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  • Immigration. L’imposture Viktorovitch dévoilée

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    Jean-Yves Le Gallou dévoile les mensonges de Clément Viktorovitch sur l’immigration. Face à Charlotte d’Ornellas, dans l’émission Punchline sur CNews, Viktorovitch avait repris la journaliste de Valeurs actuelles avec des chiffres mensongers. Décryptage.

    Cette vidéo est un extrait de l’épisode 127 de l’émission I-Média, disponible en intégralité sur le site de TV Libertés.

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  • Les sympathisants de LREM : la France d’en hau

    Les sympathisants de LREM : la France d’en haut
  • Islamo-gauchisme à l’Université de Lorraine

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    Faire dialoguer les savoirs, c’est innover. Il faut croire que l’adoption de cette devise moderne par l’université de Lorraine était prémonitoire. La semaine dernière, Le Figaro nous apprenait qu’un enseignant s’est justement permis une innovation : il a tout simplement enseigné le contraire de ce qui était attendu de lui.

    Deux mois après les attentats de Charlie Hebdo, Manuel Valls – qui n’était pas encore candidat à la mairie de Barcelone – avait encouragé les diplômes universitaires portant sur l’enseignement de la laïcité. Regrettant que les imams soient formés à l’étranger, il déclarait : « Il faut des aumôniers et des imams français, francophones, qui apprennent le français, qui aiment la France et qui adhèrent à ses valeurs. »

    Le diplôme universitaire « religions, laïcité et inclusion sociale » de l’Université de Lorraine créé il y a à peine un an devait justement répondre à cet objectif. C’est quelque peu raté puisqu’un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.

    Le Figaro nous apprend ainsi que ce professeur affirmait dans son plan de cours que la prétention de cette loi à lutter contre la soumission des filles visait en fait à détourner la laïcité afin de s’en servir pour « humilie[r] les musulmans, et plus largement les ‘racisés’ ». Et il y affirme que l’islamophobie serait « une nouvelle légitimité pour le racisme et le ressentiment anti-arabe » (Qui fait ici l’amalgame entre islam et arabe ?).

    On pourrait plaider la liberté académique si encore son cours avait pour but de d’aborder de manière critique la législation. Mais son enseignement devait justement produire tout sauf un esprit critique. L’objectif affiché par Manuel Valls était bien d’enseigner la laïcité telle qu’elle est, non de la remettre en question en développant le sentiment victimaire chez les imams.

    Depuis la semaine dernière, on parle de dérive. On nous assure que cet enseignant sera remplacé. Malheureusement, je suis certaine que cela se reproduira. Le problème est plus profond qu’une simple dérive individuelle.

    La devise choisie par l’université de Lorraine en est un signe. Certes, elle n’est pas fausse, mais elle illustre bien le dévoiement actuel de l’enseignement qui vante la multidisciplinarité et qui oublie que pour pouvoir faire dialoguer les savoirs, il faut déjà les maîtriser.

    L’université ne répond désormais plus à sa vocation. Elle fait même l’inverse. Alors que l’université de Bologne, plus vieille université d’Europe et première institution à utiliser le terme latin d’universitas, avait pour prétention d’énoncer la norme – elle avait pour devise Petrus ubisque pater legum Bononia mater (Pierre est partout le père des lois, Bologne en est la mère) – les universitaires d’aujourd’hui, adeptes du courant constructiviste, se targuent de déconstruire toutes les normes.

    À commencer par la langue. La plaquette du diplôme universitaire en question est, par exemple, rédigée en langage inclusif. On apprend, par exemple, que la formation s’adresse à « tout.e citoyen.ne intéressé.e« . Bref, de quoi aider les imams étrangers à apprendre le français.

