Jean-Yves Le Gallou décrypte l’affaire Valeurs Actuelles :
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Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes
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Qui est ce pseudo Béhanzin, de la Ligue de défense noire africaine ?
Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu parler de Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé ! Comme les Français ont toujours eu du mal avec les langues gbe-nigéro-congolaises, nos ancêtres colonisateurs l’ont popularisé sous le nom occidentalisé de Béhanzin, roi d’Abomey, dans l’actuel Bénin de 1890 à 1894.
Nous ne contesterons pas son courage, sans doute peut-on même parler d’héroïsme des guerriers et guerrières fons d’Abomey, qui se sacrifièrent devant les fusils gras à tir rapide des légionnaires et marsouins envoyés par la République IIIe pour le réduire. En 1892, alors que Paris était ensanglanté par les attentats anarchistes de Ravachol, la France s’enthousiasmait, par les illustrations en couleur du Petit Journal, des exploits exotiques de nos deux mille soldats envoyés contre ce despote aux milliers de fidèles, pratiquant chaque année les sacrifices humains et razziant les peuples voisins pour alimenter ses marchés aux esclaves.
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« L’affaire » Valeurs actuelles : une victoire médiatique de l’indigénisme ?
Si Martin Luther King a pu dire « I have a dream » par désir justifié d’égalité raciale dans les États-Unis ségrégationnistes de 1963, le directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune, peut dire « Je fais un cauchemar », devant l’indignation politico-médiatique qu’a provoqué, la semaine dernière, son ultime « roman de l’été » : Obono l’Africaine !
Voici donc Danièle entrée dans la cour des grands diffamés de l’Histoire par le biais du scandale causé par son voyage imaginaire dans les « couloirs du temps ». Tout cela par le détournement d’une illustration de Pascal Garnier réalisée pour cette dystopie écrite sous pseudonyme.
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La rentrée de la gréviculture
C'était la rentrée des classes ce 1er septembre. C'est aussi le recommencement de l'agitation systématique programmée par les bureaucraties syndicales. Ainsi donc la CGT-Cheminots confirme qu'elle s'apprête à empoisonner la vie des Français qui travaillent. Premier syndicat à la SNCF, elle a en effet déposé un préavis de grève pour le 17 septembre. Ceci entrera dans le cadre d’une Journée nationale d’actions soi-disant « pour l’emploi, pour les salaires et les retraites. » Vaste programme. Nouvelles complications en vue dans la vie quotidienne des Français. Pour rien.
Le mot d'ordre remonte à juillet. Il a été repris par la FSU, Solidaires et plusieurs organisations de jeunesse.
L’annonce de cette grève a été, bien poliment, trop prudemment, critiquée par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire. Celui-ci déclare avoir « du mal à comprendre » cette grève alors que le plan de relance prévoit des investissements massifs dans le ferroviaire ainsi qu’une reprise de la dette de la compagnie ferroviaire à hauteur de 35 milliards d’euros. On ne sort pas d'une ligne constante de relative complaisance de la part de nos dirigeants.
Et, puisque M. Le Maire dit ne pas comprendre, essayons de lui expliquer ce qu'est et à quoi sert l'appareil de la CGT.
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Professeurs, pour nous tous, retrouvez votre fierté !, par Natacha Polony.
Source : https://www.marianne.net/
"La France paye aujourd'hui l'abandon de son école. Elle le paye économiquement, elle qui ne peut plus se prétendre une nation d'ingénieurs et de techniciens. (...) Professeurs, nous avons besoin que vous retrouviez cette fierté d'œuvrer pour la nation, et en particulier pour ses enfants les plus fragiles", argumente Natacha Polony.
La rentrée scolaire, on l'a bien compris, c'est l'enjeu du moment. Emmanuel Macron décide de décaler l'annonce du plan de relance parce que l'économie, le chômage de masse, les dépôts de bilan, la désindustrialisation, ça peut attendre : les parents d'élèves ont peur. La rentrée scolaire est au cœur des préoccupations, mais on a de plus en plus l'impression que l'école, en revanche, est le cadet de leurs soucis. Pouvoirs publics, politiques de tous bords, syndicats enseignants et fédérations de parents… l'école, ça ne leur dit rien. Ah ! Si, ce lieu où les enfants se font des copains pendant que leurs parents travaillent…
Le protocole et les syndicats
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Témoignage de Vincent sur le port du masque obligatoire aux enfants de plus de 11 ans
Masques : collégiens, lycéens, étudiants, vous avez le choix
Face à la propagande actuelle, c'est un devoir qu'à notre génération d'agir, car le monde de demain dépend de nos actes d’aujourd’hui. Alors faisons le choix, ensemble, de refuser cette nouvelle mesure liberticide.
