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lobby - Page 1521

  • Les policiers interpellent Taubira après la permission accordée à un braqueur fiché "S"

    Un policier est dans "un état désespéré" après avoir été pris pour cible par un braqueur lundi matin. Ce dernier est un détenu fiché pour radicalisation et qui était en cavale après ne pas être revenu d'une autorisation de sortie.
    Lundi matin, deux braqueurs sont pris en chasse par la BAC. Une course-poursuite s'engage. Des coups de feu sont échangés. Un des policiers s'effondre. Il est depuis "dans un état désespéré". Un braqueur est lui mort. Il était en cavale et fiché "S" pour radicalisation. Quelques heures plus tard, les syndicats policiers demandent à Christiane Taubira d'expliquer comment un tel détenu a-t-il pu bénéficier d'une permission avant de fuir? 
     
    Le policier, blessé au cou dans la fusillade en Seine-Saint-Denis, était ce mardi dans un état jugé désespéré.afp
    Le braqueur était un détenu radicalisé et en cavale
    Agé de 24 ans, le malfaiteur connu pour une trentaine d'antécédents judiciaires, notamment des vols à main armée et des violences volontaires, était en cavale depuis mai. Les investigations sur son évasion avaient abouti à un signalement pour radicalisation. 
    "Il n'avait en effet pas réintégré son établissement pénitentiaire en mai après une permission de sortir. Il était recherché depuis lors, le parquet avait émis un mandat de recherche et il était donc inscrit au fichier des personnes recherchées", a indiqué le porte-parole de la Chancellerie, Olivier Pedro-José. 
    "C'est intolérable et cela veut dire qu'on aurait pu éviter que notre collègue se trouve aujourd'hui entre la vie et la mort", a expliqué le secrétaire général adjoint du syndicat policier Alliance (majoritaire), Frédéric Lagache. 
    "Angélisme pénal" contre "islamo-délinquance"
    "Il est moralement inconcevable qu'on puisse libérer pour une permission un individu aussi dangereux pour la société. Les policiers vont attendre de la ministre de la Justice des comptes car elle a le devoir de s'expliquer pour nous, policiers, mais surtout pour sa famille", a-t-il ajouté. 
    "L'angélisme pénal que nous dénonçons depuis des années n'est plus adapté face à l'islamo-délinquance", a déclaré Patrick Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie-officiers. "Ce qui est aberrant, c'est qu'un individu avec ce profil ait pu bénéficier d'un aménagement de peine et d'une permission sans garantie." 
    "Il va falloir expliquer comment un individu avec ce profil, visiblement en voie de radicalisation, a pu bénéficier d'une permission de sortie. Plutôt que d'avoir une fiche S a son sujet il fallait le garder sous les verrous", a déclaré le secrétaire général adjoint et porte-parole du syndicat SGP-FO Nicolas Comte.
    source

  • La grande peur des bien-pensants : le peuple souverain

    Le duo Merkel-Hollande a été particulièrement éreinté, lors de son passage mardi dans l’hémicycle du parlement européen de Strasbourg, par les réponses des députés patriotes et souverainistes à leurs discours, notamment ceux de Marine Le Pen et Bruno Gollnisch. En Allemagne même, la chancelière allemande subit une perte significative de sa cote de  popularité générée par l’afflux des immigrés. Selon les résultats du sondage d’Infratest Dimap rendus publics jeudi dernier, elle est  passée de 75% en avril   à 54%. Les largesses de Mme Merkel devraient conduire l’Allemagne à accueillir cette année, selon des estimations revues à la hausse,  environ un million et demi de demandeurs d’asile, idem en 2016…dans l’attente du regroupement familial qui fera gonfler mécaniquement la vague. Selon cette même enquête d’Infratest Dimap et par rapport à la même étude réalisée en septembre, ce sont 13% de plus d’Allemands qui expriment leur inquiétude devant cette arrivée massive de réfugiés que le ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière qualifie comme des gens «(ne se comportant) pas du tout comme des gens dans le besoin». Selon des chiffres qui circulent actuellement dans les médias allemands, rapportait une dépêche du site russe Sputnik, «un réfugié sur trois est un faux Syrien» outre-Rhin et «les économistes ont évalué les dépenses approximatives des contribuables allemands pour les migrants à environ 11 milliards d’euros.»

