
Stop ou encore ?
1,8 millions de faux numéros de sécurité sociale : 80% des faux documents sont d’origine algérienne, marocaine, congolaise, et malienne. Estimation : 20 milliards d'euros de fraude par an
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Stop ou encore ?
1,8 millions de faux numéros de sécurité sociale : 80% des faux documents sont d’origine algérienne, marocaine, congolaise, et malienne. Estimation : 20 milliards d'euros de fraude par an
Le criminologue Xavier Raufer revient pour Boulevard Voltaire, sur le cas Chérif Chekkat, auteur de l’attentat au marché de Noël de Strasbourg. Quelques heures plus tard, le terroriste allait être retrouvé et abattu.
Xavier Raufer est un criminologue, essayiste, expert en questions de terrorisme Il a publié des ouvrages consacrés à la criminalité, au terrorisme et à l'insécurité urbaine.
Il participe régulièrement à diverses publications de presse ou émissions télévisées.
On lira avec intérêt l'entretien qu'il a donné à Boulevard Voltaire peu avant que Cherif Chekatt ait été retrouvé et abattu. Xavier Raufer y donne un ensemble d'informations, d'explications et de détails évidemment intéressants. LFAR
Par Xavier Raufer
Cherif Chekatt a ouvert le feu pendant le marché de Noël de Strasbourg. Comment a-t-il pu frapper dans la mesure où les points d’accès au marché de Noël étaient sécurisés ?
Cherif Chekatt arrive sur le point de contrôle situé au niveau du pont du Corbeau et de la rue du vieux marché aux poissons vers 19h40.
Au même endroit, une heure avant, une dame habitant Strasbourg m’écrit dans un mail qu’elle a été contrôlée de près. On lui avait demandé de présenter ses papiers d’identité et d’ouvrir son sac.
Lorsqu’il s’y présente, Cherif Chekatt sait qu’il est poursuivi par la police et par la gendarmerie puisqu’il a failli être arrêté le matin même. Il n’était pas présent à son domicile. Les gendarmes ont perquisitionné son appartement et ont trouvé au moins une grenade défensive, une arme de guerre très dangereuse. Si vous larguez ce type de grenade dans une pièce, elle tue une trentaine de personnes. Ils ont également trouvé une arme de poing.
À la suite de cette perquisition, les gendarmes ont fait leur boulot puisqu’ils ont publié une note d’alerte stipulant qu’un individu dangereux était en fuite. Ils ont joint sa taille, son poids, sa photographie, son patronyme et les endroits où il était susceptible de se trouver. La perquisition a eu lieu vers 6 heures du matin et la fiche en question est apparue sur les terminaux de police et de gendarmerie au plus tard à 7h30.
Le même soir vers 19h40, l’intéressé comme on dit dans les rapports de police, arrive à ce point d’où il peut accéder au centre-ville et où il est supposé être bien contrôlé et fouillé.
On ne sait pas comment, mais il passe avec une arme de poing impressionnante, un vieux pistolet d’ordonnance et un poignard. Il était donc censé être fouillé et ne pas pouvoir entrer même avec un trombone ou une épingle. Pourtant, il passe.
On peut décliner trois hypothèses pour l’expliquer. Première hypothèse, les gens censés être sur le point de contrôle ne voient plus clair parce qu’ils sont épuisés après avoir été sur des manifestations de lycéens le matin. Deuxième hypothèse, ils étaient en train de partir et ont négligé de contrôler l’individu en question. Dernière hypothèse, ils n’étaient déjà plus là.
Il était officiellement poursuivi et recherché pour un braquage qui a mal tourné. Comme vous l’avez relevé, on n’envoie pas la DGSI pour un voleur de poules. Même s’il était fiché S, comment la DGSI a-t-elle pu être intéressée par un profil comme Cherif Chekatt alors qu’il avait officiellement le profil d’un braqueur ?
