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lobby - Page 972

  • Italie : arrestation de Domenico Lucano, un maire soupçonné d’aide à l’immigration clandestine

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    Le parquet de Locri (sud) a annoncé mardi l’arrestation de Domenico Lucano, maire de Riace, un village pionnier dans l’accueil des réfugiés dans le sud de l’Italie, soupçonné d’aide à l’immigration clandestine.

    Le parquet a également ordonné un placement aux “arrêts domiciliaires” contre M. Lucano, soupçonné également d’irrégularités dans l’octroi des financements pour le ramassage des ordures de son village, selon un communiqué des autorités judiciaires.

    M. Lucano est accusé d’avoir organisé des mariages de convenance entre des habitants de son village et des femmes étrangères afin de leur obtenir un titre de séjour.

    Le communiqué cite des extraits d’écoutes téléphoniques dans desquelles M. Lucano semble effectivement agir, en connaissance de cause, contre la loi en vigueur, qualifiée de “stupide“.

    Je vais vous faire la carte d’identité, je suis hors-la-loi, je suis hors-la-loi car pour faire la carte d’identité je devrais avoir un permis de séjour encore valable. En plus vous devriez démontrer que vous résidez à Riace, que vous avez une habitation à Riace, (…) j’assume la responsabilité et je vous dis que ça va“, dit-il ainsi à une femme étrangère dans une conversation enregistrée par les enquêteurs, selon le parquet.

    Distingué en 2010 comme troisième “meilleur maire du monde“, cité parmi les 100 personnalités les plus influentes par le magazine Fortune en 2016, son arrestations risque de provoquer des cris d’orfraie parmi les officines immigrationnistes.

    https://fr.novopress.info/212157/italie-arrestation-de-domenico-lucano-un-maire-soupconne-daide-a-limmigration-clandestine/

  • Plus de 700 immigrés clandestins secourus en deux jours

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    Dimanche, l’AFP a annoncé que les sauveteurs en mer espagnole avaient secouru 675 migrants entre le Maroc et l’Espagne.

    Il y a tout d’abord eu une première vague de 405 clandestins récupérée samedi, puis 270 dimanche. La moitié d’eux est originaire d’Afrique subsaharienne et l’autre moitié du Maghreb.

    Contrairement à ce que racontent les médias dominants, il n’y avait que très peu de familles : seulement 7 enfants ou bébés.

    Rappelons que l’Espagne est devenue cette année la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, après que l’Italie a largement fermé ses frontières.

    https://fr.novopress.info/

  • La grande braderie: au nom de la concurrence libre et non faussée…

    barrage-300x225.jpgAprès la grande braderie que fut la  privatisation des autoroutes sur le dos des Français, en avant pour celle  des barrages hydroélectriques!  Arnaud Raffard de Brienne le déplorait  dans Présent début septembre,  Emmanuel Macron va céder « aux  pressions répétées de la Commission européenne  »  exigeant  « l’ouverture à la concurrence de la gestion des (400)  barrages hydrauliques (dont l’Etat est propriétaire). »  Il s’agit, et  de  loin,   « de  la première des énergies renouvelables en France » (20 % de la production nationale), de la seconde source de production électrique du pays, soit  20 % de la puissance installée du mix électrique, 12 % de l’électricité utilisée par les Français, 66 % de la capacité de production de  pointe.  Un secteur dans lequel EDF se taille la part du lion,  à la tête de 85% des concessions de barrages, accordées en moyenne   pour une durée de 75 ans. Le journaliste le rappelle,  les  pressions de Bruxelles  s’exercent   « depuis une dizaine d’années et elles auront donc eu raison  des velléités de résistance passive de la France », passive étant le mot juste…   

    Le journal de l’environnement l’évoquait alors,  c’est en effet  le 3 novembre 2015 que la Commission européenne avait  dans ce dossier  «  adressé une mise en demeure au gouvernement français »,   au  nom du dogme selon lequel « les Etats membres sont tenus de veiller, en ce qui concerne les entreprises publiques ou celles disposant de droits spéciaux ou exclusifs, à ne maintenir aucune mesure contraire aux traités, notamment en matière de concurrence. »

    Faute de pouvoir donner l’assaut dans le cadre du marché  de l’électricité  contre le monopole de l’Etat sur nos centrales nucléaires,  (encore) protégées des velléités prédatrices des bruxellois   car  incluses par la France  au nombre des « activités d’importance vitale », nos ressources hydroélectriques sont dans le collimateur.  En l’espèce celui  de la Danoise  Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence  et accessoirement membre du  très immigrationniste parti social libéral danois rattaché au parlement à l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) et à  l’Internationale libérale.

