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lobby - Page 1521

  • Les mauvais conseils de Hollande à Tsipras

    Le président de la république française a pris la parole ce 23 octobre devant les députés grecs de la Vouli. Et Le Monde en ligne le soir même se félicite de ce qu'il a été"chaleureusement applaudi par la gauche" ajoutant entre parenthèse, in cauda venenum … "(en Grèce)"

    Son morceau d'éloquence républicaine fadasse et de communication insignifiante mérite, paradoxalement qu'on s'y arrête.

    Évoquons-en globalement le contenu : le chef de l'État français a affirmé, devant les députés grecs, que leur propre gouvernement allait tenir ses engagements. Il éluda de la sorte, sur le fond, la série de questions que l'équipe Tsipras continue de soulever en dépit des accords conclus in extremis en juillet et dont le principe a été avalisé, d'une certaine manière, par les élections législatives de septembre.

    Disons d'emblée que dans ces objections, parmi ce que l'on appelle à Athènes les "lignes rouges", à ne pas franchir, on peut classer les unes comme parfaitement légitimes et compréhensibles, les autres comme beaucoup plus idéologiques.

    Dans la première catégorie on comprend sans difficulté qu'un gouvernement, supposé "de gauche" de surcroît, cherche en l'occurrence à s'opposer à ce que l'on saisisse les maisons résidences principales de débiteurs modestes victimes de la crise.

    La position d'une partie des créanciers sur ce point semble singulièrement dogmatique, vu le contexte dans lequel la Grèce se débat depuis la crise internationale de 2008, et dans laquelle les responsabilités de ses gouvernements, et a fortiori celles du peuple, sont sans doute moindres que celles des financiers internationaux. Oui on peut recapitaliser les banques grecques saignées par les menaces de Grexit, qui ont entraîné la fuite des capitaux, sans pour autant vendre les maisons des petites gens.

    Plus problématique semble, en revanche l'opposition, à son tour dogmatique du parti Syriza quand il dénonce encore les "orientations néolibérales" de réformes découlant des accords de juillet, et qui doivent se traduire par 49 lois nouvelles à voter dans l'attente des refinancements européens.

    Qualifier, faussement mais constamment, "d'austérité " les mesures d'application de l'Union monétaire relève d'une intoxication, laquelle se présente pour néokeynésienne, ça fait plus chic, mais qui en réalité reste essentiellement marxiste.

    Certes si l'on pense que deux plus deux ne font pas nécessairement quatre, il ne faut pas s'exposer à subir l'expulsion de la zone euro, il faut la souhaiter et probablement même la devancer.

    Or l'intervention véritable de Hollande, flanqué de son vieux camarade de régiment Michel Sapin conduisait à trouver un chemin plus subtil.

    Hier, en effet, Tsipras, et plus encore Varoufakis disaient "non, non, non". Et le chef du gouvernement a bien été obligé de constater que deux plus deux égalent quatre, cependant que son ministre des Finances spécialiste de la théorie des jeux était amené à démissionner.

    La tactique de Hollande et de ses gouvernements depuis 2012 a été différent. Il se propose de la suggérer à ses nouveaux interlocuteurs dans le cadre de l'assistance technique qu'il dispense auprès d'Euclide Tsakalotos, certes marxiste bon teint, mais plus consensuel et pour tout dire socialement plus supportable que l'insupportable Varoufakis.

    On ne dit donc plus "non, non, non" : on dit "oui, oui, oui". Mais dans la pratique on ne fait pas ce que l'on a promis.

    Regardez à cet égard les actes concrets de l'administration française : elle s'arc-boute désormais sur un prétendu constat de l'impossibilité de réformes, supposées impopulaires, elle s'emploie à confondre économies sur les dépenses publiques et ce qu'elle appelle ralentissement de la hausse.

    L'administration grecque, n'en déplaise à M. Hollande, n'a probablement pas attendu ses conseils pour avoir l'intuition que l'on pouvait procéder de la sorte face à la bureaucratie européenne. Mais précisément c'est ce qui a exaspéré depuis plusieurs années un certain nombre de pays où on plaisante un peu moins avec l'arithmétique élémentaire. C'est donc à sortir de cette manière de procéder qu'est appelée l'administration d'Athènes et les politiciens qui, depuis 40 ans, l'ont peuplée de sa clientèle.

