
Nul ne sera surpris, si grande est la constance idéologique du maire de Grenoble : un véritable wokiste d'extrême gauche, tel que le décrivait déjà, pour Boulevard Voltaire, son opposant Alain Carignon, il y a trois ans. Après avoir balayé il y a six mois d'un « Je m’en fous », insultant pour les victimes, la question de l'insécurité grandissante dans sa ville, il vient de se livrer à un nouveau numéro qui en dit long sur les priorités de l'extrême gauche municipale, à moins d'un an des élections.