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lobby - Page 2030

  • Endoctrinement et desinformation : 11 janvier

     

    Alors que d'une main l'oligarchie frappe et se sert de l'épouvantail de l'antisémitisme pour tester la résistance du peuple français à l'oppression du moralement correct, premiers pas de la dernière phase du mouvement vers une mise sous coupe réglée de la liberté d'expression et de manifestation - au fond la finalisation de l'esprit de la loi Gayssot -, autant sur internet que dans le monde "réel" ; de l'autre elle reprend les bonnes vieilles méthodes du conditionnement positif en travestissant ses lubies totalitaires futures. On retrouve tout l'usage subversif du libéralisme dans ce conditionnement médiatique de fonds, dont on observe par période les plus grosses ficelles.

    Dont le cas d'une euthanasie joyeuse, "fun", d'un soit-disant plus vieil athlète de Belgique, qui a 95 ans a le bon goût de fêter sa mort en famille, un verre de champagne à la main, ce qui, soit dit en passant, est bien la mort que nous pouvons souhaiter au plus grand monde, mais qui, au service des utilitaristes capitalistes, devient un fait divers politiquement progressiste poussant à l'acceptation d'une nouvelle règlementation nécessaire, si et seulement si elle se faisait sur des principes nobles et dans une société dont le cadre serait sain. Car pour un joyeux luron ayant estimé à raison, par lui-même, que sa vie devait prendre fin, usant de l'une de ses libertés les plus fondamentales, combien de vieillards malades et déprimés attendent la mort dans la solitude la plus complète, réifiés, soignés tant bien que mal - et plus mal que bien - et feront alors, grâce à une future réglementation, les bataillons d'euthanasiés pour raison de restrictions budgétaires?

    Voir aussi en quoi détermine-t-on l'intérêt vers où doit tendre la recherche et les fonds qu'on lui alloue, dans la découverte d'un médicament luttant contre la dépendance du cannabis, amenant de fait une future consommation encore plus "cool", dénuée du versant négatif de la drogue : un premier pas vers la synthèse d'une drogue obligatoire et sans effets secondaires qu'Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes avait nommé Soma.

  • Patrick Klugman, l’avocat des Femen, de BHL, de Caroline Fourest et de SOS Racisme…

    Focus sur Maître Patrick Klugman. Celui-ci est à la fois l’avocat des Femen, de Caroline Fourest, de Bernard-Henri Lévy et de SOS Racisme.

    Cet avocat trouve naturel d’interdire les spectacles de l’humoriste Dieudonné mais considère que les Femen doivent pouvoir librement profaner les lieux de culte catholiques.

    Né en 1977, Patrick Klugman est ancien président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF).

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  • Le « choc de la simplification » c’est ça ?

    « Un clou chasse l’autre, après les galipettes tonitruantes de Dieudonné, les galipettes amoureuses du Président ! » soulignait  Jean-Marie Le Pen samedi lors d’une conférence de presse aux côtés de Bruno Gollnisch et de la tête de liste du FN/RBM aux municipales de Lyon et responsable  rhodanien, Christophe Boudot. Alors que Marine Le Pen passera sa journée le 1er mars dans la capitale des Gaules et la clôturera par une grande réunion publique, le président d’honneur du FN répondait à l’invitation de la fédération du Rhône pour partager avec plus de 600  militants, une galette des rois  à l’Espace Tête d’Or de Villeurbanne. Comme il fit la veille au micro de RTL,  le «Menhir » a relevé que s’il n’avait pas à «soutenir » Dieudonné, «n’en déplaise aux cuistres de l’établissement politico-médiatique, c’est un comédien, un artiste, un créateur ». «L’année commence par une polémique subalterne. Le ministre de l’Intérieur étant incapable de faire face à la montée de l’insécurité, il dérive l’attention sur un comédien qui ne serait pas convenablement placé sur les rails de la pensée unique. Dans notre pays la comédie satirique est de très ancienne extraction ». « C’est (Manuel Valls)  qui (a  lancé) cette affaire afin d’embarquer toute la classe politique française dans une histoire d’antisémitisme, exactement comme son prédécesseur Monsieur Joxe avait essayé de piéger le Front National avec l’histoire de Carpentras ». « Toujours l’antisémitisme, ça mobilise et par conséquent on est considérés comme un nazi, désigné comme tel… On est victimes, voilà la vérité ! ».