    En conseillant ainsi aux Grecs de procéder comme on continue de le faire à Paris, pour des arrière-pensées électorales en vue du second tour de 2017, Hollande ne se comporte pas en ami, mais en faux ami.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2015/10/les-mauvais-conseils-de-hollande-a-tsipras.html

  • Le traité transatlantique - enjeux et menaces - Michel Drac - Maurice Gendre

  • Où sont passés les SDF Français ?

    A peine a-t-on eu vent de cafouillages à Nanterre, où des SDF ont été priés de ne pas revenir, pour y loger des migrants. Une exception ?

    Dans une ville que je ne citerai pas, il existe un centre d’accueil de nuit pour SDF, depuis 10 ans. Il est situé au fin fond d’une impasse lugubre, sans fenêtres, à l’exception d’une seule donnant sur le mur d’en face, obstruée par un panneau en bois de récupération. Mais quelle importance puisque l’accueil est de 20 heures à 8 heures le lendemain ?

    Il est composé d’une salle commune lugubre, remplie de 25 fauteuils de camping bas de gamme, alignés au carré, disposés en ovale, espacés entre eux d’une dizaine de centimètres. La propreté irréprochable tranche avec le délabrement : un taudis propre en somme, car, soyons clair, le tout est bon pour la casse ou la démolition, meubles et locaux.

    Les personnes SDF sont donc censées se restaurer et se reposer, voire dormir dans ces chaises de camping, dans un tel environnement. Mais, ce n’est pas grave, il ne s’agit que de la pauvreté marginale, celle que les économistes libéraux jugent incompressible et acceptable dans un système capitaliste, depuis James K. Galbraith, Adam Smith et consorts.

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  • Frédéric Rouvillois : « Le mot ‘République’ est à la fois vide et sacré »

     

    Dans Être (ou ne pas être) républicain, le professeur de droit et historien Frédéric Rouvillois décortique les sens contemporains d’un mot de plus en plus galvaudé dans le discours politique et médiatique.

     

    FIGAROVOX : Qu’est-ce que la République : un régime, une période de l’histoire de France, un mythe ?

    FRÉDERIC ROUVILLOIS : Mon livre n’est pas un traité de philosophie politique qui partirait de Platon, passerait par Rome et traverserait l’Atlantique pour analyser la constitution américaine. C’est une réflexion sur l’utilisation compulsive dans le discours public du mot « République ». Un recueil établi par Marianne au lendemain du 11 janvier sur les grands textes au sujet de la « République » illustrait à merveille ce fourre-tout qu’est le mot « république » : on y trouvait des écrits allant de Platon, chez qui la République est une utopie totalitaire, à Jean-François Kahn, en passant par Élisabeth Badinter et Charles de Gaulle qui était monarchiste !

    Selon l’article 89 alinéa 5 de notre Constitution, « la forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision. ». Mais personne ne sait au juste en quoi consiste cette « forme républicaine » : est-ce l’absence de monarchie ? La souveraineté ? Le système de sécurité sociale miseen œuvre après la guerre ? C’est un mot sans consistance, un trou noir qui paralyse la pensée et empêche tout débat profond sur les idées politiques.

    Après les attentats de janvier, le mot « République » a retrouvé une consistance. Pourquoi en temps de crise ce mot a-t’il pris autant de place dans le discours public ?

    En moment de crise, on a besoin de se rattacher à une idole, ou à un doudou. La République est un peu les deux pour les Français déboussolés. Autrefois, on parlait de France ou de Nation, mais aujourd’hui, par européisme et « antifrontisme », on n’ose plus employer ces mots. Pourtant, la république et la France ne se confondent pas.

    En période difficile, on se tourne vers le sacré, et la République tend à devenir une religion de substitution. Lors de la première moitié du XXème siècle, le gouvernement faisait célébrer des messes pour la nation, aujourd’hui, il psalmodie l’adjectif « républicain » comme un remède miracle aux fractures françaises.

    La « République » est devenue un sacré ultime, un mot à la fois inconsistant et intouchable, qu’il suffit de lancer pour glacer les oppositions, figer le débat. C’est un mot qui n’admet pas de répliques. Un tabou. On ne peut pas ne pas être républicain. Invoquer la République, c’est donner un coup de phare au lapin qui traverse la route. [...]

