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lobby - Page 1704

  • Chute du patron de la PJ parisienne : on reparle de franc-maçonnerie

    « Suspecté d’avoir renseigné l’ancien patron du GIGN, Christian Prouteau, avant son interpellation dans une affaire d’escroquerie et de corruption, Bernard Petit tombe en compagnie de trois autres responsables policiers, connus pour leur affiliation à la Grande Loge nationale de France.

    Les « tuyaux » échangés entre frères trois-points, qui pénalement s’analysent en une « violation du secret de l’enquête et de l’instruction », scellent le destin de celui qui était l’un des flics les plus puissants de France, depuis un peu plus d’un an seulement. A 59 ans, la carrière de ce « grand professionnel », comme l’avait présenté Manuel Valls lors de sa nomination, s’achève dans l’inconfort du bureau d’un juge d’instruction. »

    Il avait débuté sa carrière comme inspecteur, et avait gravi les échelons (grâce au copinage maçonnique?), devant notamment en 2007 « le patron de la Division des relations internationale (DRI) de la police nationale, la nouvelle dénomination du SCTIP, le Service de coopération technique international de la police, une responsabilité traditionnellement attribué à un haut gradé franc-maçon. » [sic]
    Il devint ensuite n°3 de la PJ puis, « au terme d’une lutte de pouvoir sans merci au sein des couloirs du ministre, Bernard Petit est choisi en décembre 2013 par Manuel Valls, alors à l’Intérieur [et lui-même franc-maçon – NDCI], pour remplacer le patron de la PJ parisienne, Christian Flaesch. Celui-ci, coupable (déjà !) d’avoir conseillé sous le manteau l’ancien ministre Brice Hortefeux, avant son audition par ses services dans l’affaire de l’éventuel financement libyen de Nicolas Sarkozy, venait d’être démis de ses fonctions. »

    Le journaliste du Nouvel Obs poursuit : « Chevelure impeccablement cranté, costume bien coupé, fines lunettes et voix douce, Bernard Petit, policier réputé de gauche, avait coiffé sur le poteau plusieurs concurrents moins bien introduits. Premier patron de la PJ parisienne qui n’était pas issu du sérail du « 36 », Petit pouvait également compter sur ses relations maçonniques pour s’imposer dans une maison où, selon les spécialistes, au moins un quart des officiers sont affiliés à une loge. »

    « Ses appuis politiques et fraternels l’avaient aidé à survivre à deux scandales retentissants ayant récemment ébranlés le « 36 » : d’abord une affaire de viol commis dans les locaux même du Quai des Orfèvres en avril 2014 et dans laquelle sont impliqués trois policiers de la PJ éméchés. Puis, cet été, la disparition de 52 kilos de cocaïne dans la salle des scellés de la Brigade des Stups. Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, novice en matière de police, avait préféré rejeter la responsabilité de ces graves dérapages à des défaillances individuelles, protégeant ainsi Bernard Petit, réputé pour son zèle à appliquer les consignes de la Place Beauvau. »

    Mais « l’affaire des « tuyaux » transmis à Christian Prouteau, l’ancien chef des « gendarmes de l’Elysée » sous François Mitterrand, ne permet plus au ministre de temporiser. Avec la mise en cause concomitante de son fidèle adjoint Richard Atlan, que Petit avait recruté au temps de la Division des Relations Internationales (DRI), la PJ parisienne chère au Commissaire Maigret se retrouve temporairement orpheline. Et durablement déstabilisée. »

    Cela nous rappelle une affaire remontant à un an, lorsque le contrôleur général de la police Jean-Yves Adam a été mis en examen, le 7 février, pour « corruption, violation du secret professionnel, banqueroute et abus de biens sociaux  ». Rien que ça.
    Ayant débuté sa carrière aux renseignements généraux, il avait été notamment directeur du premier district de la Direction de la Sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) de la Préfecture de police de Paris (avec 2000 policiers sous ses ordres).
    Comme l‘avait indiqué l’Express (7 fév. 2014), « il a pu échapper aux poursuite judiciaires pendant plusieurs années grâce à ses « amitiés fraternelles » . Autrement dit, grâce à des complicités nouées avec des policiers franc-maçons. »

    On se remémore aussi ce que Jacques Ravenne et Éric Giacometti, deux écrivains francs-maçons, déclaraient dans une interview à La Dépêche en novembre 2013 :

    « il y a beaucoup de policiers francs-maçons.
    On dit que 75 % des hauts fonctionnaires de la place Bauveau sont maçons.  »

    http://www.contre-info.com/

  • Nathalie Kosciusko-Morizet est-elle suicidaire ?

    Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré lundi matin qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste.

    Nathalie Kosciusko-Morizet – ce n’est pas une première – a déclaré lundi matin sur BFM qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste. C’est du moins la position qu’elle entend défendre mardi devant le bureau politique de l’UMP, réuni pour décider de l’attitude à adopter lors du second tour de l’élection législative partielle dans le Doubs. C’est son droit. En a-t-elle mesuré toutes les conséquences ?

    Tout d’abord, un tel choix renforcerait chez les électeurs du Front national le sentiment que l’UMPS n’est pas une lubie : point de différence notable entre l’UMP et le PS. De leur côté, une majorité des sympathisants UMP, qui souhaitent des accords avec le FN lors des élections locales, ne le comprendraient pas. 

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  • La Grèce choquée dénonce le « chantage » de la BCE

    L’arrêt de certains financements par la Banque centrale européenne a secoué la Bourse d’Athènes et ravivé les tensions politiques.

     

    Il faudra s’y habituer : la saison 2015 du feuilleton « Grèce, la crise » alternera scènes de réconciliation et séquences de haute tension, ponctuées de coups de théâtre. Celui provoqué mercredi soir, après 22 heures, par la BCE, a crispé les acteurs de cette tragédie grecque sur toute l’étendue de la scène européenne au cours de la journée de jeudi.

    La Banque centrale européenne (BCE) a en effet annoncé - en prenant tout le monde par surprise - qu’elle privait la Grèce de sa principale source de financement en suspendant le régime dérogatoire qui l’autorisait à accéder au robinet de la BCE malgré des titres publics de qualité médiocre. Obligées de se replier sur une ligne d’urgence révocable à tout moment, les banques grecques sont les premières affectées par cette décision. L’État grec voit également son refinancement à court terme compromis.

    Manifestation à Athènes

    À la Bourse d’Athènes, la réaction ne s’est pas fait attendre. Dès l’ouverture, le principal indice a plongé de 9,3 %. Surtout, les titres des principales banques, déjà malmenés au lendemain de la victoire électorale de Syriza, se sont effondrés : de 18 % pour Eurobank, de 25,6 % pour la National Bank et jusqu’à 27 % pour Piraeus Bank.

    La décision de la BCE est « légitime », a déclaré François Hollande. Vu d’Athènes, la perception est évidemment radicalement différente. De retour de sa première tournée européenne qui l’avait mené la veille à Bruxelles et à Paris, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, s’est empressé de dénoncer le « chantage » de la BCE. « La terreur et le chantage sont finis », a-t-il déclaré devant les 149 députés de son parti, au Parlement. Déterminé à « mettre fin à la troïka » et au « cauchemar de l’austérité », Tsipras a assuré que « la Grèce ne prendra plus d’ordres, en particulier des ordres par e-mails ».

    Sur la place Syntagma, lieu de toutes les manifestations anti-austérité depuis cinq ans, quelque 5 000 personnes se sont rassemblées, sans forces de police ni barricades, pour soutenir le chef du gouvernement de la gauche radicale et conspuer Mario Draghi. La dénonciation du chantage a trouvé des échos à Paris. Le Parti socialiste s’est démarqué du chef de l’État en « regrettant » le geste de la BCE. Beaucoup plus vigoureuse, Marine Le Pen a dénoncé « une mesure d’une exceptionnelle agressivité » qui confirme, selon la présidente du Front national, que l’Union européenne ressemble de plus en plus à « une dictature ». Le Parti communiste a pour sa part appelé à un rassemblement devant la Banque de France, dont le gouverneur, Christian Noyer, siège au conseil de la BCE, « pour le respect du vote des Grecs ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Grece-choquee-denonce-le

