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lobby - Page 2028

  • Vie publique, vie privée à l’Elysée: la belle hypocrisie des médias français

    « Les médias s’imposent une magistrale cure de silence »
    Conforme à sa volonté de dénoncer le comportement des grands médias, Polémia a relevé sur le site de Renaud Revel une analyse plutôt bon enfant, mais néanmoins précise, sur les modes d’information de quelques grands du journalisme face au vaudeville de la rue du cirque.
    Polémia.
    Médiapart  indique sur son site que l’appartement du 8e arrondissement de Paris, utilisé secrètement par François Hollande pour ses rencontres supposées et non démenties, avec l’actrice Julie Gayet, serait au nom d’un certain Michel Ferracci, un homme « soupçonné de liens avec le grand banditisme corse. Son ex-épouse, l’actrice Emmanuelle Hauck, qui prêtait cet appartement, était devenue la compagne de François Masini, assassiné le 31 mai 2013 en Corse, également soupçonné d’être lié au gang de la Brise de Mer », poursuit le même site d’information.
    Voilà donc une Love Affair qui prend un tour pour le moins rocambolesque. Et il n’en faudra pas beaucoup plus pour que cet épisode prenne également un tour politique : sauf à être d’une incompétence crasse, on peine en effet  à croire que les services du ministère de l’Intérieur n’aient pas vérifié et n’aient pas su à qui appartenait cette garçonnière ! Et si c’est le cas, pourquoi avoir laissé François Hollande s’évanouir à moto dans la nature, en direction d’un appartement dont le propriétaire serait une figure du grand banditisme?
    Nous sommes en plein roman, en plein théâtre de Boulevard. Et les médias s’imposent une magistrale cure de silence.
    Autre spectacle confondant, en effet, l’attitude des médias
    Car dans une démocratie mature, il va sans dire que l’enquête aurait déjà été faite. Et que chacun, à l’instar de Médiapart, aurait fait son job.
    Quel est donc ce pays qui voit ainsi la plupart des médias écrits et audiovisuels se retrancher derrière l’argument sublime et inaudible du respect de la vie privée pour ne traiter que du bout des lèvres une affaire dont on fait pourtant l’exégèse dans toutes les rédactions de France et de Navarre depuis 72 heures !
    Arborant l’éthique en bandoulière, ce sont pourtant les mêmes  qui se jetaient avec gourmandise, il y a quelques années de cela,  sur les affaires Clinton, Cécilia Sarkozy et autres Carla Bruni, – et j’en oublie, avant de passer au laminoir l’intimité d’un DSK voué aux gémonies et jeté en pâture !
    BFM TV
    Cette chaîne qui nous a pourtant habitué à jouer de la grosse caisse, au moindre pet de lapin, s’est ainsi joliment illustrée en faisant le minimum. En fait, on m’indique que la consigne serait venue du sommet de la station. Surtout, ne pas froisser l’Élysée et son locataire, qui ont déjà la chaine dans le nez. Et ce au moment où le CSA réfléchit à installer LCI sur la TNT : une initiative combattue depuis des mois par le patron de Next Radio, maison-mère de BFM-TV, Alain Weill.
    Ceci expliquant cela…
    Autre prudence de mise, celle de France 2
    Alors que dès jeudi soir Gilles Bouleau et TF1 ouvraient le 20 heures sur l’affaire en question, David Pujadas et La 2, consacraient l’essentiel du journal au conflit de la Redoute et à l’affaire Dieudonné, les deux principaux sujets de ce JT. Le climat polaire entre l’Élysée et la maison France Télévisions est-il en cause ? Ou drapée dans un code de déontologie réécrit pour l’occasion, la direction de l’information de France 2 aurait décidé de faire une exception pour le chef de l’État ? Et ce au moment où la presse européenne a les yeux rivés sur notre pays à travers cette croustillante affaire.
    Quant à Laurent Delahousse, (compatissant car récemment paparazzé  par Voici, photographié en galante compagnie), il n’a pas cru utile de faire mention ce week-end du scoop de Closer.
    Que dire aussi de Libération, dont la survie dépend pour grande partie des subsides de l’État :
    Là encore, l’affaire a été traitée à minima.
    L’annonce de l’hospitalisation de Valérie Trierweiler ne fait qu’alourdir le climat autour d’une séquence qui dépasse largement le strict cadre de la vie privée. Parce que l’Elysée est l’épicentre de la vie politique du pays, l’intimité du chef de l’État est en effet l’affaire de tous; ce dernier a donc une obligation de transparence.
    L’Élysée, le lieu lui-même, n’est pas un sanctuaire, et moins encore la Cour du roi Louis XIV. La profession est d’autant plus faux-cul dans cette affaire qu’elle s’en ira guetter mardi, avec jubilation, la moindre petite phrase, la plus petite allusion d’un François Hollande, lequel sera passé à la question lors de sa conférence de presse.
    Oui cette affaire n’est pas un fait majeur, je vous l’accorde. Oui, les français ont d’autres préoccupations que les marivaudages de François  Hollande. Mais la presse a également un devoir d’information et d’explication : quel que soit le sujet. Et d’autant plus quand il s’agit du Premier des français. Dans une démocratie, tout geste d’autocensure est un manquement. C’est la responsabilité des médias que d’éclairer le citoyen. Refermer le couvercle sur cette Love Affair c’est prêter le flanc à la critique, c’est  donner du  grain à moudre à une opinion qui n’a de cesse de critiquer des médias en permanence accusés de collusion avec les pouvoirs, économiques et politiques, soupçonnés de protéger les uns, d’accabler les autres, stipendiés pour entretenir des liens de consanguinité avec la classe politique et ses dirigeants. 
    Renaud Revel Immédiats – Le blog de Renaud Revel, 12/01/2014
    http://www.polemia.com/vie-publique-vie-privee-a-lelysee-la-belle-hypocrisie-des-medias-francais-2/