    Alors qu’à la suite de Bologne, toutes les universités auront la prétention d’être des Alma Mater (mère nourricière), l’on vente désormais les séminaires de type anglo-saxon où, à l’opposé des cours magistraux, c’est l’étudiant qui fait le cours par des exposés, des travaux de groupes, des échanges…

    Au niveau européen, on appelle processus de Bologne une initiative des gouvernements européens conduisant depuis une vingtaine d’année à harmoniser les systèmes universitaires. Une des conséquences de ce processus consiste justement dans l’abandon de la transmission de savoirs pour le développement de compétences.

    Ce processus de Bologne a vu le jour à la suite notamment de la déclaration de la Sorbonne, université elle aussi très ancienne. Dans Soumission, œuvre de fiction de Michel Houellebecq, c’est en 2022 que les islamistes prennent le contrôle de ce même lieu. En 2018, en remettant en cause la laïcité dans un cours visant justement à la promouvoir auprès d’imams, on aura déjà fait un grand pas dans l’irréel.

    Dominique Bilde

    http://www.bvoltaire.fr/islamo-gauchisme-a-luniversite-de-lorraine/

  • Censure de gauche : Vera Jourova, commissaire européen, veut réglementer l’expression des médias dans l’UE

    UE commissaire médias censure
    Věra Jourová, « Commissaire européenne à la Justice, aux Consommateurs et à l’Égalité des genres » (l’égalité des sexes, dans la novlangue de l’idéologie du genre), a expliqué le 25 septembre qu’elle souhaitait réglementer la liberté d’expression des médias dans toute l’UE en s’appuyant sur la Charte des droits fondamentaux. « Nous devons traduire cette Charte en principes de base qui sont vraiment importants, qui ne sont pas négociables », a-t-elle expliqué dans un discours prononcé à Vienne. Cette commissaire tchèque avait déjà parlé d’utiliser les fonds européens pour punir les électeurs qui voteraient mal, par exemple en privant les agriculteurs français des subventions agricoles versées par l’UE si jamais ils avaient le malheur de porter le Front national au pouvoir. Aujourd’hui, elle constate que « nous avons un vrai problème » face à la montée d’une « mauvaise version du nationalisme » promouvant parait-il l’exclusion et la haine. Or pour Jourová « les médias peuvent bâtir la culture du dialogue ou semer les divisions, diffuser la désinformation et encourager l’exclusion ». En clair, il faut de la censure.

    Discours « haineux », promotion de « l’exclusion », « mauvais nationalisme », « désinformation » : à censurer par l’UE…
    « Le débat sur le Brexit en est le meilleur exemple », a poursuivi ce commissaire européen qui a encore évoqué, pour illustrer son propos, les manifestations de Chemnitz et la campagne anti-Soros en Hongrie. Mme Jourova a cité certaines Unes « haineuses », comme celle du tabloïde britannique The Sun dénonçant les « gangsters » Macron et Tusk, qualifiés de « sales rats » après le sommet de Salzbourg la semaine dernière. Elle n’a en revanche rien trouvé à redire à toutes les Unes qui avaient assimilé à des néo-nazis les citoyens allemands manifestant à Chemnitz après l’assassinat d’un des leurs par des « migrants », puisqu’elle a au contraire semblé s’inscrire dans le même discours de haine à leur égard.
     
    Les médias jouent un rôle essentiel, a insisté Věra Jourová, « pour mettre les hommes politiques face à leurs responsabilités et définir les limites de ce qui est “inacceptable” dans la société ». Et elle a donc annoncé qu’elle défendrait « une approche européenne des médias fondée sur la qualité et une régulation intelligente, si besoin est ». Elle a aussi promis un « soutien aux émetteurs publics et aux médias indépendants [mais pas n’importe lesquels, NDLR] plus important que si on se contentait de suivre les lois du marché ».