  • L'avortement à la source de la crise économique

    L’évêque de Ferrara, dans la région de Bologne en Italie, Mgr Luigi Negri a déclaré :

    « La loi contre l’homophobie est un délit contre Dieu et contre l’humanité. Quant à la loi sur l’avortement, elle a empêché la venue au monde de six millions d’Italiens supplémentaires et le manque d’enfants a fait que nous nous sommes enfoncés dans l’actuelle crise économique. »

    Michel Janva

  • Lois de “lutte contre l’immigration” et le “grand remplacement” : les audacieuses propositions de Jacques Bompard

    La semaine dernière, une longue proposition de loi de “lutte contre l’immigration” du député‑maire d’Orange a été renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République. Comportant un total de 95 articles de loi, le texte propose de nombreuses solutions pour réduire drastiquement les flux migratoires.
    Parallèlement une proposition de Résolution européenne, du même Jacques Bompard, relative à la “lutte contre le grand remplacement” a été envoyée à la commission des affaires européennes.

    Quelles sont les mesures préconisées par Jacques Bompard ?

    Prenant acte que l’immigration professionnelle est devenue dans les faits une immigration de peuplement avec les graves conséquences que cela entraîne, le député‑maire a fait le choix de proposer deux types de solutions. D’une part, il souhaite limiter au maximum l’immigration par la suppression de l’Aide médicale de l’Etat attribuée aux clandestins, l’extension des peines d’expulsion pour les étrangers ayant commis de graves délits et des crimes, la révision du droit d’asile et la remise à plat des conditions pour obtenir un titre de séjour. D’autre part, il désire redonner un sens au fait d’être Français et à la solidarité nationale par la mise en place de la préférence nationale concernant l’accès à l’emploi et aux prestations sociales. La proposition de loi demande aussi la révision de la loi de 1905 afin que l’Etat reconnaisse les valeurs chrétiennes de la France. Enfin, le député propose d’interdire les minarets et certaines pratiques telles que l’abattage rituel.

    Qu’est‑ce qui justifie des mesures aussi radicales ?

    Dans l’exposé des motifs, Jacques Bompard pointe le coût à la fois économique et humain de l’immigration. Il y dénonce le remplacement de population en cours ainsi que le pillage des forces vives des pays les moins développés. Il souligne également les problèmes identitaires et sécuritaires suscités par les désordres migratoires. En outre, il invite les gouvernants à promouvoir une politique nataliste, mettant en parallèle les 225 000 avortements par an en France avec les centaines de milliers d’étrangers qui s’établissent ou naissent sur le sol français chaque année.

     

    Une telle initiative est‑elle utile et efficace ?

    Il est vrai qu’aucun député n’a cosigné cette proposition de loi et qu’elle n’a aucune chance d’être adoptée. Néanmoins, celle‑ci a au moins le mérite d’exister et de montrer qu’une réponse crédible sur le plan juridique est possible pour s’opposer à l’immigration massive. Par ailleurs, le député du Vaucluse a aussi déposé fin janvier une proposition de résolution européenne en 18 points pour permettre aux Etats membre de l’Union de mener une politique souveraine dans ce domaine.

  • Le parti de l’étranger ne se cache même plus

    C’est rappeler une évidence que de le dire, si la France ne devait dialoguer,  commercer qu’avec des Etats partageant ses valeurs républicaines et respectant l’idée qu’elle se fait des  droits de l’homme, le nombre de ses échanges diplomatiques, économiques, culturels  serait fort limité et notre pays réduit à un isolement proche de celui de l’Albanie communiste de feu Enver Hodja. Cela n’empêche pas de s’interroger  légitimement sur la proximité affichée de certaines éminentes personnalités françaises avec des régimes qui, officiellement désignés comme appartenant au camp du bien,  peuvent aussi être  considérés par d’autres comme des  « Etats Voyous » (rogue states) selon la terminologie états-uniennes. Régimes que plusieurs services de renseignements accusent nommément de financer des mouvements, des milices islamistes contre lesquels nos troupes sont par ailleurs engagées sur divers théâtres d’opération et qui ont frappé en France même. Christine Lagarde, avocate américaine de nationalité française, actuelle directrice du Fonds monétaire international (FMI), s’était attirée les foudres et les moqueries des médias en expliquant depuis le dernier  Forum économique mondial(iste) de  Davos, rendant hommage au roi Abdallah, que feu le monarque d’Arabie saoudite fut un « grand défenseur des femmes ». Un constat qui a échappé au plus grand nombre…