    Mme Vesdtager s’est émue de la « position dominante » en France d’EDF,  d’« une inégalité de chances »  sur notre sol  entre   opérateurs pour l’accès à la production hydroélectrique.  Le duo Hollande-Valls avait  commencé à céder aux  exigences de mise en concurrence de Bruxelles en avril 2016,  avec la publication d’un décret ouvrant notamment à des sociétés d’économie mixte (SEM) la concession des barrages. Et pour mieux  complaire à l’idéologie européiste,  l’Etat  interdit désormais à EDF de postuler  à la reprise d’une de ses concessions… quand bien même l’offre proposée par celle-ci serait la meilleure!

    Bref, une ouverture imposée au  nom du principe de  la concurrence libre et non faussée,   auquel nous devrions nous plier au mépris de notre intérêt national, et qui attise sans surprise l’intérêt  des groupes étrangers. Le contraire serait en effet  étonnant au vu de la  rentabilité  des barrages hydroélectriques  - ouvrages  d’art  construits  et entretenus,  faut-il le préciser, avec l’argent des contribuables Français -, les chiffres publiés évoquant environ 2,5 milliards d’excédent brut annuel pour les concessions. 

    En juin 2018, une dépêche de l’Afp  reprise sur le site euractiv notait que le gouvernement d’Edouard Philippe   « aurait proposé à Bruxelles la mise en concurrence de certaines concessions dès cette année, en plafonnant les lots que peut remporter une entreprise, selon la CGT et des députés qui suivent ce dossier. » « La crainte d’EDF comme des salariés est que les concessions les plus rentables partent à la concurrence et qu’EDF se retrouve avec les petits barrages, faisant dérailler l’équilibre économique de l’ensemble. » Une péeoccupation  parfaitement justifiée, d’autant qu’ en dépouillant ici  EDF , dont le capital social est détenu à 83,7% par l’Etat, il est loisible de  craindre une  augmentation pour les Français du prix de l’électricité.  A titre indicatif, soulignons le faible coût de celle-ci quand elle est   produite par les barrages, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, prix sensiblement plus bas que celui de  l’électricité nucléaire notamment

    En mars  dernier,  l’élue national   Christelle Lechevalier (groupe ENL) rappelait à Strasbourg  que «la privatisation des barrages hydroélectriques dépouillerait la France d’une ressource d’énergie, régulatrice de l’écosystème, décarbonnée et rentable. » La collègue de Bruno Gollnisch soulignait également  que les syndicats (qui) protestent aujourd’hui  contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques s’étaient  tous ralliés derrière l’européiste Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.  « Syndicats (qui) ne remettent jamais en cause les traités européens et la mondialisation-destruction (…) complices, par leur silence, de la disparition de nos services publics et de la perte de l’autonomie de notre nation en matière énergétique.»

    A la soumission des gouvernements successifs aux oukases de la technocratie européiste répond l’inféodation globale des syndicats à ce système par essence antinational. Mais peut-on demander à des syndicats dirigés, formatés, contrôlés par  des socialo-trotskystes, des communistes de sortir de l’ambiguïté ? Comment pourraient-ils avouer que le Grand Satan national contre lequel ils appellent systématiquement à voter,  défend avec une grande  cohérence politique une  préférence nationale  plébiscitée par les travailleurs Français  mais combattue par l’oligarchie bruxelloise?

    https://gollnisch.com/2018/10/05/la-grande-braderie-au-nom-de-la-concurrence-libre-et-non-faussee/

  • La NASA annonce un refroidissement climatique

    La NASA annonce un refroidissement climatique

    Lu sur RITV :

    La NASA – peu suspecte de climato-scepticisme – s’appuie sur de nouveaux résultats d’observations de température aux confins de l’atmosphère terrestre pour annoncer un refroidissement notable dans ces zones, lié à l’un des minima solaires les plus importants de l’ère spatiale. Il s’agit très clairement d’un refroidissement climatique entraîné par la baisse de l’activité solaire, confirmant le rôle important sinon prépondérant du soleil sur les variations de température de la planète.