Il est plus que fiché S. Un autre fichier existe. Le FSPRT est un fichier qui rassemble non seulement des personnes dont on est sûr qu’elles sont radicalisées, preuves à l’appui, mais également qu’elles sont dangereuses et ont accès à des armes ou à des outils dangereux.
Cherif Chekatt figure sur les deux fichiers. En conséquence de quoi, tout ce qu’il fait est susceptible de basculer côté crime de droit commun. Il semble que la raison pour laquelle les gendarmes voulaient l’arrêter à ce moment-là était un home jacking. Cela consiste à s’introduire dans une maison pour braquer les habitants, voler leur argent et prendre leur numéro de carte bancaire. Il était avec 3 ou 4 complices d’origine maghrébine comme lui.
Ils avaient peut-être l’envie ou le désir d’accumuler de l’argent pour pouvoir faire des attentats. On ne le sait pas pour le moment, mais nous le saurons peut-être. Ses trois complices ont été arrêtés. Ils sont entre les mains de la police.
L’individu en question est signalé depuis trois ans pour son prosélytisme. C’est un véritable gibier de prison. Il est connu comme le loup blanc parce qu’à chaque fois qu’il est en prison, il y a coups et blessures sur les dépositaires de l’autorité. Il n’arrête pas de casser la gueule aux gardiens. Il le fait toujours dans des circonstances et avec des déclarations qui montrent que c’est un islamiste confirmé.
L’islam fanatique salafiste interdit la musique, mais les guerriers ont le droit de chanter. Il a donc fait toutes sortes de déclarations sur ce qui s’appelle les anachid, les chants guerriers de Daesh. Il raconte que « les abrutis de gardiens ne comprennent pas, mais nous les chantons dans toute la prison ». Il est donc fier de son côté chahut militant, chahut islamiste à l’intérieur de la prison sur des chants de guerre qui appellent à tuer tous les infidèles. Il est clair que c’est un islamiste dangereux.
La famille Chekatt est très compliquée. Ses parents et deux de ses frères ont été arrêtés. Le père a eu plusieurs épouses successives. Il a une ribambelle de frères et soeurs. Parmi eux, un des frères aînés de Cherif est encore plus dangereux, plus sophistiqué et plus organisé. Il n’a pas encore été arrêté. La crainte actuelle est que Cherif et son frère soient ensemble. Cela renforcerait certainement la capacité de nuisance de Cherif parce qu’il s’est pris une 5,56 dans le coude. Un de ses bras est donc neutralisé.
On a du mal à imaginer qu’un homme aussi recherché et en plus blessé peut encore échapper aux forces de l’ordre…
Deux solutions sont possibles. Premièrement, il se trouve peut-être en Allemagne, car nous avons eu deux signalements de deux Allemands crédibles. Ils ont dit avoir vu un garçon qui ressemblerait à Cherif. On cherche donc de ce côté-là, mais ce n’est pas sûr.
Deuxièmement, depuis la zone où il a disparu, il peut très facilement rejoindre d’autres quartiers périphériques de Strasbourg où résident les éléments d’une importante communauté de Tchétchènes fanatisés et salafistes. Ce sont des gens redoutables dont certains sont d’anciens guerriers des guerres de Tchétchénie qui savent ce que c’est que la guérilla urbaine. D’autres sont plus jeunes comme les complices de Khamzat Asimov venu en mai dernier à Paris assassiner au nom de l’État islamique un passant au poignard dans le 2e arrondissement près du quartier de l’Opéra. Ce sont donc des garçons très dangereux.
En somme, s’il a disparu en Suisse ou en Allemagne, on finira par le retrouver. S’il est planqué avec son frère aîné et des Tchétchènes, ça ne va pas être une promenade de santé pour aller le récupérer. Voilà où nous en sommes à l’heure actuelle.
Docteur en géopolitique et criminologue.
Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)
La chaîne France 3 est au coeur d’une polémique pour avoir diffusé lors du JT de samedi dernier, une image retouchée où le slogan d’une pancarte était artificiellement tronqué. Dans une tribune publiée sur FigaroVox, François-Bernard Huyghe appelle à la responsabilité des médias.