     Plus problématique (hypocrite)  encore de la part d’une ex ministre appartenant à une UMP  qui  donne  au Front National  des leçons de maintien droit-de-l’hommiste et s’offusque de ses positionnements géopolitiques, Michèle Alliot-Marie n’hésite pas à s’asseoir sur les « immortels principes ».

     Présidente au parlement Européen du groupe d’amitié avec les pays du golfe, la « Délégation pour la relation avec les pays de la péninsule Arabique », Mme Alliot-Marie prend très au sérieux son rôle de lobbyiste puisqu’elle a déposé  un amendement en commission des Affaires étrangères au « Rapport de 2014 sur la situation des droits de l’homme ».  Celui-ci  propose  de faire disparaitre le Koweït de  la liste des pays désignés comme ayant  procédé à « une reprise des exécutions » capitales. Dans la foulée elle souhaite aussi  que l’Arabie Saoudite soit retirée de la liste des pays où « une augmentation marquée » des condamnations à mort  a été repérée.

     Un soutien à une   théocratie saoudienne, pointée du doigt au moins  depuis 2001  pour ses liens troubles avec le terrorisme islamiste,  qui intervient également au moment ou Zacarias Moussaoui  se livre à des déclarations fracassantes. Le  terroriste français, actuellement  incarcéré dans une prison de haute sécurité aux Etats-Unis pour avoir aidé à la préparation des attentats du 11-Septembre,  a affirmé que des membres de tout premier plan de la famille royale saoudienne  avaient financé Al-Qaïda et participé à la préparation d’attentats sur le sol américain. Une déclaration sous serment,  corroborant d’autres soupçons et analyses, rendue publique mardi par un tribunal de New York.

     Le  magazine Challenges évoquait pour sa part le 15 janvier  la rivalité géopolitique opposant l’Arabie saoudite et le Qatar cher au cœur de M. Sarkozy.  Etat qatari  vis-à-vis duquel le « sentiment de défiance » « s’est d’ailleurs accentué depuis la divulgation de rapports du département d’Etat américain, qui s’interroge sur le financement de l’Etat islamique (EI) et d’Al-Qaïda par des fortunes du Qatar ». 

     Fabrice Balanche, spécialiste du Moyen-Orient,  expliquait qu’il s’agissait de «remettre la question du financement de ces organisations terroristes dans un contexte de rivalité entre l’Arabie Saoudite et le Qatar. En effet, depuis longtemps, l’Arabie Saoudite veut mettre le Qatar et le Koweït sous sa domination. Mais le Qatar ne se laisse pas faire. (…). Au-delà de la sphère médiatique, le Qatar prend très fréquemment le contre-pied de la politique saoudienne. Alors que l’Arabie Saoudite se méfie des Frères musulmans, le Qatar se montre très accueillant à leur égard. Et depuis que l’Arabie Saoudite soutient les groupes salafistes de l’opposition syrienne, le Qatar cherche à faire de même pour limiter l’influence saoudienne dans la région. On a affaire à une véritable lutte d’influence entre le Qatar et l’Arabie Saoudite pour dominer l’opposition syrienne ».

    Et M. Balanche de relever encore que si «les Etats-Unis ont probablement dû taper sur les doigts du Qatar à ce sujet (celui de  son aide active aux milices islamistes, NDLR), ils ne contrôlent pas tout ce qui se passe dans la région ». Mieux encore, «  ils ferment parfois les yeux (ou participent même) aux financements de groupes terroristes ».

     Au delà même de leur inféodation  assumée à l’atlantisme, ce tropisme de l’UMP vis-à-vis des pétromonarchies,  n’est peut être pas sans incidence  (qu’il en soit la cause ou la conséquence)  sur le positionnement de va-t-en guerre des pontes de l’UMP,  avant-hier contre la Libye,  hier et encore aujourd’hui contre le régime laïc et nationaliste syrien.

