Tout était pourtant en place. Le ministère de l’Enseignement supérieur, qui n’est guère connu pour son positionnement droitier, avait mandaté le centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF, qui est associé au CNRS, pour lancer une grande enquête sur les ravages de l’antisémitisme dans les universités françaises. La mobilisation de l’extrême gauche (LFI au premier rang, comme à chaque fois qu’on parle de nos compatriotes juifs), mais aussi d’associations censées être impartiales dans la lutte contre cette fameuse « haine » qu’on ne définit jamais, en aura décidé autrement.






