Comme l’a montré l’échec du Brexit sur le plan migratoire, ne pas (ou ne plus) faire partie de l’Union européenne ne garantit pas pour autant de pouvoir agir à sa guise dans ce domaine. L’exemple de la ville norvégienne de Drammen vient nous le rappeler.
En effet, le conseil municipal (de droite) de cette ville d’environ 100 000 habitants située au sud du pays avait pris la décision par 29 voix contre 28, le 13 février dernier, de n’accueillir que des réfugiés ukrainiens. Une décision motivée par le fait que ces Ukrainiens seraient « plus faciles à intégrer dans la société » que d’autres étrangers.