    Précisons d’ailleurs que le journaliste politique Denis  Jeambar, consultant pour la chaîne LCP, affirme que c’est   un coup de fil de Jean-François Copé donné courant décembre au ministre de l’Intérieur, qui est à l’origine de ce déchainement. M. Copé aurait demandé à M. Valls de prendre des mesures contre Dieudonné , et le ministre aurait donné son accord en échange d’un soutien de  la « droite » dans cette affaire, qui ne s’est pas démenti depuis.

    Pour Jean-Marie Le Pen, «Dieudonné exerce son talent satirique tous azimuts, mais on sait qu’il y a des cibles qui sont taboues (…).  Il n’incite pas à la haine et à la violence. Il incite à la rigolade. » « Il faut avoir une certaine mauvaise foi pour nier que ce genre satirique a toujours déplu aux puissants ». Ce qui nous invite bien sûr à nous interroger sur les limites d’une  liberté d’expression censée être garantie par une  justice qui  en fait n’est jamais vraiment indépendante du pouvoir politique.

     Liberté d’expression dont Marine Le Pen a rappelé que sa défense était un des fondamentaux du Mouvement qu’elle  préside.  Mais une liberté   qui,  quel que soit le régime en place,  est toujours  encadrée, amputée, amodiée,  en fonction des intérêts des puissants du moment.

    Bref, le vœu de Evelyn Beatrice Hall, attribué de manière synthétique  à Voltaire, «Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire » (« I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it »), n’est certainement pas une devise socialiste, et encore moins celle d’un ministre de l’Intérieur de la Vème République…

     Les Français ne sont pas dupes de cette diversion  et sont ici de nouveau  en phase avec le FN. Selon le  sondage BVA pour ITele-CQFD paru en fin de semaine, 74 % de nos compatriotes  pensent que le gouvernement parle « trop » de cette affaire, 52 % (contre 46 %) sont hostiles aux interdictions des  spectacles de Dieudonné. Les sympathisants de droite sont plus particulièrement hostiles à ces interdictions (61 %), chiffre qui atteint 77 % pour les sympathisants du Front National.

    Français qui encore une fois, partagent le sentiment de Marine concernant le caractère essentiel de la protection de la vie privée. Un  principe réaffirmé par la présidente du FN lorsqu’elle fut interrogée sur les consternantes  révélations ( ?) sur la vie sentimentale de François Hollande, parues dans le  magazine pipole  Closer.  Selon celles-ci,   le président tromperait sa compagne officielle, Valérie Trierweiler,  hospitalisée ces dernières heures pour « prendre du repos »,  avec l’actrice Julie Gayet.

    Une affaire qui polluera inévitablement la conférence  de presse du chef de l’Etat prévue cet après-midi,  au cours de laquelle il doit présenter les mesures traduisant le  virage social-libéral qu’il entend parait-il  impulser pour la suite de son quinquennat.

    Un autre sondage  paru dans le   JDD  indique que pour   84% des personnes interrogées, l’opinion (elle est de toute manière très majoritairement extrêmement négative eu égard à la politique conduite) qu’elles ont du président n’a pas changé après les «allégations» de Closer ; 77% des sondés estiment qu’il s’agit d’une «affaire privée qui ne concerne que François Hollande».