     Signe de cette dégringolade sans fin des héritiers du gaullisme, aussi bien dans leurs prises de position que dans leur comportement personnel, Marianne a révélé que l’amour de l’argent des émirs est bien le moteur essentiel des agissements du président de l’UMP.

      Il est ainsi révélé que Nicolas Sarkozy s’est rendu  lundi à Abou Dhabi, un des émirats des Emirats Arabes Unis, « à  l’invitation du Cheikh Mansour et du fonds souverain IPIC ». Au moment  ou  «l’UMP se réveille traumatisée par son élimination dans le Doubs», son président  «s’envole vers des cieux plus cléments» et «se rend à Abou Dhabi pour une conférence très privée… et surtout très rémunérée» a précisé le magazine. Une prestation  qui  succède à celle toute aussi juteuse effectuée  à Doha le 6 décembre, à l’invitation de  la Qatar National Bank,  au cours de laquelle M. Sarkozy a rencontré  le très controversé émir Tamim Al Thani.

     Certes, constate Bruno Gollnisch,  ce n’est pas auprès de son grand rival  Alain Juppé,  complice de toutes les trahisons,  de toutes les soumissions  de la droite courbe depuis quarante ans, que l’électorat droitier pourra trouver espoir et réconfort. Il est plus que révélateur que le frère Bernard Cazeneuve ,  aussi  médiocre ministre de l’Intérieur qu’il  fut un mauvais ministre délégué au Budget, en remplacement alors du menteur Jérôme Cahuzac,   lui rende hommage hier en le faisant applaudir lors d’un meeting anti FN à Audincourt (Doubs).

     Dans un discours d’une grande platitude, pétrie de cette langue de bois qu’affectionnent les fils de la veuve  -«tolérance », «concorde », «vivre ensemble»…- M. Cazeneuve a démontré à  son corps défendant pourquoi la France d’en bas, ancrée dans le réel, celle des invisibles, des victimes quotidiennes de l’euromondialisme,   s’est détournée des partis du Système. A charge pour ses Français qui ont la lucidité de ne plus les croire, d’avoir celle de ne pas se réfugier stérilement dimanche dans l’abstention !  

    http://gollnisch.com/2015/02/05/le-parti-de-letranger-ne-se-cache-meme-plus/

  • L’union nationale est-elle sacrée ?

    La police de la pensée veille, plus question de liberté d’expression, plus de « On est Charlie » mais bien « il est interdit de rompre l’union nationale ».

    On a beaucoup écrit sur « être Charlie » ou « ne pas être Charlie ». Je n’ajouterai rien à tout ce qui a été dit, je voudrais seulement aujourd’hui écrire sur la dérive provoquée par ce mouvement aimé ou détesté.

    C’est maintenant l’union nationale qui est obligatoirement à respecter. La police de la pensée veille, plus question de liberté d’expression, plus de « On est Charlie » mais bien « il est interdit de rompre l’union nationale ». Vous avez vu, Nicolas Sarkozy a osé, il est venu à la télévision, sur France 2, la chaîne d’État. Avez-vous entendu un commentaire sur le fond de ses paroles ? Seule sa « dérive » pour rompre l’union nationale a été commentée. Quand Valls affirme que l’apartheid, c’est la France, il doit être encore question d’union nationale.

    Malheureusement, si ce terme d’union nationale profite bien aux socialistes qui ont tout fait pour cela, tous les Français qui en ont marre sont toujours dans la même galère et, de ce côté-là, l’optimisme n’est pas au beau fixe. Savez-vous que la grande manifestation lors de la journée de défense des professions libérales, prévue de longue date le 22 janvier, a été sabotée par l’UNAPL et son président sous le prétexte idiot de ne pas rompre « l’union nationale ». Le communiqué de presse pour informer que cette manifestation n’aurait pas lieu disait en substance que « la période actuelle et l’union nationale qu’elle a engendrée n’est pas propice à une manifestation ».

    J’ai cherché à comprendre cette attitude sans succès, je me pose beaucoup de questions sur les motivations de ce sabotage. Les membres de professions libérales que j’ai rencontrés ce week-end (médecins, avocats, etc.) sont toujours mobilisés. Ils sont tous vent debout contre la loi Macron, la loi Santé, deux lois qui détruisent le fonctionnement des professions libérales en France.

