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lobby - Page 1562

  • 300 000 étrangers touchent l'aide médicale d'Etat

    299 937 personnes ont bénéficié en mars de de l'Aide Médicale d'Etat, qui permet à des étrangers clandestins résidant en France depuis au moins trois mois de se faire soigner gratuitement.

    Les députés viennent de voter 744,5 millions d'euros de crédits pour 2016, en hausse de 10 % sur un an. En 2015, l'AME devait déjà augmenter de 12 % à 676,4 millions. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sondage : Français et Britanniques font front commun contre l’accueil des migrants

    Migrants. Selon un sondage Ifop réalisé pour la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS), les Français et les Britanniques seraient davantage opposés à l’accueil des migrants sur leur territoire que leurs homologues allemands et italiens.

     

    une écrasante majorité des Européens souhaite toutefois que les migrants qu’ils accueillent ne restent que « quelques mois ou quelques années » 

    Le constat est sans appel. Selon cette enquête d’opinion diligentée par la Fondation Jean-Jaures, seulement 44% des Britanniques et 46% des Français seraient enclins à accueillir des migrants sur leurs territoires nationaux respectifs. Un écart significatif par rapport à l’Allemagne, pionnière dans l’accueil des populations migrantes via sa campagne « Welcome Refugees » dont 79% des personnes interrogées se déclarent favorables à l’accueil de migrants sur leur sol. Les Italiens et les Espagnols sont également sur la même ligne puisqu’ils sont respectivement 67 et 66% à être particulièrement disposés à recevoir ces populations.

    En revanche, les auteurs de l’étude mettent en exergue le « plébiscite » des Européens concernant le risque d’appel d’air engendré par ces flux migratoires. En effet, entre 70 et 80% des Européens interrogés selon les pays partagent l’opinion selon laquelle « si on accueille des migrants en nombre important dans notre pays et en Europe, cela va créer un appel d’air et provoquer le départ vers l’Europe de nombreuses personnes vivant en Afrique, en Syrie, en Irak ou en Afghanistan ».

    La crainte de « terroristes potentiels » parmi les migrants

    Cette inquiétude est particulièrement vivace dans les pays réfractaires à l’accueil évoqués en préambule. Ainsi, ce sentiment est dominant chez 80% des Britanniques et 79% des Français mais demeure tout de même assez élevé dans les pays dits « pro-accueil », à savoir 78% en Italie et 69% en Allemagne.

    Autre crainte partagée par bon nombre de populations européennes, la présence de terroristes potentiels parmi les migrants. En effet, 64% des Allemands et 85% des néerlandais considèrent cette menace comme étant bien réelle. [....]

    La suite sur Valeurs Actuelles

  • «Réfugiés»: nouveau fiasco au sommet


    Dimanche, s’est donc tenu un énième sommet des dirigeants de l’Union européenne pour faire face à la « crise des réfugiés ». C’est toujours dans l’urgence que de telles réunions sont convoquées, car les pays de l’Union, au sud et à l’est surtout, sont régulièrement débordés, affolés, depuis qu’Angela Merkel a invité les « migrants » à s’installer chez elle. Elle a eu beau fermer ses frontières quelques jours plus tard, les cohortes étaient en marche.
    Mme Merkel cherche depuis à se débarrasser du fardeau sur les autres pays de l’Union, mais aussi la Turquie musulmane. Rien ne peut arrêter la marée montante de ceux qui cherchent un havre en Europe. Rien, si ce n’est la Hongrie qui a édifié un mur à sa frontière, qui est aussi celle de l’espace Schengen.

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    Viktor Orban, le chef du gouvernement hongrois, est en train de faire école, et c’est ce que redoutent ses partenaires de l’Union. C’est là une des raisons de ce sommet. En effet, les Premiers ministres serbe, roumain et bulgare ont lancé un ultimatum à Bruxelles : « Nos trois pays sont prêts, si l’Allemagne, l’Autriche et d’autres États ferment leurs frontières, à fermer les nôtres au même moment. » On comprend leur exaspération et leur révolte quand on sait que la Slovénie, dont la superficie excède à peine 20 000 km2, a reçu près de 13 000 « migrants » en une journée. Rapporté à sa population, cela représente l’équivalent d’un demi-million de personnes arrivant en Allemagne en 24 heures !