Extraits.
Une polémique est née après que la chaîne France 3 a été accusée d’avoir retouché une photographie. Sur une pancarte indiquant «Macron démission», n’apparaît plus que «Macron». Peut-on parler de «fake news»?
François-Bernard HUYGUE.- Truquer une image, comme Staline faisant autrefois retirer Trotsky de toutes les photos (argentiques, s’il vous plaît) où il figurait avec Lénine, n’est pas innocent. Selon ma définition, la fake news (infox en néo-français) suppose a minima une opération matérielle pour altérer une trace du passé (truquer une photo, attribuer à X une déclaration qu’il n’a pas faite, inventer de faux témoignages) et pour faire croire à une autre version du réel. Ici il y a bien eu retouche numérique sur l’image «Macron dégage» (ce qui rappelle le printemps arabe), qui devient «Macron» tout court, interpellation visiblement absurde. Est-ce volontaire de la part de FR3, plusieurs semaines après que des millions de gens ont pu voir des banderoles anti-Macron dans la rue ou à l’écran? Est-ce une simple erreur «technique» comme plaide la chaîne? Disons que cela tombe mal face aux «gilets jaunes» qui sont persuadés que «les» journalistes sont à la fois des membres des classes privilégiées, les larbins de la macronie et des truqueurs impénitents de la réalité. L’effet est surtout symbolique.
Le service public médiatique ne devrait-il pas se montrer exemplaire en matière d’information?
Payés par nos impôts, censés contribuer au débat démocratique en permettant à chaque citoyen de connaître à la fois la réalité et toutes les opinions, les médias de service public devraient en effet sentir une grosse responsabilité peser sur eux.
Au début du mouvement des «gilets jaunes» les médias se montraient plutôt bienveillants. Leur attitude semble aujourd’hui avoir complètement changé. Pourquoi?
Je ne dirais pas que «les» médias sont pour puis contre tel ou tel.
Disons qu’il y a eu des facteurs contradictoires:
– La spectacularité et l’inventivité (notamment visuelle) des «gilets jaunes» ; pour de l’inédit, c’était de l’inédit.
– Le fait que certaines chaînes ne voulaient pas se couper de cette clientèle populaire a priori consommatrice de télé.
– Les journalistes et éditorialistes ont tendance à faire partie des classes urbaines éduquées qui sont comme les ennemis sociologiques des «gilets jaunes» périurbains peu éduqués. Du reste nombre de gens de médias ont un peu de mal à comprendre les problèmes et souffrances de ceux «d’en bas», tout simplement parce qu’ils ne les rencontrent pas.
– Faire monter la paranoïa autour de thèmes grotesques fournis par le gouvernement («la peste brune remonte les Champs et des milliers de gens vont venir casser et tuer») est payant en termes de dramatisation et suspens.
– Le mouvement des «gilets jaunes» prospère sur les réseaux sociaux et la traduction de leur contenu (y compris avec les pires délires complotistes) passe mal auprès des médias «classiques».
En tout cas le sentiment des «gilets jaunes» à l’égard des médias mainstream, est, lui sans ambiguïté: «tous menteurs».
Lire l’intégralité de cet entretien sur : www.lefigaro.fr
Alors que les grands médias ont globalement tenté de désamorcer le mouvement des gilets jaunes comme nous vous l’avons expliqué à travers la télévision iciou à travers les hebdomadaires là, alors que Facebook censure à tout va avec l’aide des Décodeurs du Monde, une future loi « antiterroriste » se prépare à l’initiative de la France auprès de l’Union européenne. Une analyse de la Quadrature du Net.
Un texte quasi secret
Reprenons le texte de la Quadrature qui est remarquable de précision :
« C’est un texte dont personne ne parle ou presque, et il est pourtant fondamental pour l’avenir des libertés publiques à l’échelle de l’Europe entière. Présenté au mois de septembre, il s’agit du règlement européendédié à « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste en ligne ».