    Ne serait-on pas en train de voir la récupération politique agir pour que plus une revendication ne se manifeste ? Ce serait le comble du cynisme, sachant qu’à l’Assemblée, les travaux pour faire passer en douce tout ce qui ne passe pas aux yeux des Français continuent et s’accélèrent. Les députés seraient donc complices ? Étonnant, non !

    Les routiers, par contre, n’ont pas eu peur de cette union qui, pour être nationale, n’en est pas moins disparate,a minima. Ces routiers qui n’osent pas vraiment aller jusqu’au bout de leur mouvement par peur d’être cloués au pilori de l’union nationale, alors que le patronat ne se dérange même plus pour aller aux réunions, couvert par le gouvernement qui « ne veut voir qu’une tête ».

    Alors, oui, cette manipulation va nous mettre dans une situation encore plus grave qu’au mois de décembre, la vigilance des Français étant anesthésiée. La grande union nationale tant décrite et appréciée va-t-elle nous faire devenir les moutons rêvés par le PS ? Je crois bien que si personne ne bouge, ils vont surfer sur cette vague jusqu’aux élections, avec la complicité de la presse écrite et audiovisuelle qui leur donne un sérieux coup de main. La lente destruction des libertés est en route.

    Les élections départementales de mars approchent à grands pas, il n’est que temps de se réveiller. L’union nationale doit redevenir celle qui prévalait. À savoir tous unis contre ce gouvernement néfaste pour notre pays. Cette union-là, qui était celle de fin décembre, me paraît beaucoup plus forte et plus durable.

    Patrick Crasnier
    28/01/2015

    Source : Boulevard Voltaire.fr

    http://www.polemia.com/lunion-nationale-est-elle-sacree/

  • France : Pour la première fois, un homme est condamné pour avoir laissé conduire son ami ivre

    Attention, sous couvert de bonnes intentions ce jugement est extrêmement dangereux. En poussant un peu plus loin le raisonnement nous pourrions être tenus responsables des actes de nos amis et pourquoi pas de nos voisins. Espérons que cette condamnation ne fasse pas jurisprudence.

    Le 22 décembre 2012, vers 5h du matin, Charlotte, 18 ans, mourrait après avoir été renversée par un automobiliste. Roulant à toute vitesse, sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants, et sans permis de conduire valide, ce Montpelliérain de 35 ans avait pris la fuite après le drame avant d’être arrêté quelques heures plus tard. Ce jeudi après-midi, plus de deux ans après les faits, la cour d’appel de Montpellier a confirmé le jugement de la première instance, soit une condamnation à six ans de réclusion criminelle.
    Une première en France

    Le caractère «historique» de l’arrêt de la cour est ailleurs: l’ami du chauffard, qui a fauché Charlotte, a lui aussi été condamné. Il avait prêté son véhicule et laissé partir son ami: il écope de dix-huit mois de prison avec sursis, contre un an dont six mois avec sursis en première instance. Etre condamné pour avoir laissé conduire un ami ivre qui commet un homicide sur la route, c’est une première en France. «C’est un combat que l’on avait engagé il y a deux ans, explique Stéphane Landais, le père de Charlotte. Si on peut empêcher quelqu’un de prendre le volant, il faut le faire. Cela peut sauver des vies. On espère que ce jugement permettra d’aller vers plus de responsabilisation des citoyens. Il y a un vide juridique en France, qu’il faut combler…»

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    http://www.contre-info.com/