  • Valls part en guerre aussi contre les supporters avec des mesures toujours plus répressives

    Après les catholiques gazés, les nationalistes réprimés, les fans de Dieudonné nazifiés, Valls va-t-il se mettre les supporters à dos ?

    C’est bien parti et le ras-le-bol couve chez les supporters qui en ont assez d’être sans cesse visés sans qu’on les écoute.
    On en a encore eu l’illustration hier. Manuel Valls a reçu, en présence du ministre des Sports Valérie Fourneyron, des dirigeants et représentants du football professionnel pour une réunion sur la sécurité dans les stades. Devinez qui étaient les grands absents de cette réunion ? Les associations d’ultras et de supporters qui n’ont pas droit à la parole alors que beaucoup le réclament depuis des mois pour trouver une solution ensemble.

    De cette réunion sont sorties des mesures fortes à l’étude : une interdiction de stade,  judiciaire ou administrative qui pourrait être à vie pour certains et une dissolution de groupes de supporters qui prônent la violence, le racisme ou « l’homophobie »…

    Il a aussi insisté sur une plus grande vigilance des déplacements des supporters qui seront gérés par les clubs (allez encore un peu d’argent par là), évoquant des interdictions ponctuelles.
    Manuel Valls entend montrer toute sa fermeté et pour se faire, il va bientôt réunir les préfets pour faire passer son mot d’ordre. Décidément « interdiction » est le mot favori du Ministre de l’Intérieur ces derniers temps !

    Sur ce sujet délicat qu’est la violence dans le football en France, force est de constater qu’aujourd’hui on pratique une tolérance zéro sans aucun discernement alors que des criminels récidivistes sont remis en liberté et que la justice part en vrille. Apparemment, cela ne concerne pas les supporters qui n’ont droit à aucune indulgence.