    « Nous constatons une tendance au refroidissement », vient ainsi de déclarer Martin Mlynczak, chercheur principal associé du centre de recherches Langley de la NASA. « Très loin de la surface de la terre, près du bord de l’espace, notre atmosphère perd de l’énergie calorifique. Si les tendances actuelles se poursuivent, on pourrait bientôt atteindre un record de froid pour notre ère spatiale », a-t-il affirmé.

    Les nouvelles données sont le fruit de mesures prises par le dispositif SABER (Sounding of the Atmosphere using Broadband Emission Radiometry), embarqués sur le satellite TIMED (Thermosphere Ionosphere Mesosphere Energetics and Dynamics) chargé de la surveillance de l’état de la très haute atmosphère. SABER permet de mesurer la radiation infra-rouge émise par le dioxyde de carbone – le CO2 – et l’oxyde nitrique (NO), qui joue un rôle vital dans le bilan énergétique de la thermosphère, la zone la plus éloignée de notre atmosphère.

    Mlynczak rappelle que cette thermosphère devient toujours plus fraîche pendant les périodes de minimum solaire : « C’est l’une des manières les plus importantes dont le cycle solaire affecte notre planète. » L’un des effets de ce refroidissement est un rétrécissement de l’atmosphère, avec un effet aérodynamique positif sur les satellites qui s’usent moins vite (mais dont les débris encombrent également plus longtemps l’atmosphère terrestre). […]  

    https://www.lesalonbeige.fr/la-nasa-annonce-un-refroidissement-climatique/

  • Mettre un terme à la dictature des minorités

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    Ligne Droite cliquez ici

    En se référant au concept d’état de droit, le Système a fait du principe de non-discrimination une pièce maîtresse de son action. C’est en effet en son nom qu’il s’attaque à toutes les différences au sein de la société, permettant aux groupes minoritaires prétendument victimes d’une discrimination de tenir le haut du pavé. Une situation qui transforme la nation en un conglomérat de minorités revendicatives, lesquelles imposent leurs prétendues valeurs à une majorité culpabilisée et muselée. Ligne droite considère en conséquence qu’il est urgent de mettre un terme à cette dictature des minorités.

    L’état de droit contre la démocratie

    La France est en effet censée vivre en démocratie et à ce titre elle a recours au vote, un mode d’élection qui donne à la majorité le droit de décider. Normalement, c’est donc la majorité du peuple qui devrait exercer le pouvoir et sa volonté qui devrait prévaloir. Mais les tenants de la pensée unique n’aiment pas le processus majoritaire qui confère la primauté au peuple et promeut des idées qui ne sont pas les leurs. Aussi ont-ils mis en place un dispositif qui permet de contourner la majorité. En faisant référence à l’état de droit et aux valeurs de la République, ils ont instauré le gouvernement des juges, lesquels l’emportent sur les députés et sénateurs pourtant élus. Mais surtout, ils peuvent s’appuyer sur des principes qui, supposés immuables, ne sont donc pas susceptibles d’être mis en débat et encore moins soumis aux suffrages des Français.

    L’impératif de non-discrimination

    Et parmi tous ceux qu’invoquent régulièrement les porte-parole de l’oligarchie, le principe le plus systématiquement repris est sans conteste l’impératif de non-discrimination. En son nom, les adeptes du politiquement correct font la chasse à toutes les différences qu’ils peuvent trouver entre deux catégories de personnes, pour ensuite les dénoncer et les corriger. Les couples homosexuels ne peuvent pas avoir d’enfants contrairement aux couples hétérosexuels, il faudrait donc selon eux corriger cette discrimination d’ordre pourtant naturel par le recours à la PMA et à la GPA. Les statistiques révéleraient des différences entre hommes et femmes s’agissant de leur place dans la société, il faudrait dès lors prendre des mesures autoritaires pour obtenir partout un ratio de 50 % – 50 %. Les immigrés seraient injustement marginalisés par rapport aux nationaux, il faudrait donc supprimer cette discrimination en leur accordant les mêmes droits qu’aux Français. Le principe de non-discrimination est ainsi le point central de l’idéologie du Système qui présente même comme des discriminations au principe de libre-circulation, les règlementations protectrices des État.

