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lobby - Page 974

  • Mais à qui profite donc l'antisémitisme imputé à Charles Maurras ?

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    On aurait bien du mal à dénombrer tout ce qui s'est dit et écrit sur l'antisémitisme de Charles Maurras en l’année de son cent-cinquantenaire. Et de façon trop systématique pour être pensé et véridique.

    Il a été beaucoup moins question de sa philosophie, sa politique, son esthétique, son œuvre littéraire, sa poésie. Et de cette soif d'enracinement qui anime les révoltes d'aujourd'hui et fut à l'origine de son entrée en politique. Au fond, malveillance, ignorance et paresse d'esprit se sont conjuguées pour qu'il en soit ainsi. A la surface des opinions l'antisémitisme a prévalu. 

    On ne sache pas que jamais Maurras ni aucun de ses disciples, ni aucun des membres de l'Action française, hier et aujourd’hui, aient eu quelque jour l'intention de faire le moindre mal physique ou autre à un quelconque Juif, justement parce qu'il eût été juif. 

    Ce que l'on nomme l'antisémitisme de Maurras, que l'on met bien à tort et tout à fait abusivement, au centre de sa vie, de sa pensée et de sa politique, s'apparente en fait à son anti-protestantisme, à son anti-romantisme, à son anti-germanisme, etc. Cet antisémitisme philosophique et politique est parfaitement étranger et parfaitement innocent du sort tragique fait aux Juifs dans les années 30 et 40, par de tout autres acteurs de l'Histoire. Que Maurras et l'Action française avaient du reste toujours combattus.  

    Pour quelles raisons profondes Maurras s'opposait-il au romantisme, ou plutôt à un certain romantisme, au germanisme, au protestantisme, au sémitisme, liés, selon lui, par un fond commun contraire au génie national ? C'est là une suite de grands sujets qui mériteraient des études sérieusement menées et qui ne peuvent l'être qu'à partir d'un ensemble de solides connaissances philosophiques, littéraires et historiques et dans une absolue liberté d'esprit. Notre propos ici est plus modeste. Il n'est que de pointer une injustice et d'en dire les ressorts.  

    De fait, les événements dramatiques des années 30 et 40 ont investi le vieil « antisémitisme » fin XIXe - début XXe siècle d'une résonance nouvelle et d'un sens inédit éminemment tragiques qui, sans-doute, rendent le terme inemployable aujourd'hui, sans pour autant le disqualifier en soi-même. Car est-il ou non permis de critiquer une tradition politique, littéraire, philosophique ou religieuse, que l'on estime contraire ou simplement étrangère à la tradition à laquelle soi-même on appartient et que l'on considère menacée ? Ceux - fût-ce la communauté juive - qui prétendraient imposer un tel interdit, une telle restriction â la liberté de discussion et de pensée, feraient preuve, selon l'expression employée naguère par le président Mitterrand en de  pareilles circonstances, d'une prétention excessive. Et ceux qui s'y soumettraient abdiqueraient tout simplement leur  liberté de penser, discuter, controverser. 

    Antisémite autour des années 1900, au sens que le mot avait alors, Maurras ne fut jamais privé de solides amitiés juives, ni de la liberté de discussion, de controverse ou de polémique, ni des plus cordiales relations, dans le monde et dans la vie intellectuelle française, avec les Juifs les plus illustres de son temps. Proust, Kessel, Halévy*, par exemple. Ils ne prétendaient pas alors à cette sorte de sacralisation ou de sanctuarisation de leurs personnes et de leur cause qu'ils considèrent leur être due aujourd'hui et qui de facto leur est en quelque sorte reconnue.  C'était avant les drames des années 30 et 40 et bien avant le nouvel antisémitisme actuel, agressif et violent, qui ne se loge plus guère que dans les milieux islamistes et d'ultragauche. Maurras pratiquait la polémique en termes qui furent parfois violents, selon le style du temps. Aujourd'hui, on agresse, on torture et on tue. 