    La Charte des droits fondamentaux une nouvelle fois instrumentalisée
    Une nouvelle fois, la Charte des droits fondamentaux jointe aux traités européens dont le Traité de Lisbonne, et qui ne devait s’appliquer que dans les domaines de compétence de l’Union européenne, est instrumentalisée par la Commission européenne pour se mêler de tout et n’importe quoi. Et une fois de plus, la gauche, en l’occurrence en la personne du commissaire européen Věra Jourová, utilise les institutions européennes pour tenter de renforcer la dictature de la pensée unique hors de tout contrôle démocratique. Car que sont donc le « mauvais nationalisme », la promotion de « la haine » et de « l’exclusion » et « la popularité grandissante des partis extrêmes » que la commissaire tchèque se propose de combattre dans toute l’Europe ? Comme le fait remarquer le site conservateur américain The New American à propos de ce discours de Jourová, quand « la police de la pensée de l’UE veut extirper la “haine” des médias », elle veut interdire la critique de l’immigration (« promotion de l’exclusion ») et la défense d’un sentiment national qui passerait avant le sentiment d’appartenance à l’Europe (« mauvais nationalisme »). Alors que les médias européens sont déjà largement dominés par les idées de Jourová et que les réseaux sociaux accentuent la censure contre les opinions conservatrices, la Commission européenne demande à pouvoir décréter ce qui est « haineux » ou « intolérant ».

    Vera Jourova, commissaire européen, réclame la censure des médias
    Or les accusations de haine formulées par les gauchistes sont très généralement des projections de leur propre mode de pensée, explique très justement le New American : « Les gauchistes étant déconnectés de la Vérité et opérant sur le plan émotionnel, ils perçoivent presque tout par l’émotion. Et ils croient que c’est la même chose pour les autres. Il leur est donc impossible de “haïr le péché mais d’aimer le pécheur”, et ils supposent donc que les autres sont handicapés de la même manière. Si nous devions chanter sur le même air, il nous faudrait présumer que les gauchistes occidentaux cherchent à inonder leurs nations d’immigrants du Tiers-Monde inassimilables parce qu’ils haïssent leur propre culture. C’est souvent vrai, mais il y a aussi d’autres motivations liées aux notions de diversité, d’immigrationnisme, d’internationalisme et, bien sûr, la soif insatiable de pouvoir des gauchistes. Malgré ces motivations souvent haineuses, nous n’essayons pas de censurer les gauchistes. Bien entendu, la situation est un peu différente quand vous avez conscience que la seule chance que vous ayez de remporter un débat est d’y mettre fin. »

    Olivier Bault

    https://reinformation.tv/ue-commissaire-medias-censure-bault-88481-2/

  • Viktor Orban et l’Union « soviétique » européenne | Par Jean-Michel Vernochet

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    Macron, le 24 août 2017, déclare depuis la Bulgarie que la Pologne « trahit les intérêts européens » (sans préciser lesquels !), ajoutant que l’Union « s’est bâtie sur des valeurs »… Lesquelles précisément, où trouve-t-on le catalogue des ces valeurs ? Sur quoi sont-elles fondées et en quoi sont-elles légitimes ? De la même façon, la Hongrie de Viktor Orban est vouée aux gémonies et ne serait plus un État de droit pour avoir refusé de se plier aux oukases de Bruxelles.

    Les Hongrois doivent en conséquence être sanctionnés et mis au ban de l’Union pour en avoir trahit les « Valeurs » fondatrices ! La Hongrie s’est vue lâchée par le Parti populaire européen (PPE) dont elle est membre, par les Républicains français et aussi, assez curieusement, par le chancelier autrichien Sebastian Kurz appartenant pourtant à cette droite extrême si ordinairement vilipendée. Tous et bien d’autres se seraient ainsi ralliés à la mise en œuvre punitive de l’Article 7. Le Parlement européen, ce 12 septembre 2018, après avoir dénoncé la « menace systémique » que ferait peser la Hongrie sur les valeurs de l’Union soviétique européenne, il revenait aux représentants du peuple européen de réagir en lançant cette procédure, finalement adoptée par 448 contre 197 et 48 abstentions. 

