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lobby - Page 1320

  • Migrants, clandestins, immigrés ... : ce sont « des êtres humains » . En voilà un qui a découvert l'eau tiède !

    Migrants, clandestins, étrangers, immigrés : ce sont tous « des êtres humains » ... En voilà un qui a découvert l'eau tiède !

    Eh ! oui : c'est sur BFM-TV, après un édifiant (!) reportage sur la « jungle » de Calais, qu'un obscur représentant de France terre d'asile est venu, doctement, nous asséner cette vérité élémentaire, croyant, sans doute, que cette évidence valait sommation d'accueillir, à Calais et dans toute la France, les 2,8 milliards de personnes - soit près de la moitié de la population mondiale - qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. En tout cas, c'est ce qu'il demandait : « accueillir l'autre » puisque « ce sont des êtres humains » !...

    Mais ce docte inconnu semble oublier que, nous aussi, habitants du pays d'accueil, nous les indigènes, les autochtones, c'est-à-dire tout simplement nous, les Français, nous sommes aussi des êtres humains. Et nous avons aussi des droits : ceux que nous donnent la possession du pays que, depuis des siècles, des millénaires, façonnent nos prédécesseurs. Dans cette « communauté de destin » - mais aussi d'héritage - qu'est la Nation, nous poursuivons l'oeuvre de nos ancêtres à notre tour, maillons dans la chaînes des âges...

    Le donneur de leçons à deux centimes d'euro de France Terre d'asile devrait commencer par le commencement, et reconnaître d'abord les droits des Français dans leur propre pays :

    par exemple, les Calaisiens ont le droit de vivre dans une ville sûre, propre, agréable ; où les « migrants » ne percent pas, chaque nuit, le grillage de votre jardin, comme le montre un peu après le même reportage ; et cela pour vous voler tout ce qu'ils peuvent, et qu'ils iront ensuite déposer sur l'autoroute voisine, afin d'y faire un barrage pour arrêter les camions, mais risquant ainsi de créer des accidents mortels...

    par exemple, les jeunes de Sisco ont le droit, en plein été, d'aller dans les criques de leur village pour s'y baigner, sans qu'une horde de maghrébins ne surgissent, avec un harpon, pour leur faire violence...

    par exemple, les Marseillais ont le droit de sortir en plein jour dans leurs rues, sans risquer de se prendre une balle perdue venue d'une kalachnikov déchargée à cinquante mètres à peine de l'Hôtel de police, c'est-à-dire en plein centre-ville !...

    On se contentera de ces trois exemples récents, mais, l'énumération pourrait durer bien longtemps, de tous ces gens qui sont des êtres humains et qui aimeraient bien être traités comme tels, dans leur pays, qu'ils ont reçu de leurs ancêtres, dont ils prolongent l'aventure...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/09/17/societe-migrants-clandestins-etrangers-immigres-ce-sont-de-5849104.html

  • I-MEDIA S03E31 Loi Taubira : sondage trafiqué médias engagés

  • Bistro Libertés avec Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous

  • Celui qui appelait en 2007 au « métissage de la France » veut maintenant la suspension provisoire du regroupement familial

    Rappel opportun de Politique Magazine :

    "Alors qu’il a débuté sa troisième campagne présidentielle, celui qui appelait en 2007 au « métissage de la France » a affirmé vouloir la suspension provisoire du regroupement familial…

    L’un de ses proches, Eric Woerth, a quant à lui été contredit par le journaliste Jean-Jacques Bourdin au micro de la radio RMC, ce dernier assurant que les lois mises en cause n’avaient fait entrer que 20 000 personnes sur le territoire national en 2015. Les chiffres du ministère de l’Intérieur donnent une autre image.

    L’immigration légale issue d’un rapprochement familial a ainsi représenté 45 % des entrées l’an dernier. On peut obtenir un premier visa de longue durée en France pour rejoindre un membre de sa famille naturalisé (54 000 personnes), mais aussi en habitant chez un proche ne possédant lui-même qu’un titre de séjour temporaire (43 000).

    Les autres sources d’immigration légale sont les visas étudiants (70 000 jeunes, en forte hausse), les visas économiques (21 000 personnes) et les visas liés à une demande dite humanitaire (26 000 titres délivrés sur une demande totale de 80 000 pour la seule année 2015). Cette immigration légale est issue de pays situés en dehors de l’espace économique européen.

