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Europe et Union européenne - Page 409

  • Le Vlaams Belang et la nouvelle génération font trembler l'establishment politique

    IMAGE 2019-05-22 17:26:25.jpg(Pour un environnement politique plus propre: aidez-nous au grand nettoyage) sous le balai vous voyez: gaspillage, hystérie climatique...

    La campagne électorale bat son plein en Flandre. Ce qui inquiète la classe politique est cette nouvelle génération d'électeurs et candidats sur les listes de Vlaams Belang. Les sondages chez les jeunes nous montrent qu'un grand pourcentage d'entre eux rejette une certaine mentalité politico-affairiste qui comme en France ne voit que les intérêts des lobbys, des grands groupes financiers et du grand capital.

    Notre vieux camarade dessinateur KORBO soutient d'ailleurs cette jeunesse prometteuse qui a l'ambition et la volonté de mettre un terme à cette mise en faillite de notre civilisation. Malheureusement, la réalité dépasse souvent ses caricatures.

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    L'homme qui fait peur à cette maffia politique est Dries Van Langenhove. (costume bleu) Il est le fondateur d'un mouvement de jeunes "Schild & Vrienden" (Bouclier & Amis) qui regroupe surtout des étudiants et intellectuels qui seront demain les cadres d'une nouvelle représentation politique en Flandre.  Il s'est fait remarqué récemment en organisant à Bruxelles, avec succès, la manifestation contre le traité de Marrakech.

    En Belgique les électeurs devront s'exprimer comme partout en Europe pour élire des nouveaux représentants au parlement européen mais également les députés du parlement belge et les représentants régionaux

    Dries Van Langenhove est tête de liste à la Chambre de représentants de Belgique dans le Brabant flamant et notre ami Laurent Houllez, (parfaitement bilingue) qui est sur la même ligne de pensée est candidat au parlement flamand dans cette même et belle région non loin de Bruxelles.

    Filip Dewinter en campagne :

    Quant à notre ami Filip Dewinter, député d'Anvers, il prend aussi une part active dans la campagne. Il était la semaine dernière en Espagne pour convaincre les nombreux Flamands installés dans ce pays de voter pour le Vlaams belang.

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  • Le coût effarant de l’immigration pour l’Allemagne : 23 milliards !

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    L’Allemagne a le courage qui manque à la France : elle publie le coût de l’immigration alors que, chez nous, demander à combien se monte la facture est considéré comme raciste.

    Selon Reuters, en 2018, l’Allemagne a dépensé 23 milliards pour ses réfugiés : un chiffre colossal ! L’addition ne se montait qu’à 20 milliards, en 2017. Cette somme gigantesque donne le vertige et on peut légitimement se demander si elle n’a pas été versée en vain puisque, d’après des statistiques publiées par nos voisins d’outre-Rhin, 50 % des nouveaux venus sont toujours au chômage trois ans après leur arrivée. Trouveront-ils, un jour, un travail ? Certains n’ont aucun diplôme et leurs difficultés en allemand rendent difficile toute formation. Beaucoup d’autres sont des déclassés : des ingénieurs se font veilleurs de nuit ou manutentionnaires. Certains Syriens avouent sans fard avoir un niveau de vie bien inférieur à celui qu’ils avaient dans leur pays natal. Mais ils ont le mérite de vouloir s’intégrer et de prendre un emploi même loin de leur qualification.

    La venue de plus d’un million d’hommes célibataires, parfois peu respectueux des femmes, a sans conteste augmenté la criminalité et multiplié les agressions sexuelles. On ne compte plus le nombre d’affaires lamentables qui secouent régulièrement l’Allemagne.

    Le bilan est donc très négatif. Mme Merkel s’imaginait, dans sa naïveté, importer des bac+5 bien formés qui compenseraient la faible natalité allemande. Ses rêves ont été balayés par l’amère réalité. Elle semble l’avoir compris, car sur les 23 milliards dépensés, 7,3 l’ont été pour dissuader l’immigration de se poursuivre ! Un chiffre effarant. Cette somme élevée, qui plus que tout montre l’inanité de l’ouverture des frontières et la sottise de Mme Merkel en 2015, est donnée d’une manière hypocrite et peu glorieuse. Elle va, en partie, à la Libye, aux milices et aux deux gouvernements qui se disputent ce pays : le but est de retenir à tout prix les immigrés dans ce pays, de les dissuader de monter dans des bateaux et, s’ils le font, de les intercepter pour les ramener au point de départ, ce qui leur fera perdre beaucoup d’argent en vain.
    La Turquie est également soudoyée pour qu’elle empêche le million de réfugiés qu’elle abrite de partir pour la Grèce, tandis que les pays africains, en échange d’une aide généreuse, délivrent les papiers nécessaires au rapatriement des déboutés du droit d’asile.