    Les Polonais du parti Droit et Justice se retrouvèrent quant à eux parmi les maigres soutiens des Hongrois, Varsovie étant depuis décembre 2017 également sous le coup d’une même procédure.

    Des valeurs en question

    Question : depuis quand les valeurs des « valeurs » sont-elles des normes juridiques contraignantes, alors que, par exemple, la Déclaration universelle des Droits de l’homme est réputée – à juste titre – n’être que purement déclaratoire ? Et lorsque l’on parle de « valeurs » il est implicitement fait référence à une morale supérieure, quasi transcendante (mais laquelle ? le culte de l’homme divinisé ?), qui justifierait tout et devant laquelle tout devrait s’effacer ou plier. À commencer, dira le St Père, par les « intérêts » des nations cibles de la submersion migratoire.

    À ce stade l’information n’existe plus, elle a laissé place à une propagande éhontée, arme létale contre la pensée et l’intégrité mentale de ceux qu’elle vise. Ainsi l’insupportable matraquage quotidien relatif aux pauvres migrants (on n’ose plus parler de réfugiés, la ficelle malgré sa grosseur a fini par s’user) comme si envahir un pays le portable à la main était un « droit » aussi fondamental que celui d’avorter dans la joie !

    Comme si ces valeurs (équivoques et non définies) étaient des principes irréfragables, et en quoi la disparition de frontières serait-elle une valeur fondatrice de l’Union européenne formalisée dans ou par quel traité ? N’aurions-nous pas été prévenus ? Avons-nous mal lu les indigestes accords de Maastricht et de Lisbonne ? Au demeurant nos gentils migrants (ou envahisseurs, c’est selon) rescapés des flots amers, sont recueillis loin des côtes par des navires spécialement affrétés pour cette mission par des ONG. Associations sergents recruteurs d’un nouveau genre, qui vont jusque dans les villages africains pour y solliciter des candidatures à l’exil doré dans la douce Europe… Avec un risque de naufrage moindre puisque les Aquarius et consorts veillent au grain et croisent en mer sur des routes maritimes bien balisées par les passeurs. Ces organisations dites non gouvernementales sont, à y regarder d’un peu plus près, financées sur fonds publics nationaux et européens… De la pure philanthropie façon Georges Soros, exécutant de haut vol des desseins globalistes de la Maison à l’écu rouge, grand promoteur de révolutions colorés et fervent adepte du regime change… Ou encore, brillant émule de Jacob Schiff, américain issu de germain, autre immense « philanthrope »… bienfaiteur de l’humanité, financeur du Japon dans la guerre de 1904 contre l’empire russe, de Trotsky et de ses sbires new-yorkais protagonistes de la Révolution d’Octobre 1917 !

    Conspiration et paranoïa

    Émettons l’hypothèse aussi conspirationniste que paranoïaque – honni soit qui mal y pense - que Macron n’ait été choisi, nommé et coopté (mais non pas élu au sens primitif) que pour devenir le Merkel français afin d’accomplir au pas de charge le Plan de mutation sociétale, (l’adaptation de l’Hexagonie aux normes du mondialisme politique) et dans ce but, accélérer le changement de population. Un Grand remplacement nécessaire pour casser la matrice ethno-historique, ethno-confessionnelle et culturelle, gréco-latine et chrétienne ayant engendré la civilisation occidentale.

    Cette phase IV du grand projet mondialiste consiste à détruire les nations et en finir avec l’État nation… « le verrou qu’il convient de faire sauter » ainsi que le confessait Edmond de Rothschild dans le numéro 775 du 18 juillet 1970 de« L’Entreprise », la future revue l’Expansion. De la sorte que, dans une remarquable continuité d’esprit et d’action, M. Macron a pour sa part été nommé - ce n’est pas une supposition mais une affirmation – avec l’objectif prioritaire de réaliser en France ce qu’a si bien accompli frau Merkel en Allemagne… 8 millions d’immigrés depuis 2011 ayant franchi les frontières de l’Allemagne réunifiée et pas seulement 1 million en 2015 comme le susurrent les médias. Des masses humaines qui inéluctablement vont essaimer à travers le sous-continent.