     

    Plus largement,  c’est toute la Mitteleuropa qui se cabre devant cette folle xénomanie d’Angela Merkel avec la multiplication ces dernières semaines dans de nombreuses villes des manifestations contre l’immigration. En Autriche même, nos amis du FPÖ  ont obtenu il y a quelques jours plus de 30% des voix aux élections régionales de Haute-Autriche, multipliant leur score par deux. En Allemagne même, dans le land de Bavière, le premier sur le plan économique, le président du CSU bavarois, Horst Seehofer, formation alliée du CDU de Mme Merkel,  a dénoncé  cette politique d’invasion migratoire en présence du chef de l’Etat hongrois,  Viktor Orban. M. Seehofer a menacé de fermer les frontières de son land en cas de poursuite de cette invasion…. Un véritable coup de tonnerre, même si cette information, n’a pas été relayée dans nos « grands » médias.

    En France, les élections régionales apporteront, selon toute hypothèse, la confirmation dans les urnes de l’attachement des Français à une France française, libre et souveraine. Ce qui ne manque pas de déclencher la fébrilité des adversaires du FN qui, pour faire trembler dans les chaumières –mais quel aveu d’impuissance !- franchissent allégrement le point Godwin.

    Mercredi matin, sur Europe 1, invité de Jean-Pierre Elkabbach, le candidat de l’alliance LR-UDI-Modem en PACA, Christian Estrosi, a déclaré que l « le Front National était une entreprise de recyclage de nazillons locaux dans sa région »…recyclant pour sa part sans grande imagination les vieux fantasmes de l’extrême gauche et du PS. Plus c’est gros plus ça passe ? On peut aussi se le demander à l’écoute hier du chef de l’Etat en déplacement au site-mémorial du Camp des Milles (Bouches-du-Rhône), en présence de Najat Vallaud-Belkacem et de Christiane Taubira.

    Dans la foulée de son discours prononcé à Strasbourg, focalisé sur la dénonciation des nationaux et souverainistes, François Hollande a évoqué « les peurs et ceux qui utilisent les angoisses pour diviser, séparer et parfois détester, pour créer la suspicion, la défiance et conduire à l’impossibilité de vivre ensemble (…). Nous avons le devoir de refuser certains mots qui sont prononcés et dénoncer les effets de ces mots qui traduisent les divisions, les amalgames, le ressentiment, les discriminations ». La critique, note Bruno Gollnisch, pourrait être attribuée plus légitimement à certaines personnalités de sa famille politique, à commencer par Manuel Valls…

    Face aux «tentations, aux comportements, aux mots et aux actes ici, ailleurs et partout, nous devons enseigner et transmettre toute l’histoire avec exactitude face aux faussaires et face au négationnisme» a-t-il encore annoncé, précisant la mise sur le marché « d’ici la fin de l’année » d’ un énième texte pour faire de « toute inspiration raciste ou antisémite une circonstance aggravante pour une infraction ». Ce n’était pas déjà le cas ?! De qui se moque-t-on ? Des Français assurément.

    Le terrorisme idéologique, judiciaire, sémantique de la  gauche euromondialiste et/ou immigrationniste est de plus en pesant, insupportable pour nos compatriotes. Français qui sont dénoncés comme des déviants, des égoïstes, des xénophobes au simple motif qu’ils veulent rester maitres chez eux et transmettre un héritage.

    Dans son dernier éditorial du bimensuel de l’AF, François Marcilhac cite Natacha Polony qui, dans Le Figaro, en date du 25 septembre, expliquait « pourquoi Libé  ou Le Monde s’en prennent avec une telle violence à des intellectuels pourtant de gauche qui constatent le retour du refoulé («le retour des logiques nationales », NDLR) et en prennent acte, sans nécessairement s’en réjouir. Le crime de Michel Onfray, de Jacques Sapir ou de quelques autres intellectuels cloués au pilori porte un nom : le souverainisme. »