    La communauté nationale réduite à des minorités

    Cette obsession anti-discriminatoire crée une situation particulièrement malsaine. D’abord, elle conduit le Système à se préoccuper prioritairement des groupes prétendument victimes de discrimination. Autant de minorités qui bénéficient ainsi d’une valorisation médiatique aussi insistante qu’incessante. Et, à force de multiplier dans les médias des reportages ou des messages sur les migrants qui ne seraient pas accueillis correctement, sur les femmes qui ne seraient pas respectées par les hommes, sur les handicapés pour lesquels les équipements appropriés ne seraient toujours pas réalisés, on finit par donner le sentiment que la communauté nationale n’est que l’agrégat de ces différentes minorités revendicatives.

    Des minorités victimes, une majorité coupable

    Plus grave encore, celles-ci sont systématiquement présentées comme des victimes sans, il est vrai, qu’on désigne clairement leur oppresseur. Pourtant, chacun comprend bien que le coupable n’est autre que notre nation, à travers la majorité de son peuple. C’est elle qui, par égoïsme, par archaïsme, par un attachement suranné aux traditions, serait responsable de la situation des malheureuses minorités.

    Aussi le Système considère-t-il comme légitime d’imposer à la majorité, telle une sanction, des mesures correctrices autoritaires en faveur des minorités. Des mesures auxquelles la majorité, sidérée par la propagande culpabilisante du Système, n’ose que très rarement s’opposer alors qu’elles sont presque toutes prises à ses dépens.

    Des minorités dominantes

    Ainsi en a-t-il été pour le mariage homosexuel. Traditionnellement, depuis plus de quatre mille ans, le mariage est défini comme l’union d’un homme et d’une femme pour procréer et fonder une famille. Avec le mariage pour tous exigé par une minorité, on a dénaturé cette institution immémoriale à laquelle la majorité des Français étaient attachés pour la transformer en un super Pacs. De même, afin de satisfaire la minorité immigrée, le Système a créé l’AME qui offre la gratuité intégrale des soins à tous les clandestins. Un dispositif qui coûte fort cher à la majorité des Français, lesquels doivent par ailleurs cotiser pour obtenir une protection sociale moins généreuse que l’AME.

    Ainsi, sommes-nous aujourd’hui dans un pays où les minorités tiennent le haut du pavé. Non seulement elles font l’objet de toutes les sollicitudes du pouvoir et des médias, mais elles imposent leurs prétendues valeurs et obtiennent des avantages dérogatoires que la majorité se doit d’accepter et de financer.

    Rendre le pouvoir au peuple et à sa majorité

    Aussi Ligne droite considère-t-elle indispensable de mettre un terme à cette dictature des minorités. La France n’est pas constituée du rassemblement de ces groupes plus au moins légitimes, elle est la nation du peuple français et c’est ce peuple qu’il faut libérer et privilégier. Pour ce faire, il convient de rétablir le fonctionnement normal des institutions en remettant à leur place tous ceux qui s’en sont emparés indument. Les médias doivent retrouver une nécessaire pluralité des opinions, le gouvernement des juges doit être démantelé. De même, les lois coercitives doivent être abolies. Celles qui encadrent la liberté d’expression comme celles qui introduisent une discrimination positive. Plus globalement, c’est tout le projet de Ligne droite qui doit être mis en œuvre.

    La France n’est pas un conglomérat de minorités, elle est un peuple qui s’exprime à travers sa majorité. 

  • Grand Remplacement : Quinze millions pour les migrants, par Francis Bergeron

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    Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un plan de quinze millions d’euros pour aider à l’insertion des immigrés, réfugiés et autres demandeurs d’asile, et d’abord pour les aider à trouver du travail. C’est donc bien qu’il est prévu qu’ils restent. Définitivement.

    Détaillant ce plan, Madame le ministre a expliqué qu’il fallait assurer une formation professionnelle à cette masse de réfugiés, afin qu’ils puissent plus facilement trouver du travail en France. Tout ceci part d’une gentille intention. Mais révèle aussi que ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux ne correspond absolument pas au discours qui nous a été tenu pendant des mois, à savoir que ces populations seraient confrontées à des situations mettant leur vie en danger, et qu’il fallait les accueillir jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles.

    Cette nécessité de leur assurer une formation professionnelle prouve d’abord que, contrairement à la légende, ces réfugiés n’ont pas de qualification.