    Douglas Murray, dans son livre L’Étrange Suicide de l’Europe, avance un coût de 18 milliards annuels pour l’immigration pour la Grande-Bretagne. Au vu des chiffres allemands, son évaluation est sans doute juste.

    On peut imaginer transposer, en France, ces chiffres : les dépenses doivent être du même ordre car les populations sont équivalentes, le nombre d’immigrés comparable et les politiques d’accueil aussi généreuses. Combien de milliards, donc, en additionnant le coût des centres de rétention, de l’aide médicale, de la prise en charge des mineurs isolés (dont combien ne le sont pas ?), des aides sociales, du RSA délivrés à tous les régularisés et pour une très longue période, celui du logement et de la Sécurité sociale pour les migrants chômeurs ?

    On peut juger que l’immigration est une excellente chose, qu’il faut ouvrir nos frontières en grand, mais il faut cesser de croire que c’est gratuit.

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/le-cout-effarant-de-limmigration-pour-lallemagne-23-milliards/

  • Pour Marine Le Pen, “La France insoumise” devrait s’appeler “La France islamiste”

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    Marine Le Pen tenait un meeting à Villeblevin dans l’Yonne ce mardi soir, à 5 jours des élections européennes.

    La présidente du Rassemblement national a notamment vilipendé le programme de “La France insoumise” sur l’immigration et l’acquisition de la nationalité française.

    https://fr.novopress.info/214653/pour-marine-le-pen-la-france-insoumise-devrait-sappeler-la-france-islamiste/

  • Conflits #21 vient de paraître, et il y est bien évidemment question d'Europe

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    « La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).

    Editorial de Pascal Gauchon

    Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.

    Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier. Pour réussir, il comptait sur ses bonnes relations avec Angela Merkel. Le problème est qu’Angela Merkel est affaiblie et sa coalition bancale. Et Emmanuel Macron aussi depuis la crise des gilets jaunes. Il a dû multiplier les promesses qui pèseront sur le budget de la France. Ah ces Français, ils sont très forts pour parler, mais quand il s’agit d’agir sérieusement il n’y a plus personne ! D’où une perte de confiance en Emmanuel Macron, ou en la France, ou en la capacité d’Emmanuel Macron de la réformer. Berlin ne lui tourne pas le dos mais réduit autant que possible les grands projets qu’il avait esquissés

    Il n’y a pas que l’Allemagne à s’inquiéter. Les pays du Nord (Scandinavie, Pays-Bas) montrent la même méfiance. En passant, La Haye nous donne une leçon de Real liberalisme en augmentant sa part dans le capital d’Air France-KLM. Les dirigeants français, tardivement convertis à la mondialisation libérale, devraient prendre quelques leçons : le libéralisme, en parler toujours, n’y penser jamais. Les Américains sont très forts pour cela, et maintenant même les Chinois.

    Comme si cela ne suffisait pas, Emmanuel Macron a tenté de transférer au niveau européen son succès aux présidentielles françaises. Il s’est présenté comme le champion des « progressistes » contre les « populistes ». Comme il avait lancé aux opposants français « qu’ils viennent me chercher » – au risque de donner des idées aux gilets jaunes –, il défie les leaders populistes (« s’ils ont voulu voir en ma personne leur opposant principal, ils ont raison »), il stigmatise la « lèpre » nationaliste. En fait d’image, ce que Macron renforce c’est la réputation d’arrogance que traîne la France. Ainsi la France est seule, ne pouvant compter sur son allié allemand, regardée de haut par les « pays vertueux » du Nord, croisant le fer avec l’Europe de l’Est et du Sud.