    Alors pourquoi cette réduction pavlovienne de Maurras à son antisémitisme, abusivement confondu avec celui qui prévalut au cœur des années noires ? Alors que sa pensée couvre tant d'autres sujets et domaines essentiels ? Et que la question juive n'y est pas centrale ? Peut-être tout simplement comme utile et commode bouc-émissaire, comme l'antisémite expiatoire à qui l'on fait endosser, porter le chapeau d'un antisémitisme qui fut en réalité celui de toute une époque, toute une société et d'une multitude de personnalités de droite, de gauche ou d'extrême-gauche dont il serait aisé mais gênant pour les intéressés ou leurs successeurs de dresser la liste innombrable. Maurras pour occulter leurs écrits et leurs paroles ? Conjurer leurs hontes et plus encore leur crainte qu'un certain passé collectif, le leur, ne remonte à la surface de la mémoire publique ? Maurras seul responsable, seul désigné pour endosser, prendre sur lui, et occulter cette réalité ? Chargé de tous les péchés d'Israël pour en dédouaner tant et tant d'autres ?  

    Ce n'est pas là qu'une hypothèse. C'est le fait. Ne soyons pas dupes. Et sachons que nous n'avons aucune raison de rougir des maîtres que nous nous sommes choisis ni de plier leur héritage aux impératifs catégoriques de la doxa. Si ces lignes ont une raison d’être, dans le contexte actuel si différent de celui évoqué ici,  c’est pour cette conclusion.   

    * Le cas Daniel Halévy est exemplaire.

    2515189878.jpgHéritier d'une lignée de grands intellectuels français juifs - son père, Ludovic Halévy avait été académicien français, son frère ainé Élie fut un philosophe célèbre en son temps - Daniel Halèvy avait pour Maurras une amitié et une admiration qui ne se démentirent jamais. Dans Un siècle une vie, Jean Guitton en a dit ceci : « Il avait un culte pour Charles Maurras, qui était pour lui le type de l'athlète portant le poids d'un univers en décadence. ». Halévy qui est l'auteur d'ouvrages majeurs (La fin des notables, Essai sur l'accélération de l'Histoire, etc.) mourut en 1962, dix ans après Maurras, dans des dispositions d'esprit et de cœur inchangées à son endroit. Ajoutons au titre biographique que la mère de Daniel Halévy était une Breguet (les horlogers et avionneurs) et que ni son maurrassisme profond ni sa fidélité à la personne de Pétain ne l'écartèrent des élites dominantes de son temps. Il fut le beau-père de Louis Joxe, résistant et ministre du général De Gaulle, et le grand-père de Pierre Joxe, le président du Conseil Constitutionnel.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (111 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

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  • Le discours de fin d’année d’Emmanuel Macron ne mérite pas analyse mais psychanalyse

    Le discours de fin d’année d’Emmanuel Macron ne mérite pas analyse mais psychanalyse

    Selon Bernard Antony, qui a écouté les voeux du président (ce que je n’ai pas eu le courage de faire) :

    Discours de règlement de compte de faux aristocrate avec ces manants de Français, n’écoutant pas ses leçons qu’il croit magistrales ; mais au fond règlement de compte surtout avec lui-même, petit homme orgueilleux, ulcéré de n’être pas aussi grand que De Gaulle, son modèle, mais se faisant au moins tout aussi vindicatif.

    Refoulant certainement avec une grande aigreur, sa vindicte à l’égard de tous ceux ayant contraint au départ son cher Benalla si protecteur.

    Petit Macron, méchant comme un Néron, se vautrant dans le mensonge d’amalgames pitoyablement réchauffés ; énervé, ulcéré contre les braves gens au langage populaire révélateur d’une insuffisance d’homophilie, cette grande vertu de la néo-démocratie. Comme si l’homophobie n’était pourtant pas partout réprouvée dans le monde politico-médiatique, de l’extrême gauche à l’extrême droite, de Mélenchon à Marine Le Pen.