    Mais cette recherche d’emplois correspond à un second mensonge d’Etat et un second mensonge des grands (gros) médias : ils resteront. Il est prévu qu’ils restent. S’il s’agissait de vrais réfugiés politiques, comme on nous le soutient, ils resteraient dans le pays d’accueil jusqu’aux changements politiques attendus – des changements dont on peut imaginer qu’ils en seraient un peu les acteurs – avant de rentrer chez eux. Mais à partir du moment où ils sont formés à des métiers à exercer sur le territoire français, à partir du moment où le gouvernement finance des recherches d’emploi à leur profit, la théorie « scandaleuse », « mensongère » du « Grand Remplacement » ne paraît, hélas ! plus du tout une théorie, et certainement pas une théorie mensongère. Ces groupes d’étrangers dispersés dans des villes et villages, sur tout le territoire, nous allons donc leur payer, outre le gîte, le couvert, l’autocar et les cigarettes, des formations pour leur apprendre un métier, un métier qu’ils pourront exercer en France, et des coachs pour les former à la recherche d’emploi en France.

    Six millions de demandeurs d’emploi ne suffisent donc pas. Il faut importer des réfugiés chômeurs, que l’on va essayer de recaser dans des emplois.

    Un maître-mot qui leur ouvrira la porte des entreprises : « discrimination »

    Mais la probabilité pour qu’ils trouvent du travail est faible, allez-vous penser, compte tenu de l’analphabétisme, du manque de bases techniques, de l’obstacle de la langue pour beaucoup d’entre eux.

    Non, pas du tout ! Car il existe un maître mot qui devrait leur ouvrir toutes grandes les portes des entreprises, le mot « discrimination ».

    Ne parlons même pas de préférence nationale, la loi l’interdit depuis longtemps. Mais si, à compétence égale ou supérieure, un autochtone est retenu pour un poste, contre la candidature d’un réfugié, gageons que les structures qui encadrent les réfugiés et qui les encadreront demain (sans doute les mêmes) crieront à la discrimination.

    Mais, au fond, peut-être assistons-nous simplement à une expérience ? « Même si certains identitaires veulent ramener la France au vin, au saucisson ou je ne sais quoi, pour moi, la France, c’est avant tout une expérience », expliquait l’animateur d’une de ces associations.

    Une expérience ? A quinze millions d’euros ? C’est alors une expérience à la docteur Folamour ! De celles qui se terminent souvent mal.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • DES NOUVELLES DES PRISONNIERS POLITIQUES

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    Esteban et Samuel ont été condamnés il y a quinze jours à des peines énormes (11 et 7 ans de prison) alors que les charges qui pesaient contre eux se sont, tout au long du procès, effondrées les unes après les autres... J'ai exprimé, juste après le verdict inique, mon sentiment sur celui-ci cliquez ici. Face à une telle injustice, ceux-ci se sont pourvus en appel.

    Pour les aider, une cagnotte a été alors créée par les proches d'Esteban. Nous avons invité nos lecteurs à y participer cliquez là et nous savons qu'ils ont été nombreux à répondre à cet appel et nous les en remercions pour ce bel élan de solidarité patriotique. Mais l'inquisition fanatique menée par les idiots utiles du Système que sont les antifas a obligé nos amis à fermer cette cagnotte. Soyez cependant rassurés, les fonds récoltés en quelques jours, soit plus de 10 000 euros, ont été reversés à la famille d'Esteban.

    Depuis, vous êtes nombreux à nous demander comment aider nos camarades. Nous vous donnons donc les informations suivantes :

    - Aujourd'hui, une nouvelle cagnotte vient d'être ouverte par Madame Colette Morillo, la mère d'Esteban - cliquez ici N'hésitez-pas, dans la mesure du possible, à y contribuer.

    - Pour écrire à Esteban ou à Samuel, vous pouvez adresser vos lettres à Synthèse nationale (9, rue Parrot, CS 72809, 75012 Paris) en mentionnant au dos de l'enveloppe STB ou SM. Les courriers seront réexpédiés aux familles. Pour soutenir Esteban, si vous désirez joindre un chèque, établissez-le à l'ordre de Esteban Morillo.