L’article 4 du règlement permet aux autorités publiques de demander directement à n’importe quel hébergeur le retrait d’un contenu relevant de l’apologie du terrorisme.
En pratique, cela entérine la situation qui prévaut dans tous les pays réprimant l’apologie ou la provocation au terrorisme. Ainsi en France, depuis 2015, le ministère de l’Intérieur est compétent pour censurer la provocation ou l’apologie du terrorisme sur Internet (si l’hébergeur n’empêche pas l’accès au contenu visé sous 24 heures, alors le blocage de l’ensemble du site peut être mis en place par les fournisseurs d’accès à Internet français).
Le tout sans aucun contrôle judiciaire préalable, dans le cadre d’une procédure secrète. Ainsi, en 2015, la France est devenue (devant l’Inde et la Turquie) le pays qui a obtenu le plus grand nombre de suppressions de pages Facebook (38 000suppressions en un an, pendant que l’Allemagne ou Israël n’en obtenaient que 500). »
Plus vite, plus fort
Reprenons notre citation de la Quadrature :
« Là où le règlement européen « innove » radicalement, c’est qu’il impose qu’un tel retrait par les hébergeurs intervienne en un délai record de une heure, sous peine de sanctions financières.
Il prévoit aussi de passer par une voie encore plus discrète pour censurer ces contenus : les « mesures proactives », ces outils de censure automatique déjà développés par les grandes plateformes comme Facebook ou YouTube et qui pourront être paramétrés en concertation avec les autorités (article 6 du règlement)….
Le futur règlement européen prévoit de généraliser ces outils à l’ensemble des acteurs du Web (non seulement Facebook et YouTube mais aussi OVH, Gandi, NextCloud, Mastodon, etc.), voire même aux outils de messagerie (WhatsApp, Signal, Télégram, Protonmail, etc.) .
Et Nicolas Sarkozy est expert en la matière. Il sait parfaitement comment trahir le peuple français, lui qui a fait adopter par des élus non représentatifs du peuple le traité de Lisbonne en 2008, pourtant rejeté largement par référendum en 2005. Et que suggère Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron : un nouveau traité européen, sans doute encore plus de fédéralisme et moins de souveraineté nationale :
Présent avec Tony Blair, Nicolas Sarkozy a également tenu à s’exprimer sur le Brexit, dénonçant « une folie qui n’a aucun sens ». Lui qui semble être devenu proche d’Emmanuel Macron, a affirmé avoir « proposé au président Macron, et j’espère le convaincre, de mettre sur la table un nouveau traité européen ».
Le retour par la fenêtre de ce personnage, pourtant battu en 2012 et rejeté par les siens lors de la primaire en 2016, est assez surprenant et explique peut-être aujourd’hui la discrétion de LR vis-à-vis des gilets jaunes :
L’ancien locataire de l’Elysée avait également son mot à dire sur la politique française, estimant qu’Emmanuel Macron « fait ce qu’il peut» : « Je veux aider mon pays, je ne le critiquerai nullement », a-t-il ajouté. Sans les citer, Nicolas Sarkozy s’est également exprimé sur les « gilets jaunes » : « Nous sommes à l’arrêt. Le monde accélère à une vitesse stupéfiante et nous, non seulement nous sommes à l’arrêt, mais nous reculons. Là, on va discuter, on va demander l’avis aux gens dans la rue pour faire quelque chose. Avec ça, vous ne ferez plus rien ! Si pour faire quelque chose tout le monde doit être d’accord, restez couchés, parce que personne n’est jamais d’accord ».
Par André Posokhow, consultant ♦ Pour Polémia, 2018 aura été l’année de la propagande et de la censure d’Etat. Elle aura été marquée entre autres par la Loi scélérate « fake news », la censure numérique et mondiale exercée par les GAFA ou encore la fermeture massive de comptes sur les réseaux sociaux et YouTube.