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La présidente (PS) de la région Occitanie, Carole Delga, a été définitivement condamnée pour discrimination politique envers le RN
Et ces gens-là donnent des leçons de démocratie et de républicanisme à longueur de journée. En réalité, la gauche est intolérante. Carole Delga avait été condamnée en 2019 (voir ici) pour discrimination envers le maire Rassemblement national (RN) de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez, pour « discrimination fondée sur des opinions politiques » et « entrave à l’exercice d’une activité économique ». Elle s’était notamment opposée à la construction d’un lycée. Les enfants pris en otage par la politique partisane ! La cour de cassation vient de confirmer définitivement sa condamnation :
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LES "STÉRÉOTYPES DE GENRE" SCIENTIFIQUEMENT PROUVÉS !
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L’accueil des clandestins, toujours insuffisant pour les médias de grand chemin
Il y a deux ans, nous soulignions dans un article que de nombreux médias de grand chemin avaient repris à leur compte la thèse des immigrationnistes selon laquelle il n’y a pas de crise des migrants en France, mais une crise de l’accueil des migrants. En dépit d’un effort budgétaire considérable, la situation s’est-elle améliorée en particulier dans la capitale française ? Nous avons tenté de le savoir dans les médias de grand chemin.
Un effort budgétaire et matériel considérable
En juillet 2017, la maire de Paris Anne Hidalgo s’exprimait dans les colonnes de Ouest-France. Elle proposait une loi « clef en main » sur l’accueil des « migrants ». Celle-ci prévoyait notamment une forte augmentation du nombre de places en centres d’accueil des demandeurs d’asile et une répartition administrée des migrants sur tout le territoire.
Le gouvernement Philippe semble avoir été plus qu’attentif aux propositions de la maire de Paris. A l’occasion du débat sur la loi asile et immigration, Le Figaro reprenait le 7 octobre 2019 les déclarations du délégué général LREM et député Stanislas Guérini :
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Cette pensée obligatoire, qui nous vient d'Amérique (2019)
Mathieu Bock-Côté est ce journaliste québécois qui écrit dans le Figaro et vient faire trembler les plateaux de télé parisiens après avoir travaillé sur le multiculturalisme, il nous propose une réflexion sur l’empire du politiquement correcte : un livre qui pourrait être banal s’il n’était souvent profond.
Droit au but l'empire du Politiquement correct, c'est l'Occident tout entier (et non pas telle ou telle nation occidentale), en proie à ce que Bock-Côté appelle l'idéologie et le régime diversitaire, cette ouverture inconditionnelle à la Diversité des populations du monde. Je cite la définition qu'il propose : « Le politiquement correct est un dispositif inhibiteur ayant pour vocation d'étouffer, de refouler, de diaboliser les critiques, du régime diversitaire et plus largement d'exclure de l'espace public ceux qui transgresseraient cette interdiction ». La question que pose ce dispositif est celle de « la respectabilité politico-médiatique ». Quiconque accepte les termes de la Political correctness se doit de refuser avec énergie les faits ou les discours, mais aussi et surtout les personnes qui la contredisent ou qui semblent seulement la contredire. Political correctness : j'utilise la langue anglaise, parce qu'il faut bien comprendre que ce dispositif a commencé d'exister aux États-Unis et qu'encore aujourd'hui ce sont les campus américains, imprégnés de « french theory » (les penseurs de la pensée 68), mal sortis de ce que l'on appelle là-bas les radical sixties, les délirantes années 60, qui continuent à diffuser une pensée mondiale de la non-discrimination, débouchant d'ailleurs sur la fameuse discrimination positive, c'est-à-dire sur le droit et le devoir de discriminer les blancs parce qu'ils sont plus nombreux et dominants.