    - dimanche 14 octobre, lors de la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici, avec Aristide Leucate, journaliste à Présent qui a couvert le procès, et Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, nous reviendrons sur cette odieuse provocation dont furent victimes les jeunes patriotes en juin 2013 et sur les conséquences dramatiques de celle-ci.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/

  • Tabou diplomatique

    Georges Feltin-Tracol

    Cet été, les lignes ont semblé bouger dans les Balkans, en particulier entre la Serbie et le Kossovo. Le président de la République de Serbie, Aleksandar Vučić, entama une discussion avec Hashim Thaçi, le chef de l’État kossovar. Depuis 2008, année où le Kossovo a acquis une soi-disant indépendance, la Serbie n’a jamais accepté cette sécession. Avec l’augmentation des flux migratoires extra-européens dans la région, l’intransigeance de la Serbie pose maintenant de graves problèmes puisque Belgrade refuse de fermer une frontière qui n’existe pas à ses yeux. Par ailleurs, le Kossovo, digne valet de l’atlantisme, se transforme progressivement en un narco-État plus ou moins en cours d’islamisation.

    Avant de rompre les négociations d’un commun accord dès le 7 septembre dernier, Aleksandar Vučić et Hashim Thaçi ont espéré que leurs États respectifs adhéreraient le plus tôt possible à l’Union pseudo-européenne. Ils étaient mêmeprêts à s’affranchir du tabou diplomatique suprême : l’intangibilité des frontières. Le Nord du Kossovo peuplé de Serbes autour de Mitrovica rejoindrait la Serbie qui en échange céderait au Kossovo des territoires du Sud-Ouest à majorité kossovare (la vallée de Presevo et les villes de Medveda et de Bujanovac). À peine envisagée, cette solution de bon sens fondée sur le critère ethno-linguistique souleva bien desmécontentements. L’Église orthodoxe serbe s’interrogea sur le devenir de ses lieux saints, de ses monastères et des enclaves serbes non contigues à la Serbie. La Russie souhaiterait maintenir le conflit gelé, utile abcès de fixation régionale. Le Premier ministre kossovar, Ramush Haradinaj, s’indigna déjà de rendre la moindreparcelle de terre albanaise aux Serbes. Quant à la gauche populiste souverainiste de Vetëvendosje ! (« Autodétermination ! »), deuxième force politique du pays, elle s’éleva contre cet éventuel échange au nom de la Grande Albanie ethnique qui n’exista que de 1941 à 1944...

    Alors que Washington et Paris penchaient vers ce règlement territorial, Bruxelles et Merkel ainsi que les « machins » internationaux s’inquiétaient de ce précédent susceptible d’avoir de fortes répercussions en Bosnie-Herzégovine voisine. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, réclame en effet depuis longtemps le rattachement des contrées serbes bosniennes à la patrie serbe. Les diplomates occidentaux n’apprécient guère les rectifications territoriales significatives. Ainsi maintes entités étatiques africaines ne sont-elles pas viables du fait de cette règle absurde qui ignore les réalités ethniques et tribales.

    Pourtant, la République française ne rechigne jamais à annexer un espace frontalier si s’en présente l’occasion. En 1918, elle s’empara de l’Alsace-Lorraine et orchestra une incroyable épuration ethnique en expulsant massivement de nombreuses familles germanophones. En 1947, le traité de Paris contraignit l’Italie à céder Tende, la Brigue et les crêtes de Tinée et de Vésubie à l’Hexagone. Neuf ans auparavant, le gouvernement français agressa l’Allemagne en lui déclarant la guerre parce que Berlin contestait l’intangibilité des frontières au nom du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…

    La cession réciproque de territoires entre la Serbie et le Kossovo marquerait un arrêt formidable du multiculturalisme post-moderniste au profit d’une perception géopolitique plus concrète. D’une aire balkanique aux entités composites, instables et artificielles, on passerait enfin aux Balkans de communautés de peuples enracinées.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°92, diffusée sur Radio-Libertés, le 28 septembre 2018.