    Éléments de preuve

    M. Macron devient le 26 août 2014, ministre de l’Économie dans le gouvernement Valls II. Deux ans plus tard, le 30 août 2016, il démissionne de ce poste pour se consacrer à son mouvement politique En marche qu’il a créé à Amiens le 6 avril précédent. Le 8 mars 2016 le Journal officiel publie une loi - N°2016-274 - dont la caractéristique est d’être fortement incitative à l’immigration sauvage… Que la presse persistait encore à cette date à présenter - contre toute vraisemblance - comme exclusivement composée de victimes fuyant les désastres de la guerre… en particulier des Syriens tentant d’échapper à la barbarie d’Assad le boucher.

    Une dénomination qui a fait long feu : on parle maintenant à tout va de « migrants » parce que le mensonges à ce sujet doivent encore être badigeonnés d’une pellicule de recevabilité. Au reste, en tant que détenteur du portefeuille de l’Économie, M. Macron ne pouvait ignorer l’existence et la teneur d’un texte dont la rédaction (soumise à une omerta sans faille, le Front national ne faisant pas exception) avait coïncidé avec son arrivée à Bercy… Lors du vote final de cette loi à l’Assemblée nationale, l’hémicycle était quasiment vide : un seul député de l’opposition [un Républicain] pour une dizaine de socialistes, tandis que les deux députés d’extrême droite brillaient par leur absence… Ceci en dit long sur la nature du système !

    Insistons sur l’idée que le fantoche Macron n’a été propulsé au sommet que pour exécuter en France l’un des volets d’un authentique ethnocide visant à terme l’ensemble du monde blanc… les May, les Merkel, le Canadien Justin Trudeau, nouvel ami du sieur Macron, accomplissant chacun leur part du travail dans leurs pays respectifs. Comprenons que les stratèges de la gouvernance mondiale en gestation, sont les Machiavéliens que décrivait en 1949 James Burnham, ancien compagnon de route de Léon Trotsky (et néoconservateur avant la lettre). Des gens qui sont des prévisionnistes hors pair et des adeptes de la planification tout en s’inspirant des travaux de Gustave Le Bon sur la psychologie sociale appliquée à la manipulation des masses.

    Parmi les pionniers dans le développement moderne de cet art de la guerre, mentionnons le soviéto-français Serge Tchakhotine avec « Le Viol de foules par la propagande » 1939, et le neveu de Freud, Edward Bernays « Propaganda » 1928. Le monde étant petit, le commissaire européen Pierre Moscovici est né d’un père psychanalyste dont la carrière doit beaucoup à l’exploitation de l’œuvre de Gustave Le Bon. Ces gens ayant sur l’indigénat européen N coups d’avance, nous sommes perpétuellement condamnés à nous échiner - en vain - à démêler les fils du réel… Reste que nous flottons dans un éther ne pouvant jamais atteindre le plancher des vaches - même s’il nous saute au visage et aux yeux - parce que nos regards sont en permanence brouillés par des considérations sidérantes et incapacitantes : le terrorisme intellectuel des droits de l’homme, le lourd héritage d’une charité chrétienne à présent largement dévoyée et même – last but not least - la Shoah désormais mobilisée et mise à contribution à la suite du Vatican pour mieux nous culpabiliser et nous tétaniser en faveur de l’accueil ad libitum !

    Nous broyons le vide pour essayer de comprendre les événements qui nous affectent, tout en refusant de tirer les conclusions des faits qui pourtant devraient nous sauter aux yeux et s’imposer à tous.

    Est-il un instant envisageable de mettre en équation « intérêts » vitaux et « valeurs » ?