    En fait, son succès a trompé Emmanuel Macron. Il attendait la fin de la vague populiste, mais les élections postérieures en Autriche ou en Italie l’ont relancée. Son élection ne signifiait pas que les anywhere l’avaient définitivement emporté sur les somewhere, pour reprendre les termes de David Goodhart. Fin observateur des mouvements d’opinion, Jacques Attali notait lors des dernières rencontres du Cercle des économistes : « Nous avons besoin des nations. Cela a même été une erreur de ceux qui ont voulu le globalisme que de considérer la nation comme une catastrophe »…, une lèpre peut-être ? Même Emmanuel Macron a fini par en prendre conscience et il appelle maintenant à la « protection » et même à la « préférence européenne ». Quelle doit être la place des nations et de l’Union dans la définition de cette préférence ? Telle est la vraie question. Europe fédérale, telle que la voulait Emmanuel Macron en 2017, ou Europe des nations ?

    Dans Les Échos (5 septembre 2018) Édouard Tétreau enfonce le clou. « Le rêve d’une Europe supranationale se brise sous nos yeux […]. Le moment est donc venu de composer avec cette réalité [la nation…]. Cesser de diaboliser les soi-disant nationalistes ». Une autre Europe est possible. C’est à elle qu’est consacré ce numéro.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/21/conflits-21-vient-de-paraitre-et-il-y-est-bien-evidemment-qu-6152742.html#more

  • Allemagne : vers une sortie furtive de l’euro ?

    Un schéma pour mieux comprendre ! Source : Banque de France, direction des Infrastructures de marché et des Systèmes de paiement

    C’est l’Allemagne qui risque de quitter l’Union européenne, en sortant d’abord de l’eurosystème qui oblige à assumer les dettes des pays les plus pauvres, dont le risque de défaut est élevé. Ce sont des choses un peu arides, un peu complexes mais déterminantes. Qu'il faut savoir. 

    Nul n’ignore désormais que l’euro, qui devait « corseter l’Allemagne » dans les vues de Mitterrand, lui a profité au-delà de toute attente.

    Le rapport du think tank allemand d’inspiration libérale Centrum für Europaïsche Politik montre que l’Allemagne, avec l’euro, a littéralement aspiré la richesse du sud (Politique Magazine, n° 179).

    On sait aussi que, du côté italien, la possibilité d’une sortie de l’euro est loin d’être exclue et que des économistes éminents en parlent (Stiglitz, Gave, Delamarche, et, pour le Portugal, Ferreira do Amaral).

    Un romancier italien en a même écrit le scénario : le président du conseil italien informera le directeur de la Banque Centrale Européenne que son pays a décidé de reprendre sa souveraineté monétaire et de donner naissance à la « Nouvelle lire ». Sergio Rizzo : 02.02.2020. La Notte che uscimmo dall’euro (2 février 2020. La Nuit où nous sommes sortis de l’euro), éd. Feltrinelli.

    Target 2, une cible… atteinte !

    Mais ce scénario, pour spectaculaire qu’il soit, masque une réalité plus subreptice, à bas bruit, et cela nous vient d’outre-Rhin. C’est là qu’intervient une institution, bien hermétique au grand public, Target. Il s’agit des dettes et créances entre banques centrales de l’eurosystème. Dans la zone euro, chaque banque centrale peut créer des euros et s’engage à reconnaître pour siennes les créances sur les autres banques centrales de la zone euro à un euro pour un euro. Target 2 désigne le système qui permet de transférer des sommes importantes entre pays de la zone mais, à la différence d’un transfert international, il n’y a pas de garanties d’or et de devises, les autorités monétaires écrivent ces créances dans un livre justement appelé soldes Target 2, sans nantissement aucun. Un pays qui sortirait de l’eurosystème serait alors tenu de régler ces soldes par l’or et les devises. Comme il n’en aurait pas les moyens, il serait donc contraint de faire défaut sur sa dette. L’Italie, par exemple, dispose de ressources en or très inférieures à sa dette (son stock d’or est de 19,8% de ses dettes Target).

    Or nous savons que l’Allemagne détient près de 1000 milliards de créances sur les pays du « club Méditerranée ». Ce mouvement est un pari, à la fois sur la baisse de la valeur des créances par les détenteurs de capitaux des pays du sud et leur appréciation une fois « logés » en Allemagne. En cas de défaut sur la dette, l’Allemagne ferait payer une partie des 1000 milliards à sa population. Faire payer les moins riches des pays riches pour les plus riches des pays moins riches, il est peu probable que l’Allemagne l’accepte. Mais la dette impayée serait aussi répartie entre les pays restant dans l’euro, la France hériterait donc un supplément de dette d’environ 35% de ces 1000 milliards !