    La réponse de Jean-Claude Junker, président de la Commission européenne, tient en 16 propositions pour « restaurer la stabilité de la gestion des migrations dans la région et ralentir les flux » à travers « une approche collective transfrontalière ». Cet intitulé est mensonger : on ne peut « restaurer la stabilité » d’une prétendue « gestion », car la situation n’a jamais été gérée, mais subie. Ce qu’il faut, ce n’est pas « ralentir » le flux, mais l’inverser.

    Parmi ses propositions, on notera cette mesure : une ligne téléphonique directe entre les cabinets des dirigeants de tous les pays concernés va être rapidement établie, pour qu’ils puissent se tenir informés en temps réel. Car figurez-vous que cela n’existait pas encore, ils devaient donc être informés comme tout le monde en regardant la télévision.
    Il y a aussi le déploiement immédiat d’un contingent de 400 gardes-frontières en Slovénie, ce qui est dérisoire eu égard à la masse de ceux qui s’y pressent. La grande annonce, que nous devrions applaudir, étant la création de 100 000 places d’accueil pour les « réfugiés » en Grèce et dans les Balkans. Or l’Allemagne prévoit d’en accepter 800 000 à un million, qui transiteront par ces pays. Mais, surtout, rien n’est prévu pour l’expulsion des faux réfugiés et vrais pique-assiette économiques.
    Rappelons qu’en France, 95 % des déboutés du droit d’asile ne rentrent jamais chez eux. Une fois de plus, ce sommet est un fiasco, une gesticulation médiatique pour bavarder entre soi au lieu d’agir pour protéger l’Europe.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/194251/refugies-nouveau-fiasco-au-sommet/

  • Le chef du service météo de France TV est en procédure de licenciement pour son livre « climatosceptique »

    Parce qu’il ne croit pas mot pour mot au corpus doctrinal des écolos mondialistes au pouvoir, Philippe Verdier avait été suspendu de son poste il y a deux semaines. Il est désormais sur le point d’être licencié.

    Accusé d’être « climatosceptique », le chef du service météo de France 2 avait été mis en congés forcés depuis le 13 octobre dernier. « J’ai reçu un courrier qui me demande de ne pas venir »,avait-il déclaré, expliquant que cela avait à voir avec son livre intitulé Climat investigation,et l’approche de laCOP21, un « bulldozer » selon ses propos. Ces congés pourraient donc se métamorphoser en remerciement.

    Selon L’Express, Philippe Verdier a été convoqué par la direction des ressources humaines de France 2 pour un entretien préalable en vue de son licenciement. Pour le moment, ni France Télévisions ni Philippe Verdier n’ont confirmé l’information.

    http://www.contre-info.com/

  • L’idéologie confuse de notre ministre de l’Éducation

    La France a besoin d’affirmer avec fierté son identité et d’encourager l’émulation afin de générer de vraies élites.

    La droite se refusant à son identité, il faut mesurer ce qu’est la gauche pour évaluer la situation calamiteuse de notre pays. Au gouvernement, le ministre de l’Éducation nationale est un bon indicateur. On pouvait espérer à ce poste une personnalité experte du monde éducatif, compétente techniquement, assez pondérée dans ses jugements pour ne pas choquer la diversité des parents dont les enfants sont les usagers de l’enseignement, et capable d’entreprendre les réformes nécessaires pour rendre les formations plus efficaces sans les encombrer d’idéologie. Avec Najat Vallaud-Belkacem, on a tout le contraire : une communicante sans autre compétence, doublée d’une idéologue au petit pied, qui n’hésite jamais à menacer des libertés au nom de sa conception de l’égalité. Cette sectaire souriante fut « Lyonnaise de l’année », « révélation politique de l’année » en 2012. Elle plaît au microcosme médiatique. Produit d’un parti dont elle a été une apparatchik avant d’en être hiérarque, elle a connu les cabinets parlementaires et ministériels, les secrétariats, les mandats jusqu’à devenir ministre, plongée dans la vie politicienne, et au sein de celle-ci, avec deux spécialités : porte-parole et questions de société. Son époux appartient au même monde puisqu’il est secrétaire général adjoint de l’Élysée. Des représentants de l’oligarchie socialiste… militants de l’égalité pour les autres…

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  • Le Grand Orient s’inquiète de la progression du Front National

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Selon un sondage BVA paru vendredi, lors des élections régionales des 6 et 13 décembre, le parti Les Républicains l’emporteraient dans sept régions sur treize. Le Parti Socialiste conserverait trois régions et le Front National pourrait obtenir une à deux régions. Face aux sondages qui annoncent des triangulaires dans plusieurs régions, le grand maître du Grand Orient a réagi contre le Front National.