    « Le vrai crime de Michel Onfray, de Jacques Sapir ou encore Christophe Guilluy se penchant sur la  France périphérique poursuit F. Marcilhac, est précisément de s’apercevoir, contre leur propre tradition idéologique, à la faveur, notamment, mais pas uniquement, d’une réalité migratoire qu’ils se mettent à interroger , que derrière un peuple souverain conceptuel, hors-sol, existe un peuple de chair, qui s’interroge, qui souffre, voire qui refuse sa disparition programmée ». Un peuple qui pour reprendre le contrôle de son destin, doit utiliser impérativement une arme (encore) autorisée : le bulletin de vote.

    http://gollnisch.com/2015/10/09/la-grande-peur-des-bien-pensants-le-peuple-souverain/

  • Le racisme chromosomique de ’Charlie Hebdo’

    Jean-Marie Le Méné est président de la Fondation Jérôme Lejeune. Il revient sur la dernière Une de Charlie Hebdo qui titre, ‘Morano, la fille trisomique cachée de de Gaulle’. Pour lui, « en se faisant complice de la haine d’une partie de la population, celle des trisomiques, qui fait l’objet d’un ostracisme radical, Charlie a mis un terme à l’état de grâce du 11 janvier ».

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    Une caricature, c’est comme un putsch. Il faut que ça marche du premier coup sinon c’est pire que tout. Reconnaissons à la Une de Charlie Hebdo d’avoir même essayé de faire d’une pierre deux coups. L’intention du journal était de discréditer des propos de Nadine Morano en la faisant passer pour une idiote. Quoi de plus évident pour le caricaturiste que de la comparer à une personne porteuse de trisomie qui est le handicap mental le plus fréquent, le plus visible et le moins bien accepté. Dans le passé, Charlie a d’ailleurs plusieurs fois « utilisé » les trisomiques à l’appui de son discours.

    Ce faisant, en assimilant Mme Morano à Anne de Gaulle, trisomique elle aussi, Charlie espérait gagner sur un autre tableau. Il plaçait les successeurs du général en posture délicate. S’ils se taisent, ils laissent insulter la mémoire du grand homme. S’ils le défendent, ils deviennent solidaires de l’amour inconditionnel qu’il portait sa fille handicapée mentale. « Cette enfant était aussi une grâce, elle m’a aidé à dépasser tous les échecs et tous les hommes, à voir plus haut », disait-il.

    En réalité, le putsch est raté. Pour trois raisons.

    Il victimise Mme Morano plus qu’il ne l’accable. En effet, dans nos sociétés occidentales, la trisomie représente la monstruosité absolue. Etymologiquement, le monstre est celui qu’on montre du doigt pour s’en distancier. Or, collectivement, la société française a décrété que les trisomiques étaient tellement monstrueux qu’elle devait ne plus les faire naître grâce à la mise en œuvre d’une politique eugéniste systématique, soutenue à grand frais par l’Etat. Les trisomiques forment la première population proprement éradiquée en raison de son génome et sous pavillon de complaisance médicale. Une première dans l’histoire. Etre diagnostiqué trisomique aujourd’hui, c’est être condamné à mort dans 96 % des cas. Car dans notre pays, on peut être vivant biologiquement et mort socialement. Tel est bien le message de la caricature : il faut tuer Morano socialement. [...]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-racisme-chromosomique-de

  • L'armée syrienne avance, l'Otan s'inquiète des opérations russes

    L'armée syrienne a avancé jeudi dans son offensive majeure lancée avec le soutien du Hezbollah libanais et de l'aviation de la Russie, dont l'engagement dans le conflit inquiète de plus en plus l'Otan.

    Les soldats syriens se sont emparés de la majeure partie d'une colline stratégique, Jib Ahmar, dans l'ouest de la Syrie, "avec l'aide du Hezbollah", a annoncé à l'AFP une source militaire.

    L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a confirmé cette avancée réalisée par l'armée et par "des milliers de miliciens des Forces de défense nationale (FDN) entraînés par les Russes et le Hezbollah" sur la colline, située dans la province côtière de Lattaquié (ouest).

    Au neuvième jour de leurs frappes aériennes en Syrie, les Russes ont continué à intensifier leurs raids en bombardant 27 cibles dans les provinces de Raqa (nord), Homs et Hama (centre), selon l'armée.

    Le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a déclaré s'attendre à ce que la Russie "commence à subir des pertes" humaines "dans les prochains jours".

    M. Carter était à Bruxelles pour une réunion des ministres de la Défense des pays membres de l'Otan, dont le secrétaire général Jens Stoltenberg a qualifié d'"escalade inquiétante" l'engagement militaire russe.