    Si les visas de longue durée atteignaient déjà les 150 000 unités annuelles à la fin de la décennie 90, ils se sont élevés l’an dernier à près de 215 000, soit l’équivalent d’une ville comme Bordeaux. Les délivrances de titres de séjour avaient notamment augmenté de 17 % entre 2007 et 2012 sous la mandature de l’actuel président des Républicains, Nicolas Sarkozy…"

    Paula Corbulon

  • L’islam n’est compatible ni avec la République, ni avec l’esprit français, ni avec la civilisation européenne

    « L’islam est compatible avec la République » : de Mélanchon à Marine Le Pen, en passant par Valls, Juppé, Sarkozy et Macron, toute la classe politique répète ce mantra. On les comprend. C’est une police d’assurance politiquement correcte pour l’accès aux médias. C’est aussi rassurant pour les Français à qui on dit « Dormez, braves gens, tout va s’arranger ». Et c’est une démarche électoraliste en direction de la communauté musulmane : les uns escomptent ses voix au premier tour (Juppé, Mélanchon, Macron), les autres espèrent (Sarkozy, Marine Le Pen) éviter une surmobilisation contre eux au deuxième tour.

    Beaux calculs, en vérité ! Mais fondés sur l’erreur (le « wishful thinking ») ou le mensonge.

    Non, l’islam n’est compatible ni avec la République, ni avec l’esprit français, ni avec la civilisation européenne et chrétienne !

    L’islam n’est pas une religion confinée à l’espace privé, c’est une culture, une civilisation, des coutumes, un mode de vie, un droit (la charia), un projet politique.

    L’islam est fondé sur l’affirmation d’une double inégalité : de l’homme sur la femme, du musulman sur le non-musulman.

    L’islam ne reconnaît pas la liberté d’expression : critiquer l’islam c’est « islamophobe », représenter le « prophète », c’est « blasphématoire » et légitime la peine de mort.

    L’islam ignore la réciprocité : l’islam vise la conversion des autres ; il interdit la conversion des siens. Le non-musulman qui épouse une musulmane doit se convertir, tout comme la non-musulmane qui épouse un musulman.

    L’islam impose ses pratiques dans l’espace public sans considération des libertés et de la tranquillité d’autrui : femmes voilées et femmes bâchées, ramadan pour tous, halalisation des abattoirs, des cantines, des restaurants et des grandes surfaces commerciales.

    C’est évidemment incompatible avec les sacro-saintes valeurs de la République. Et les paléo-jacobins qui veulent appliquer aux musulmans la formule de Clermont-Tonnerre en 1789 sur les juifs : « Tout leur accorder comme citoyens, rien comme communauté », n’ont pas compris que la situation était radicalement différente à l’époque de la Révolution et lorsque Napoléon créa le Consistoire israélite : parce que les musulmans sont plus de 10% de la population (et pas 0,2%), parce qu’ils veulent imposer leurs pratiques dans l’espace public (et convertir et conquérir), parce qu’ils ont en face d’eux un Etat faible… et qu’ils sont adossés à des émirats riches et puissants.

    Plus fondamentalement, l’islam est incompatible avec l’esprit français qui accorde beaucoup de place à l’humour, à l’esprit critique, à l’indépendance d’esprit, à la raison.

    Plus fondamentalement encore, la civilisation musulmane, fondée sur la soumission, est opposée à la civilisation européenne et chrétienne, culture de l’incarnation, art de la représentation, valorisation du libre-arbitre, dialectique de la foi et de la raison.

    L’islam est donc incompatible avec notre identité. Il l’est aussi avec notre souveraineté : car c’est un mondialisme qui transcende – et nie – les frontières nationales. L’Oummah, la communauté des croyants, a vocation à unir par-delà les Etats, surtout s’ils ne sont pas à direction musulmane, donc « illégitimes ». Etre souverainiste et croire l’islam compatible avec la République, c’est n’avoir pas tout compris… Chevènementistes, encore un effort !

    Bien sûr, un homme, ou une femme, venu du Maghreb, du Machrek ou du Proche-Orient, peut devenir pleinement français – par le cœur, la culture, le mode de vie – mais cela suppose qu’il ne soit pas musulman ou qu’il ait pris de grandes, de très grandes distances, avec l’islam.

    Arrêtons de bercer les Français d’illusions. Démasquons les balivernes politico-médiatiques !

