Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan « Filles et garçons » : ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50 % de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but : 20 % de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30 % en 2030. Les moyens : sensibiliser les professeurs aux biais de genre. L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.
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Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de l’Éducation nationale
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Scandale à France Inter : Rachida Dati donne un coup de pied dans l’entre-soi
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L’UE, une dystopie en marche vers le néant
D’une promesse de paix, de démocratie et de prospérité nous échouons sur un abîme de guerre, de surveillance et de récession.
La paix
Elle devait être la base de tout, celle de la construction européenne en rapport avec la tragédie de la deuxième guerre mondiale (plus jamais ça). L’UE a même reçu le prix Nobel de la paix décerné par l’Académie Nobel de Suède. C’est comme si l’Europe c’était donné à elle-même le prix de la paix sur terre. Oubliant un passé constitué de gloires fondées sur la destruction d’autrui.
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Regardez cette vidéo où on voit 20 antifas – qui seront relaxés – massacrer 2 étudiants…
Cette vidéo est une exclusivité de nos amis de Breizh Info, et nous en profitons pour saluer le travail de Yann Vallerie, l’infatigable animateur de ce site. On se souvient du contexte. En pleine occupation de la faculté de Rennes, ce qui devient une grande classique, lors d’un meeting, devant une centaine de participants, l’animateur avait signalé la présence de deux étudiants considérés comme fachos, parce que de droite. Immédiatement, un commando d’une vingtaine d’antifas s’était dirigé vers eux, et les avait massacrés au sol.
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L’AfD mouvement « extrémiste de droite » ? Classement suspendu
Ce jeudi 8 mai, le renseignement intérieur allemand a suspendu provisoirement son classement qualifiant l’AfD de mouvement « extrémiste de droite avéré ».
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De l’utilité du Conseil Constitutionnel
De l'utilité du Conseil Constitutionnel ou Pour un Conseil de Surveillance de la Justice
On peut lire régulièrement, sur divers médias, que des squatteurs ont usurpé la propriété d'une personne privée en s'abritant derrière la loi. Et l'on constate qu'en effet « la loi » protège lesdits squatteurs contre le propriétaire du bien. Cela doit nous amener à réfléchir sur notre Constitution, c'est à dire à nous interroger sur la constitutionnalité des lois qui protègent ces parasites.
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Clément Weill-Raynal : « Depuis l’origine, la gauche nourrit une haine anti-juive tenace » [Interview]
Et si la gauche avait toujours été antisémite ? C’est la thèse dérangeante et solidement étayée que développe le journaliste Clément Weill-Raynal dans son dernier ouvrage La gauche antisémite – Une haine qui vient de loin (éditions de l’Artilleur). Fort de quarante ans de carrière dans l’investigation, connu pour avoir révélé le scandale du « mur des cons » au sein du Syndicat de la magistrature, l’auteur plonge dans les textes fondateurs du socialisme français, les archives oubliées de la presse communiste, les discours des figures de proue de la gauche… pour dévoiler un legs idéologique que beaucoup préfèrent ignorer.
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La vérité sur le « massacre » de Sétif et Guelma en Algérie en mai 1945
Dans notre société largement dominée par une extrême gauche pourvoyeuse de mensonges, et une droite pleurnicheuse, essayons de redonner le vif éclat de la vérité. Et tenter de faire barrage une fois de plus à l’un des mensonges qui perdure depuis l’a fin de la Guerre en Algérie.
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Olivier Legrain : le traitement de faveur d’un millionnaire de gauche
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Exclu Breizh-info. Lynchage de militants du RN à la faculté de Rennes. La vidéo qui accable les Antifas…relaxés par la Justice
Nous vous évoquions le jeudi 24 avril 2025 qui restera dans les annales judiciaires rennaises comme le jour où la violence politique a semblé trouver un passe-droit. Ce jour-là, au tribunal correctionnel de Rennes, sept militants antifas comparaissaient pour l’agression en février dernier (le 27) de deux étudiants, dont l’un responsable départemental des Jeunes avec Bardella. Le procès, émaillé de tensions, d’intimidations et de débats procéduraux, s’est achevé sur un verdict glaçant : la relaxe générale.