    L'Alliance, qui n'est pas directement impliquée dans le conflit syrien, a de nouveau exhorté Moscou à cesser de soutenir le régime du président Bachar al-Assad, et s'est dite prête à défendre chacun de ses membres, "y compris la Turquie", voisine de la Syrie. Ankara a récemment accusé la Russie d'avoir violé son espace aérien.

    - 'Capacité de combat' diminuée -

    Moscou avait annoncé mercredi que ses raids étaient "synchronisés avec les opérations terrestres" de l'armée syrienne, qui tente de reconquérir les territoires conquis ces derniers mois par les groupes rebelles et l'organisation Etat islamique (EI).

    "L'armée a commencé une vaste offensive en vue d'écraser les groupes terroristes et libérer les régions et localités qui ont souffert du terrorisme", a annoncé jeudi le général syrien Ali Abdallah Ayoub.

    La colline de Jib Ahmar, située sur une chaîne montagneuse à l'intersection des provinces de Hama et de Lattaquié, est une position stratégique car elle domine la plaine de Sahl al-Ghab, dont une partie a été conquise récemment par une alliance de rebelles islamistes et du Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda.

    L'objectif de l'armée est de reprendre le terrain perdu dans cette plaine afin d'éviter que les insurgés ne coupent les liaisons entre les provinces de Hama et de Lattaquié.

    L'armée a diffusé une vidéo intitulée "Début de l'opération militaire à Idleb et Hama", dans laquelle on la voit utiliser différents types d'armements. Une partie de ces équipements ont été fournis par la Russie, dont les bombardements ont commencé à "diminuer la capacité de combat (...) des groupes terroristes", a souligné le général Ayoub.

    - Missiles de croisière -

    Depuis le début le 30 septembre de son intervention, la Russie a effectué des bombardements depuis des avions de combat et des croiseurs en mer Caspienne mais n'a pas engagé de troupes au sol.

    M. Carter a déploré le fait que les Russes aient "tiré des missiles de croisière d'un navire depuis la mer Caspienne sans avertissement" et que certains de ces missiles se soient "approchés de quelques kilomètres d'un de nos drones".

    La Russie a démenti jeudi que quatre des missiles de croisière qu'elle a tirés mercredi vers la Syrie depuis la mer Caspienne soient tombés en Iran, comme l'a affirmé un responsable américain, confirmant une information de CNN.

    "Quatre missiles russes sont tombés hier en Iran", a déclaré à l'AFP un responsable américain.

    "Nous pensons que quatre des 26 missiles tirés mercredi par la Russie vers la Syrie sont vraisemblablement tombés en Iran", a indiqué un autre responsable à l'AFP.

    "Tous les missiles tirés de nos croiseurs ont atteint leur cible", a répliqué dans un communiqué le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général Igor Konachenkov.

    Les derniers raids de l'aviation russe ont notamment détruit des stocks d'armes et des caches souterraines, a indiqué le ministère russe de la Défense. Ils ont également bombardé "onze secteurs où se trouvaient des camps d'entraînement de combattants de l'EI dans les provinces de Hama et de Raqa".

    En outre, selon une source de sécurité sur le terrain, des combats ont opposé l'armée et les jihadistes de l'EI autour du champ gazier de Chaer, dans la province de Homs.

    Plus au nord, dans la province d'Alep, au moins 12 personnes ont été tuées dans un attentat à la voiture piégée à Hreitan, une région contrôlée par des groupes rebelles dont le Front al-Nosra, a indiqué l'OSDH, qui précise que l'EI est accusé de cette attaque.

    source : Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuuFZEkVlwUqTKIIA.shtml

  • Et la haine des Français, c'est permis ?

    L'AGRIF sera face aux auteurs de Nique la France le 21 octobre 2015 à 13 h 30  à la cour d’appel de Paris. À cette occasion, l'AGRIF interpelle les parlementaires:

    "Madame, monsieur le député, 

    NLe 21 octobre prochain à 13 h 30, la cour d’appel de Paris entendra les plaidoiries dans le procès engagé contre les auteurs du brûlot et de la vidéo intitulés tous les deux Nique la France.  Le brûlot est un album d’images de personnages narquois avec le doigt levé – le « doigt d’honneur » – en un geste de haine à l’égard de la France.