    Jean-Yves Le Gallou, 17/09/2016

    http://www.polemia.com/lislam-nest-compatible-ni-avec-la-republique-ni-avec-lesprit-francais-ni-avec-la-civilisation-europeenne/

  • Natacha Polony : « le zombie festif en son royaume »

    Dans cette chronique sans concessions, Natacha Polony expose et dénonce le projet de construction en Île-de-France d'un complexe gigantesque de loisir et de commerce, véritable temple à la gloire du consumérisme, qui parachève le bétonnage de la région [Figarovox - 16.09]. Sa critique ne porte pas simplement sur ce projet en tant que tel - ce qui aurait déjà son importance - mais, bien plus essentiellement, sur le cadre, les méthodes, l'idéologie, la visée à long terme dans lequel il s'inscrit : « venir à bout des résidus des temps anciens »; poursuivre le passage au monde orwellien en cours de construction voire d'achèvement. Cette critique est nôtre, et, même si, selon nous, ce n'est pas toujours le cas, Natacha Polony, en l'espèce, a mille fois raison.LFAR    

    Connaissez-vous EuropaCity ? Non ? C'est normal. Les élus et les promoteurs tremblent à l'idée que ce projet d'un gigantesque complexe de loisirs et de commerce au nord-est de Paris ne devienne un « nouveau Notre-Dame-des-Landes ». Alors que font-ils? Ils font vivre la démocratie locale pour éviter les procès en illégitimité futurs ? Non. Ils avancent en silence. Ils imposent le projet en espérant atteindre sans heurts le point de non-retour, le moment où l'on se dit qu'après tout, puisque les bulldozers sont déjà là… Cette semaine a été présenté le compte rendu du débat public tenu depuis mars 2015. Enfin, public… le moins possible. Mais il fallait bien concéder cela à quelques associations. Résultat : un modèle d'équilibrisme qui va permettre au projet de se poursuivre après « quelques amendements ». Et ce constat sublime : « Le projet EuropaCity porte une vision de l'évolution de la société qui n'a pas fait l'unanimité. »

    Résumons donc. La richesse maraîchère de l'Ile-de-France n'est plus depuis longtemps qu'un folklore d'ouvrages culinaires. Qui se souvient encore des asperges d'Argenteuil ? Pourtant, les terres entourant Paris étaient les plus fertiles. Vergers, maraîchage… Il y avait là de quoi nourrir l'innombrable plèbe urbaine. Mais il n'en reste presque plus rien. Peu à peu, les dernières fermes ont été vendues, les dernières terres agricoles recouvertes de goudron, de supermarchés et de parkings aménagés. Ah, si, il reste quelques champs du côté de Gonesse. Aussi de grands esprits ont-ils décidé de venir à bout de ces résidus des temps anciens.

    Un génie, dans le groupe Auchan, a imaginé de bâtir là un complexe pharaonique. Hôtels, restaurants, cinémas, centres commerciaux… Allez, soyons fous, on vous met aussi une piste de ski - pardon, un « snowpark » pour « freestylers ». Et puis, est-ce pur cynisme ou bien faut-il y voir le stade ultime de la stupidité progressiste et de son art de transformer le vrai en faux, on ajoutera même une « ferme pédagogique ». On présente le projet à Jean-Paul Huchon, alors président de la région Ile-de-France, qui trouve ça formidable. Manuel Valls, Nicolas Sarkozy, tout le monde est emballé. Les maires aussi. Il faut dire qu'Immochan, la filiale immobilière du groupe Auchan, sait trouver les arguments : 30 millions de visiteurs par an, dont 6 millions de touristes, 12 000 emplois créés. Le nirvana de l'élu local. Avec l'argumentaire directement issu du cerveau de marketeurs drogués à la boursouflure langagière : une «expérience à 360°» avec « show-émotion », « sun-émotion », « Xtrm-émotion » (traduction pour les ploucs et les plus de 25 ans : « émotion extrême »). Bien entendu, le projet est « écoresponsable ». D'ailleurs, le groupe invite les Franciliens à le « coconstruire ». Comme le précise le sociologue payé pour l'occasion, EuropaCity « anticipe des formes possibles de rupture dans nos modes de vivre » (sic). Bienvenue dans le cauchemar orwellien.