    À entendre saint Macron nous assener que : La Pologne « décide d’aller à l’encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets… [or] l’Europe s’est construite pour créer de la convergence… elle s’est construite sur des libertés publiques qu’enfreint aujourd’hui Varsovie [lire en ce mois de septembre 2018, Budapest]… Ce détachement à l’égard d’une Europe qui n’ose plus avoir de l’ambition donne place à ceux qui foulent au pied les valeurs européennes ». Nous devrons comprendre qu’effectivement la Pologne et la Hongrie défendent des intérêts nationaux qui ne coïncident pas ou plus avec ceux de l’Europe soviétisée… Cette Europe si pétrie de Valeurs libérales !

    Parce que c’est bien là que le bât blesse : M. Orban serait un démocrate illibéral ! Valeurs ne n’oublions pas qui supposent a priori la disparition des nations et des peuples qui la composent. Qui ne voit que la bureaucratie bruxelloise (vampirique et parasitaire), ne représente qu’elle-même et les intérêts messianiques ou les appétits de puissance d’une poignée d’oligarques membres de l’État profond internationaliste, mais surtout en aucun cas les intérêts primordiaux de sécurité et de prospérité des pays réels vivant sur le Vieux continent… Lesquels se trouvent de plus en plus étroitement soumis au terrorisme de la « correction politique », à la pression lancinante des administrations fiscales et à la dictature hygiéniste.

    Du mépris à tous les étages

    De ce point de vue, les intérêts concrets, matériels et moraux des peuples européens ne comptent pas ou n’existent pas face aux intérêts éthiquement supérieurs guidant les bureaucraties européistes… celles-ci n’existant que pour réaliser la République universelle et accomplir un fumeux idéal de paix dans, et par, la fusion magmatique des nations et subséquemment, afin de parvenir à l’assomption eschatologique de l’humanité souffrante. Des chimères qui se nourrissent du sang et de l’âme des hommes. Ce pourquoi, gageons que bientôt le système en perte de vitesse, après avoir livré sans répit une guerre médiatique et juridique de tous les instants à la dissidence intellectuelle et politique (en condamnant depuis des lustres à la mort sociale - quand ils ne sont pas durement frappés par des lois scélérates - les déviants et autres esprits rétifs à la zombification de masse), devrait très vite durcir sa répression contre les récalcitrants à l’invasion et au suicide collectif…

    Soit tous ceux qui s’opposent aux dérives totalitaires du politburo bruxellois (le directoire non élu de l’Union dite européenne, l’Eurasia orwellienne) et ses vingt-huit Commissaires politiques. Le discours du sieur Macron prononcé à la Villette le 1er mai 2017 était sur ce point assez explicite : « Ils sont là, ce sont eux nos vrais ennemis, puissants, organisés, habiles, déterminés. Vous les croisez dans les rues, dans les campagnes, sur la Toile, bien souvent masqués, aussi haineux que lâches. Vous les connaissez. Le parti des agents du désastre, les instruments du pire : l’extrême droite française ». La France profonde en quelque sorte.

    Et à Paris, le 29 juin 2017, lors de l’inauguration de la Station F, laquelle rassemblait un millier de start-up, il vise cette fois la France d’en-bas : « Une gare, c’est un lieu où on croise des gens qui réussissent et des gens qui ne sont rien ». Un aveu d’indicible mépris pour la plèbe, dédain qui ne doit rien à la maladresse. D’abord parce que ces petites phrases assassines à répétition sont très vraisemblablement des éléments de communication concoctés par les spin doctors (communicants de choc) élyséens et délivrés avec une délectation sensible. De la même façon la plupart des bourdes de son prédécesseur n’en étaient pas, mais formaient de sournoises réjections soigneusement calculées et pesées.

    Saluons au final la grande cohérence et la réelle continuité du discours macronien qui se réduit à quelques éléments de langage, toujours les mêmes et invariablement insultants que le roitelet Macron ressasse inlassablement, de préférence depuis l’étranger, son lieu de prédilection pour cracher dans la soupe hexagonale … On se souviendra de sa dénonciation des « crimes contre l’humanité » liés à la colonisation dénoncés à Alger le 14 février 2017 (ce qui le conduit aujourd’hui – en toute logique – à réhabiliter un militant communiste traître à sa patrie parce qu’affidés aux égorgeurs du FLN).