    La vidéo publiée sur les plateformes de vidéo en ligne est tout aussi choquante et insultante, tant pour les citoyens Français que pour les symboles de la République et de la cohésion nationale. Elle a fait l’objet d’une diffusion non négligeable : elle a été en effet vue plus de 152 000 fois sur Youtube et plus de 77 000 fois sur Dailymotion.

    L’auteur des propos de cette « chanson » et de ce texte, Saïd Bouamama, appelle clairement à la provocation à la discrimination, à la haine et à la violence à l’égard des Français dit de souche, en raison de leur origine et de leur appartenance à  une race.

    Les Français y sont qualifiés, indistinctement, de « gros beaufs qui ont la haine de l’étranger », de « nazillons », de « petit gaulois de souche », ou encore de « bidochons ». La France est qualifiée de « pays puant, raciste et assassin ».  Les symboles républicains et les valeurs portées par la France y sont bafoués et salis : « Et c’que je pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles, j’vais pas te faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leurs symboles écœurants ». Au milieu de ce déversement de haine et de racisme, l’auteur n’hésite pas à faire référence à des groupuscules terroristes ultra-violents comme le sordide NKP : « Mais on va pas se laisser faire, se laisser bâillonner, on va pas lâcher l’affaire, comme l’élite du NKP ».

    Alors qu’actuellement des milliers de personnes quittent leur pays, leur famille et leurs biens pour rejoindre la France, parce qu’ils croient en elle, en ses valeurs et en son humanisme celle-ci peut-elle se laisser insulter, bafouer et piétiner ? Comment peut-on laisser de tels propos racistes et anti-français se déverser dans les librairies et être diffusées librement sur internet, alors que des milliers de personnes qui veulent devenir Français et qui font des efforts considérables pour s’intégrer à la vie de la cité le font, justement, parce qu’ils aiment la France ?

    Le racisme est un fléau de notre société. Il ne doit faire l’objet d’aucune  sympathie, parce que, derrière ce genre de propos, c’est une dialectique dangereuse de guerre civile et de destruction de la cohésion sociale qui est engagée. La lutte des races ne doit pas se substituer à la lutte des classes.

    Madame, monsieur le député, alors qu’approche l’audience du procès en cour d’appel, nous estimons en conscience de notre devoir de vous solliciter pour prendre une position publique sur cette affaire grave qui touche au fondement du pacte social et à l’essence universelle de la loi qui condamne  toutes les formes de racisme.

    Veuillez recevoir nos salutations respectueuses,

    Le bureau de l'AGRIF"

    Michel Janva

  • Manuels scolaires : Vallaud-Belkacem veut supprimer les contes traditionnels

    Najat Vallaud-Belkacem, la piètre ministre de l’Éducation Nationale, a publié un communiqué mercredi qu’elle entendait traquer les stéréotypes de genre jusque dans les manuels scolaires. Ainsi les nouveaux programmes (CP jusqu’à la 3ème) « sont une occasion importante pour améliorer les manuels et ainsi prévenir les discriminations de stéréotypes qui alimentent les inégalités entre les élèves. ».

    La sinistre s’appuie sur une « étude » du centre Hubertine Auclert (association féministe militante) pour partir en guerre contre les contes traditionnels tel que Le Petit Chaperon rouge ou Cendrillon.
    Selon les harpies féministes « de nombreux contes issus de la culture populaire » sont « truffés de représentations sexistes, ils ont valeur d’autorité littéraire et cantonnent le plus souvent les personnages féminins à des rôles stéréotypés. »

    Le rapport en profite pour attaquer la représentation du couple homme-femme et réclament des « modèles familiaux diversifiés » dans les manuels scolaires pour enfants de 5 ans…

    http://www.contre-info.com/manuel-scolaire-vallaud-belkacem-veut-supprimer-les-contes-traditionnels

  • Je suis trisomique

    Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune condamne la UNE de Charlie Hebdo qui blesse les personnes trisomiques et les familles :

