Pierre Boisguilbert signe une charge corrosive contre des médias prisonniers de leurs obsessions idéologiques. Entre illusions estivales et fébrilité de rentrée, il perce à jour le récit bien-pensant et démontre la perte de crédibilité d’une presse dominante en déclin.
Polémia
Un été des illusions médiatiques
Cet été, une fois de plus, rien de ce que mes médias du bien ont annoncé – parce qu’ils le souhaitaient – ne s’est produit. Pas plus de trêve en Ukraine qu’à Gaza. Les médias ont connu un été difficile entre deux canicules où, comme pour le Covid, ils nous expliquaient qu’il fallait boire de l’eau et conseillaient de rester chez nous. Pas encore de fiche à remplir pour avoir le droit de sortir le chien, mais la prochaine fois ça viendra.