Le 17 mars 2019, Place Stanislas à Nancy, 3 militants identitaires avaient déployé une banderole avec l'inscription "Ici c'est Nancy pas l'Algérie".
Ils avaient également scandé "One, two, three, retourne dans ton pays" face aux manifestants algériens rassemblés contre le régime du président Bouteflika.
Les activistes avaient alors été arrêtés et placés 24 heures en garde à vue pour cette action pacifique.
Le maire de Nancy Laurent Hénart (Mouvement radical) avait réagi en félicitant ces « sanctions exemplaires ».