    Toute personne à peu près saine d'esprit serait saisie d'un doute. On prétend donc que 30 millions de personnes, 6 millions de touristes par an, se transformeront en ces « déambulateurs approbatifs » que moquait Philippe Muray, et viendront dépenser l'argent qu'ils n'ont pas (pour ce qui est des Français) et se pâmer devant ce qu'ils auront pu voir à Dubaï ou n'importe où ailleurs. Quintessence du consumérisme festif, Disneyland sans le prétexte de la souris à grandes oreilles. Les zombies contemporains s'ennuient, ils ont besoin de distraction.

    Il a fallu attendre la toute fin du débat public pour que soit produite une étude contradictoire mesurant le nombre d'emplois détruits dans l'ensemble des centres commerciaux existant déjà alentours. Résultat : de 12 000, on passe à 1 200 emplois créés. Au mieux. Peu importe. La région Ile-de-France, désormais présidée par Valérie Pécresse, a rendu en juillet un avis favorable au projet EuropaCity. Pardon, un « feu vert conditionnel ». Traduction : on a compris que tout cela est une aberration environnementale, une promesse de saturation des axes routiers (pas grave, on bétonnera encore pour élargir les routes) et un mensonge pur et simple en matière économique, on a compris mais on le fera quand même. Parce que c'est moderne. Parce qu'on est « tourné vers l'avenir ».

    Une fois que tous les élus auront validé dans l'indifférence médiatique, on sera tout étonné que des citoyens contestent leur décision. Remettre en cause la démocratie représentative et ses merveilleux rouages ? Quel populisme ! La révolte des derniers humains qui refusent le destin de zombies consuméristes infantilisés leur semblera violente. Elle n'est pourtant qu'une trace de vie. 

    Ce projet d'un gigantesque complexe de loisirs et de commerce 

    Natacha Polony     

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Chronique du totalitarisme : lutte gouvernementale contre les sites de soutien aux mères

    Le ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol,a déclaré ce matin qu'elle allait agir contre les sites internet soutenant les mères en détresse, abandonnées par leur conjoint et la société qui ne leur propose que de broyer leur enfant à naître :

    "Le 28 septembre, je ferai une annonce pour expliquer comment nous allons faire reculer ces sites manipulateurs ; des mesures seront prises pour faire cesser ces sites qui trompent les femmes".

    "Il faut en parler, sinon on ne peut pas dénoncer la duplicité ; c'est jeune, c'est moderne... c'est une manière très pernicieuse de dénoncer les difficultés". "Il faut dénoncer la duplicité et la pointer ; de mon point de vue c'est un délit d'entrave numérique(...). Être hostile à l'IVG, c'est la liberté d'opinion, mais tromper des jeunes filles, c'est un délit".

    Et voilà le délit d'entrave numérique. C'est de la graine robespierriste.

    En 1993 a été institué le délit d’entrave à l’avortement, qui permet de poursuivre quiconque dirait le chapelet devant un avortoir. En 2014, le délit d’entrave a été étendu de façon à pouvoir poursuivre ceux qui tentent d’empêcher de « s’informer » sur l’avortement. 

    Selon Yves Daoudal, le premier site à devoir tomber pour crime de non-conformité à la culture de mort obligatoire est semble-t-il celui qui s’intitule «Afterbaize.com ». Un site qui parle comme les jeunes, et qui évoque tous les aspects de la sexualité, de façon décontractée, sans se focaliser spécialement sur l’avortement, et sans considérations religieuses ou morales, mais sans cacher que l’avortement tue un bébé.

    La mère à sa fille enceinte :

    — Je ne te laisserai pas faire la même erreur que moi.

    La fille :

    — C’est moi l’erreur ?

    Michel Janva

  • Le crétinisme réflexe ou les résidus de stupidité marxiste

    Bernard Plouvier

    C’est un phénomène bien connu en médecine : une grave maladie peut laisser de lourdes séquelles. Il est évident que l’infection marxiste a profondément lésé le cerveau de ses adeptes.

    En 1936, en 1945-46, en 1981, les victoires électorales des marxistes mous (les socialistes) ou réputés « durs » alors qu’ils n’étaient que les hommes et femmes-liges de Moscou, puis de Pékin ou de La Havane, furent l’occasion d’une orgie de nationalisations d’entreprises privées. Pour les historiens modernes, c’est même devenu – crétinisme universitaire oblige – le critère d’un « gouvernement socialiste ».