    Et ensuite, plus misérablement encore, Macron a fulminé contre ce qui est pour lui cette si irritante populace des gilets jaunes, le coup venimeux qu’il pourrait croire décisif, d’imputation d’antisémitisme. Vieille technique spadassine en effet d’assassinat social, mais si usée qu’elle ne prend plus. Même avec la manipulation barbouzarde, par quelque officine de police parallèle, de débiles obsédés vociférateurs, haineusement anti-juifs, groupusculaires imbéciles rêvés, toujours bons à utiliser pour, faute de mieux, les opérations d’intox et les infox d’un régime qui n’est pas celui du bien commun, pas celui de la chose publique, pas celui d’une authentique res publica, cette république que nous aimerions. Il serait intéressant de savoir l’intitulé et le montant des lignes budgétaires affectées à l’instrumentalisation des groupes antisémites et racistes… Mais peut-être cela est-il désormais transféré au niveau eurocratique !

    Car, pour ce qui est de son Europe, cette Europe dont je dénonçais jadis à Strasbourg que ses idéologues la voulaient « sans frontière, à l’immigration sans limite, à la concurrence sans frein », Macron persiste et signe. Et lui qui, en quelque occasion prétendait faussement s’être inspiré de notre chère Simone Weil (la philosophe) défendant les bienfaits de l’enracinement, n’a-t-il pas de cesse d’œuvrer pour le grand déracinement universel ? Triste trahison en vérité du bien commun européen.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-discours-de-fin-dannee-demmanuel-macron-ne-merite-pas-analyse-mais-psychanalyse/

  • Hidalgo en embuscade. N'est-ce qu'un cauchemar ?

    6a00d8341c715453ef022ad3cb73c4200b-320wi.jpgSonge dit mensonge, à ce qu'il paraît. Au lecteur d'en juger.

    On ne devrait jamais céder à la tentation. La pile s'étalait mollement dans le bac du kiosquier. Il suffisait de le saisir et d'en verser le prix, certes de plus en plus élevé, mais encore accessible. Et hop ! un exemplaire tout neuf du quotidien Le Monde a fait de nouveau irruption hier soir à la maison.

    Et le cauchemar a commencé.

    Le journal nous apprend en effet que la maire de Paris a entrepris "de se réconcilier avec de nombreux responsables et réactive ses réseaux pour préparer le scrutin de 2020"[1]. Parmi les contacts figurent bon nombre d'insupportables faux économistes et marxistes de salons, tous les Thomas Porcher, tous les Raphaël Glucksmann.

    On disait autrefois du parlement de Westminster qu'il pouvait tout décider sauf de transformer un homme en femme. Et comme on n'arrête pas le progrès nous savons aujourd'hui cette restriction périmée. En démocratie par conséquent tout peut se produire, sans se soucier du vraisemblable.

    Réélue en 2020 à la tête de la plus grosse municipalité de l'Hexagone, la mégère devenait la fédératrice des gauches. Agissant dès lors en vue de l'élection présidentielle de 2022, pas besoin de se demander comment elle récupérerait les délires revendicatifs légitimés dans ses récents discours par le chef de l'État lui-même.

    Jusqu'à ces derniers temps une réélection d'Anne Hidalgo, la Catastrophique, semblait inimaginable. Or, son retour en grâce est devenu possible.

    Car cette reine de la division unifie méthodiquement son camp.

    Et en face, et il ne s'agit pas d'un rêve, le bloc de l'opposition municipale se fissure, comme trop souvent à droite. Les petits arrivistes se bousculent au portillon pour obtenir le blanc-seing, le soutien peut-être même l'adoubement du Maître de l'Hexagone et des Horloges.

    Et, donc, pour la troisième fois en 20 ans, après la pauvre Panafieu et l'insupportable Kosciusko-Morizet, on décide à l'Élysée.

    Nos grands habiles misaient depuis des mois sur un scénario repérable à des kilomètres. La mairesse, comme on appelait naguère les occupantes féminines d'un hôtel de ville, allait nécessairement déguerpir. Honteuse, ridicule, démonétisée, elle partirait bien gentiment. L'opposant désigné pour la remplacer ne pouvait que gagner.