    Les candidats aux élections seraient invités au « désistement républicain »

    Dans une entrevue samedi avec Le Journal du Dimanche, Daniel Keller, grand maître du Grand Orient, a invité les candidats des élections au « désistement républicain ». En cas de triangulaire, les candidats comme Les Républicains et les socialistes sont invités à se désister. Pour Daniel Keller, se désister « c’est accepter de sacrifier ses propres couleurs pour l’intérêt général ». Il rappelle d’ailleurs que le désistement n’est pas « une magouille ».

    Pourquoi inviter les candidats au « désistement républicain » ?

    Ces élections régionales sont un pas vers l’élection présidentielle qui aura lieu en 2017. Pour Daniel Keller, « on est en train de dérouler le tapis rouge au Front National ». Parlant de l’élection du Front National, il ajoute que « ce qui paraissait impossible devient chaque jour un peu plus vraisemblable ». N’hésitant pas à dire que « si tout le monde baisse les bras […] : la République est en danger ». Rappelons que, selon Daniel Keller, « le rôle des maçons, c’est d’être les pédagogues de la République ». Et d’ajouter : « j’aurai moi-même l’occasion d’aller dans le nord de la France d’ici le mois de décembre pour y faire des conférences publiques, pour faire ce travail de pédagogie, de hussard noir de la République, dont nous avons tant besoin ».

    http://fr.novopress.info/

  • Le Général Desportes sur l’opération Sentinelle : L’armée n’est pas un stock de vigiles à déployer devant les lieux de culte !

    Ancien élève de Saint-Cyr et général de division de l’Armée de Terre, le général Vincent Desportes s’est fait le grand défenseur de son corps d’armée dans les opérations extérieures de la France. Ses critiques de la stratégie américaine – donc française – en Afghanistan lui avaient valu d’être débarqué en 2010 du commandement du Collège interarmées de défense.

    L’armée française a-t-elle aujourd’hui les moyens de faire face aux menaces ?

    Nous sommes dans une situation extrêmement critique. D’un côté, les menaces s’accroissent, le feu a pris tout autour de l’Europe, de l’Ukraine au Sahel en passant par le Moyen-Orient. De l’autre, les capacités de notre défense sont constamment réduites : moins 25 % sous Nicolas Sarkozy et à peu près la même chose sous François Hollande…

    Lire la suite sur le site Les Echos…

    http://www.contre-info.com/

  • Socialisme soviétique et mondialisme, mêmes méthodes ?

    En 1985, Youri Bezménov, qui avait fait carrière à l’agence de presse soviétique Novosti – paravent du KGB – et était passé à l’Ouest en 1970, expliquait lors de son interview sur le sol américain le processus de mise en place du système marxiste-léniniste auquel œuvrent les gauchistes, des « prostitués politiques », selon ses dires.

    Il passe par la « subversion idéologique » qui doit infiltrer tous les secteurs de la vie : édition, journalisme, cinéma, éducation, politique et finance, unis comme en un seul pour répandre la bonne parole vantant les bienfaits d’un « paradis sur terre » qu’apportera une société socialiste ou communiste, « quel que soit le nom », précise-t-il. C’est la phase 1 de démoralisation : changer la perception de la réalité de la population afin de détruire ses mécanismes de défense à l’égard de « ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté […] »

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  • Les mauvais conseils de Hollande à Tsipras

    Le président de la république française a pris la parole ce 23 octobre devant les députés grecs de la Vouli. Et Le Monde en ligne le soir même se félicite de ce qu'il a été"chaleureusement applaudi par la gauche" ajoutant entre parenthèse, in cauda venenum … "(en Grèce)"

    Son morceau d'éloquence républicaine fadasse et de communication insignifiante mérite, paradoxalement qu'on s'y arrête.

