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Souvenez-vous, il y a un an, le 10 mars 2024, je faisais une vidéo consacrée à la loi de programmation militaire qui revoyait profondément le code de la défense pour intégrer des mesures inédites permettant à l’Etat de réquisitionner tout ce dont il pourrait avoir besoin.
Ici le conditionnel est important.
Ce n’est pas que l’Etat va forcément tout prendre. C’est que l’Etat s’est réservé la possibilité et le droit de le faire à travers un régime d’exception qui ne nécessite pas, par exemple, l’activation de l’article 16 mieux connu sous le vocable “pleins pouvoirs” toujours politiquement délicat, surtout… sans majorité à l’Assemblée nationale.
Silence on pense pour vous. C’est en substance le message délivré par Le Point, qui fustige les officiers de l’armée de Terre qui s’expriment en faveur de la Russie, ou du moins qui n’épousent pas le narratif belliqueux et hors sol du pouvoir. Le journal va jusqu’à publier une liste de noms. Renouant avec une tradition de collaboration et de dénonciation de triste époque, dont on aurait pu espérer qu’elle n’aurait plus droit de citer. L’hebdomadaire se vautre dans la délation au motif que la posture du régime de Macron est la guerre à tout prix, la haine de la Russie et qu’à ce titre, on ne saurait penser différemment du grand timonier. Le visage de cette presse, organe de propagande, sous perfusion d’argent public, ne se cache plus. Sont-ils conscients de l’image qu’ils donnent d’eux-mêmes ? Se voient-ils intouchables à vie, exonérés de devoir un jour rendre des comptes sur leur attitude et leur position non mesurée? Car en quoi avancer des arguments pour la paix ou simplement faire le constat des responsabilités connues de tous, sauf de ces équipes éditoriales visiblement, pourrait s’assimiler à une forme de trahison, quand à côté, nous avons un président qui est lui responsable des ventes des turbines nucléaires aux USA, de l’abandon de Verney-Caron et de bien d’autres fleurons de l’industrie stratégiques ou militaire à l’étranger ? ! Est-ce pire de penser que de céder par morceaux les éléments de notre indépendance énergétique par exemple ?
À Poitiers, les livreurs réclament leur régularisation, soutenus par la gauche qui est... leur premier client.
Dans l’époque que nous vivons, il n’est pas rare que le « faire-savoir » prenne le pas sur le savoir-faire. Autrement dit, la com’ est aussi importante que l’action. C’est pourquoi un collectif de livreurs, soutenu par la CFDT, la Cimade (association de soutien aux migrants) et diverses organisations locales, a choisi le 21 mars – Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale – pour adresser une demande de régularisation au préfet de la Vienne.
Nous n’avions pas une bonne image de Stéphane Manigold, cet ancien cadre de l’automobile devenu patron de chaîne de restaurant qui s’est fait connaître pendant la période du Covid en jouant le jeu du gouvernement, et en profitant des aides de l’État pour justifier la fermeture d’établissements et la perte de sociabilité que cela entraînait.
Personne n’a oublié son célèbre débat contre Florian Philippot, où cela avait saigné !
Serait-ce l’agression antisémite de trop ? Samedi 22 mars, un rabbin a été violemment agressé à Orléans, alors qu’il marchait en compagnie de son fils. Un jeune homme, se disant d’origine palestinienne et déjà très défavorablement connu de la Justice française, a été interpellé et placé en détention provisoire.
Selon RTS, plusieurs grandes entreprises suisses, dont UBS, Roche et Novartis, mettent fin à leurs programmes de diversité et d’inclusion. En cause : une volonté de se conformer aux nouvelles directives anti-diversité de la Maison Blanche, promues depuis Donald Trump et renforcées récemment.
Joint par BV, ce 25 mars, Jean Messiha éclaire d’une lumière crue le débat qui surgit entre deux champions français. D’un côté, le judoka Teddy Rinner, quintuple champion du monde, ânonne les mièvreries aveugles du politiquement correct : « Dans certains pays, tout se passe bien avec le port du voile et ça n’emmerde personne, dit-il. Je crois qu’en France, on perd notre temps. Pensons plus à l’égalité plutôt que de s’acharner sur une seule et même religion. » Le boxeur champion du monde des poids super-coqs WBA Mahyar Monshipour, né en Iran, conseille charitablement à Teddy Rinner de « la fermer ». « Tu ne connais pas le sujet, ne t’en mêle pas ! », lui conseille-t-il.
Trump a également révoqué l’accès aux informations classifiées de deux anciens membres républicains de la Chambre des représentants des États-Unis, Liz Cheney et Adam Kinzinger.
Dans une note publiée tard vendredi soir, le président des États-Unis Donald Trump a ordonné aux agences fédérales de retirer les habilitations de sécurité de l’ancienne vice-présidente Kamala Harris, de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton, de l’ancien président Joe Biden et d’autres anciens démocrates de haut rang et de leurs alliés républicains qui se sont battus vigoureusement pour empêcher Trump d’être réélu en 2024.
Contexte d’affrontement entre bandes rivales et un « jeune homme », originaire du quartier des Hautes-Mardelles de Brunoy dans l’Essonne, a été poignardé devant le lycée professionnel Louis-Armand de Yerres, où il n’était cependant pas scolarisé. On imagine parfaitement le profil très habituel des protagonistes. Le maire de Yerres, Olivier Clodong se dit « effondré » par ce drame… toujours les mots forts, le problème, c’est que des effondrés, il y en a tous les jours, parce que ce genre d’histoires, à multiples versions, est devenu un classique de la vie publique en France. Et l’élu de lancer « un cri d’alarme » après ce drame « inhabituel » dans cette commune « très sûre » de l’Essonne, exhortant les jeunes « à ce qu’il n’y ait pas de match retour ». Il devrait atterrir, quand ce n’est pas chez lui, c’est ailleurs. Le département de l’Essonne, territoire compte 1,3 million d’habitants et il est régulièrement le théâtre d’affrontements entre bandes de « jeunes » adolescents.