Le parti populaire danois estime que le Brexit sera un grand succès et que le Danemark aura également quitté l’Union européenne avant 2030, déclare Morten Messerschmidt dans une interview accordée à BT.
Europe et Union européenne - Page 370
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Morten Messerschmidt – Parti populaire danois : «le Danemark quittera également l’UE»
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Stéphanie Bignon au Parlement européen pour rappeler l’importance de la commune et du village
En décembre 2019, l’eurodéputé grec Athanasios Konstantinou organisait au Parlement européen à Bruxelles un colloque sur l’Europe et le christianisme.
Parmi les intervenants issus de différents pays figurait Stéphanie Bignon, présidente de Terre & Famille, qui a souligné l’importance de la commune et du village dans la politique chrétienne.
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Un monde en décomposition : Dialogue avec Alexandre Devecchio
aujourd'hui en charge sur Internet du FigaroVox. Il signe son deuxième livre Recomposition sur la vague populiste en Occident. Que faut-il en attendre ? Que faut-il en craindre ? Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoûarn
Dans votre livre Recomposition, vous démontrez que nous rentrons dans un nouveau monde, un monde populiste ?
Le sous-titre de cet ouvrage - le nouveau monde populiste - peut laisser croire que nous entrons dans une autre culture. C'est sans doute un peu plus compliqué que cela. Disons en tout cas que quelque chose prend forme dans toutes les cultures occidentales. On avait pour horizon la mondialisation heureuse, le marché comme technostructure universelle et, à la clé, un vivre ensemble planétaire. On se retrouve en fait devant une mondialisation malheureuse, un chômage de masse, une fragilisation inéluctable des classes moyennes dont le niveau de vie est menacé. Il y a aussi une insécurité culturelle que les exactions de l'islamisme rendent de plus en plus lancinante. C'est dans ce contexte que la France des Gilets jaunes est entrée en ébullition. Est-ce une révolution ? Jacques Julliard parle d'un Mai 68 des classes moyennes. Il y a en tout cas une véritable révolte. Elle prend des formes très nombreuses à travers le monde le populisme en est l'instrument. C'est avant tout un mouvement social, la révolte est sociale plus que politique. En France par exemple, ce sont les Gilets jaunes qui sont à la pointe de cette révolte plus que Marine Le Pen. Encore jouent-ils juste le rôle de détonateur en France l'explosion elle-même est mondiale et différenciée. Les leaders ont des styles et des revendications très différentes selon leurs cultures. Qu'est-ce qu'un Trump a à voir avec un Salvini ? Ils ont quand même quelque chose en commun ils répondent chacun à leur manière au besoin de protection des peuples, dans le triple champ de l'économie, de la culture et de la préservation de la démocratie.
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La nouvelle donne autrichienne
Georges Feltin-Tracol
L’année 2020 commence par un coup de tonnerre en Autriche. Dans la soirée du 1er janvier, après quatre mois d’intenses tractations, le conservateur Sebastian Kurz et le Vert Werner Kogler annoncent qu’ils gouverneront ensemble.
Le 29 septembre dernier, les Autrichiens élisaient un nouveau Conseil national après la dissolution du précédent qui, le 27 mai 2019, avait pour la première fois renversé le gouvernement conservateur de Kurz. L’adoption de la motion de censure résultait de l’explosion de l’alliance entre les conservateurs et les nationaux-populistes du FPÖ, victimes de l’« Ibizagate », un coup monté contre le président du FPÖ, Hans-Christian Strache, par des officines probablement austro-allemandes.
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René Cagnat : L'Eurasie et l'Europe face aux superpuissances et à l'islam
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Une submersion migratoire proposée par les « élites »
Le ministre de la Sécurité sociale, de l’Inclusion et des Migrations espagnol a déclaré à Paris, lors du forum de l’OCDE sur les migrations : « Nous aurons besoin de 8 ou 9 millions de personnes juste pour garder notre population active au même niveau. » Ce ministre évoque uniquement l’Espagne. Cette déclaration rappelle celle de Jean-Paul Delevoye, qui avait parlé de 50 millions d’immigrés pour équilibrer la population active en Europe, en 2050. Les « élites » auraient-elles un plan pour sauver l’Europe du déclin démographique ?
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«Folie complète» : l’UE veut dépenser 100 milliards d’euros pour une économie «climatiquement neutre»
La Commission européenne annonce via Twitter qu’elle «mobilisera» 100 milliards d’euros pour «changer» l’économie de l’Union dans ce qu’on appelle #EUGreenDeal. «Une folie pure» selon beaucoup.
La Commission européenne écrit qu’elle pense que leur «accord vert» entraînera jusqu’à 1 billion d’euros d’investissements.
Mais leurs espoirs se sont rapidement heurtés à des oppositions. Entre autres, le membre de l’UKIP, Chris French, souligne que les chefs d’entreprise ne sont pas disposés à investir en Europe car leurs «lois sur l’énergie» sont les plus chères au monde.
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Michel Onfray sur la réforme des retraites: «C’est une décision de Bruxelles. Il s’agit juste de faire payer les plus modestes comme d’habitude» (Vidéo)
Entretien du 16/1/2020 avec Michel Onfray, philosophe, essayiste, auteur de «Grandeur du petit peuple» (Albin Michel). Il analyse le mouvement de grève, en rejetant la thèse selon laquelle les grévistes feraient preuve d’incompréhension face à cette réforme. Il dresse aussi un tableau sociologique des manifestants, et revient plus généralement sur la crise sociale et ses expressions depuis le mouvement des Gilets jaunes (RT News).
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Étienne Chouard est pour la sortie de l'Union européenne car c'est un projet fasciste
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Matteo Salvini est prêt pour son retour politique
Lorsque Matteo Salvini et son Parti de la Ligue ont été bannis de l’opposition italienne à la fin de l’été dernier, après une tentative de coup d’État ratée, il a juré qu’il se vengerait de ses anciens partenaires de la coalition, le Mouvement cinq étoiles, qui ont formé une nouvelle coalition avec le centriste de l’establishment, le Parti Démocrate (PD), et ont chassé la Ligue du gouvernement.
Dans les mois qui ont suivi, Salvini a été un leader incroyablement efficace pour l’opposition italienne. Et les sondages reflètent son succès: la plupart d’entre eux suggèrent que la Ligue est le parti le plus populaire d’Italie.
Via son compte Twitter, Salvini dialogue avec les électeurs tout en exposant les problèmes auxquels l’Italie est confrontée: drogues, criminalité, un sentiment général de stagnation économique et de malaise. Grâce à son charisme, il a réussi à conquérir des zones du nord de l’Italie qui étaient autrefois considérées comme des territoires de la gauche.
Dans son dernier «Big Read», le Financial Times relate comment Salvini et son parti ont conquis des régions d’Italie qui étaient des bastions du Parti communiste italien depuis des décennies. Même dans le nouveau millénaire. Bien sûr, le Parti communiste italien s’est transformé en parti social-démocrate de gauche après la chute de l’Union soviétique, comme la plupart des autres partis communistes d’Europe et d’Asie.