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On peut avoir des difficultés financières. Cela peut arriver à tout le monde dans la vie. Ce n’est pas aux propriétaires privés qui sont surtaxés d’impôts et qui croulent sous les charges d’assumer les difficultés financières de leurs locataires, mais, MAIS, il y a un grand mais, il y a une différence évidente entre un locataire ne pouvant pas payer et un squatteur.
De la même manière, on peut ne pas payer son loyer (ce qui n’est pas bien ni une justification) et ne pas dégrader le logement. Ne pas payer ET dégrader sont là aussi deux choses totalement différentes.
Ukraine : pour évincer Zelensky, Poutine propose une « administration transitoire » sous l’égide de l’ONU
Selon le président russe, ce serait la bonne solution pour « organiser une élection présidentielle démocratique » et commencer des négociations de paix avec « un gouvernement compétent et qui aurait la confiance du peuple. »
A ce niveau de matraquage médiatique, difficile de croire que tout cela n’est pas coordonné par une idéologie, “No Kids”, idéologie individualiste et matérialiste :
Personne n’a oublié cette scène qui a fait plaisir à des millions de Français, ceux qui ne supportent plus les écolos, et qui, dans le meilleur des cas, ont envie de les jeter dans la fosse à purin, et parfois, de se livrer contre eux à des débordements que la décence interdit de préciser davantage.
Fanny Ardant est une femme libre. Elle aime vivre intensément, elle aime vivre dangereusement. Elle est fière, elle semble inaccessible. On la trouve bourgeoise ? Elle choisit des rôles à contre-emploi. On la croit de gauche ? Elle cite de mémoire des passages entiers de Pasolini, dans lesquels il fustige le psittacisme des petits gauchistes. Il y a une chose, toutefois, qui ne surprend jamais chez elle : sa sincérité.
Alors que les États-Unis assouplissent les restrictions sur la liberté d’expression, l’Europe semble prendre le chemin inverse. Entre lois de surveillance, censure numérique et pressions politiques, le continent durcit son contrôle de l’information, soulevant des inquiétudes sur l’avenir du débat démocratique. Dans ce contexte, il est essentiel de s’interroger sur la nature et l’étendue de cette menace, ainsi que sur les réponses possibles des institutions européennes et des gouvernements nationaux pour préserver l’intégrité de la liberté d’expression. C’est dans cette démarche que Dragana Trifković, directrice du Centre d’études géostratégiques de Belgrade, s’inquiète dans l’article suivant – écrit initialement en anglais – d’une dérive liberticide sur le continent européen.
Alors que les députés examinent un projet de loi visant à simplifier l’action publique, la question du coût faramineux des agences d’État revient sur le devant de la scène. En 2023, ces structures ont englouti 81 milliards d’euros d’argent public, dans une opacité quasi totale.
Selon Le Figaro, l’administration Trump a adressé une lettre officielle à plusieurs entreprises françaises collaborant avec le gouvernement américain, leur intimant d’abandonner toute politique de diversité, équité et inclusion (DEI), sous peine de perdre leurs contrats. « Le décret 14173 […] s’applique également obligatoirement à tous les fournisseurs et prestataires du Gouvernement américain, quelle que soit leur nationalité », stipule la missive envoyée par un certain Stanislas Parmentier, présenté comme « agent contractant » de l’ambassade américaine à Paris.
La dette de la France est désormais de 3305 milliards d’euros, et dans le « en même temps », si cher à Macron, ce dernier annonce une aide supplémentaire de 2 milliards à l’Ukraine. Nous avions écrit il y a peu qu’il fallait renverser Bayrou parce que son budget était mauvais et qu’il ne répondait pas aux exigences du moment. Mais nous avions eu les tenants d’un budget à tout prix pour nous apporter la contradiction, et dire que c’était folie, car nous avions besoin d’un budget. On ne pouvait pas censurer systématiquement tous les gouvernements qui se présentaient, qu’il fallait être responsables quand même… Face à l’absurdité de l’argument, il ne restait plus qu’à laisser faire et attendre. La catastrophe que nous annoncions arrivent encore plus vite que prévu. Mais nous avons un budget et pour les chantres de la stabilité c’était là l’essentiel. Ils doivent être aux anges en ce moment. Souvenez-vous, l’idée que Bayrou puisse sauter, déclenchaient chez eux une forme d’hystérie, et ils n’hésitaient pas à agiter le spectre du chaos institutionnel, de l’instabilité politique qui allait nous entraîner dans un désordre sans nom, avec cette image désastreuse d’une nation sans gouvernement.