumission de dernière minute d’Alexis Tsipras. Plus récemment, c’est l’Autriche qui a grondé en manquant d’élire (de très peu, et dans des conditions troubles qui pourraient amener une nouvelle élection) le candidat eurosceptique du FPÖ, Norbert Hofer.

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  • Congratulations !

    Il n’est pas coutume, sur ce site qui a à cœur de défendre la France, son histoire, sa culture, d’utiliser des termes anglais. Mais comment féliciter le peuple d’outre-manche pour sa clairvoyance au sujet de l’union européenne ? En refusant de rester membre de cette entité mondialiste, les Anglais viennent de donner un coup de canif au projet mortifère qui vise à faire disparaître les nations.

    Nous ne sommes néanmoins pas naïfs, nous ne croyons pas en la sainte urne pour arrêter la décadence dans laquelle nous sommes plongés (sinon, elle serait tout simplement interdite, comme la liberté d’expression qui n’est pas totale et qui se limite à ce qui est admis par la loi). Cependant, cette victoire fait quand même chaud au cœur. Pourtant, toutes les manœuvres ont été utilisées pour que le « in » l’emporte : On a prétendu aux Anglais une catastrophe économique (alors que l’Angleterre n’est même pas membre de l’euro), et faisant fi de toute déontologie, les mondialistes ont récupéré l’assassinat d’une député travailliste la semaine dernière par un fou. Malgré cela, les Anglais ont exprimé leur vœu de sortir de l’union européenne, et nous ne pouvons que les en féliciter.

    Il est intéressant de voir comment le système va s’y prendre pour gérer cette défaite : Vont-ils refaire voter les Anglais comme ils l’avait fait aux Irlandais après que ceux-ci eurent rejeté par référendum un de leurs projets ? Ou vont-ils changer par voie parlementaire les accords pour que l’Angleterre soit officiellement (légalement) en dehors de l’union, mais que, dans les faits y reste : Cela pourra s’appeler partenariat privilégié, tout autre néologisme pouvant faire l’affaire afin de maquiller la magouille. Et cela ressemblera comme deux gouttes d’eau à ce qui avait été fait après que les Français et les Hollandais eurent rejeté par voie référendaire, en 2005, le projet de constitution européenne et qui s’est néanmoins imposé quatre ans plus tard par le traité de Lisbonne, validé uniquement par voie législative.

    http://www.contre-info.com/

  • Le Brexit l'emporte

    C'est TVLibertés qui nous apprend ce matin que le Brexit l'emporte :

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    A 6h35, 93% des bulletins dépouillés, 48,2% pour rester dans l' / 51,8% pour la sortie de l' (écart de 1 080 000 voix).

    Marie Bethanie

  • Journal du Jeudi 23 Juin 2016 - Brexit / Bruxelles craint l’effet domino