    Une confirmation de la différence de mentalité  existant entre la France  notamment  et  les pays protestants  anglo-saxons.  Un président des  Etats-Unis ou un Premier ministre britannique,  doivent être exemplaires,  y compris dans leur  vie privée. Une exigence qui a comme corollaire  que les médias de ces pays n’hésitent pas  à exposer, fouiller, explorer leur vie intime et à la livrer en  pâture à l’opinion. Ce n’est pas là notre tradition  française, nos compatriotes  ayant généralement  une indulgence certaine  pour les frasques hors-mariage  de « nos » dirigeants ; il n’est pas nécessaire de remonter à Henri IV (dit le vert-galant)  et ses dizaines de maîtresses officielles, pour s’en convaincre.

    Cette affaire, il est vrai anecdotique au regard des  problèmes autrement plus importants et angoissants qui assaillent la France et les Français, n’en agit pas moins comme un révélateur de la décadence de cette ripoublique là, donneuse de leçons mais dont l’arrière cour est peu ragoutante.

    Certains avancent ainsi que Manuel Valls ne serait pas étranger à ce déballage,  lequel mènerait là aussi la danse à des fins personnelles comme il le fait dans le dossier Dieudonné. L’hebdomadaire Le Point s’interroge:  « comment la police ne pouvait-elle pas être au courant que le président se rendait rue du Cirque dans un appartement prêté à Julie Gayet depuis six mois par une comédienne qui y vivait jusque-là avec Michel Ferracci, ancien du cercle Wagram, réputé proche du gang de la Brise de mer et condamné à dix-huit mois de prison avec sursis ? (…). Manuel Valls a-t-il alors cherché à planter le président ? Ou à devancer ses désirs de séparation ? ».

     « Valérie Trierweiler peut-elle rester à l’Elysée ? » s’interroge la journaliste  Catherine Nay, pour qui  ce psychodrame  aurait une dimension  quasi psychanalytique, en révélant le caractère d’un chef d’Etat pâte molle,  incapable de prendre des décisions.

    Vendredi sur Europe 1,  elle a considéré  que « François Hollande doit être très content »  et évoqué des  « évènements » qu’il a peut être organisé. « Il sait très bien que cette rumeur était connue depuis très longtemps (…) si vous ne voulez pas être pris, il ne faut pas vous rendre au domicile de la dame ». Aussi, M. Hollande aurait cherché à sortir d’une « ambiguïté » qui le rongeait : « cette double vie lui pesait et il avait besoin que les évènements tranchent pour lui » croit savoir Mme Nay.  Ce serait donc cela «  le choc de la simplification » pour M. Hollande ?  On repassera…

    « Comment ne pas déplorer l’atteinte intolérable à l’image de la France, quand le chef de l’Etat, qui n’est pas un citoyen comme les autres, non content d’entretenir aux yeux de la terre entière une relation illégitime à l’Elysée, se fait surprendre casqué et à moto pour des rendez-vous galants, de surcroît entouré de gardes du corps rémunérés sur fonds publics?» a déclaré de son côté le député UMP Georges Fenech. « La liaison de François Hollande affaiblit la fonction présidentielle » a renchéri Jean-François Copé.  Nos deux compères ayant apparemment oublié l’affligeant storytelling sentimental que nous infligea Nicolas Sarkozy dans la première partie de son mandat.

    Car  si le président à le droit au respect de sa vie privée,  à charge pour lui de ne pas mélanger les genres et de sauvegarder  une dignité dans sa vie officielle qu’il doit tout autant aux Français qu’à sa fonction. Non en effet,  le président de la république n’est pas un citoyen normal, comme les autres. Cela est particulièrement vrai  dans un pays comme la France, sous  une Vème République dans laquelle l’esprit monarchique qui a façonné la représentation du pouvoir des Français  a perduré.

    Or,  cette affaire d’un président en scooter, le casque mal  attaché,  un paparazzi à ses basques,  se rendant à ses  rendez-vous amoureux,  poursuit  une pitoyable  évolution  qui a débuté sous la majorité précédente.