    La suite sur Le Figaro.vox

    Être (ou ne pas être) républicain est publié aux Editions du Cerf (240 p, 14 euros).

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Frederic-Rouvillois-Le-mot

  • Pourquoi un tel afflux de « migrants » ? Le patronat se dévoile

    Alors que l’arrivée de millions de migrants en Europe continue sans interruption, toute personne un peu critique peut se demander pour quelles raisons les autorités refusent d’agir et laissent faire cette invasion. Grâce à une interview accordée à une revue allemande par le patron d’Airbus, Tom Enders, nous en savons un peu plus.

    En effet, ce patron prend prétexte des migrants et de leur soi-disant intégration pour demander une déréglementation du marché du travail, avec, entre autres, plus de flexibilité et la remise en cause du salaire minimum. Derrière ces formules, il faut entendre des baisses de salaire pour les emplois les moins qualifiés (dans un premier temps, mais, par la force des choses, les salaires des emplois mieux qualifiés baisseront après) ainsi qu’une dégradation des conditions de travail. On notera que ce patron n’hésite pas à mentir pour convaincre les naïfs, disant « Nous devons avoir le courage de déréglementer de la même manière qu’ont su le faire les Etats-Unis. Cela semble difficile à imaginer mais, là-bas, on voit l’intégration réussie de migrants qui sont autorisés à travailler très vite après leur arrivée. » Cela relève d’un double mensonge : D’une part, travailler légalement aux Etats Unis est très difficile (il faut obtenir la green card, accordée en nombre très limité) et d’autre part, l’intégration, au moins celle des Africains et des Latinos, ne fonctionne pas mieux là bas qu’en Europe, comme le montrent les taux de criminalité, de délinquance ou de chômage bien plus élevés chez ces immigrants que chez les autochtones américains.

    Il faut être bien conscient que si ces demandes aboutissaient, elles ne concerneraient pas seulement les allogènes, et les européens de souche seraient également concernés : On sait que l’Europe a en phobie les « discriminations » (sic) et il est donc impensable que deux marchés coexistent, l’un pour les allogènes, l’autre pour les Européens de souche. On voit que le patronat veut se servir de cet afflux qu’il encourage pour baisser les salaires des plus pauvres et on reste ébahi par le soutien à l’immigration provenant des milieux syndicaux ou de gauche.

    http://www.contre-info.com/

  • « L’UMPS c’est la république » ?

    Dix  ans après les émeutes qui ont enflammé les banlieues françaises et  qui avaient eu comme point de départ, la mort de Zyed et Bouna à  Clichy-sous-Bois,  Manuel Valls et une quinzaine de ministres tiennent  symboliquement  ce lundi un comité interministériel aux Mureaux. Une manière de (re)mobiliser les banlieues,  (ex?) réservoir électoral de la gauche immigrationniste et de rappeler l’objectif de dispersion de l’immigration de peuplement définie en novlangue  par l’emploi de l’appellation de  «mixité sociale».  «Selon plusieurs sources, rapporte ainsi  le site Atlantico,  «le Premier ministre devrait confirmer le durcissement de la politique à l’encontre des communes qui ne respectent pas le quota de 20% à 25% de logements sociaux imposé par la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU)». Invité hier de BFM TV, le député socialiste Malek Boutih a fait part de son pessimisme sur l’avenir de sa famille politique. Exprimant une conviction profonde ou tentant lui aussi de remobiliser le peuple de gauche (l’abstention  notamment dans les  «quartiers pluriels» a atteint des sommets lors des dernières consultations électorales), M.  Boutih a dit que « (sa) crainte  n’est pas que la gauche perde 2017. C’est que la République perde 2017. En l’état actuel des choses, je ne vois pas comment Marine Le Pen peut ne pas gagner l’élection présidentielle. Même s’il y a un peu de changement d’ici là, ça ne suffira peut-être pas. Il faut se préparer à une crise politique majeure ».

    «Notre pays peut s’en sortir en réinventant un modèle républicain métissé », « ce que Madame Le Pen appelle l’UMPS, c’est la République, et j’assume cette proximité » a également déclaré  Malek Boutih.