    Source Media-presse

    http://www.contre-info.com/valls-part-en-guerre-aussi-contre-les-supporters-avec-des-mesures-toujours-plus-repressives#more-31018

  • Manuel Valls connaît-il son modèle, Clemenceau ?

    Minute lui rappelle quelques réalités historiques :

    "Dans un coin de son bureau ministériel, un portrait du Tigre a été accroché. L’a-t-il lu ? Non, sans doute, ou quelques pages sélectionnées par un secrétaire. Car sinon l’impeccable républicain de la place Beauvau aurait pris soin de préciser à quel Clemenceau il réserve son admiration. Il y en a tant, des Clemenceau, que M. le Ministre, s’il les connaissait, les aurait volontiers envoyés en garde à vue…

    Cherchons donc quel Clemenceau admire Valls. S’agit-il du Clemenceau qui a lancé la carrière politique du général Boulanger, ce « factieux populiste » honni par l’histoire? Non, sans doute. C’est un peu comme si Valls faisait nommer Marion Le Pen ministre. Impossible. S’agit-il du Clemenceau qui apostrophait en 1893 un ministre de l’Intérieur en raison de ses origines juives ? Nauséabond ! Non, ce ne peut pas être non plus ce Clemenceau-là. Alors, peut-être, le Clemenceau écrivain, voyageur ? Eh bien, pas davantage. Dans Au Pied du Sinaï, paru en 1898, Clemenceau s’écoeure du juif traditionnel « crasseux », palpitant de « fanatisme talmudique ». Exit ce Clemenceau-ci. Voyons, cherchons encore… Il doit bien y avoir un Clemenceau acceptable en l’an 2014 ? Ah oui! Le dreyfusard. Ce doit être lui. Splendide modèle à l’oeil fulminant. Hélas… Ce Clemenceau n’hésitait pas à attaquer un député juif, anti-dreyfusard, en ces termes: « Il serait bon que les juifs cessent d’insulter ceux qui les défendent! » Bon, alors, pas ce Clemenceau là non plus. Mais à qui se fier ? [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/manuel-valls-conna%C3%AEt-il-son-mod%C3%A8le-cl%C3%A9menceau-.html

  • Aveux croisés de François Hollande et de l’UMP sur l’existence d’un parti unique

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Si François Hollande a clairement hier assumé une politique eurolibérale, sa conférence de presse a permis un autre aveu de taille, qui va bouleverser le débat politique français : l’existence dans notre pays d’un parti unique qui regroupe le PS et l’UMP.
    Cet aveu était d’une grande clarté dans la bouche même du chef de l’État, qui a assumé vouloir réussir ce que Nicolas Sarkozy aurait voulu continuer à faire, ajoutant que le débat politique français devait se faire entre « un centre-droit » et un « centre-gauche », tous deux européistes, ultralibéraux et antinationaux.

    Les réactions de l’UMP à cette conférence de presse ont confirmé sans ambiguïté l’aveu du parti unique. Jean-François Copé a revendiqué la paternité du projet de François Hollande. Des personnalités aussi éminentes de ce parti que Jean-Pierre Raffarin ou Bruno Lemaire ont fait publiquement savoir leur grande satisfaction.
    Côté PS, le sénateur André Vallini a eu hier soir cette formule très explicite : « L’UMP en rêvait, le PS va le faire »…

    Après de telles effusions, qui traduisent une identité totale d’analyses et de convictions entre PS et UMP, il ne sera plus possible à ces deux partis de jouer, de mettre en scène une opposition factice entre eux.