    Nous le notions sur ce blog  à la fin du quinquennat du mari de Carla Bruni, citant alors le journaliste François Bousquet,  la vraie rupture sarkozyste a consisté en  la « désacralisation du pouvoir ». « Des deux dimensions de la politique, la sacrée et la profane, Sarkozy a écarté d’emblée la première. C’est  son crime de lèse majesté. Plus rien en lui ne relève de l’éminence monarchique. Dans Les deux corps du Roi, l’historien Ernst Kantorowicz avait montré en quoi le monarque médiéval possédait un double corps : le corps naturel, mortel, et le corps surnaturel, celui qui incarne le principe dynastique et ne meurt pas. Sarkozy a mis fin à tout cela (…). »

    Et  comme nous l’affirmions déjà quelques mois auparavant,  évoquant  également  Kantorowicz,  c’est l’ensemble de la classe politicienne qui sombre à des degrés divers, dans  le dévoiement démagogique, dans la pipolisation, si ce n’est dans une certaine vulgarité,  passant du « du spectacle de la politique à la politique-spectacle ».

     Bruno Gollnisch souligne encore que ce mélange des genres entre la vie privée et la vie publique a été aussi initié  dés le départ par  François Hollande  qui en contradiction totale avec les usages, les règles protocolaires et surtout sans  le moindre respect des contribuables français,  a voulu que sa compagne Valérie Trierweiler l’accompagne dans ses voyages officiels et bénéficie à l’Elysée d’un bureau et de cinq collaborateurs affectés à son service. Les salaires nets de ces derniers    coûtent   officiellement  1 184 520 euros par an aux Français, somme qui n’inclut pas la domesticité et le personnel de sécurité veillant sur Mme Trierweiler.

    Or, rien ne justifie les avantages en  nature accordés  à  Valérie Trierweiler qui  ne bénéficie répétons-le  d’aucun statut officiel, n’est pas chargée d’une mission   ni dépositaire d’aucune autorité publique.

    De la vendetta  de Valls contre  Dieudonné, contraire à l’Etat de droit ,  aux virées  de M. Hollande, les  petits arrangements entre amis, le règne du deux poids deux mesures, le mépris des Français, l’insulte à leur intelligence encore et toujours, sont bien le  même fil conducteur de ce régime épouvantable.

    http://gollnisch.com/2014/01/14/le-choc-de-la-simplification-cest-ca/

  • La fin du monopole de la Sécurité sociale…

    L’ordonnance 2001-377 dispense de payer la CSG et la CRDS ceux qui choisissent un organisme dans un autre pays européen, et cela est caché...

     
     

    Il n’est pas question, dans cet article, d’inciter à fuir notre régime d’assurance obligatoire… cela est interdit par l’article L114-18 (2006) du Code de la sécurité sociale…

    Cependant, il n’est pas inutile de rappeler les éléments suivants…

    La Commission européenne a confirmé la fin du monopole des retraites et, implicitement, de la Sécurité sociale en France instaurée par de Gaulle en 1945 sous l’influence du Parti communiste français et des syndicats très puissants à l’époque. Nos avantages sociaux ont tenu bon durant plus de 60 ans tout en creusant régulièrement le trou de leur déficit. La Sécurité sociale est un État dans l’État et son budget est comparable à celui de la France. Son déficit entraîne le pays vers des profondeurs abyssales. Il est plus que probable qu’elle ne tardera pas à exploser, et il est donc urgent de rechercher des solutions avant l’effondrement total du monopole.

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  • Après Dieudonné, c’est au tour d’Alain Soral d’être victime d’interdiction

     

     

    Tout le monde sait qu’Alain Soral et Dieudonné sont d’anciens amis. Dans sa vidéo du mois de décembre, Alain Soral avait déclaré avoir très bien compris la manœuvre des médias et des politiques, qui consistait à les séparer pour mieux les attaquer ensuite. Par là-même, il a réitéré son soutien à Dieudonné. C’est donc fort logiquement qu’il s’est retrouvé aussi face à des interdictions.