    En toute justice, d'ailleurs, les dossiers lamentables de la gestion Hidalgo ne mériteraient qu'une seule conclusion : dehors les incapables, dehors les démagogues, dehors les irresponsables. Faut-il rappeler ici toutes les gifles accumulées… entre les Velib, les Autolib … et cette voie sur berges, certes charmante livrée à la promenade piétonnière, mais fermée sans aucune étude sérieuse d'impact, ce qui ne fit que déplacer la pollution et multiplier les encombrements… sans parler la saleté grandissante de nos rues… des campements illégaux… de la mendicité envahissante des faux réfugiés…

    Tout cela n'a cependant pas grand-chose à voir avec les joutes électorales réelles. Dans un débat dégradé par l'omniprésence de la communication, personne ne prendra au sérieux les vrais chiffres, personne ne se préoccupera des bilans financiers désastreux.

    L'exaspération des automobilistes, dites-vous ? mais elle ne concerne jamais que 37 % des ménages susceptibles de voter à Paris. Mauvais clivage par conséquent : les artisans, les chauffeurs de taxi, les commerçants, tous ceux que la préférence pour la trottinette exaspère, votent dans les communes de la petite couronne.

    À gauche, Hidalgo avait joué son rôle et semé sa pagaille au gré de plusieurs années de Commedia dell'Arte, de cancans, de dénigrements. Elle s'était opposée si violemment à son vieil ami Monsieur Patate alias François Hollande, que celui-ci avait pu déclarer : "Je suis sidéré par sa violence et sa bêtise"[2]La voici réconciliée avec ce personnage inconsistant mais dont la popularité se regonfle. La voilà qui fait même des risettes à Ségolène Royal. Au sein du sérail socialiste, elle fait figure d'unificatrice. Sa politique en faveur de la bicyclette lui vaut les soutiens les moins avouables. Elle rallie les bobos et les cocos. L’État surendetté ne viendra sûrement pas lui demander véritablement des comptes de sa gestion, ceux d'une passoire financière.[3]

    Monstrueusement maladroite dans son action quotidienne elle nous rappelle la vieille remarque d'Anatole France : "la république ne sait pas gouverner mais elle sait se défendre".

    Dites-moi qu'il ne s'agit que d'un cauchemar. Dites-moi qu'il fait se réveiller, et réveiller le pays.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. article "Avant la bataille de Paris, Anne Hidalgo cherche la paix des braves"
    [2] cf. Le Canard enchaîné du 18 janvier 2017, en réponse à un entretien d'Anne Hidalgo publié par Le Monde le 12 janvier.
    [3] cf. article 15 de la Déclaration des Droits de l'Homme et des Citoyens de 1789 : "La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration."

    https://www.insolent.fr/

  • Migrants-terroristes : « Pas d’amalgame » ? Allez le dire aux Algériens !

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    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère 

    C’est un classique de la propagande médiatique pour empêcher toute réaction identitaire face au terrorisme et au radicalisme islamique : « Pas d’amalgame ». Ce beau discours moralisateur n’a apparemment franchi la Méditerranée. L’Algérie, grande donneuse de leçons aux ex-colonisateurs et terre privilégiée de repentance pour le président Macron, n’hésite pas, elle, à lier immigration et terrorisme.

    Hacène Kacimi, directeur en charge de la Migration au ministère algérien de l’Intérieur, a annoncé que son pays ne souhaitait plus accueillir de migrants originaires de certains pays arabes, afin de se prémunir contre la menace terroriste. Eh oui, les Arabes se méfient des Arabes quand il s’agit du terrorisme islamique.

    Dans un entretien accordé au site d’information Tout Sur l’Algérie (TSA) publié le 2 janvier, M. Kacimi précise donc : « Quand certains migrants commencent à constituer un danger pour la stabilité du pays, l’Algérie doit bouger. L’Algérie fait face aujourd’hui à l’arrivée de migrants de Syrie, du Yémen et de Palestine, empruntant des parcours assurés par des groupes armés. »

    Les migrants arabo-musulmans passent par plusieurs pays comme la Turquie, l’Egypte, le Soudan, la Mauritanie, le Mali et le Niger. L’Algérie a déjà fermé sa frontière du sud vers le Mali et le Niger. Pour les Algériens, les migrants sont acheminés par des passeurs qui sont en fait souvent des groupes armés. Et le directeur de la migration, ou plutôt de la contre-migration, d’affirmer qu’en fait, les « réfugiés » sont des terroristes s’infiltrant  sous couverture humanitaire. Le pays voit à terme sa sécurité et stabilité menacées et doit sévir. On ne peut être plus clair.