    Sortie furtive* ? L’Allemagne à la manœuvre.

    L’Allemagne pourrait demander désormais que les nouvelles dettes Target ne puissent se contracter que contre une garantie saisissable par le créancier : cela se nomme collatéralisation, ce que nous pratiquons tous dès lors que nous empruntons par hypothèque. Mais, hic jacet lepus, la collatéralisation des Target provoquerait aussitôt l’apparition de cours de marchés variables entre les euros émis par les différentes banques nationales de la zone, certaines créances en euros seraient donc plus recherchées, donc les euros seraient plus chers. Cela signe tout simplement la fin de l’euro, car nous retrouvons la logique monétaire internationale.

    La proposition de garanties pour les dettes (collatéralisation) fut faite dès 2012, par le président de la Bundesbank, Weidman, le piège de la proposition étant qu’une banque centrale transférant des fonds via Target devrait donc nantir ce transfert et, en cas d’impossibilité, le transfert serait refusé. La proposition fut écartée par Draghi, qui avait senti le danger.

    Voilà maintenant que l’IFO (Institut für Wirtschaftsforschung) de Munich, institut de recherche économique responsable du Geschäftsklimaindex, l’indicateur très influent du moral des patrons en Allemagne, et donc du climat des affaires, exige que le gouvernement de Berlin intervienne auprès de la BCE « contre une utilisation illégale et excessive des soldes Target ». L’idée de Weidman suit son chemin, le journal Die Welt s’en est emparé et met les pieds dans le plat. Dans ses colonnes, les deux économistes Sinn et Gerken préconisent un plan de remboursement des dettes Target selon un échéancier… en or, étant entendu qu’on ne peut rembourser des dettes Target avec d’autres dettes Target. Au total 154 économistes allemands ont signé un manifeste préconisant la collatéralisation des dettes. Le conseil économique de la CDU (Wirtschaftsrat) réclame lui aussi la collatéralisation.

    On imagine que le SPD y est hostile, mais il est mal en point. Le grand « parti populaire » de gauche de jadis ne rassemble plus que 13,5 % des intentions de vote, loin derrière l’Union chrétienne (CDU/CSU) ; il est au coude-à-coude avec l’AfD, à 13 %. Bernd Osterloh, le président du Betriebsrat (conseil des salariés) de Volkswagen (290 000 salariés), un personnage central du syndicat de l’industrie IG Metall, traditionnellement proche du SPD, multiplie les attaques contre le parti dont il est membre. Il l’accuse de ne pas suffisamment défendre les intérêts des ouvriers face aux mesures écologiques (diesel et électrique) et face à l’UE, un comble ! On voit mal le syndicat accepter aussi de payer pour les pays du sud. La logique hégémonique allemande pourrait prévaloir, s’il s’agit d’intérêts vitaux, au prix du sacrifice de l’euro.

    France : silence assourdissant sur la question

    Certes le projet allemand se fait à bas bruit et personne, en France, dans les grands médias, ne le répercute, de peur sans doute d’accélérer le processus de décomposition de l’euro, ou par enfermement idéologique. Les médias et les politiciens continuent à réciter le catéchisme de l’euro. Dans cette hypothèse, il n’y aura pas de grand soir, l’union monétaire se mourra en silence par une série de glissements techniques, quelque chose comme la technique du voleur chinois, et personne n’en aura prévenu les Français.

    Sauf si quelques dirigeants français s’apercevaient – contrairement à la plupart des souverainistes qui, en attendant, veulent rester dans l’euro – que la France a tout intérêt à quitter l’euro le plus tôt possible. Si, en effet, la Banque de France est encore membre de l’eurosystème au moment du défaut de l’Italie, ou d’un autre pays, elle devra, comme indiqué plus haut, assumer une partie de leur dette. Dans le cas où elle coupe les ponts avec l’eurosystème, les pertes ne seront partagées que par ceux qui sont restés. On peut imaginer que l’Allemagne ne resterait pas non plus passive.