    Résistance à la zombification

    De la même façon, le 8 septembre 2017, dans les jardins de l’École française d’Athènes, il réaffirmait sa volonté de réforme mais en des termes singulièrement déplaisants : « Je serai d’une détermination absolue, je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes ». À qui s’adressait-il donc ? Aux « gaulois » moqués récemment à Copenhague, au vulgum pecus, aux sans-dents chers au gugusse Hollande, au pékin de base, aux « gens de rien » ? Tous des fainéants, des cyniques, des populistes en puissance… Ajoutant : « Je l’ai souvent dit et je le disais il y a quelques semaines en Roumanie. D’aucuns faisaient semblant de découvrir cette forme de provocation que j’assume. La France n’est pas un pays qui se réforme. Il ne se réforme pas… parce qu’on se cabre, on résiste, on contourne. Nous sommes ainsi faits ». Le « nous » est évidemment de trop. Une clause de style qui ne dissimule pas le vrai sens de la phrase et la destination du trait venimeux.

    M. Macron n’y va certes pas par quatre chemins quand il exprime sa rancœur et son impatience à l’égard des Français peu empressés à le suivre sur les sentiers de perdition où il les engage à le suivre. Au fond Macron est frustré dans son désir de satisfaire ses commanditaires en réformant le pays contre vents et marées. Notons que cela fait cinquante ans que l’on réforme à tour de bras avec le succès que l’on voit ! De ce point de vue, M. Macron n’a fait qu’emboîter le pas aux Pompidou (lui aussi directement issu de l’écurie Rothschild), Giscard, Mitterrand, Chirac et Sarkozy lorsque ce dernier, le 17 décembre 2008 à l’École polytechnique de Palaiseau, tançait vertement ceux qui se refusaient au métissage décrété obligatoire. Mixité sociale et raciale qu’il entendait imposer, si besoin par la force de la loi. Bref, lieux analogues, même ton tranchant dans la forme et sur le fond même thématique : « Fermez-la, le progrès est en marche ; j’incarne ce progrès et sa vérité ». Grande transformation dont M. Macron serait le grand prêtre et Attali son prophète… Sarkozy après Palaiseau, joignant le geste à la parole, durant les cinq années de sa présidence, aura ouvert les portes de l’Hexagone à plus d’un million d’immigrés et autant d’illégaux. Comprenons que cette politique génocidaire pour nous, représente en fait pour nos cryptarchies avides de planétarisation, une urgence primant à l’absolu sur toutes autres considérations, notamment budgétaires !

    Enfin, faut-il croire M. Macron lorsqu’il affirme que, les Français étant fermés aux réformes, il se propose d’engager : « Une transformation profonde de la France… sans brutalité, avec calme, avec explication, avec sens… La capacité de la France à se transformer, c’est sa capacité démontrée à transformer l’Europe dans le même temps » ? Car si les Orban et les populismes actifs se multiplient en Europe, M. Macron risque fort d’être de plus en plus profondément déçu… Pour ce qui nous concerne, nous resterons évidemment réservés quant à l’absence de brutalité dans la conduite des Affaires de M. Macron comme en témoigne le choix de ses intimes prompts au coup de poing… M. Benalla par exemple !

    Un dernier mot pour rappeler que si Macron est un imposteur, l’édifice démocratique est également en soi une imposture en soi, de plus en plus visible, de plus en plus criante. À ce titre Macron aura eu l’immense mérite de déchirer le voile de Maya et de jeter une lumière crue sur l’imposture structurelle du système.