    Dans le JDD samedi, le grand sachem («grand maître») de la secte antinationale  du Grand Orient, Daniel Keller,  initié comme M. Valls dans une  loge  violemment anticatholique,  «Vérité Ni dieu Ni maître», a appelé à la mobilisation de toutes les obédiences contre l’opposition nationale.  Il a multiplié à cette occasion  les signaux de détresse.  «Il y a une course à l’abîme face à laquelle un sursaut collectif est nécessaire» a-t-il dit. « On est en train de dérouler le tapis rouge au Front National. Ce qui paraissait impossible devient chaque jour un peu plus vraisemblable s’agissant de la présidentielle de 2017.»

    Etalant à  la (grosse) truelle  les poncifs habituels des grands orientaux, il a affirmé ne pas faire de  différence entre le FN de Jean-Marie et de Marine Le Pen. « Le Front National est l’expression d’un bloc qui, finalement, n’a jamais admis la Révolution française, n’a jamais admis la République et dont les racines philosophiques, intellectuelles et politiques sont authentiquement réactionnaires. C’est un courant politique qui a toujours existé dans notre pays depuis 1789. Il a connu des périodes de basses eaux et des périodes de hautes eaux. On est aujourd’hui plutôt dans les hautes eaux. La République s’est justement construite contre cette vision réactionnaire de la société. La République reste un combat. Ce n’est pas un régime acquis définitivement. Si tout le monde baisse les bras, je le dis : la République est en danger.»

     « Le rôle des maçons c’est d’être les pédagogues de la République, et de rappeler que la République, ce n’est pas le populisme» (sic). Mais de quelle république parle-t-il ?  Le rôle des maçons à la sauce Keller  consiste  surtout à liquider la France française, et dans une même logique de Terreur épuratrice,  l’héritage de notre civilisation européenne helléno-chrétienne, sur les ruines desquelles doit se construire la république universelle et internationaliste, autre nom du projet mondialiste.

     Attaques contre le FN qui ont été d’une tonalité similaire, lors de la réunion  de présentation, jeudi dernier, du  comité de soutien à Christian Estrosi,  présidé par le calamiteux  Jean-Claude Gaudin et une   Bernadette Chirac qui a fustigé  «le populisme, le repli communautaire»,  les «dérives de l’extrême-droite.»   On y retrouve sans surprise des compagnons de route du sarkozysme et de l’antifrontisme obsessionnel comme Alexandre Arcady, Ivan Levaï, Georges-Marc Benamou,  Alexandre Adler, Claude Allègre, Gérard Depardieu (que vient-il faire dans cette galère ?!),   Jean-Jacques Aillagon…

    Les propos qui y ont été tenus ont légitimement choqué  les Français qui en ont eu connaissance, et particulièrement les électeurs de PACA. L’avocat à roulettes  Serge Klarsfeld a  appelé les électeurs de gauche «à voter pour Christian Estrosi dès le premier tour », « en tant que candidat républicain le mieux placé pour battre le Front National, un parti raciste, xénophobe et antisémite ».

    Une saillie pas vraiment originale dans la bouche de ce militant antinational qui fait écho à celle toute aussi délirante,  mais non dénuée d’un certain comique involontaire,  du chanteur de variétés Enrico Macias. Invité vendredi  de TV5 Monde, cet ami de Nicolas Sarkozy a osé déclarer : « Je le dis aux musulmans et à la communauté juive, si Marine Le Pen vient au pouvoir, je vous en supplie, ne restez pas en France.» M. Macias  invitant à  « l’épuration ethnique» ?  Pas certain qu’il soit entendu, et pas seulement dans les banlieues plurielles ou sa cote d’amour doit être à peu  près  équivalente à celle de M Klarsfeld.

    Au nombre des intervenants, le très bling-bling   Mourad Boudjellal, président du club de Rugby de Toulon,  s’est lui  aussi  signalé jeudi  par l’outrecuidance ridicule  de ses propos: «N’oublie pas, Christian (Estrosi, NDLR), que tu as en face de toi une équipe qui joue avec un maillot noir. Mais n’oublie jamais aussi que quand elle s’approchera, tu verras qu’en fait, ce maillot noir, c’est une chemise noire ». En être réduit à donner la parole à un penseur du niveau de M. Boudjellal, voilà qui  n’est pas non plus très  rassurant sur la qualité de l’équipe entourant M Estrosi .