    Ainsi après avoir joué cavalier seul sur la question de l’immigration, eu égard à son vieillissement et à son manque de main d’œuvre, la puissance hégémonique allemande joue aussi la sortie de la « solidarité » monétaire, non sans quelque raison. Alors que, sur le plan politique, l’ère Merkel est en train de se clore, le modèle allemand, fondé sur une orthodoxie budgétaire doublée d’un mercantilisme fort, est arrivé au bout de sa logique, et de sa logique européenne aussi. « C’est assez qu’on ait vu par là qu’il ne faut point agir chacun de même sorte. » La Fontaine, L’âne chargé d’éponges et l’âne chargé de sel.

    Dès 2012, Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie, l’avait dit : « Ce sont les premiers qui quitteront l’euro qui s’en sortiront le mieux ! » Les Anglais n’étaient pas dans l’euro, mais le bruit et la fureur qui accompagnent le Brexit dissimulent les véritables enjeux de demain. IIs sont, à la veille de ces élections européennes, d’une ampleur que les peuples sont loin de percevoir.  

    * La formule est de Vincent Brousseau, ancien membre de la BCE et conseiller de F. Asselineau pour l’UPR.

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/22/allemagne-vers-une-sortie-furtive-de-l-euro-6152850.html

  • L'arnaque du nouveau contrôle technique et de l'UE

    L' UE nous enfonce chaque jour davantage.......

    Je sors du contrôle technique pour ma voiture , résultat : 84 euros ! Il y a 2 ans , je payais 61 euros .Macron et sa clique nous ont fait croire que le nouveau CT ainsi que la flambée de son prix étaient repoussés en juillet 2019 suite aux manifestations des gilets jaunes .
    Il n'en est rien dans les faits ! 
    Et c'est comme ça pour tout le reste .

    Toutes les mesures auxquelles on a fait semblant de renoncer histoire de calmer les esprits ne sont en fait qu'un report à une date ultérieure dans le meilleur des cas ! 
    Je discute avec le mécanicien-contrôleur qui me dit que les nouveaux appareillages de mesure sont en place depuis belle lurette et que donc le report en juillet est caduque .

    Les accélérations sont 3 fois plus importantes sur les véhicules ( j'ai eu peur en entendant le vrombissement insensé du mien ! ) et il m'avoue que sur les voitures anciennes " ça peut tout casser...." , mais "ce sont les nouvelles normes européennes , et ...faut s'y faire " ! 

    Le porte-monnaie des usagers , par contre , je ne suis pas sûr qu'il s'y fera !
    Eh bien pour ma part , ces "normes" européennes commencent à m'exaspérer "grave " pour employer un terme cher à une certaine jeunesse !
    L'UE nous tue à petit feu , et le plus souvent à notre insu , en catimini .

    Notre vie quotidienne en pâtit tous les jours , ainsi que notre pouvoir d'achat.

    Nous vivons sous le diktat absolu de m. Juncker et de son acolyte Macron .........ça ne peut plus continuer ainsi !
    On emmerde les gens ( pardon d'être vulgaire ! ) avec les particules de je ne sais quoi , sachant que les petits travailleurs qui ont du mal à s'en sortir avec leur petite bagnole de 8 ans ne pourront plus payer , mais par contre les plus gros pollueurs de la planète , cargos qui pourrissent la mer et autres avions , sont eux détaxés !
    J'apprends en outre , chose que j'ignorais , que l' UE compte s'attaquer à présent aux pompiers volontaires ainsi qu'à leur statut .............Lamentable .
    Il est temps de réagir ! 

    La France , c'est la France .....pardon pour cette lapalissade , mais notre pays n'est ni l' Allemagne , ni l' Espagne , ni la Grèce , ni tout ce que vous voulez .

    L'UE remet en cause jusqu'à nos valeurs .......c'est une machine débridée qui part dans tous les sens , et qu'on NE PEUT PAS CHANGER , contrairement à ce qu'essaient de faire croire les "progressistes" de pacotille , parce que pour la changer , il faudrait CHANGER LES TRAITES !
    Ceux qui essaient de faire croire que l'UE ,c'est la paix et un rempart contre la guerre , se trompent totalement . 

    Morcelez les peuples , ôtez-leur leur identité et leurs racines , et tôt ou tard ils se révolteront .

    Prenons le cas de l'ex-Yougoslavie , même si ce n'est pas comparable : on a voulu faire un melting-pot avec des groupes qui n'avaient ni la même histoire , ni la même origine , ni les mêmes moeurs , ni parfois la même religion.