    On se souvient du déchaînement médiatique, quand le président Trump a interdit l’entrée des USA à des ressortissants de pays à haut risque terroriste lié à l’islam. La, alors que ce sont des musulmans qui refusent de recevoir d’autres musulmans membres de l’Oumma, aucune indignation bien sûr.

    Le pays du président Bouteflika a déjà refoulé des groupes de Syriens puis les a  abandonnés dans le désert. « Ce refoulement vers la frontière aurait été effectué par bus, avec l’implication des éléments du Croissant rouge algérien. Le groupe qui comprend aussi des Palestiniens et des Yéménites, et dans lequel figurent des femmes et des enfants, notamment une femme enceinte à son neuvième mois, était en rétention dans le centre de Tamanrasset depuis plus de deux mois », accuse le communiqué diffusé sur ce sujet par la Ligue algérienne des droits de l’homme très critiquée par le pouvoir qui le considéré comme une sorte d’idiot utile… pour ne pas dire de porteur de valises !

    On comprend bien que la stabilité du pays est une obsession pour ceux qui tiennent véritablement l’Algérie derrière un président diminué sinon agonisant. L’avenir de l’Algérie est une bombe à retardement dont personne ne parle vraiment. Car si l’immigration inquiète à juste titre les Algériens, la perspective d’une future immigration massive algérienne devrait à bon doit préoccuper nos dirigeants.  Après tout, ce sont eux qui nous montrent la voie.

    Pierre Boisguilbert 04/01/2019

    https://www.polemia.com/migrants-terroristes-amalgame-algeriens/

  • I-Média n°231 – Les Gilets Jaunes ripostent contre les médias !

    02:10 Les Gilets Jaunes ripostent contre les médias !

    Face au parti-pris médiatique et à l’absence de pluralité d’opinion, les Gilets Jaunes ont décidé de passer à l’offensive contre les médias.

    19:00 Zapping

    Alors que l’immigration massive – illustrée par ces Africains sortant d’un matelas – continue à battre son plein, Aurélien Taché, député LREM proche de Macron, explique que les élections européennes seront un référendum à ce sujet.
    Pendant ce temps, Eric Drouet – l’une des figures des Gilets Jaunes – a été arrêtée à Paris.

    28:35 Les banlieues en flamme, les médias voient flou

    Comme chaque année à la Saint-Sylvestre, des centaines de véhicules sont incendiés. Un phénomène largement minorée par des médias qui ont peur de stigmatiser la population immigrée.

    32:40 Les Tweets

    Deux bonnes nouvelles notamment. En Italie, les aides à la presse seront progressivement supprimées ! En France, le courageux Marin a été décoré de la Légion d’Honneur.

    38:20 Des vœux présidentiels, dévoués journalistes

    Si une large majorité de Français n’a pas été satisfaite par les vœux d’Emmanuel Macron, ce dernier peut compter sur le soutien de plusieurs journalistes.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n231-les-gilets-jaunes-ripostent-contre-les-medias

  • Invraisemblable : LE TRAIN BLEU PORTE PLAINTE CONTRE DES SALARIÉS POUR CRIME DE « QUENELLE »

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    Pas de prescription pour les "crimes de quenelle"...

    Source Paris Vox cliquez là

    LE CÉLÈBRE RESTAURANT DE LA GARE DE LYON (PARIS 12e) A ANNONCÉ QU’IL ALLAIT PORTER PLAINTE ET SANCTIONNER CERTAINS DE SES SALARIÉS SUITE À LA DIFFUSION D’UNE PHOTO LES MONTRANT EN TRAIN DE RÉALISER UNE « QUENELLE », LE GESTE HUMORISTIQUE POPULARISÉ PAR DIEUDONNÉ.