     

    Hier et aujourd’hui, Alain Soral devait tenir des conférences respectivement à Nice et Marseille. Dans la semaine, le maire de Nice Christian Estrosi avait clairement demandé au préfet des Alpes-Maritimes de tout faire pour l’interdire en s’appuyant sur la circulaire de Valls concernant Dieudonné : « Alors que l’antisémitisme régulier de Monsieur Dieudonné M’bala M’bala est au cœur des débats politiques, Monsieur Alain Soral, essayiste, programme une réunion à Nice et à Marseille. Christian Estrosi, Député – Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, demande à Monsieur le Préfet des Alpes-Maritimes d’interdire cette réunion publique :

     

     Selon le site internet personnel de Monsieur Alain Soral, Egalité et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr), une réunion publique de cette personne est prévue les 11 et 12 janvier à Nice et à Marseille.

     

    Alain Soral, maître à penser de Monsieur M’bala M’bala dont il fut le colistier en 2009 lors des élections européennes, de par ses nombreux ouvrages, est connu pour ses positions révisionnistes et négationnistes depuis de longues années.

     

    Suite à la circulaire du 6 Janvier 2014 du Ministre de l’Intérieur Manuel Valls, je demande officiellement à Monsieur le Préfet des Alpes-Maritimes d’interdire la réunion publique de Monsieur Soral qui devrait se tenir le 11 ou 12 Janvier 2014 à Nice.

     

    La lutte contre l’antisémitisme et le racisme a toujours été une priorité dans ma vie politique et je ne peux laisser une personne proférer librement des propos antisémites ou incitant à l’antisémitisme dans la ville de Nice.

     

    Sans intervention de l’Etat à travers Monsieur le Préfet, j’utiliserai tous les moyens juridiques en ma possession pour interdire cette réunion politique de propagande antisémite et révisionniste. »

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  • Plainte dans une affaire de GPA en France

    Une première en France, initiée par l'association Juristes pour l'enfance :

    "Des entreprises étrangères agissent sur le territoire français pour mettre en relation des couples avec des mères porteuses, dans le but de conclure des contrats de gestation pour  autrui. C’est notamment le cas de la société américaine Extraordinary Conception, basée en Californie qui, depuis plusieurs années, vend ses services sur le territoire français, au mépris des lois de la République.

    Les Juristes pour l’Enfance, dont l’objet social est la défense de l’intérêt de l’enfant, ont porté plainte en transmettant au Procureur de la République tous les éléments de preuve établissant les faits : vidéos de réunion à Paris, catalogue de mères porteuses, grilles tarifaires…

    Il s’agit de mettre fin à deux violations :

    - La violation de la loi française. La gestation pour autrui est prohibée par la loi, pour protéger tant les femmes que les enfants, et toute personne qui met en relation des personnes à cette fin se rend coupable du délit pénal d’entremise : l’article 227-12 alinéa 3 du Code Pénal réprime le fait, dans un but lucratif, de s’entremettre entre une personne désireuse d’adopter un enfant et un parent désireux d’abandonner son enfant née ou à naître.

    - La violation du droit fondamental de l’enfant de connaître, dans la mesure du possible, son père et sa mère, et d’être éduqué par eux, droit garanti par la convention internationale des droits de l’enfant. Or, la GPA organise et planifie la violation de ce droit.

    Le Conseil Constitutionnel a rappelé, en réponse au risque que des couples soient incités à recourir à l’étranger à la GPA en fraude à la loi française, qu’il appartient aux juridictions compétentes d’empêcher, de priver d’effet et, le cas échéant, de réprimer de telles pratiques (décision 2013-669 du 17 mai 2013).

    Il est inacceptable que des entreprises violent la loi en toute impunité, avec un seul objectif : le profit. Car, sous couvert de prétendues bonnes intentions, ces sociétés utilisent la détresse humaine à des fins financières.

