On sait que Richard Ferrand, ancien député de Carhaix, président du Conseil constitutionnel, est un proche d’Emmanuel Macron ; le premier est reçu régulièrement par le second à l’Elysée. Ferrand regrette que le Président n’ait « pas gagné la bataille idéologique ni transformé totalement le pays » (Challenges, 5 décembre 2024).
lobby - Page 10
-
Avec Macron, le « mondialisme libéral » se porte bien
-
Marine Le Pen : de Musk à Mélenchon, une immense vague d’indignation
-
Bien sûr que c’est un verdict politique… voici pourquoi
MLP écartée de la prochaine élection présidentielle. L’info ne manque pas de faire réagir et pour cause, puisque les juges laissent une impression de justice à pas variable. Marine Le Pen va faire appel, mais il n’existe aucun moyen de suspendre l’exécution provisoire, selon son avocat. Immédiatement, il y a ceux qui contestent la décision qu’ils considèrent comme politique, à l’instar de ce qui s’est passé en Roumanie, bien que le camp de Marine Le Pen ne se soit pas vraiment insurgé au moment de l’événement. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’au RN on a été discret. Vous souvenez-vous de prises de paroles contre la décision d’écarter le candidat arrivé en tête lors du premier tour ? Elles auraient dû être multiples, virulentes, rien… Mais c’était loin et en gros tout le monde s’en est lavé les mains. A présent c’est en France, et là, certains se réveillent. On crie au complot, au gouvernement des juges. Certes, on peut constater que cette justice apparaît comme très sévère avec ceux qui dérangent. « La justice est indépendante »… oui, surtout avec les gens de l’opposition. « La justice est exemplaire »… oui, surtout avec les Gilets-Jaunes. « La justice n’a pas à tenir compte de la rue »… oui, surtout avec Marine Le-Pen.
-
Affaire des assistants parlementaires du RN : « Un monument d’hypocrise partisane » pour Bruno Gollnisch
Ancien parlementaire chevronné et ancien doyen de faculté, Bruno Gollnisch est un juriste accompli et un constitutionnaliste réfléchi. C’est à ce titre qu’il juge indigne la persécution du Rassemblement national dans l’affaire des assistants parlementaires européens. Pour une raison simple : le principe de séparation des pouvoirs. De même que les parlementaires n’ont pas à dire aux juges comment employer leurs greffiers, les juges n’ont pas à s’ingérer dans les missions confiées à leurs assistants par les parlementaires. Sinon cela porte un nom : la forfaiture. Nos lecteurs trouveront ci-dessous une lettre de Bruno Gollnisch et surtout le remarquable et complet mémorandum qu’il a déposé auprès du tribunal judiciaire de Paris.
Polémia -
Racisme anti-blanc institutionnalisé : vers la fin de l’égalité devant la loi au Royaume-Uni ?
À quelques jours de la publication de l’ouvrage de François Bousquet sur ce grand tabou de l’époque qu’est le racisme anti-blanc, on apprend, via quelques lignes dans de rares médias, qu’une polémique en lien avec ce sujet agite actuellement le monde juridico-politique au Royaume-Uni. La cause de celle-ci : les « recommandations » du « Sentencing Council »1 suggérant que « les juges demandent désormais un rapport complémentaire pour les condamnés issus de minorités ethniques, culturelles, religieuses ou présentant des caractéristiques particulières ». Derrière cette formulation administrative, une scandaleuse réalité : la rupture avec le principe d’égalité devant la loi et l’instauration d’une justice à deux vitesses au détriment de la population autochtone (encore) majoritaire.
Lien permanent Catégories : anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire -
Le Pen, victime du coup d’Etat des juges
Cela s’appelle un scandale démocratique : en choisissant d’appliquer, sans retenue ni discernement, l’ « exécution provisoire » de la peine d’inéligibilité prononcée ce lundi contre Marine Le Pen, le tribunal correctionnel de Paris force la candidate à la présidentielle à abandonner la course. L’abus de pouvoir est d’autant plus révoltant qu’un sondage Ifop-JDD la créditait hier de 37% des suffrages au premier tour, loin devant ses concurrents. Le 13 novembre, le parquet avait requis cinq ans de prison dont deux ferme, 300.000 euros d’amende et l’application de l’exécution provisoire, en sanction d’un détournement de fonds publics liée à l‘emploi d’assistants parlementaires européens du RN.
-
Condamnation de Marine Le Pen : la colère des électeurs, clé de l’avenir
-
Un mélange détonnant : en Europe le «parti des idiots» et le «parti de la guerre» rêvent de vaincre la Russie
Loin de se réjouir de la stupidité de ceux qui se veulent leur adversaire, ce vice-premier ministre le déplore en particulier en ce qui concerne l’Allemagne et il tente de les convaincre qu’il est regrettable de briser une telle complémentarité… Cela dit puisqu’ils veulent négocier sous la contrainte peut-être vaut-il mieux négocier avec un adversaire qui s’est affaibli lui-même…
Danielle Bleitrach
La désindustrialisation de l’UE n’est pas la pire option pour nous, mais à qui vendrons-nous notre gaz ?
L’Europe connaît une désindustrialisation, mais la Russie ne s’en réjouit pas, car elle entretient traditionnellement des relations mutuellement bénéfiques avec l’Europe, a déclaré le vice-Premier ministre russe Alexei Overchuk.
-
Le Jarl est viré : nouvel exemple de la lâcheté ordinaire face à l’extrême gauche
Bernard Germain
Petit rappel des faits à l’origine de cette pitoyable annonce : le Jarl est licencié.
Le Jarl était le responsable de la sécurité de la boite de nuit appelée le « 1988 ». Il en était également le directeur adjoint.
Cet établissement de nuit est situé à Rennes au lieu nommé la « dalle du Colombier » considéré comme un véritable coupe gorge il y a encore seulement quelques années.
-
C’est Macron et pas la juge Bénédicte de Perthuis qui a décidé du sort de Marine
On connaît la belle histoire de l’indépendance de la Justice, qu’on essaie de nous vendre sur tous les plateaux de télévision et dans tous les journaux. Sans approfondir le débat sur les bienfaits, ou pas, de ce que serait une véritable indépendance de la Justice, peut-on sérieusement imaginer que la présidente Bénédicte de Perthuis et ses deux adjoints pourront décider, seuls, de priver, ou pas, la possible future présidente de la République de pouvoir se présenter en 2027 ?