    Les mal-pensants présents sur le cliché sont au nombre d’une douzaine, tous souriants et en tenue du prestigieux restaurant.

    Dans un communiqué, la direction de l’établissement, qui appartient au géant britannique de la restauration dans les transports SSP, a déclaré avoir découvert ce cliché avec «  effarement et horreur  », rien de moins.

    Bien que la photo date visiblement de plusieurs années, l’entreprise a annoncé des sanctions «  exemplaires  » contre ceux ayant perpétrés « ce geste en forme de salut nazi inversé, devenu un signe de ralliement dont nous n’ignorons ni la gravité ni la signification antisémite avérée » et qui  ont ainsi « violé les valeurs de notre entreprise qui réprouve toute forme de haine, de racisme et de discrimination  ». En ce sens la société «  se tiendra à la disposition des autorités pour permettre l’identification de toutes les personnes qui se sont adonnées à un geste haineux et qui ont fait partie de l’établissement Train Bleu.  »

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  • Le Royaume-Uni blinde ses frontières : bateaux et vols militaires anti-migrants

    Le Royaume-Uni rappelle ses deux navires britanniques engagés dans l’opération Frontex en Méditerranée et aligne ses embarcations de la Marine Militaire et les avions de la RAF dans la Manche.

    L’objectif du gouvernement londonien est celui d’endiguer les flux de migrants illégaux qui veulent envahir la Grande-Bretagne. La décision a été prise par le ministre de l’Intérieur, Sajid Javid, après la prise de conscience de ce qui a été définie une vraie « urgence » : les migrants africains qui en effet quittent la France pour rejoindre l’Angleterre via la mer sont nombreux. Le mécontentement de l’opinion publique a explosé ces derniers jours et a contraint le ministre a rentré hâtivement d’Afrique du Sud où il passait ses vacances de Noël.

    Il y a quelques heures, à Manchester, deux hommes ont été arrêtés avec l’accusation d’avoir organisé un trafic d’immigrés clandestins vers la Grande-Bretagne. Les chiffres de migrants illégaux débarquant au Royaume-Uni ne sont pas vraiment supérieurs à ceux que connaissent l’Italie ou les autres pays d’Europe. Mais ils sont suffisamment élevés pour pousser le gouvernement à déployer la RAF et la Royal Navy sous la pression de l’exaspération populaire.

    Enfin, les peuples européens se rebellent contre la politique immigrationniste qu’on leur a vendu pendant des décennies ! Et obligent les politiciens laxistes de nature à revoir leur politique…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-royaume-uni-blinde-ses-frontieres-bateaux-et-vols-militaires-anti-migrants/103167/

  • Emmanuel Macron veut réformer la loi de 1905 ? Les Frères musulmans n’attendent que ça !

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    Éviter la guerre entre la République et les musulmans de France est un bon objectif ; montrer de la faiblesse devant les islamistes serait une faute dramatique.

    Le gouvernement veut changer la loi de 1905 pour promouvoir, dit-il, les modérés. Ce terme recouvre, hélas, des agents qui pratiquent la taqiya, ou dissimulation : ils semblent s’occidentaliser jusqu’à ce que les circonstances leur permettent de révéler leur vraie nature. Or, Céline Pina, fondatrice de l’association laïque Viv(r)e la République, a démontré qu’en prévoyant une taxe halal et en n’instituant pas un contrôle efficace des flux financiers, cette réforme ouvrira un boulevard à Musulmans de France, nouveau nom de l’UOIF, la section française de l’Internationale des Frères musulmans. Cette organisation a la main sur les mosquées les plus influentes et les prédicateurs les plus virulents, sans que le ministère de l’Intérieur soit capable d’en préciser le nombre.

    Le terrorisme de Daech focalise l’attention, mais il existe d’autres crimes islamistes (les attaques terroristes islamistes qui ne sont pas le fait de Daech, mais aussi les crimes de droit commun viols, agressions sexuelles, égorgement produits par l’idéologie islamiste des criminels), et l’islamisation de l’Europe prend d’autres formes. Or, dans la propagation de cette idéologie, on retrouve partout les Frères musulmans.