    L« Au lieu de condamner le racisme, Charlie Hebdo le nourrit. Il n’a pas compris la tragédie de la trisomie. Les trisomiques sont discriminés sur la base d’un vieux préjugé raciste. On a longtemps considéré qu’ils étaient le fruit d’une dégénérescence de la race blanche vers la race jaune, d’où le nom de « mongoliens » qui leur était donné autrefois. Mais l’eugénisme moderne a pris le relais du racisme historique d’autrefois et le résultat est pire qu’avant puisqu’il est admis que leur vie ne mérite pas d’être vécue : en France les enfants trisomiques sont éradiqués avant leur naissance (96 % des fœtus détectés trisomiques sont éliminés). Pour en découdre avec le supposé racisme de Morano, Charlie utilise donc une rhétorique explicitement eugéniste, c’est à dire raciste, d’un racisme chromosomique aussi détestable que les autres. Se faire le complice d’un racisme pour en prétendre en abattre un autre apparait d’une efficacité douteuse »

    La Fondation Jérôme Lejeune se fait l’écho de nombreux parents d’enfants atteints de trisomie :

    « Représenter un bébé trisomique qui crache et qui est méchant, d'où cela sort-il ?? Monsieur  Riss vous plaquez vos propres peurs que vous avez de l'enfant différent. C'est vous le handicapé finalement ; complètement bloqué dans vos peurs et vos représentations que vous en faites .... Mais tout cela est fini depuis bien longtemps!! Les enfants trisomiques ont un nouveau visage ! Aujourd'hui les enfants trisomiques font des défilés de mode, écrivent des poèmes, jouent au théâtre, au cinéma, font du sport de haut niveau ... Et j'en passe ! Il est temps de les découvrir comme ils sont, je vous invite à parcourir "Tombée du nid". » (Clotilde Noël, qui vient de publier un livre « Tombée du Nid »)

    « Je veux dire mon « ras le bol » de ces atteintes à la dignité et de ces stigmatisations aussi méchantes que bêtes. La méchanceté visait Madame Morano, mais par bêtise et intérêt, ce sont toutes les personnes atteintes par cette maladie qui sont victimes. » (François-Xavier)

    « Je ressens en tout premier de l'indignation à voir employer le mot "trisomique" comme une insulte, un motif de culpabilité, une information à cacher de l'opinion publique. Ensuite, l'emploi de ce terme dénote une absence totale de connaissance de la maladie, du terme même, comme les enfants qui se traite de triso, de mongol, etc...sans avoir aucune idée de la signification du mot. » (Brigitte)

    «  En tant que parents, je suis en colère contre autant de vulgarité et de méchanceté facile envers des personnes qui n'ont que leur bonté à exposer. » (Robin)

    « Se servir de la liberté d’expression comme paravent à toutes les outrances dont les personnes les plus vulnérables font les frais (ainsi que leurs parents et entourage) reste insupportable. » (Emmanuel)

    « Comme mère d'enfant différent, je me sens bafouée. » (Axelle)

    Michel Janva

  • ANGOISSE DES ECOLO-GUIGNOLOS : VERS L’ECHEC DE LA COP21 ? (par l’Imprécateur)

    À Biot, Cannes, Mandelieu, « on n’a jamais vu ça » et aussitôt le slogan est lancé « c’est un effet du réchauffement climatique. » Le manque de mémoire des gens peu surprendre, celui des pseudo-scientifiques qui s’autoproclament climatologues encore plus. Des inondations comme celle de ce 3 octobre 2015, il s’en est déjà produit des dizaines qui furent parfois plus fortes encore, en l’absence d’urbanisation excessive et irréfléchie, un mal dénoncé lui aussi, sans fonte des glaciers et de la banquise, sans usines chimiques et moteurs diésels, sans centrales nucléaires. Pour le vérifier, il suffit de consulter les archives des municipalités et des paroisses, comme l’a fait Emmanuel Leroy-Ladurie (Histoire du climat depuis l’an mil). Si les élus locaux et nationaux connaissaient l’histoire du climat, ils diraient, peut-être, moins de bêtises aux journalistes pour justifier leur incompétence et leurs erreurs.

    Biot est un vieux village d’origine romaine situé entre Nice et Cannes, à hauteur d’Antibes, construit autrefois sur une butte, aujourd’hui répandu dans la vallée inondable.

    La Brague passe à son pied et les romains avaient construit un aqueduc surélevé pour alimenter Antibes en eau potable depuis Biot, sans qu’elle puisse être polluée en cas de crue.