    Face au parti unique UMPS, enfin assumé et auquel Jean-Louis Borloo et son UDI demandent déjà à se greffer, les Français n’ont qu’une seule alternative : celle des patriotes du Front National et du Rassemblement Bleu Marine.
    Puisque la politique du parti unique est la parfaite continuité de la politique déjà menée depuis des années sous Sarkozy puis Hollande, son échec est certain.
    Le parti unique c’est la dictature de moins en moins douce dans laquelle la caste veut enfermer le pays. Les Français s’en libéreront en le dévoilant au grand jour et en lui tournant le dos

    Source: Nationspresse

    http://www.altermedia.info/france-belgique/nationspresse/aveux-croises-de-francois-hollande-et-de-lump-sur-lexistence-dun-parti-unique_96589.html

  • Le président exemplaire

    Et maintenant je nomme ma nouvelle greluche parmi les quatre personnalités françaises qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.
Plus d’infos ici

    Et maintenant je nomme ma nouvelle greluche parmi les quatre personnalités françaises qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.

    Plus d’infos ici

    http://francelibre.tumblr.com/

  • La France vieillit

    La fécondité est repassée sous la barre symbolique des deux enfants par femme et s'établit à 1,99 enfant par femme contre 2,01 en 2012 et 2,03 en 2010. 810 000 bébés ont vu le jour en France en 2013 ; c’est 11 000 de moins qu’en 2012.

    En 2013, environ 572 000 personnes sont décédées en France (hors Mayotte), soit légèrement plus qu’en 2012. Depuis 2006, le nombre de décès augmente en continu (hormis 2011). Il atteint en 2013 son plus haut niveau depuis 1994. Cette augmentation est liée au vieillissement tendanciel de la population.

    Depuis 2011, année où les premiers baby-boomers ont atteint 65 ans, le vieillissement démographique s'accélère. Au 1er janvier 2014, 18% d'habitants sont âgés d'au moins 65 ans, soit une hausse de 3,4 points en 20 ans. Les 75 ans et plus représentent, eux, 9,1 % de de la population (+3 points en 20 ans).

    La France vieillit. Et cela coûte cher. De là à voir un lien de cause à effet avec la propagande en faveur de l'euthanasie, il n'y a qu'un pas.