  • De Robespierre à Coulibaly, les bons et les mauvais terroristes

    "[...] La Révolution Française, parce qu’elle est portée par une vision idéologique, introduit un nouveau concept de guerre. Il avait existé des conflits civilisationnels (les guerres médiques entre les cités grecques et l’empire perse, les chocs Islam-chrétienté, etc.), de simples luttes pour la prééminence politique, militaire ou économique (les conflits entre cités grecques, les luttes entre féodaux au Moyen-Age, etc.) Le projet des révolutionnaires français est plus ambitieux. Il s’agit de « régénérer l’homme », c’est-à-dire non seulement de le soumettre physiquement, ce que faisaient toutes les armées en position de force sur un territoire donné, mais de le faire adhérer à l’idéologie du vainqueur. La République en danger institutionnalise la Terreur mise en œuvre par le Comité de Salut Public à la tête duquel se trouve Robespierre. La Vendée est exterminée, les colonnes infernales ravagent le pays passant au fil de l’épée « brigands », femmes et enfants. La réaction thermidorienne met fin à la Terreur mais tout au long du XXe siècle les historiens marxistes titulaires de la chaire d’histoire de la Révolution Française à la Sorbonne (Soboul, Matthiez, Aulard…) n’auront de cesse de défendre la légitimité de la Terreur « pour sauver la Révolution ». La société française reste, aujourd’hui encore, d’une immense complaisance face au terrorisme robespierriste. Le grand lycée d’Arras porte le nom de Robespierre ainsi que de très nombreuses rues de communes de gauche (Saint-Denis- 93) comme de droite (Issy-les-Moulineaux- 92). A quand un lycée Kouachi ?

    Pol Pot procède à l’élimination de 20% de la population khmère, sous les applaudissements du quotidien Le Monde (« Un peuple en liesse accueille ses libérateurs » titrait le quotidien de référence au lendemain de l’entrée des Khmers rouges dans Phnom Penh le 17 avril 1975) et meurt dans son lit vingt ans après son renversement. [...]

    Le terrorisme islamique est aujourd’hui mis au ban des sociétés démocratiques.

    Mais quelle différence y a-t-il entre guillotiner madame Michu qui « n’ayant rien fait contre la République, n’a non plus rien fait pour elle » et égorger un mécréant dont le seul tort est d’être chrétien ? Aucune !

    Une attitude schizophrénique

    L’hypocrisie politique dans laquelle nous vivons est que les actes terroristes ne sont plus appréciés en fonction de leur nature mais au regard de leur finalité. Pour la vulgate politico médiatique les attentats de l’ETA en Espagne sont légitimes, Franco régnant, mais deviennent illégitimes quand la démocratie est restaurée à Madrid. Dans un cas la police française collabore avec la police espagnole dans l’autre non.

    Cette position est intellectuellement et moralement très fragile.

    Intellectuellement le terrorisme est l’arme des faibles : un pouvoir qui se sait minoritaire ou une opposition qui n’arrive pas à prendre le dessus sur son adversaire. Le plus faible aura beau jeu de dauber sur la vertu intransigeante du plus fort si celui-ci a lui-même usé du terrorisme. Les condamnations vertueuses du terrorisme palestinien par l’état d’Israël perdent de leur crédibilité pour qui a lu la vie et les exploits de Zeev Jabotinsky et de ses émules de l’Irgoun ou du groupe Stern.Le faible qui recourait au terrorisme devient le fort qui dénonce le terrorisme des autres, ce qui est logiquement assez difficile.Il n’en reste pas moins que cette arme du faible au fort est d’une singulière efficacité car elle fait trois victimes : l’ennemi qui est éliminé, l’observateur qui est terrorisé et le complice, plus ou moins volontaire, qui est impliqué sans possibilité de retour en arrière.

    Moralement un acte est objectivement bon ou mauvais en lui-même.Tuer un innocent pour quelque raison que ce soit ne peut jamais être un acte vertueux. La conception machiavélienne, pour ne pas dire machiavélique, de la politique selon laquelle : « La fin justifie les moyens » est la négation de la justice dans l’ordre social. C’est au nom de lendemains radieux à bâtir qu’ont été perpétrés les grands massacres de l’époque contemporaine. Sous cet aspect l’islamisme est bien, comme l’écrivait Jules Monnerot, le communisme du XXI ème siècle.

    Le gouvernement français gagnerait en crédibilité et en cohérence dans sa lutte contre le terrorisme s’il commençait par jeter à bas les icônes terroristes médiatiques aujourd’hui portées au pinacle que sont Robespierre, Lénine ou le frère No1, alias Polpot."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE CAMP DU BIEN

    Trois soldats attaqués à Nice par un forcené qui dévoile sa haine des Juifs en garde à vue. Il n’aura pas fallu longtemps à notre pays pour connaître une nouvelle attaque islamiste et antisémite.