    Pourquoi avoir construit le village en hauteur plutôt que dans la vallée ? Le motif souvent invoqué, la sécurité militaire, n’est qu’une explication partielle, valable pour ce village fortifié, et aussi pour Antibes (l’Antipolis des Grecs) perchée sur son rocher, notamment pendant la période d’occupation coloniale musulmane du VIIIème au XIVème siècle inclus, qui a laissé la région tellement ravagée qu’Henri II de Provence dut la repeupler et la re-cultiver après le départ des Musulmans. Ils avaient fait de Biot une base de leur piraterie esclavagiste en Méditerranée, exportant les indigènes de la région vers des cieux plus orientaux. Le climat avait été chaud jusqu’ici, ils a commencé à se refroidir au XIVème siècle, le froid venant a peut-être autant fait pour pousser les mahométans à regagner l’Afrique du Nord que la décision du pouvoir royal de les chasser de leur colonie provençale.

    Si les Romains ont construit en hauteur et pas dans les vallées comme ils l’ont souvent fait ailleurs, c’est surtout que les débordements de la Brague à Biot, du Paillon à Nice, du Var  à Cagnes-sur-mer, de l’Ouvèze à Vaisons-la-Romaine étaient déjà connus pour se produire en septembre-octobre avec régularité et violence, l’histoire en témoigne : le pont sur l’Ouvèze de Vaisons existe depuis le premier siècle, soit 2 000 ans, son tablier est à 17 mètres au-dessus de l’Ouvèze. En 1616, l’eau est montée par-dessus le parapet qu’elle a emporté ainsi que plusieurs maisons, mais il n’y a eu aucune victime parce que les gens savaient quoi faire : monter dans les collines voisines. En 1992, la crue arrive le 22 septembre, et une fois encore le pont résiste, sauf le parapet qui est à nouveau emporté. Ils sont bêtes ces Romains ? Ils auraient dû faire des parapets plus solides ? Au contraire, car si le parapet résistait, la pression latérale exercée par l’eau serait trop forte pour le pont et c’est lui qui serait emporté, mieux vaut perdre le parapet, qui ne coûte pas cher, que le pont. La preuve : le pont routier gallo-romain vieux de 2 000 ans est toujours là.

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  • Allemagne: nouvelle manifestation contre l'accueil des réfugiés

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Le rassemblement dans le centre de cette ville de Thuringe avait été organisé à l'appel du parti anti-immigrés et populiste AfD (Alternative pour l'Allemagne), qui grimpe dans les derniers sondages en surfant sur les craintes qu'engendrent dans l'opinion l'arrivée d'un nombre record de migrants dans le pays.

    Selon la dernière enquête publiée mercredi, ce mouvement convaincrait 7% des électeurs allemands en cas d'élections des députés.

    Lors de la manifestation d'Erfurt, des contre-manifestants ont jeté des pierres sur les partisans du parti populiste et des deux côté des pétards ont été allumés. Un manifestant a été légèrement blessé, selon des éléments donnés jeudi matin par la police.

    Des milliers de personnes s'étaient aussi rassemblées lundi soir à Dresde (est), à l'appel d'un autre mouvement anti-immigré et islamophobe, Pegida, pour dénoncer l'afflux massif et croissant de migrants en Allemagne.

    L'Allemagne s'attend à accueillir, selon des estimations officielles, entre 800.000 et un million de demandeurs d'asile en 2015, un record dans ce pays comme en Europe.

    source : Le Parisien lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuuukAEFklRZUxeaAk.shtml

  • Ils parlent d'intégration, mais qui en veut ?