    La nationalisation n’est, en réalité, que le meilleur moyen de ruiner à terme une entreprise, ce dont on s’aperçoit lorsque l’État, ruiné ou accablé de dépenses sociales, ne peut plus faire face au « gouffre à fric » que sont devenues ces sociétés, saturées de personnel inutile, inefficace, improductif, engagé pour complaire aux amis des partis qu’un vote a gratifié de l’apparence temporaire du Pouvoir et aux affiliés des syndicats les plus démagogiques, dont on redoute la capacité de nuisance.

    Les vieux réflexes reviennent en période de démagogie électorale. La société Alstom a des problèmes (comme en rencontrent presque toutes les grandes sociétés européennes, victimes de la concurrence acharnée nord-américaine et asiatique), aussitôt le pseudo-gauche dure, dirigée par un millionnaire en euros, trouve le « remède miracle » : il faut nationaliser !

    On aperçoit alors le vide intellectuel régnant chez les populistes. Eux savent – du moins en principe, s’ils ont étudié l’histoire européenne du XVIIe au XXe siècles – que le meilleur moyen de stimuler l’économie est d’encourager l’initiative privée, en fermant les portes aux importations et en aidant par tous les moyens les exportations, le but étant de préserver au maximum l’emploi des nationaux.

    Que, pour cela, il faille passer des accords d’État à État en se débarrassant du carcan globalo-mondialiste imposé à la soi-disant Europe Unie par les multinationales, ainsi qu’être maître de sa monnaie comme de ses règlements de fabrication et de commercialisation, c’est une évidence. Pour éviter des pertes d’emploi, que l’on ait même recours au dumping va de soi : les USA, le Japon, la Chine l’ont fait et le font encore.

    Que pour rendre à la Nation française sa puissance, il faille stimuler l’emploi des autochtones et renvoyer dans leurs continents d’origine les millions de parasites sans travail ou qui peuplent prisons et camps de réfugiés, c’est également une évidence. C’était d’ailleurs le discours des Léon Blum et Roger Salengro lors du Front populaire… il serait temps que nos brillants universitaires rappellent quelques vérités occultées par la pseudo-gauche friquée globalo-mondialiste.  

    Pour redresser la France, il faut d’abord rééduquer les Français, non pas à coup de mensonges ou de réflexes grotesques, mais en rappelant l’expérience réelle du passé. Et l’on comprend mieux pourquoi nos maîtres cassent l’enseignement de l’histoire.

    Hélas ! Qui va faire connaître ces vérités ? Étymologiquement, la propagande, c’est l’art de dire ce qui est utile à la Nation et non ce que veulent faire croire de pitoyables représentants de commerce des chapelles religieuses ou politiques. Il est évident que, pour eux, tout se résume à répandre des bobards pour conquérir les postes publics si agréables aux bons à rien, les sinécures si nombreuses et si juteuses de notre Ripoublique.

    Un jour, peut-être, les populistes de France cesseront leur expérience de centre-droit et redeviendront ce qu’ils doivent être : des hérauts de l’honnêteté et de l’efficacité pour que notre Nation retrouve son rang en Europe.

    On peut, pour l’heure, laisser le reste du monde aux requins de New York, Washington, Tokyo et Pékin. Les Européens reviendront civiliser les continents meurtris et ruinés, une fois passé le cyclone de l’économie globale.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/16/le-cretinisme-reflexe-ou-les-residus-de-stupidite-marxiste-5848462.html

  • Lutter contre la GPA sans abroger la loi Taubira est un leurre

    Interrogé hier dans l'Emission Politique, Nicolas Sarkozy a répété avoir « évolué » sur la question du mariage et que s’il était élu, il n’abrogerait pas la loi Taubira.

    Néanmoins, il déclare s'opposer à la GPA, mais nous savons bien que c'est la loi Taubira qui a ouvert la porte à la légalisation de la GPA. Lutter contre la GPA sans revenir sur la loi Taubira est là aussi un leurre.

    Michel Janva

  • La sénatrice Lienemann : Faire interdire Zemmour par le CSA au nom de la République !

    Lucette Jeanpierre Riposte laïque cliquez ici

    Marie-Noëlle est aujourd’hui âgée de 65 ans, comme Mélenchon. Elle est sénatrice de Paris et fut députée européenne, ministre déléguée au Logement et au Cadre de vie dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy, secrétaire d’État au Logement dans le gouvernement de Lionel Jospin, députée de la septième circonscription de l’Essonne, conseillère régionale de la région Nord-Pas-de-Calais, conseillère générale du canton de Massy, maire d’Athis-Mons, adjointe au maire d’Hénin-Beaumont et de Massy.

