L’affaire Mila – à l’origine, une vulgaire empoignade de cours de récréation – a été abondamment commentée et de nombreux masques sont déjà tombés, à commencer par celui du délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri.
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Affaire Mila : les masques sont tombés !
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Blasphème, Belloubet sait très bien ce qu’elle fait
Il importe de revenir sur l’affaire Belloubet car celle-ci contient tous les ingrédients des dérives actuelles sur le sujet.Beaucoup ont insisté sur sa bêtise, son inculture juridique.
Pour la bêtise, c’est assez probable et l’on n’en sera pas au premier constat, sachant que toujours la bêtise mène au crime, selon la conception flaubertienne quotidiennementconfirmée.
En revanche, cette dame connaît parfaitement le droit.
Il ne s’agit pas d’une «maladresse», ni de l’expression d’une méconnaissance de notre droit garantissant la liberté de conscience et la liberté absolue de critique des religions.
Il s’agit de l’expression assumée d’une idéologie.
Nicole Belloubet est, ne l’oublions pas, une socialiste de compétition.
Dans son fameux «rétropédalage» qui en réalité est un enlisement supplémentaire, elle explique que l’atteinte aux religions peut alimenter la haine et la discrimination.
En réalité donc, ces «excuses» sont un enfonçage de clous supplémentaires sur le cercueil de la République. -
Un euro versé à Emmaüs serait-il un euro versé à l’immigration de peuplement ? À vous de juger.
« Pour des communes accueillantes ! Les organisations engagées dans les Etats Généraux des Migrations lancent une campagne d’interpellation des candidat.e.s aux municipales. Un kit complet est dispo sur le site des #EGMigrations. À diffuser largement ! », communiquait sur Twitter Emmaüs France le 29 janvier. Une manière d’exercer une pression sur les candidats engagés dans les élections municipales de mars (…)
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Éric Zemmour, la tête de Turc de Télérama
Les journalistes de Télérama rêvent de faire taire celui qu’ils qualifient de « polémiste multirécidiviste ». Le CSA est appelé à remplir ses fonctions sociales sacrificielles vertueuses!
Lorsqu’on a le désir de suivre de près toutes les tendances progressistes de notre époque, il est des journaux sur lesquels il ne faut pas hésiter à se pencher de temps à autre. Il y a Libération (un trésor). Il y a Les Inrocks (une mine). Et il y a, de plus en plus souvent, Télérama.
Ce 27 janvier, la newsletter Télérama Soirée titre : « Plaintes devant le CSA, Zemmour vole la vedette à Hanouna. » Le journal précise que le CSA a reçu plus du double de saisines en 2019 comparé à 2018. Grâce à qui, selon le magazine télévisuel ? Grâce au « polémiste multirécidiviste et multirepris de justice » Éric Zemmour (alias « l’icône des réacs »). Il y a un lien qui mène tout droit à l’article du journaliste, Étienne Labrunie, pour ceux qui aimeraient approfondir l’épineux sujet. Comme j’ai un peu de temps devant moi, je m’y rends.
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En cuisine... la guerre est aussi culturelle !
Par Périco Légasse
Anonçant la rétrogradation de trois à deux étoiles du restaurant Paul Bocuse, en ouverture de sa matinale sur RTL vendredi 17 janvier 2020, notre confrère Yves Calvi, peu connu pour ses outrances, lâchait à l’antenne la phrase culte de Michel Audiard : « Les cons, ça ose tout ». Il ne pouvait mieux dire pour commenter l’aberrante et absurde décision du Guide Michelin. Aberrante, car s’il est un socle sur lequel s’appuie la restauration pour établir un code de valeurs quant aux types de prestations, aux genres culinaires et à l’éthique professionnelle actuellement en vigueur dans l’hôtellerie française, c’est bien le restaurant de Paul Bocuse, à Collonges-au-Mont-d’Or. Socle dont Michelin s’est toujours prévalu, voire inspiré, pour se maintenir comme la référence quasi officielle du mercato hôtelier. Une complicité tacite impliquant un classement particulier pour le temple lyonnais le jour où le grand prêtre viendrait à disparaître.
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150 quartiers tenus par les islamistes : qu’est-ce que Macron cache aux français ?