Nous ne nous trouvons pourtant qu’au début du processus de l’effacement des libertés fondamentales que sont les libertés d’opinion, d’expression et de la presse. Les années 2019 et suivantes s’annoncent comme pires si les révoltes populaires ne renversent pas la table.
C’est ce que révèle la lecture de l’objectif 17 du Pacte pour les migrations. Parmi ses 23 objectifs, l’objectif 17 (O17) est certainement celui qui constitue la menace la plus aiguë pour les libertés d’expression et d’opinion. Le danger qu’il représente et l ’idéologie totalitaire qu’il reflète doivent être particulièrement mis en exergue et dénoncés.
Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique :
L’objectif 17 du Pacte : le pivot de la lutte contre la liberté de l’esprit
Un engagement d’élimination des « discriminations »
L’en tête de l’O17 utilise des mots de violence et se montre à la fois global, partial et hypocrite.
Il s’agit clairement d’un engagement, pour l’instant moral, des pays signataires, donc de la France.
La violence des mots et des actes
L’O17 veut que les signataires condamnent, combattent et éliminent toute forme de discrimination. Ces verbes sont l’expression d’une logique d’affrontement et à terme de guerres civiles.
Seules les discriminations et les violences à l’égard des migrants sont prises en considération
Les violences, les viols, les agressions, la guérilla même auxquels se livrent nombre d’envahisseurs sont ignorés et occultés. Ce n’est pas le sujet. Les seules victimes possibles sont les allogènes.
Les discriminations qu’il faut éliminer sont globales et vagues
Le texte s’abstient évidemment de préciser ce que sont ces discriminations contre les migrants. Ce sont des mots fourre-tout : expressions et manifestations de racisme, discrimination raciale, xénophobie, qui peuvent recouvrir n’importe quel mot et n’importe quel acte.
Ce sera à la jurisprudence des tribunaux qu’il reviendra de leur donner une signification plus précise pour condamner les opposants, « conformément au droit international des droits de l’homme », on devine dans quel sens.
L’hypocrisie de ces engagements
Les signataires s’engagent à protéger la liberté d’expression. Bravo et quel soulagement ! Mais, dit le texte, il faut que ce soit dans le respect du droit international afin de contribuer à une compréhension globale des migrations sous tous leurs aspects. Quel peut être en l’occurrence ce droit international ? Rappelons que l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations) a formulé l’ambition de développer un droit international des migrations.
La stratégie défensive : la répression
Donner un droit de dénonciation aux migrants
Les migrants et les communautés, nous supposons qu’il s’agit des diasporas, pourront dénoncer tout acte « d’incitation à la violence contre les migrants ». Il en découlera une sujétion des Occidentaux de souche et un renforcement de l’éclatement des pays occidentaux en populations communautarisées dressées les unes contre les autres.
Faire juger et condamner les opposants à l’invasion
Les migrants et les communautés, naturalisés ou non, pourront amener quiconque participerait à « la commission d’une infraction inspirée par la haine des migrants »à répondre de ses actes. C’est quoi la haine des migrants ? Si un citoyen français comme une majorité de ses concitoyens dit qu’il y a trop d’immigrés en France, est-ce de la haine ?
Il est ajouté que cette démarche se fera dans le respect du droit interne et du droit international des droits de l’homme. Même observation que ci-dessus, mais surtout quel droit prédominera ? A terme les différentes communautés pourraient exiger l’application de leur propre droit interne comme c’est le cas de la charia dans des villes anglaises
INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Facebook, Twitter et YouTube permettent une large diffusion des idées qui a profité à de nombreux influenceurs de droite, principalement américains, canadiens et britanniques. Le système de financement Patreon leur permettait même d’en vivre.
Cependant, ces réseaux notoirement orientés à gauche ont de plus en plus tendance à bannir leurs utilisateurs de droite ou à enterrer leurs publications en jouant sur les algorithmes.