    Évoquons-en globalement le contenu : le chef de l'État français a affirmé, devant les députés grecs, que leur propre gouvernement allait tenir ses engagements. Il éluda de la sorte, sur le fond, la série de questions que l'équipe Tsipras continue de soulever en dépit des accords conclus in extremis en juillet et dont le principe a été avalisé, d'une certaine manière, par les élections législatives de septembre.

    Disons d'emblée que dans ces objections, parmi ce que l'on appelle à Athènes les "lignes rouges", à ne pas franchir, on peut classer les unes comme parfaitement légitimes et compréhensibles, les autres comme beaucoup plus idéologiques.

    Dans la première catégorie on comprend sans difficulté qu'un gouvernement, supposé "de gauche" de surcroît, cherche en l'occurrence à s'opposer à ce que l'on saisisse les maisons résidences principales de débiteurs modestes victimes de la crise.

    La position d'une partie des créanciers sur ce point semble singulièrement dogmatique, vu le contexte dans lequel la Grèce se débat depuis la crise internationale de 2008, et dans laquelle les responsabilités de ses gouvernements, et a fortiori celles du peuple, sont sans doute moindres que celles des financiers internationaux. Oui on peut recapitaliser les banques grecques saignées par les menaces de Grexit, qui ont entraîné la fuite des capitaux, sans pour autant vendre les maisons des petites gens.

    Plus problématique semble, en revanche l'opposition, à son tour dogmatique du parti Syriza quand il dénonce encore les "orientations néolibérales" de réformes découlant des accords de juillet, et qui doivent se traduire par 49 lois nouvelles à voter dans l'attente des refinancements européens.

    Qualifier, faussement mais constamment, "d'austérité " les mesures d'application de l'Union monétaire relève d'une intoxication, laquelle se présente pour néokeynésienne, ça fait plus chic, mais qui en réalité reste essentiellement marxiste.

    Certes si l'on pense que deux plus deux ne font pas nécessairement quatre, il ne faut pas s'exposer à subir l'expulsion de la zone euro, il faut la souhaiter et probablement même la devancer.

    Or l'intervention véritable de Hollande, flanqué de son vieux camarade de régiment Michel Sapin conduisait à trouver un chemin plus subtil.

    Hier, en effet, Tsipras, et plus encore Varoufakis disaient "non, non, non". Et le chef du gouvernement a bien été obligé de constater que deux plus deux égalent quatre, cependant que son ministre des Finances spécialiste de la théorie des jeux était amené à démissionner.

    La tactique de Hollande et de ses gouvernements depuis 2012 a été différent. Il se propose de la suggérer à ses nouveaux interlocuteurs dans le cadre de l'assistance technique qu'il dispense auprès d'Euclide Tsakalotos, certes marxiste bon teint, mais plus consensuel et pour tout dire socialement plus supportable que l'insupportable Varoufakis.

    On ne dit donc plus "non, non, non" : on dit "oui, oui, oui". Mais dans la pratique on ne fait pas ce que l'on a promis.

    Regardez à cet égard les actes concrets de l'administration française : elle s'arc-boute désormais sur un prétendu constat de l'impossibilité de réformes, supposées impopulaires, elle s'emploie à confondre économies sur les dépenses publiques et ce qu'elle appelle ralentissement de la hausse.

    L'administration grecque, n'en déplaise à M. Hollande, n'a probablement pas attendu ses conseils pour avoir l'intuition que l'on pouvait procéder de la sorte face à la bureaucratie européenne. Mais précisément c'est ce qui a exaspéré depuis plusieurs années un certain nombre de pays où on plaisante un peu moins avec l'arithmétique élémentaire. C'est donc à sortir de cette manière de procéder qu'est appelée l'administration d'Athènes et les politiciens qui, depuis 40 ans, l'ont peuplée de sa clientèle.

    En conseillant ainsi aux Grecs de procéder comme on continue de le faire à Paris, pour des arrière-pensées électorales en vue du second tour de 2017, Hollande ne se comporte pas en ami, mais en faux ami.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2015/10/les-mauvais-conseils-de-hollande-a-tsipras.html