    L’enfant n’est pas une marchandise, la femme non plus. La France ne peut pas d’un côté durcir les sanctions contre la prostitution et, de l’autre côté, laisser des entreprises organiser la marchandisation du corps de la femme et de l’enfant.

    Les Juristes pour l’Enfance demandent que la loi soit respectée et appliquée."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une liberté d’expression acceptable pour tous

    « Manuel Valls joue un jeu dangereux, cherchant l’opération de communication à tout prix, en véritable consommateur médiatique. »
    En matière d’expression publique, trois événements sans lien apparent sont venus clore l’année 2013, dessinant les tendances lourdes de l’incohérence  du gouvernement actuel.
    Le premier, sur lequel je souhaite obtenir des explications officielles, est la profanation de l’église de la Madeleine à Paris par le mouvement Femen importé d’Ukraine et se revendiquant féministe. Voilà que quelques jours avant Noël, une femme membre du mouvement s’immisce dans une messe, poitrine dénudée, mimant un avortement sur l’autel avec un morceau de viande à la main, dans l’objectif de faire « annuler Noël », insultant de ce fait des millions de chrétiens, dans l’indifférence générale et un silence politico-médiatique assourdissant.
    Interdire les spectacles
    Quelques jours plus tard, le ministre de l’intérieur annonce son intention de faire interdire les spectacles du très controversé Dieudonné par voie de circulaire au nom des limites à la liberté d’expression. Le maire de Marseille demande également, à juste titre, à la préfecture l’annulation du spectacle de Dieudonné au Silo.
    Au nom de la liberté d’expression la plus effrénée, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) rend, à la mi-décembre 2013, un arrêt alarmant sur l’absence de « besoin social impérieux » de condamner le négationnisme du génocide des Arméniens. Tous les génocides, y compris ceux reconnus par la loi, ne seraient donc pas égaux selon la CEDH qui organise ainsi la concurrence des mémoires.
    Entre ces trois événements, où est la cohérence en matière de liberté d’expression ? C’est qu’à l’heure actuelle, la cohérence n’est plus un critère de l’action gouvernementale. Qui décide aujourd’hui de l’admissibilité de l’expression publique et des limites à sa liberté ? Le législateur vote la loi, conformément à son mandat.
    Le Conseil constitutionnel la valide ou l’invalide, conformément à sa mission. Le juge l’interprète et l’applique selon une époque donnée, conformément à sa fonction créatrice de jurisprudence. Et aujourd’hui, l’exécutif l’instrumentalise. Il pioche ce qui l’intéresse, sans aucune vision d’avenir et en mettant en danger sa légitimité.
    Avec ses effets d’annonce, Manuel Valls joue un jeu dangereux, cherchant l’opération de communication à tout prix, en véritable consommateur médiatique. Au regard de la jurisprudence actuelle de la CEDH, extrêmement protectrice de la liberté d’expression, la bataille juridique qui s’engage risque soit d’être courte et décevante, si le juge administratif donne raison à Dieudonné – qui contestera sans doute chacun des arrêtés municipaux qui interdiront son spectacle –, soit longue et dangereuse car le juge de Strasbourg pourrait un jour rendre un « arrêt Dieudonné » dramatique.
    L’ampleur des conséquences juridiques
