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La séance de dédicaces de Jordan Bardella à Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, ce samedi, a été brièvement perturbée, peu avant 16h00. Alors que le président du Rassemblement national signait les exemplaires de son nouveau livre Ce que veulent les Français, un homme s’est approché et lui a écrasé un œuf sur la tête, d'après Le Figaro, citant la gendarmerie.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres pour le site Synthèse nationale 29 novembre 2025)
« Quant à la légalisation des drogues, outre que cela provoquera un formidable appel d’air à leur consommation, mais c’est un choix de vivre et plus encore de mourir comme un autre, pensez-vous que les trafiquants, privés du jour au lendemain de toute ressource, iront pointer à France travail dans l’espoir de décrocher un job d’esclave rémunéré au smig chez Uber ? Smig assujetti à l’impôt, évidemment !»
Avec Héros d’Europe, treize modèles d’hier pour aujourd’hui publié aux Éditions du Royaume, Audrey Stéphanie signe un ouvrage captivant et salutaire, qui devrait figurer dans chaque bibliothèque familiale. En treize portraits fouillés, portés par une plume rigoureuse et vibrante, l’auteure redonne vie à ces hommes d’action qui ont façonné l’histoire européenne, de Léonidas à Don Juan d’Autriche, en passant par William Wallace ou Jules Brunet. Rien, dans ce livre, n’est inventé : tout est vrai, puisé aux meilleures sources, raconté avec fougue pour éveiller l’admiration et transmettre l’héritage.
La mairie de Fougères (Ille-et-Vilaine) a annoncé l’arrêt de la prise en charge de l’hébergement des jeunes exilés le 1er décembre, dans un communiqué diffusé vendredi 28 novembre 2025. Premier point abordé, la ville tient à souligner la différence entre « les associations de solidarité avec lesquelles la Ville travaille toute l’année » et « le collectif de soutien notamment constitué de groupes politiques comme La France Insoumise et le Parti Communiste », qui « instrumentalise la situation des jeunes migrants ».
Le 6 septembre dernier c'est un spectacle inédit qui se déroulait sous les yeux des Parisiens, place de la Bastille : un petit groupe d'ex-musulmans manifestant pour le droit à la liberté des apostats avec, en point d'orgue, des femmes jetant aux orties leur voile aux cris de « Allah à la poubelle ».
Le constat, longtemps pressenti, est désormais objectivé. Selon une étude menée du 1ᵉʳ au 31 octobre 2025 par l’Institut Thomas More, 1 280 chroniques diffusées dans les matinales de France Inter, France Culture et France Info ont été analysées via l’intelligence artificielle. « L’originalité de notre approche tient à l’usage systématique de l’intelligence artificielle pour analyser l’ensemble des propos tenus à l’antenne, sans sélection humaine », explique Jean-Thomas Lesueur, directeur général de l’Institut, auprès du Figaro le 28 novembre. L’IA, dit-il encore, permet de mesurer « la tonalité éditoriale sur des centaines d’heures d’émissions, de manière homogène et fondée sur les faits ».
Existe-t-il un lien entre immigration et délinquance ? Le débat, qui agite la classe politique et médiatique française, ne cesse d’être alimenté avec de nouveaux exemples et de nouvelles données. Au cœur de cette agitation, une statistique reste constante, voire se renforce : celle de la surreprésentation des étrangers dans les mis en cause de crimes et délits élucidés. Le ministère de l’Intérieur a publié, ce 27 novembre, ces derniers « chiffres clés sur l’insécurité et la délinquance en 2024 ». Et à nouveau, un même constat s’impose : dans toutes les catégories de crimes (homicides, viols…) et délits (vols, cambriolages, dégradations…), les étrangers sont surreprésentés. En effet, alors que les étrangers ne représentent que 8 % de la population vivant en France, rappelle le ministère de l’Intérieur, plus de 30 % des mis en cause dans des vols sans violences ou des vols dans les véhicules sont de nationalité étrangère. Près de 20 % des mis en cause dans les tentatives d’homicides et homicides sont également de nationalité étrangère, note la Place Beauvau. Même constat pour le trafic de stupéfiants : là encore, 20 % des mis en cause sont étrangers. Et pour les escroqueries, violences physiques et violences sexuelles, à nouveau, les étrangers sont surreprésentés dans les mis en cause (plus de 12,5 %).
Que devient un régime dans lequel les oppositions s’accordent à laisser au pouvoir en place, la liberté de faire tout et n’importe quoi, de dilapider l’argent du contribuable sans jamais devoir s’expliquer, qui met en prison des personnes soupçonnées d’intelligence avec l’ennemi quand ce même pouvoir étouffe des affaires de ventes de fleurons de notre industrie ? Quand il donne systématiquement la priorité aux intérêts extérieurs, sans rencontrer qu’une molle révolte ? Nous apprenons l’arrestation de membres de SOS Donbass, suspectés de vouloir déstabiliser le pays. Leur « crime » : être lié à une association humanitaire, qui expédie des colis dans le Donbass, et qui poste toutes ses actions sur les réseaux. Comme discrétion quand on est un espion on n’a trouvé mieux. Un membre a été arrêté pour avoir collé des affiches à la « gloire de la Russie » selon le parquet. L’affiche présentée sur BFM mentionnait : « la Russie n’est pas mon ennemi ». Il y a un paradoxe qui ne manquera pas d’interroger. Les deux militants sont ainsi allés directement au gnouf, quand des multirécidivistes d’importation, avec des dizaines de mentions à leur casier judiciaire, traînent en liberté. Et les habitants du Donbass sont ukrainiens non ?
Soulagement, pour les deux militants de l’Action française poursuivis pour « outrage » et « provocation à la haine raciale », après les slogans lancés lors d’un hommage aux victimes de l’attentat de Mulhouse. Le tribunal correctionnel les a relaxés, mercredi 26 novembre, écartant l’ensemble des charges. Âgés de 25 et 27 ans, ils avaient scandé « stop aux francocides » et « expulsez les OQTF, bande de lâches » lors de la cérémonie organisée deux jours après l’attaque terroriste du 22 février dernier. L’auteur, Brahim A., un Algérien en situation irrégulière visé par une obligation de quitter le territoire français, avait fait un mort et trois blessés.
Un membre éminent du showbiz, tel Alain Souchon, qui dénonce le « péril fasciste » en traitant les électeurs du Rassemblement national de « cons », rien que de plus banal. Ce qui l’est moins, c’est la polémique qui s’ensuit, obligeant notre artiste a rapidement présenter ses excuses. Comme si quelque chose ne tournait plus rond au royaume des paillettes.