Pour l’analyste politique Frédéric Saint Clair, la volonté de l’exécutif de cacher l’existence d’un rapport sur les quartiers tenus par les islamistes en France témoigne une fois encore, s’il en était besoin, de l’incapacité de l’État à répondre à la menace communautariste.
En raison de l’énorme bourde commise par Emmanuel Macron qui, dans l’avion, au retour d’Israël, avait jugé bon de gloser sur d’éventuelles similarités politiques entre Shoah et guerre d’Algérie, ou de réaffirmer la qualification de « crime contre l’humanité » de la colonisation — ce qui avait notamment conduit l’historien Jean Sévilla à tancer le Président : « Il n’y connaît rien, et il n’y comprend rien » — on en aurait presque oublié un dossier paru la semaine précédente dans le JDD et consacré à un rapport émanant de la DGSI dans lequel sont cartographiés quelque 150 quartiers « tenus » par les islamistes : « Un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés. Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible… »
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Les islamistes sont-ils si puissants en France ? Mila ne trouverait pas de lycée “dans lequel sa sécurité serait assurée”, selon son avocat
Valeurs actuelles – Menacée de mort pour sa critique, notamment, de l’islam, l’adolescente serait à ce point en danger qu’aucun établissement ne pourrait, pour l’heure, l’accueillir.
Les islamistes sont-ils si puissants, en France, qu’on ne puisse protéger leurs cibles ? C’est ce que laissent penser les propos de Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, mais aussi de la jeune Mila. Cette dernière, qui a ouvertement critiqué les religions, et notamment l’islam, a dû renoncer à être scolarisée dans le lycée qu’elle fréquentait. Pire encore : menacée, et notamment de mort, elle ne trouverait pas d’établissement capable d’assurer sa sécurité.
« Parce qu’on ne sait pas comment assurer sa sécurité. Le ministère de l’Éducation s’en préoccupe, le rectorat s’en préoccupe, essaie de trouver des solutions – je ne mets nullement en cause leur bonne volonté -, mais le fait est qu’on n’arrive pas à trouver un établissement dans lequel la sécurité de cette jeune fille serait, aujourd’hui, assurée », a expliqué Richard Malka au micro de BFM TV, jeudi 29 janvier, estimant que « c’est quand même vertigineux ».
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Emmanuel Macron : “Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle”
Aujourd’hui la chronique des cinglés concerne le président de la République. Charlotte d’Ornellas raconte dans Valeurs Actuelles :
Invitée à l’Elysée pour fêter les trente ans de la ratification de la Convention des droits de l’enfants, la présidente des Associations familiales catholiques (AFC) a pu discuter avec Emmanuel Macron de la « PMA pour toutes ». Une discussion surréaliste.
Pascale Morinière, présidente des Associations familiales catholiques (AFC), avait décidé de « tenter sa chance » pour parler au chef de l’Etat de son opposition au projet de loi de bioéthique actuellement discuté par le Sénat, en appuyant son propos sur… la convention des droits de l’enfant justement !
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Michou, l’anti-LGBT. Chapeau, l’artiste !
Il y a des personnages que l’on croit immortels parce qu’on les a toujours connus et qu’ils font partie du décor, un peu comme Line Renaud ou Giscard, dans un autre genre. Michel Catty, plus connu sous le surnom de Michou, était de ceux-là.
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Loi Avia, et maintenant un observatoire de la haine
Laetitia Avia, député LREM d’origine togolaise de Paris, très proche d’Emmanuel Macron, est l’auteur d’une proposition de loi liberticide qui vient de passer en deuxième lecture à l’Assemblée Nationale, état des lieux.
Procédure accélérée pour la loi
La proposition de loi n° 270 déposée le 20 mars 2019 bénéficie de la procédure accélérée, illustrant l’importance que lui accorde la majorité parlementaire LREM. Visant à « combattre la haine sur internet » elle fait partie d’une offensive générale contre les libertés qui va des innombrables interpellations et condamnations des manifestants gilets jaunes, en passant par la tentative (avortée) de l’instauration d’un conseil de déontologie des journalistes suivi de près par les autorités et jusqu’au vote de la loi 270, dite loi Avia du nom de son rapporteur.