    Résultat : chacun a fini par revendiquer son identité propre ........dans la violence et la guerre .

    L'UE est en train de devenir folle , avec 28 états membres , une volonté d'élargissement permanente ( pourquoi pas la Turquie un jour ! ) , une propension inévitable au fédéralisme ( il ne nous manque plus que ça ! ) , une technocratie irraisonnée où seuls dominent les intérêts financiers.Alors STOP ! 

    Stop avant d'être noyés et définitivement dépouillés de tout , que ce soit d'un point de vue collectif ou individuel !!

  • Le Rassemblement national fait face à une chasse aux sorcières ciblée autour de ses liens avec Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump

    22/05/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    L’homme d’affaires conservateur américain gravite autour des mouvements nationalistes d’Europe depuis mi-2018, échangeant notamment avec Matteo Salvini et Boris Johnson. Le Rassemblement national est sous le feu des critiques depuis quelques jours, à cause de certaines rencontres entre monsieur Bannon et des élus du parti.

    Il est reproché à M. Bannon de porter atteinte à la souveraineté des élections. Ces accusations, lancées d’abord par le directeur de la campagne de La République en marche Stéphane Séjourné ce samedi, ont été reprises par le Premier ministre, puis par Nathalie Loiseau lundi matin dans un entretien au Figaro. Le reste de l’échiquier politique a, lui-aussi, lancé ses forces dans cet ultime assaut contre le Rassemblement national.

    Un appel demandant à « enquêter sur les liaisons dangereuses de Le Pen et Bannon » lancé par l’ancien député des Républicains François Lefebvre et signé par une quinzaine de députés allant du Parti socialiste au Modem a ainsi suivi ce lundi.

    À une semaine du scrutin cette union des forces politiques contre le Rassemblement national n’est pas sans rappeler le second tour des élections de 2017. Reste donc à voir si les deux ans de gouvernement Macron qui ont suivi ont fait réfléchir les électeurs français.

    https://fr.novopress.info/

  • Gollnisch interrogé dans Minute : bilan, fin de mandat et nouveau départ !

    Bruno Gollnisch répondait aux questions de l’hebdomadaire  Minute à quelques jours du scrutin européen et à quelques semaines de la fin de son mandat. L’heure d’un premier bilan et le moment de tracer de nouvelles perspectives…

    https://gollnisch.com/2019/05/21/gollnisch-dans-minute/

  • Patriotes réunis à Milan : « Le jour de gloire des patries est arrivé »

    A quoi se mesure la réussite d’une campagne électorale ? A la dynamique qu’elle suscite. Ce qui se passe actuellement, qui s’est matérialisé samedi en Italie, est totalement inédit : l’expression d’une dynamique, plus que cela, l’expression d’un immense courant d’unité, d’espérance, comme on en voit rarement, qui traverse actuellement l’Europe. Il y a eu 1989 et l’effondrement du rideau de fer. Trente ans plus tard, sous nos yeux incrédules, nous assistons à l’ébranlement du rideau de fer mental qui étouffe les peuples d’Europe.

    A Milan, devant plusieurs centaines de milliers de personnes rassemblées sur la grande place du Duomo, la cathédrale de Milan, et aux abords, c’est un message de libération qui s’est exprimé. Cette foule massive, extraordinairement attentive, extraordinairement mobilisée, révélait à la face du monde que les peuples qui composent notre Europe se sont mis en marche, et que cette marche sera irréversible.

    Les organisations politiques de douze des pays composant l’Union européenne avaient appelé à ce rassemblement, point d’orgue d’une campagne électorale globalement peu mobilisatrice, mais où les initiatives, le mouvement, les propositions, sont venus des partisans de l’Europe des peuples, des identités, de la mémoire et de l’enracinement. Matteo Salvini, le chef de la droite italienne et numéro deux du gouvernement, a su faire l’unité des principaux partis souverainistes. Le charisme de cet homme – quasiment inconnu il y a deux ans seulement –, est proprement stupéfiant. « L’Europe a besoin de plus de Salvini », a affirmé le Néerlandais Geert Wilders, sous les ovations de la foule.