    En somme, et avec un peu de recul, on peut dire que la votation du 29 novembre sur les minarets a été extrêmement utile, au-delà même de son objet: elle a permis de soulever le couvercle d’une marmite qui, en Europe, aurait tôt ou tard explosé.
    Le plus remarquable, en effet, ne s’est pas produit en Suisse – où en gros il ne s’est rien passé. Certains médias, et pas mal de politiciens, en ont été profondément frustrés : malgré leurs honteux appels du pied, on n’a pas vu de jeunes excités brûler des drapeaux suisses, aucun attentat n’a eu lieu, et les appels au retrait de fonds des banques suisses ont fait un flop. Les investisseurs sont plus intelligents et plus sages que les agitateurs
    Expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants.
    C’est en Europe que le vote des Suisses a eu les effets les plus spectaculaires. Et, comme on pouvait s’y attendre, la Suisse n’a pas été mise au ban des nations civilisées, mais elle a tout au contraire été admirée, félicitée, enviée. Du moins par les peuples, et de manière éclatante, moins par les élites, et on comprend tout de suite pourquoi : la Suisse, cette tache énervante sur le drapeau de l’Empire, a montré qu’elle pratiquait, même au 21e siècle, une démocratie vivante et forte, expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants. De quoi faire venir le rouge au front desdites élites européennes, dans les pays de laquelle la démocratie a été réduite à sa plus misérable expression : l’élection, tous les quatre ou cinq ans, d’une majorité qui passera la législature à défaire ce qu’a fait la précédente. Cela, souvent au moyen de systèmes électoraux particulièrement inégalitaires, voyez la France.
    L’effet le plus spectaculaire du vote suisse a été de faire émerger en Europe, jusqu’à la prise de conscience, un problème bien réel, mais obstinément censuré par les gouvernements. L’Europe, on ose enfin le reconnaître, a un problème avec l’islam, ou plus précisément avec l’image qu’elle s’en fait, certes déformée, à travers une actualité quotidienne terrifiante, à cause aussi de l’ambiguïté des musulmans d’Europe à l’égard de la violence islamiste. Ce n’est pas attenter à la paix civile que de le dire et de le reconnaître. Au contraire : pour apaiser des tensions connues de tous, il est préférable d’en débattre plutôt que de les cacher sous le tapis et d’en interdire la discussion.
    La votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus
    Dans de nombreux pays européens, la votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus. Cela ne signifie pas qu’on les a résolus, évidemment. En France, les médias osent exposer «ce qui ne va pas», au niveau du quotidien vécu par les Français. Le Figaro (*) a publié le 15 décembre un article révélateur sur les exigences croissantes des musulmans dans l’entreprise, dans les écoles, dans les hôpitaux. Ainsi, dans les cantines, où le porc est interdit, le fait qu’il y ait de la viande halal à côté de la viande «normale» ne suffit plus : ce voisinage n’est plus accepté, il faut des cantines séparées; de même il est exigé que le personnel de service féminin porte des manches longues. On réclame encore des lieux de culte dans les entreprises, et la reconnaissance des jours fériés musulmans. A l’hôpital, les incidents sont quotidiens, notamment dans les services d’obstétrique, où les médecins hommes sont régulièrement agressés par des maris ou des frères
    On nous dira que d’autres communautés religieuses ont, elles aussi, des exigences particulières, pas forcément conformes aux us et coutumes locaux. C’est parfaitement exact mais, dans la plupart des cas, ces communautés ne commencent pas par exiger et menacer; se sachant minoritaires, elles préfèrent la négociation, voire l’adaptation contre son gré, à l’arrogance et au bras de fer. Faire profil bas, s’il le faut, est encore le meilleur moyen de vivre en paix lorsqu’on veut préserver des valeurs qui ne sont pas celles de la majorité.
    L’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit
    Ces difficultés, qui vont aller croissant pour de simples raisons démographiques, montrent que l’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit, qui n’intéresse pas grand monde, en tout cas pas les musulmans. Pour des raisons qui leurs sont propres, il sont attachés, dans la vie en société, au communautarisme et non à l’intégration. Ce n’est ni un crime ni une vertu, juste une réalité. Pour beaucoup, l’intégration signifierait s’adapter à un mode de vie impur, et ce serait bien la pire des trahisons à l’égard de leur religion. D’une certaine manière, l’intégration est la négation même de la manière dont ils veulent vivre leur foi, eux et leur famille, là où ils sont établis. Il faut en prendre acte, car il est inutile de culpabiliser sans cesse les Suisses, les Français ou les Hollandais pour qu’eux seuls cultivent l’intégration. Pour faire une bonne intégration, c’est comme dans le mariage: il faut être deux.
    Philippe Barraud : Commentaires.com 16/12/2009
    http://www.commentaires.com/suisse/ils-parlent-d%e2%80%99integration-mais-qui-en-veut

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2594