    Le Président et le Premier Ministre peuvent distribuer de bons points à nos soldats : ils sont toujours là où les situations sont tendues. Il y a quelques jours à Nice, deux des trois soldats montant la garde devant un immeuble abritant une association et une radio israelites ont été blessés par un certain Moussa Coulibaly, engagé dans le Djihad au sein de Daech. Un mois à peine après les attentats de Charlie Hebdo et la prise d’otages de l’Hyper Casher à Paris, un autre fait divers vient ternir un peu plus le climat, pour le moins tendu, entre un certain islam et les Français.

    On peut se poser la question de savoir jusqu’où les choses vont aller. Manuel Valls a beau critiquer les amalgames, la haine et autres paravents qui cachent la réalité aux Français, le pays reste dans l’alerte, comme si la France redoutait un danger interne qui ne dit pas son nom.

    On critique Houellebecq et son roman "Soumission", mais parle-t-on vraiment du livre, qui n’est somme toute qu’une fiction ? Le sujet de l’Islam est-il à ce point sensible que l’on ait même plus le droit d’ouvrir la bouche sur "l’islamisation" de la société française ? La véritable question est pourquoi le sujet reste tabou. Comme nous n’avons encore jamais vu de chrétiens avec des fusils mitrailleurs, nous sommes sans doute en droit de demander si la peur ressentie après les événements est légitime. Elle l’est certainement, après les atrocités commises à Paris et en Syrie par les djihadistes, nouveaux tortionnaires endoctrinés.

    La question cruciale est : Pourquoi avons-nous abandonné l’assimilation ? Sans doute parce qu’elle prend trop de temps, et parce que la différence est sacrée. En effet, les "Droits de l’Homme" stipulent que les hommes sont égaux en droits. Sans jamais poser la question autrement cruciale de la civilisation. On n’interdit pas aux Musulmans la construction de mosquées avec des fonds étrangers sur le sol français, mais on interdit une crèche de quelques centimètres de long au Conseil Général de la Vendée, autrefois bien défendu par M. Philippe de Villiers, qui lui ne se laissait pas intimider. On est résistant ou on ne l’est pas.

    Laisser une communauté, ouverte à tous les courants y compris les plus violents, s’installer sans droit de regard sur notre sol, c’est offrir le flanc à des menaces sans précédent. Laisser des jeunes musulmans contester une minute de silence en l’honneur des victimes de massacres atroces et inédits, c’est laisser entrer la barbarie dans nos quartiers. Cela rappelle étrangement les sifflets accompagnant la Marseillaise lors d’un fameux match France-Algérie. Quand on ne se plaît pas quelque part ...

    C’est tout le problème de la démocratie : un régime sous perfusion, faible, qui est incapable de se défendre... Car face à l’ennemi déterminé, comme jamais, ce ne sont pas des leçons de morale républicaine qui changeront la donne. La pédagogie ne sert pas à grand-chose face à des convictions millénaires. L’intégration ne peut se faire sans le travail, or le travail est parti loin de chez nous, en Chine, en Inde, en Turquie ou au Maroc. Les frontières sont ouvertes, laissant passer des milliers d’armes en provenance de l’Est. Les clandestins affluent à Calais. La situation ne peut qu’empirer tant que l’on n’aura pas réglé la question conjointe de l’immigration et des frontières.

    La France est en danger. Il n’est pas trop tard pour réagir. Qu’ajouter de plus, dans un pays qui a sapé ses racines chrétiennes, oublié son histoire, qui meurt du mondialisme et où tout est fait pour nous culpabiliser ? Le déséquilibre ne peut apporter que plus de peine et de malheur. Rassembler les Français et leur redonner confiance est de la responsabilité de tous les patriotes. Renouer avec notre Histoire est de prime importance. Le monde que l’on nous offre ne peut nous satisfaire tant il est froid, terne et abject. La France est à reconquérir, donc, POLITIQUE D’ABORD !

    Nicolas Martin http://www.actionfrancaise.net/craf/?LE-CAMP-DU-BIEN