    Les tenants du système avaient la conviction que les souverainistes ne seraient d’accord sur rien, ni sur la discipline budgétaire, ni sur la répartition des migrants déjà arrivés, ni sur les rapports avec la Russie, et qu’Orbán et le PiS polonais réintégreraient le « camp du bien » après avoir fait amende honorable. Mais le succès de Milan a montré que les facteurs d’unité et de convergence sont considérables.

    « Reprendre les clés de notre maison »

    Matteo Salvini, Marine Le Pen, Geert Wilders (Parti pour la liberté), ont trouvé les mots qui rassemblent. « Il faut reprendre les clés de notre maison », a lancé Salvini pour qui ces élections constituent « un référendum entre la vie et la mort, le passé et l’avenir, une Europe libre et un Etat islamique basé sur la peur ». « Une religion qui dit qu’une femme vaut moins qu’un homme ne pourra jamais faire la loi chez moi. » « Basta islam », a fait écho Geert Wilders. Quant à Marine Le Pen, elle a rappelé pourquoi le RN dit « non à cette immigration qui submerge nos pays et qui met en danger la sécurité de nos peuples, nos comptes sociaux et nos valeurs de civilisation ». Pour elle, l’Europe, « plurimillénaire », est « fille d’Athènes et de Rome, de la chrétienté et des Lumières ». « Nous voulons vivre en France comme des Français, en Italie comme des Italiens, et plus largement en Europe comme des Européens. » « Le jour de gloire [des patries] est arrivé », a conclu la présidente du RN.

    Ce sont certes les mots d’un meeting, pas la plate-forme politique d’une coalition qui façonnera l’Europe de demain. Mais à Milan, samedi, il y avait davantage qu’une simple démonstration de force, il y avait l’affirmation d’une volonté.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 20 mai 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Renaud Camus et Karim Ouchikh présentent une liste aux élections européennes

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    Source cliquez ici

    L’écrivain et président du parti de l’In-nocence et le président du SIEL (Souveraineté, Identités Et Libertés) affirment être les seuls à avoir “une ligne claire”. Avec ce constat : “le Grand Remplacement est le seul problème sérieux”. Et une seule solution : “la remigration, la décolonisation, la libération du territoire”.

    La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des antiremplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme). 

    D’un côté de cette frontière, il y tous ceux qui consentent au Grand Remplacement, peu ou prou, ou qui le promeuvent, ou qui l’incarnent, ou qui le nient ; de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme. 

    D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence, soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés, soit parce qu’il sert leurs intérêts ; de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner. 

    D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas, soit parce qu’ils la jugent normale, inévitable, bien dans l’ordre des choses ; et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais. 

    Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre, ceux qui s’en réjouissent, ceux qui ne s’en avisent pas, ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte ; et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller. 

    On le voit, cette frontière n’est pas seulement politique, mais historique, et même ontologique. C’est-à-dire qu’elle concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous : leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent. 

    La frontière n’est pas politique, ou pas seulement, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement : soit qu’ils s’en félicitent, comme les plus extrémistes d’entre eux, par antiracisme absolu ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe ; soit qu’il le nient, comme les plus bêtes ou les plus fourbes ; soit qu’ils l’organisent, comme les plus collaborateurs et compromis ; soient enfin qu’ils s’en accommodent sans le dire, ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain — un pas en avant, deux pas en arrière — comme les plus lâches, les plus opportunistes et les plus flous. 

    Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement ; car leur véritable opinion c’est celle-ci : le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée. 

    Nous sommes seuls de l’autre côté de la barrière, seuls à avoir une ligne claire. Nous pourrions même en faire notre nom : la Ligne Claire, au moins à titre provisoire, à l’occasion d’une descente dans l’arène, hors partis, contre partis, le temps des élections européennes. La ligne claire implique un constat : le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution. 

    Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des « quartiers » ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyperviolente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire. 

    Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes ? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont dressés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre. 

    Tout cela est vrai, mais vrai aussi que ces élections sont européennes, et que c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort : d’où notre volonté d’une liste européenne, justement, avec des résistants, des dissidents, des réfractaires antiremplacistes venus de tout le continent. 

    L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire ; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique. Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention. 

    Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence placée au cœur de notre combat existentiel : œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps, sans tremblement ni retour. 

    Outre la ligne claire, celle qui va du constat du Grand Remplacement à la double exigence de la Remigration et de la Désislamisation, nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas : la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.

    Les vidéos de la Ligne claire cliquez là

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