« Qui trop embrasse mal étreint » dit un proverbe qui devrait – s’il existe en anglais – être médité par la candidate à la Maison-Blanche. Les minorités raciales, traditionnellement acquises au parti de l’âne, se sont détournées de Harris, pour l’abstention, voire – horresco referens – pour le vote Trump. En cause : le wokisme et le LGBTisme débridés naguère encore professés par la candidate démocrate et les caciques du parti. Les susdites minorités sont tout sauf progressistes sur le plan sociétal et rejettent massivement la vision « émancipatrice » que professe l’Afro-indienne. Des voix précieuses vont lui manquer entre autres dans les fameux « Swing States », alors que déjà, Harris est donnée perdante par les bookmakers.