Europe et Union européenne - Page 118
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Attaque au couteau à Dublin : la légende du MMA Conor McGregor déclare « qu’on récolte ce que l’on sème » au sujet des émeutes et demande au commissaire de la police de ne pas se concentrer sur « l’extrême-droite »
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Le Parti de la Liberté de Geert Wilders remporte les élections législatives aux Pays-Bas
A six mois des élections européennes, il s’agit d’une nouvelle avancée significative dans la lutte contre l’islamisation de l’Europe. Les journalistes français vont encore faire une sacrée gueule de bois :
“Le PVV (Parti de la liberté) de Geert Wilders a remporté 35 sièges et une victoire électorale confortable, selon le sondage Ipsos. L’alliance de gauche de Frans Timmermans est deuxième avec 26 sièges. Le VVD de centre-droit a remporté 23 sièges.
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Immigration : le sévère tour de vis des conservateurs suédois
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Le nucléaire reconnu par l’Europe comme industrie verte
par 22 Nov 2023 | |
C’est un article important du Figaro qui revient sur le fait que le « nucléaire définitivement reconnu comme industrie verte par le Parlement européen ».
« Une victoire politique et symbolique importante pour un secteur en plein renouveau. Le Parlement européen a voté mardi en faveur de l’inclusion du nucléaire parmi les technologies vertes à soutenir pour assurer la compétitivité et la souveraineté de l’Europe face à la Chine et aux États-Unis. Le texte, qui dresse une liste de technologies à « zéro émission » de gaz à effet de serre, constitue la position des eurodéputés sur un projet de règlement visant à défendre la production de ces filières décarbonées dans l’UE. Il fixe l’objectif à 2030 de produire sur le sol européen 40 % des besoins de l’Union sur ces marchés, également convoités par la Chine et les États-Unis qui ont mis en place leurs propres mesures de soutien. »
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Saint-Nicolas. La traditionnelle fête chrétienne de nouveau attaquée par les ethno-masochistes [Vidéo]
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Situation folle en Espagne : coup d’État et révolution !
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La révolte gronde : des agriculteurs retournent les panneaux des communes
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L’Institut Iliade réédite un ouvrage de défense des identités
« Discriminer ou disparaître » est une alternative douloureuse dans une société où la simple constatation d’une différence nous est interdite sous couvert de lutte contre les discriminations. « Sexisme », « racisme », « transphobie », « grossophobie » : autant d’accusations qui menacent le simple constat d’une différence. Pour les tartuffes de la pensée unique, il faut nier la réalité : supprimer les sexes, les races, bref toute altérité.
Ce fétichisme de l’anti-discrimination entraîne ainsi la création d’un être indifférencié et interchangeable, sans sexe, sans couleur, sans famille ni histoire. L’individu, alors réduit à sa simple fonction de producteur et de consommateur, devient un objet de commerce qui s’achète et se vend comme au marché aux esclaves, et se retrouve finalement sans aucune défense face au Big Brother étatique et économique.
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France : pas de référendum - Hongrie : consultation populaire
Suite à sa réunion avec une partie des représentants de l’opposition Macron a décidé qu’il n’y aurait pas de référendum sur l’immigration. Pas question de demander aux Français leur avis sur ce grave problème.
Dans le même temps le gouvernement hongrois lance une consultation nationale. Une consultation hostile à l’UE nous affirme le quotidien français Le Monde. En effet les Hongrois sont interrogés sur des sujets tels que l’immigration ou la guerre en Ukraine, sujets sur lesquels Bruxelles et les médias de grand chemin ont une position qui ne tolère pas de divergence. Les électeurs hongrois sont donc invités à répondre par écrit ou par internet à 11 questions relatives à des sujets de discorde entre L’UE et Viktor Orbán, réélu 1er ministre en 2022 avec 54 % des voix.
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La Commission européenne préoccupée par les dépenses publiques de la France, qu'elle juge « excessives »
La Commission européenne a exprimé des préoccupations sur les dépenses publiques de la France, les jugeant « excessives ». Alors que l'agence de notation Standard and Poor's (S&P) s'apprête à évaluer la note de la dette française le 1er décembre, la Commission met en lumière que la France, avec la Belgique, la Croatie et la Finlande, pourrait ne pas respecter les recommandations budgétaires de l'UE. Ces pays sont invités à réduire leurs dépenses pour se conformer aux plafonds du déficit public (3% du PIB) et de la dette publique (60% du PIB). Les règles budgétaires de l'UE, assouplies en 2020 en raison de la pandémie, seront réactivées en janvier 2024. Malgré cela, le ministère français des Finances, Bercy, reste confiant, prévoyant une réduction du déficit et une stabilisation de l'endettement.
LaTribune.fr