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    Très attendue, la sortie prochaine du nouveau livre de Georges Feltin-Tracol :

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  • Quand on est Progressistes…comme ils disent

    agora.jpgGérard  Collomb, qui brigue la marie de Lyon en 2020,  a présenté le 1er octobre sa démission…qui a été refusée par Emmanuel  Macron.  Un proche conseiller du chef de l’Etat  indiquait  à France info  que  « face aux attaques dont le ministre fait l’objet (…) le président lui a renouvelé sa confiance, et lui a demandé de rester pleinement mobilisé sur sa mission pour la sécurité des Français. » C’est raté car une nouvelle fois,  rapporte l’article de synthèse du Point, « Collomb a piétiné l’autorité présidentielle en maintenant sa démission. » Un petit sketch qui avait pour but de réaffirmer la légitimité du ministre de l’Intérieur dont le bilan est pour le moins très mauvais, mais aussi de ne pas accentuer l’impression  d’effritement d’un  exécutif très impopulaire…Entouré d’un impressionnant dispositif policier, M. Collomb  était pourtant encore vendredi dernier dans son rôle en se déplaçant  à Echirolles dans la banlieue plurielle  de Grenoble (Isère), zone urbaine en proie à une  violence qui ne cesse de croître. Signe qui ne trompe pas, le prix de l’immobilier s’est effondré ces dernières années dans la capitale de l’Isère et les biens ne se vendent plus. Outre la gestion calamiteuse du maire écolo-gauchiste Eric Piolle – qui l’année de son élection  en 2014 s’était  conduit en « provocateur à l’ordre public », en «encourageant  les manifestants » à empêcher une réunion publique  du FN – c’est bien  l’insécurité galopante qui fait fuir les potentiels propriétaires. Pour autant, malgré l’annonce d’un  renforcement de la presence policière à Echirolles, le ministre de l’Intérieur n’a pas convaincu les habitants.  Combien sont-ils nos compatriotes  lassés des promesses qui ne débouchent sur rien, faute d’une réelle volonté, du  courage  politique  pour prendre VRAIMENT le problème  à bras le corps?  

    Lundi,  Gérard  Collomb était à Marseille devant la gare Saint-Charles pour dévoiler la  plaque commémorative à la mémoire  de Laura Paumier et Mauranne Harel, deux  cousines âgées de 21 et 20 ans, égorgées  un an auparavant par un délinquant multirécidiviste, un tunisien immigré clandestin ayant fait allégeance à l‘Etat Islamique,  Ahmed Hanachi (voir ici  et ici .)  A Grenoble comme à  Marseille,  et  plus largement dans les milliers de zones de non droit, dans les territoires perdus de la République,  c’est encore et toujours le laxisme d’Etat qui est le premier  responsable  de l’ensauvagement, d’une babélisation lourde de menaces. Les petits gimmicks, les têtes éplorées, les discours convenus ne sauraient cacher cette réalité révoltante.

    Cacher son impuissance  derrière de ronflantes formules est un exercice  qu’affectionnent  les figures du Système comme M. Collomb promettant à Grenoble de « hisser (sur tout le territoire)  le drapeau de la République » et qui lançait mi-septembre  ladite « reconquête républicaine »  dans certains quartiers. « Tiens ! La République les avait donc perdus ? » avait lors réagi  Bruno Gollnisch,  « mais quand je le disais à l’Assemblée ou au Conseil Municipal de Lyon, que me répondait-il avec  ses amis ? » Or,  rappelait encore dernièrement  le député national,  «la violence n’est pas le fruit du  hasard . Il y a des responsables, et ils sont politiques!»

    Parler vrai, ne  pas manier la langue de bois ou de coton,  dire  la vérité,  regarder la réalité en face, refuser le déni du réel,  croire aux bienfaits des protections, des frontières, de la famille, défendre en un mot une souveraineté et une identité  françaises,  telles sont pourtant les tares que nos adversaires imputent  généralement  à l’opposition nationale

    Une nouvelle illustration en a été donnée lundi matin sur RTL  par  Marlène Schiappa à la tête  du Secrétariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes. La militante LGBT a repris ici  les éléments de langage de Sos racisme (un bon indicateur de son niveau…) pour  minorer le scandale de la photo de M. Macron à Saint-Martin enlaçant  un jeune braqueur torse nu  faisant  un doigt d’honneur -nous laissons à l’humoriste Patrice Eboué la responsabilité de son  explication amusante de ce goût de M Macron pour les torses nus!