    Michel Janva

  • La LICRA, officine de combat contre les libertés du Net

    « Parmi les objectifs du “Jour de colère” : la lutte pour la liberté d’expression. Raison de plus pour se mobiliser le 26 janvier. »
    Nous l’affirmions dans une contribution du 6 janvier, l’affaire Dieudonné était  « l’arbre qui cache la forêt de l’offensive contre Internet » (1) où « la guerre est déclarée » (2), comme s’en était réjoui le 3 janvier Daniel Makonnen, responsable de la communication de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme. Cette déclaration de guerre est confirmée par le président de la LICRA en personne dans une interview diffusée sur l’antenne Judaïques FM (3) le 11 janvier, deux jours après l’arrêt du Conseil d’Etat interdisant de facto la tournée de Dieudonné et la poursuite de son spectacle « Le Mur ».
    Au journaliste Olivier Issembert qui l’interrogeait sur l’opportunité et la possibilité de sévir contre les tweeteurs déviants et le site Youtube et lui demandait si « la prochaine étape, c’est ce combat sur Internet », Alain Jakubowicz a répondu en effet : « Il y a des mesures coercitives, mais il y a un certain nombre de choses qui sont faites, et je peux vous dire que la LICRA accomplit un travail considérable là-dessus. Nous avons créé d’ailleurs Licranet, avec des spécialistes du net, nous avons maintenant des équipes pour cela. »
    Car, ce « combat », en réalité contre la liberté d’opinion, la LICRA « l’a déjà anticipé ». « On est dans ce combat, poursuit M. Jakubowicz, je ne veux pas vous dévoiler les actions que nous menons, mais un certain nombre de vos auditeurs pourront vérifier que certaines vidéos ne sont plus visibles aujourd’hui […] Ce combat-là, dans le cadre légal évidemment, nous le menons parce que la loi ne permet pas que l’on continue à visionner des vidéos dont les propos sont attentatoires à la dignité et constitutives de délits. Pour certaines d’entre elles d’ailleurs, ces vidéos reprennent des propos qui ont été condamnés par la justice, donc ces vidéos [dont, à n’en pas douter, la dernière de l’humoriste franco-camerounais, qui a fait l’objet de 3.025.572 connexions en trois jours] doivent être supprimées et ne doivent plus être accessibles, et évidemment nous accomplissons à cet égard le travail qui doit être le nôtre. »
    Avocat… et justiciable
    Jusqu’où s’étendra ce travail ?
    Spécialiste du droit de la presse, M. Jakubowicz est avocat. C’est en cette qualité qu’il plaida contre Klaus Barbie, Paul Touvier et Maurice Papon, en cette qualité qu’il intégra à Lyon l’équipe municipale du ministre Michel Noir qui en fit son adjoint délégué aux droits de l’homme – mais oui ! – avant que les deux hommes se retrouvent en mars 1996 en correctionnelle. M. Noir, qui était devenu l’idole des médias après avoir déclaré en 1987 qu’il valait « mieux perdre les élections que perdre son âme » en s’alliant au Front national (4), comparaissait alors pour abus de confiance et abus de biens sociaux pour avoir mis en place une galaxie d’associations censées soutenir son action politique mais ayant, selon le parquet, bénéficié de « plusieurs millions de francs de subventions municipales » ; et son adjoint Jakubowicz pour avoir perçu de l’une de ces associations, Nouvelle Démocratie, près d’un demi-million de francs d’honoraires pour la défense, non de la mairie de Lyon, mais du seul maire dans une affaire privée : le procès  de son gendre et bienfaiteur Botton, poursuivi pour détournement de fonds dont avait largement profité son illustre beau-père, condamné le 20 avril 1995 en première instance à quinze mois de prison avec sursis et à 200.000 francs d’amende, assortis de cinq ans d’inéligibilité.
    Une autre « répression fulgurante » ?
    Prédécesseur d’Alain Jakubowicz de 1999 à 2010 à la tête de la LICRA, Patrick Gaubert avait accédé à la célébrité en profitant en 1994 de son poste de chargé de mission auprès du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua pour lancer contre la presse mal-pensante une « répression fulgurante ». Cette dernière se solda par des dizaines de procès sous les prétextes les plus aventurés, ruina nombre de journaux et contraignit les rescapés du jeu de massacre à renoncer en partie, par prudence, à leur liberté d’informer – y compris sur la criminalité étrangère et le racisme antifrançais… dont la LICRA prétend aujourd’hui défendre les victimes !
    Son successeur, lui, entend déclencher une « répression fulgurante » sur la Toile. Avec d’autant plus de chances de succès que depuis deux décennies, ce que beaucoup ignorent, la LICRA s’est internationalisée.
    Grâce aux généreuses subventions de l’Etat, des conseils régionaux et des municipalités – toutes libéralités sorties de la poche du contribuable –, la Ligue a créé des organisations-sœurs en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, au Portugal, au Québec, en Autriche et jusqu’au Congo-Brazzaville. Grâce à cette toile d’araignée patiemment tissée, la Ligue, relayée – ou impulsée – outre-Atlantique par le B’nai B’rith et la très influente Anti-Defamation League d’Abraham Foxman, parviendra-t-elle à normaliser Internet ?
    Parmi les objectifs du « Jour de colère » : la lutte pour la liberté d’expression. Raison de plus pour se mobiliser le 26 janvier.
    Camille Galic, 14/01/2014
    Notes :
    (1) L’affaire Dieudonné : l’arbre qui cache la forêt de l’offensive contre Internet
    (2)La Licra déclare « la guerre » aux propos haineux sur le Net
    26 janvier : jour de colère !
    (3) Texte disponible sur www.google.fr/#q=clan+des+vénitiens
    (4) Michel Noir récidiva le 23 mars 2011 en déclarant au Progrès que les électeurs devaient « choisir sans hésiter le candidat socialiste dans les duels PS-FN ».
    http://www.polemia.com/sainte-ligue-au-combat-contre-internet/