    - Jean-Michel Vernochet  16 septembre 2018
    Geopolintel.

    https://www.leretourauxsources.com/blog/viktor-orban-et-lunion-sovietique-europeenne-par-jean-michel-vernochet-n2586

  • I-Média n°217 : Y-a-t-il un racisme anti-blanc ?

    Nick Conrad, Y’a-t-il un racisme anti blanc ?

    « Je rentre dans les crèches, je tue les bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents », ce sont les paroles du rappeur Nick Conrad dans sa chanson PLB. Les journalistes tombent des nues, le racisme anti blanc existe.

    Le Zapping d’I-Média

    Frédéric Taddeï est arrivé sur RT France jeudi 27 pour son émission quotidienne Interdit d’interdire. Sur France Inter, au micro de Sonia Deviller, l’ancien journaliste de France télévision souligne l’absence de débat à la télévision française. Pour exercer ce qu’il a fait pendant dix ans, Frédéric Taddeï est donc obligé de s’exiler sur une chaine Russe.

    Mariage homo, PMA homo, En marche, en avant !

    Le conseil national d’éthique rend son rapport et se déclare favorable à la PMA pour les couples homosexuels. Enfin ça bouge ! se réjouie libération. Une fois de plus, le débat est truqué, biaisé par les accusations d’homophobie.

    Les tweets de la semaine

    La parodie dans le viseur de plusieurs députés LREM. Le « Journal de L’Élysée », un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés. Ils réclament la suppression du compte twitter et accusent le compte de propager des fakenews. Mais dans cette histoire, il est à se demander si les députés ne parodient pas la démocratie.

    Ornellas, Bastié, Consigny, Moix, la semaine de Clash et bad buzz,

    Une semaine de clash et de bad buzz dans les médias, des pseudo « dérapages » qui fixent bien la ligne rouge à respecter pour exister dans la sphère médiatique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/28/25986/i-media-n217-y-a-t-racisme-anti-blanc

  • Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

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    Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien-pensante, s’offusquant, dans un premier temps, de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui, le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

    Eh bien, non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

    Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

    Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

    Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser ses propres citoyens.

    Floris de Bonneville

    http://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-refuse-de-pleurer-sur-le-sort-des-migrants-de-laquarius-et-elle-a-raison/

  • Chronique de la France Orange mécanique

    Chronique de la France Orange mécanique

    Hyperviolence :

    Un jeune homme de 17 ans a été violemment passé à tabac par un groupe muni de barres de fer. Il souffre d’un traumatisme crânien. La scène a été filmée par des riverains. La scène se déroule mercredi soir dans le quartier de la Muette à Garges-lès-Gonesse, dans le Val-d’Oise.

    Le jeune homme souffre d’un traumatisme crânien, son pronostic vital a été réservé pendant 48 heures. Hospitalisé dans un établissement parisien, il se trouve actuellement dans un état grave, et ne peut être entendu par les policiers. 30 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été délivrés.

    En marge de ce lynchage, des coups de feu ont été entendus. Deux jeunes hommes, âgés de 16 et 18 ans, se sont présentés dans la soirée de mercredi. Ils ont été blessés par des plombs tirés à l’aide d’un fusil de chasse, leur pronostic vital n’est pas engagé. Dans le même temps, l’enquête confiée à la sûreté départementale du Val-d’Oise a rapidement permis l’interpellation de trois individus mercredi soir vers 20 heures, à quelques minutes des lieux de l’agression. Placés en garde à vue, les suspects, âgés de 14, 16 et 20 ans, nient les faits. Une information judiciaire a été ouverte pour “tentative d’homicide”, “violences volontaires aggravées” et “participation à un attroupement armé”.

    Le motif de ce déferlement de violence reste inconnu. D’après une source policière, il pourrait s’agir d’une expédition punitive sans raison particulière d’une bande issus du quartier de la commune de Paris. Le quartier de la Muette, où se sont déroulés les faits, est régulièrement le théâtre de tensions ces dernières semaines.

    https://www.lesalonbeige.fr/chronique-de-la-france-orange-mecanique/