     Pour Mme Schippa,  si Marine a dénoncé cette nouvelle atteinte  par M.  Macron à  la dignité attachée à la fonction  présidentielle, c’est parce qu’«Elle est leader d’un grand parti raciste d’extrême droite. Ce qui la choque, ce n’est pas que le président pose à côté d’un jeune. Ce qui la choque, c’est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs. À chaque fois que le président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s’offusque»  Parions avec Mme Schiappa  que les centaines de milliers d’électeurs Antillais  et  Guyanais qui ont hissé Marine en tête au premier tour de la présidentielle sont tout aussi offusqués que Marine…La France n’est pas réductible à boboland Marlène 

    Car  qui oblige M.  Macron a dégrader l’image de la France qu’il représente,  qu’on le veuille ou non, en posant  avec des travestis en résille  dans le salon de l’Elysée où à Saint-Martin  avec des jeunes prenant des poses de racailles de gangs? Quel est le rapport avec la couleur de peau des individus en question ? La couleur  de peau  doit-elle être une excuse à toutes les turpitudes, à moins de manifester par là une forme inconsciente de racisme à rebours? La couleur de peau  devrait-elle empêcher  par exemple  la mise en examen  d’un  héros récent  de la cause antiraciste et antiflics,   Théo Luhaka,  pour « escroquerie en bande organisée au préjudice d’un organisme chargé d’une mission de service public » dans une affaire de détournement d’aides publiques? 

    Bref, Marlène Schiappa se place dans  le sillage du socialiste et ex de l’UNEF Aurélien Taché,  élu   député du Val d’Oise  sous l’étiquette  LREM. Celui-ci    affirmait sur twitter à propos de la photo prise à Saint-Martin que  « ceux qui polémiquent ne supportent tout simplement pas que la France, à tous les niveaux, change de visage…c’est précisément la raison de mon engagement derrière lui. Merci Emmanuel Macron. » M. Taché explique donc franchement (pour satisfaire ses électeurs?) qu’il s’est rangé derrière M. Macron pour accélérer la submersion migratoire, ce qui est en effet un objectif partagé par un certain nombre de forces politiques, d’organismes, de cercles  ou de personnalités. Mais il entend aussi lutter,  au  sein de LREM, contre les progressistes...pas assez progressistes. Pour preuve son tweet assassin contre sa collègue  Agnès Thill. « Réputée pour être lmadame anti-PMA de la majorité  rapporte Le Figaro, l’élue a jugé paradoxal l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes. Nous lançons le plan (contre la) pauvreté et nous allons créer des femmes seules avec enfants. »

    « Quand on est progressiste, ce n’est pas en maintenant une discrimination légale qu’on lutte contre la pauvreté Agnès Thill mais avec une politique sociale émancipatrice (…) », lui a répliqué sèchement   Aurélien   Taché.  François Cormier-Bouligeon est à son tour entré dans la danse pour «(voler)   au secours de sa collègue» et  moucher  l’impudent. «Tu n’es peut-être pas le mieux placé cher Aurélien Taché pour faire la leçon sur le progressisme au vu de tes positions plus proches du communautarisme que de la laïcité » – «Aurélien Taché avait été critiqué en mai dernier pour avoir défendu la responsable voilée de l’UNEF (…). » Piqué au vif M.  Taché a répliqué:  «Défendre les libertés pour toutes et tous, quelle que soit l’orientation sexuelle, l’origine ou la religion, c’est cela le progressisme. En exclure les musulman(e)s… cela porte un autre nom et c’est un délit, pas une opinion. ».  Réponse  de M Cormier-Bouligeon :   «Ton accusation est grave et insultante. Elle démontre la mauvaise foi de ton positionnement qui indigne nombre de nos collègues. Assigner une partie de nos concitoyens à l’observance des pratiques les plus obscurantistes est contraire à l’idée même d’émancipation. »

    Une querelle intestine qui rappelle que LREM est  sur le plan des principes et des idées, une auberge espagnole au même titre que LR, même si Aurélien Taché est réputé très proche de M Macron, membre de sa garde rapprochée. Ce député est d’ailleurs l’auteur d’un rapport sur l’intégration préconisant notamment d’autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié. D’ores et déjà France Inter révélait hier  que le ministère du travail  « s’apprête à lancer un appel à projet. Objectif: aider 5000migrants, ayant obtenu l’asile, à s’insérer en France », avec à l’appui «un plan de 15 millions d’euros pour permettre aux réfugiés de trouver un emploi. » Voilà au moins une annonce qui fait l’unanimité chez les progressistes… comme ils disent.

    https://gollnisch.com/2018/10/02/quand-on-est-progressistes-comme-ils-disent/#respond