    Elle fut longtemps, avec Julien Dray et Jean-Luc Mélenchon, la figure de proue de la Gauche socialiste, ce groupuscule d’anciens trotskistes qui choisissaient de faire carrière au PS, tout en faisant semblant de la gauchiser.

    La malheureuse a passé un très mauvais week-end, à cause du très méchant Eric Zemmour.

    « C’est terrible », gémit-elle, sur le plateau de LCI. Incapable de citer les trois phrases qu’elle avait gardée sous le coude, elle bredouille que le journaliste du Figaro aurait sommé les musulmans de choisir entre la France et l’islam. Et selon elle, de tels propos doivent être interdits, rien de moins.

    Elle compte donc saisir le CSA, mais avec d’autres organisations politiques, tout en disant que ce n’est pas politique, mais au nom de la République. Il paraîtrait qu’Eric aurait touché au bien le plus précieux de la grandeur de la France. Et la sentence tombe : le voilà qualifié de « honte nationale », rien de moins.

    Décidément, à l’aile gauche du PS, on paraît avoir un problème avec la liberté d’expression, quand celle-ci se traduit par des propos que les bien-pensants ne partagent pas. Faut-il rappeler que Méluche demandait l’interdiction du FN, rien de moins. Faut-il rappeler que son bras droit, Corbière, a fait interdire de Salon littéraire Pierre Cassen et Christine Tasin, qui devaient exposer le livre « Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays », à la mairie du 16e arrondissement. Faut-il rappeler que c’est à Julien Dray qu’on doit Sos Racisme, et ses multiples plaintes contre tous ceux qui s’opposent à l’invasion migratoire et dénoncent sa réalité.

    Dans la même lignée, Marie-Noëlle Lienemann va donc saisir le CSA. Que signifie cette démarche, et qu’attend-elle ? Si elle est cohérente, elle va sommer cette police politique des médias de faire savoir aux rares chaînes qui osent encore inviter Eric Zemmour de ne plus le faire, puisque ces paroles sont si « terribles » que cela. Elle demande, comme l’avait fait la CGT des médias, l’interdiction du journaliste des médias, rien de moins.

    Marie-Noëlle Lienemann incarne jusqu’à la caricature le Parti millénaire des collabos, que dénonce avec talent l’essayiste. Alors que les soldats d’Allah ont tué près de 250 personnes en France, en moins de 18 mois, et qu’ils prétendent interdire toute critique de l’islam, l’amalgamant à du racisme, l’islamo-collabo Lienemman, en service commandé, accède à leur demande, en demandant des sanctions contre la seule personne publique qui a le courage de dire la vérité sur l’islam. La sénatrice socialiste joue la cerbère de l’ordre islamiste qui se met en place, et applique à la lettre l’article 22 de la déclaration des Droits de l’Homme en Islam », qui conditionne la liberté d’expression au respect de la charia.

    Elle incarne cette gauche totalitaire incapable de débattre sans invectiver, insulter et interdire, au nom du camp du bien. Se disant catholique, elle excommunie tout ce qui la dérange, au nom des idéaux de la République. Bien loin d’un Voltaire qui réclamait la liberté d’expression de ses contradicteurs, elle veut les faire taire, comme l’ont fait avant elle ses ancêtres politiques Staline, Mao ou Pol Pot, chez qui toutes les Marie-Noëlle Lienemann auraient fait merveille.

    Faut-il rappeler à cette grande donneuse de leçons républicaines qu’elle fut maire-adjointe à Hénin-Beaumont, ville rongée par la mafia socialiste locale et l’affairisme, et qu’elle échappa miraculeusement à la Justice, contrairement à d’autres de ses camarades, comme le maire Gérard Dalongeville ?

    Immigrationniste folle, islamo-collabo notoire, Marie-Noëlle a été, tout au long de sa carrière politique, une active militante de la destruction quotidienne de la France et de la République, qui a mangé – fort bien – dans la gamelle socialiste, en essayant de se donner une bonne conscience de gôche.

    Entre Eric Zemmour et elle, il y a toute la différence entre un esprit libre et une pensée dogmatique figée, entre un Résistant et une collabo, entre un Français et une internationaliste, entre un homme courageux et une lâche balance, entre un homme de conviction et une opportuniste, entre un journaliste admirable et une politicarde méprisable.

     

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