    Pour l’heure, M. Valls semble ne pas mesurer l’ampleur des conséquences juridiques pouvant découler de sa circulaire, mais la publicité prime aujourd’hui sur l’efficacité, la justice et la morale. Les limites à la liberté d’expression sont déjà fixées par la loi de 1881 ; la circulaire Valls n’est qu’un dangereux coup médiatique surabondant.
    Il est par ailleurs étonnant de constater que les nombreuses sanctions pénales et fiscales prises à l’encontre de Dieudonné ne soient pas appliquées. Peut-être qu’avant de brandir une nouvelle circulaire, le gouvernement devrait d’abord se préoccuper de faire appliquer les lois qui existent dans notre pays. Pourquoi ne pas simplement y avoir recours plutôt que de s’adonner au matraquage médiatique ?
    Cela étant, pour le gouvernement actuel, la réussite ou l’échec n’est plus un paramètre : seul compte l’impact immédiat sur l’opinion publique. Le spectacle d’un pseudo-humoriste qui fait de l’antisémitisme un fonds de commerce mobilise ; l’expression outrancière et haineuse des activistes Femen et leur intrusion dans un lieu de culte conduisant à un dépôt de plainte de la paroisse de la Madeleine ne suscitent paradoxalement aucune réaction de sa part.
    Encore une fois, le deux poids deux mesures qui caractérise l’action du gouvernement actuel sur bien des sujets n’est pas acceptable et choque profondément. Si ces méthodes laissent indifférents les médias et une grande partie de la classe politique, nombreux sont nos concitoyens qui sont scandalisés et expriment leur mécontentement.
    Il ne s’agit pas de tout autoriser ou de tout interdire. La liberté d’expression, comme ses limites, doivent être protégées. La liberté ne s’affranchit pas de la légalité et il appartient au gouvernement de prendre ses responsabilités en autorisant, s’il en est besoin, la représentation nationale à fixer le cadre et les limites de la liberté d’expression. Celle-ci est relative et non absolue et doit respecter les croyances et la mémoire des victimes.
    Le choix fonction de l’impact médiatique
    Le problème réside dans le fait que le choix de l’expression acceptable s’opère désormais en fonction de l’impact médiatique. Hélas, dans cette démarche démagogique, le juge n’est pas tout à fait innocent. Celui de Strasbourg a ainsi cru comprendre que nier le génocide des Arméniens n’avait aucune conséquence, ce qui revient à cautionner une autorisation de causer de la douleur aux victimes. Et là aussi, ni le gouvernement ni même François Hollande, qui s’étaient pourtant engagés à punir la contestation de ce génocide, ne s’en sont émus. Pas un mot !
    Une seule question doit se poser : qui décide de l’expression publique et de ce qu’il est acceptable de dire ou de ne pas dire ? Est-ce l’intérêt immédiat du politique ? Le gouvernement actuel est un consommateur de communication qui n’a aucun problème à afficher son incohérence, jusqu’à ce que les tweets atteignent le seuil d’alarme ou que les réactions de la population le contraignent.
    Ce management attentiste, qui manque cruellement de personnalité et de conviction, n’est que le miroir de la perte de repères dans laquelle s’engouffre la France actuelle.
     Valérie Boyer (Députée UMP des Bouches-du-Rhône)
    et Sévag Torossian (Avocat et écrivain)
    Le Monde.fr, 8/01/2014
    http://www.polemia.com/une-liberte-dexpression-acceptable-pour-tous/

  • COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG Et maintenant, la peine de mort pour Dieudonné ?

    Valls, le ministre de l’Intérieur, s’était déjà tristement illustré en 2013 lors des grandes manifestations des familles françaises hostiles au mariage des homosexuels et à l’adoption d’enfants par les couples homosexuels. Son mépris pour tous ceux qui contestent sa politique ainsi que le recours à la violence d’Etat et au gazage policier contre des manifestants pacifiques et de paisibles familles françaises démontraient déjà le comportement sectaire et haineux de ce personnage.

    Les pauvres naïfs et habituels gogos qui pensaient encore que le socialisme portait les valeurs de tolérance et de respect des libertés d’expression, d’opinion et de conscience avaient déjà commencé à ouvrir les yeux.

    Aujourd’hui, dans l’affaire Dieudonné, ce ministre se comporte ouvertement en chef de police politique du régime. Valls déclarait, sans rire, jeudi soir 9 janvier que la décision du Conseil d’Etat concernant l’interdiction du spectacle de Dieudonné était « une victoire de la République ». Rien que cela !

    A la vérité, le ministre de l’Intérieur nous a fait entrer dans l’ère de la justice administrative d’exception établie par le Conseil d’Etat aux ordres du pouvoir exécutif.

    Chacun est parfaitement libre d’apprécier ou non le contenu des spectacles de l’humoriste, mais réussir le tour de force politique de transformer Dieudonné en ennemi public n°1 de la République est non seulement grotesque mais encore tout à fait digne des méthodes les plus abjectes de manipulation et de propagande des régimes totalitaires.

    Lorsque Valls, la Licra et SOS Racisme décident d’ouvrir la chasse à l’humoriste et de lâcher les médias à la botte, toujours attirés par l’odeur du sang, il ne s’agit pas d’un délire paranoïaque collectif relevant de la psychiatrie : c’est pire et beaucoup plus grave ! Il s’agit d’une dérive totalitaire du pouvoir et de l’établissement encore renforcé d’une véritable dictature de la pensée.

    Ce n’est évidemment pas M. Dieudonné M’bala qui représente une menace pour la République, mais au contraire, M. Valls qui porte gravement atteinte aux libertés fondamentales du peuple français.

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    http://www.parti-de-la-france.fr/

  • Quand les USA fournissent le matériel à l'Irak qui leur permit la fameuse attaque chimique

    Tout commence en 1982, Ronald Reagan est à la Maison Blanche et George Bush à la vice-présidence. La guerre entre l'Iran et l'Irak, extraordinairement meurtrière, est commencée depuis déjà deux ans. En mai 1982, les Iraniens brisent l'offensive des forces irakiennes sur leur territoire et les obligent à un repli massif au-delà des frontières ; en juin, l'Iran lance à son tour une vaste offensive en territoire irakien. Les revers militaires de Bagdad inquiètent Washington et ses principaux alliés dans la région, les monarchies pétrolières du Golfe, qui redoutent soudain une défaite de Bagdad et un effondrement du régime de Saddam Hussein.
         La première décision prise, cette année-là, par Washington, sera de retirer Bagdad de la liste des pays soutenant le terrorisme international. Une décision "totalement politique", selon Noël Koch chargé du programme de lutte contre le terrorisme au Pentagone. "Tous les rapports qui nous parvenaient indiquaient que Bagdad continuait avec la même intensité d'apporter son aide aux mouvements terroristes."
    Une situation restée inchangée six ans plus tard puisque, en 1988, le secrétaire d’État adjoint John Whitehead écrivait : "Malgré son retrait de nos listes, Bagdad demeure un sanctuaire pour des terroristes bien connus." Et il citait notamment le cas d'Abul Addas qui avait détourné le paquebot Achille Lauro. Toujours en 1982, il fut décidé d'envoyer à l'Irak des armes et du matériel militaire, en les faisant transiter par des pays de la région, alliés des États-Unis. Les cargaisons expédiées en Jordanie, en Égypte... et au Koweït, furent ensuite, secrètement, acheminées à Bagdad. Parmi les équipements reçus par le régime de Saddam, on dénombrait 60 hélicoptères Hugues "à usage civil", mais il suffisait de quelques heures pour les transformer en engins de guerre, et des hélicoptères Bell pour "asperger les récoltes en pesticides"
         Ces appareils servirent en 1988 à l'attaque chimique menée par Bagdad contre le village kurde de Halabaya qui fit plus de 5 000 morts dont un grand nombre de femmes et d'enfants.

    Eric Laurent, La guerre des Bush

    http://www.oragesdacier.info/

  • Comme d'habitude ...

    Action pénale contre le ministre des cultes pour provocation à la discrimination envers les chrétiens.

    Dans sa directive de ce 6 janvier 2014 adressée aux préfets à propos de Monsieur Dieudonné, Monsieur Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes, donne pour instruction de « susciter, proposer ou valoriser des initiatives de sensibilisation et de pédagogie préventives contre les comportements racistes, antisémites, antimusulmans ou intolérants ».
    On est proprement stupéfait de constater qu’est exclue explicitement de cette directive la prévention du racisme et des actes anti-chrétiens.

    La suite sur le site de l'AGRIF

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