    Ces  allusions au fascisme, à la seconde guerre mondiale,  peu finaudes,   ne trompent  plus grand monde. Un étalage   de  propos pathétiques, constate Bruno Gollnisch, qui  sont  surtout un bon indicateur du désarroi d’un Système à la dérive et  qui  ayant échoué dans tous les domaines, se complaît dans les procès en sorcellerie et recycle des fantasmes nauséabonds usés jusqu’à la corde…

    La teneur des exhortations anti FN  entendues  à ce meeting  de soutien à  la tête de gondole  LR-UDI-Modem en lice face à Marion Maréchal-Le Pen, auraient pu être entendues  pareillement  dans une réunion de SOS racisme ou du NPA.

    Maurice Szafran dans son éditorial sur le site de  Challenges  le 25 octobre, livre peut être un semblant d’explication à cette inflexion  dans le discours d’une  droite sarkozyste  qui souvent «  s’en tient à un registre ultra-droitier.»

    «Les  sympathisants FN, écrit M. Szafran,  indiquent qu’ils entendent confirmer leur choix en faveur de Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen ; Sarkozy aura donc impérativement besoin de récupérer au second tour de nombreux suffrages socialistes pour que les listes LR puissent l’emporter dans ces deux régions phares. Explication d’un hiérarque LR : Sarkozy nous explique que la gauche va s’effondrer et que notre concurrent, c’est le FN. Il est donc conscient que nous avons besoin de toutes les voix. Hors de question Que l’abstention profite à l’extrême droite. Et il nous précise qu’une partie de la gauche se souviendra qu’il a écarté Nadine Morano. Voilà pourquoi, en quelques jours, Sarkozy le dur, celui qui méprise tant cette France socialiste contre laquelle il ne trouve jamais de mots assez cruels et méprisants, ce Sarkozy toujours dressé sur ses ergots s’est fait conciliant… ».

    Gageons que les Français le seront nettement moins.

    http://gollnisch.com/2015/10/26/lumps-cest-la-republique/

  • La France est achetée par l'Arabie Saoudite et le Qatar

    Philippe De Villiers était l'invité d'Anne Brassié dans son émission "Trésors en Poche", sur Radio Courtoisie, le 22 octobre 2015. Thèmes abordés : la corruption passée et actuelle des partis (affaire Urba), l'islamisme, l'arnaque européenne

    Michel Janva

  • L'abrogation de l'avortement par étapes

    Le 28 septembre, Marisol Touraine a fêté la journée mondiale pour le droit à l’avortement… Réaction de Virginie Mercier, de Choisir la Vie au micro de Charlotte d’Ornellas sur Boulevard Voltaire :

    Michel Janva

  • Tous unis contre le FN !

    Sarko a relégué sa rancœur aux oubliettes pour faire cause commune avec Camba contre l’irrésistible ascension du FN.

    Les socialistes main dans la main avec les Républicains : cette union contre nature aurait de quoi donner des boutons ; et pourtant, c’est bel et bien une alliance de circonstance qui s’est forgée entre les seigneurs démagos, Jean-Christophe Cambadélis et Nicolas Sarkozy, affûtant leurs joutes verbales pour saborder le temps de parole de Marine Le Pen, reine des sondages. Celle qui pourrait bien les détrôner au gré des élections.

    Il y a encore quelques semaines, le grand inquisiteur du PS ne se privait pas de traiter l’ancien président d’ « excité du bocal », de l’accuser de « faire revivre tous les poncifs de la droite dure », de « vouloir détruire le modèle social », d’employer « les mêmes termes que le FN », d’inventer une « République Canada Dry », d’être « légèrement xénophobe », de ne pas aimer les Français. « Nicolas Sarkozy a lancé son OPA sur le Front national, non pour le réduire, non pour le détruire, mais pour le séduire. Nicolas Sarkozy ne souhaite pas s’allier, il veut le récupérer dans une croisade néoconservatrice contre la gauche », avait-il scandé au congrès de Poitiers, remonté comme une pendule. « Un responsable de gauche dont j’ai oublié le nom, que je ne connais même pas, a dit que j’étais presque xénophobe. Je ne vois pas comment on peut être presque xénophobe. C’est stupide. (…) En tout cas, lui , il n’est pas presque stupide », lui avait rétorqué du tac au tac le principal intéressé. Mais ça, c’était avant.

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