Plusieurs réseaux concurrents de Twitter sont donc nés pour rétablir l’équilibre. Le plus connu est Gab, que l’on trouvera sur tous les moteurs de recherche sauf Google. Après une fermeture temporaire, le réseau peut désormais compter sur un hébergeur militant et connaît une croissance spectaculaire.
Toujours parmi les concurrents de Twitter, le dernier-né s’appelle Parler News et vient d’être lancé par plusieurs influenceurs américains.
Enfin, pour soutenir financièrement une libre expression politique, le célèbre psychologue canadien Jordan Peterson et l’influenceur américain Dave Rubin s’apprêtent à lancer leur propre plateforme concurrente de Patreon. Sa création est en cours depuis six mois et le démarrage attendu bientôt.
Le camp du bien se met aux fausses nouvelles… Ce journaliste du Spiegel a pour sujet de prédilection, les migrants :
Confronté aux accusations d’un autre journaliste avec qui il a travaillé, Claas Relotius a admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Ce journalistes, primé à plusieurs reprises, falsifiait depuis plusieurs années ses articles. Claas Relotius avait encore reçu début décembre le prix du Reporter de l’année pour un article sur de jeunes Syriens qui seraient à l’origine de la guerre civile qui a éclaté en 2011.
Dimanche, il a remis sa démission de l’hebdomadaire, après avoir admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Au total, au moins 14 articles auraient été bidonnés, dont un sur un Yéménite qui a passé 14 ans sans raison à Guantanamo et un autre sur Colin Kaerpernick, joueur de football américain qui posait le genou à terre pendant l’hymne américain pour protester contre les inégalités raciales. Claas Relotius prétendait avoir interviewé ses parents.
Ne croyez pas ce que vous racontent les médias.
https://www.lesalonbeige.fr/un-journaliste-allemand-falsifiait-ses-articles-sur-les-migrants/
Belgique – Mardi, en fin de journée, Charles Michel, Premier ministre, a présenté la démission de son gouvernement. Cette chute gouvernementale est la conséquence du Pacte mondial pour les migrations mis en place par l’ONU.
Avant le sommet de Marrakech des 10 et 11 novembre, la NVA, plus important parti de Flandre et partenaire majoritaire de la coalition gouvernementale, avertissait le Premier ministre et ses partenaires gouvernementaux : si Charles Michel s’obstinait à vouloir se rendre à Marrakech pour y valider le pacte au nom de la Belgique, la NVA se retirerait du gouvernement. Mais les autres partis de la coalition gouvernementale ne voulaient rien entendre. Avant même l’envol du Premier ministre belge vers Marrakech, la crise avait éclaté et la NVA avait donc annoncé la démission de l’ensemble de ses ministres. De facto, le gouvernement belge se retrouvait en situation minoritaire devant les assemblées parlementaires.
Pendant quelques jours, le Premier ministre tenta d’obtenir au Parlement soit un soutien extérieur de l’opposition constituée par les partis de gauche soit un soutien ponctuel, notamment pour le vote du budget, de son ancien partenaire gouvernemental ayant rejoint les bancs de l’opposition. Dans cette confusion générale, le Premier ministre belge ne trouva finalement aucun soutien. Plusieurs partis de l’opposition réclamaient même un vote de motion de défiance. Devant cette situation inextricable, et pour éviter l’humiliation du vote de défiance, le Premier ministre a annoncé hier au Parlement qu’il se rendrait en soirée chez le Roi présenter la démission de son gouvernement. Le Roi n’a pour l’instant pas accepté cette démission et consulte durant la journée les présidents des différents partis politiques.
Nul ne sait pour l’instant si la Belgique s’achemine vers des élections anticipées ou si le gouvernement sera maintenu en affaires courantes jusqu’aux élections générales du mois de mai.
Mais le Premier ministre belge paye cher sa soumission au plan immigrationniste de l’ONU. Et la formation du prochain gouvernement belge s’annoncé déjà particulièrement compliqué.