    Une note des services établit les progrès du communautarisme à l’école. Des petits garçons refusent de donner la mains aux filles, encouragés par leurs mères qui, à Lille, distribuent des tracts pour refuser l’école mixte au nom du Coran. Dès le CM1, des enfants observent le ramadan, et les musulmans qui ne mangent pas halal sont insultés par les pratiquants. Au-delà des prescriptions sur les aliments et les femmes, l’islamisation prend des formes surprenantes : dans un établissement du Nord, des élèves ont refusé de suivre un cours dans une salle dont le mobilier était rouge, couleur impure, haram.

    Le livre Inch’Allah montre que l’islamisation du 93 est pilotée par des théologiens musulmans, notamment des IESH (Instituts européens de sciences humaines), répandus en France et en Europe. Ahmed Jaballah, patron des IESH de Château-Chinon et Paris, ancien président de l’UOIF, vient d’être élu, à Istanbul, vice-président du Conseil européen pour la fatwa et les recherches (CEFR), association fondamentaliste dont le siège est à Dublin. Son patron, le Qatari d’origine égyptienne Youssef al-Qaradâwî, radical devenu trop voyant, a pris sa retraite, mais son successeur, Abdulah Al Judai, dirige l’IESH du pays de Galles, et la grande mosquée de Cardiff prêche ouvertement le djihad contre juifs et chrétiens. Cerise sur le gâteau, toujours selon Inch’Allah, l’IESH a servi de boîte aux lettres à Inès Madani, principale accusée de l’attentat manqué à la bonbonne de gaz contre Notre-Dame de Paris.

    Si les Frères musulmans sont interdits par l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn, ils entretiennent des liens étroits avec la Turquie d’Erdoğan et le Qatar. Le Qatar se présente, en France, en investisseur aimable, il possède le PSG, va faire des expositions à la Concorde, mais il finance des IESH, comme le montrent plusieurs sources citées par Wikipédia, et il a tenté de s’immiscer dans la politique dite des banlieues. Sans grand succès apparent pour l’instant, mais les politiciens attirés par l’argent qatari sauront-ils rester vigilants ?

    Martin Peltier

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-veut-reformer-la-loi-de-1905-les-freres-musulmans-nattendent-que-ca/

  • L’abrogation de la loi Taubira caracole en tête

    Ce matin, l’abrogation de la loi Taubira figurait largement en tête des propositions les plus soutenues sur la plateforme de consultation de l’inénarrable CESE.

    Pour ceux qui ne l’ont pas fait, allez vite la soutenir ici, pour assurer que cette proposition finisse en tête ce soir (fin de la consultation à minuit).

    J’en profite pour vous signaler quelques autres propositions:

    https://www.lesalonbeige.fr/labrogation-de-la-loi-taubira-caracole-en-tete/

  • Vendée : des migrants ont saccagé leur foyer car ils étaient mécontents de la nourriture, une association pro-migrants accusée de les avoir incités à l’émeute

    A La Roche-sur-Yon (Vendée), le foyer pour mineurs étrangers non accompagnés du boulevard d’Angleterre a été saccagé, ce jeudi 3 janvier.

    Selon les premiers éléments, une vingtaine de mineurs étrangers se serait révoltée, vers midi. Un mécontentement, semble-t-il, né de la qualité de la nourriture.

    Les fauteurs de trouble s’en sont pris au mobilier de la cuisine et de la salle de repos. Les chaises et les tables ont valsé, des coups ont été donnés dans les portes et les cloisons. La nourriture a été jetée à terre. La vaisselle n’a pas, non plus, résisté au vent de révolte.

    « Nos hommes se sont retrouvés face à des individus impossibles à raisonner. Il n’y a pas eu d’affrontements physiques. Mais la situation était extrêmement compliquée », indique le commissaire Dufour.

    Toutefois, les Etablières ont décidé de porter plainte contre une association de défense de migrants, car une de leurs militantes était présente sur site au moment de la rébellion. Et la direction soupçonne cette dernière d’avoir incité les jeunes à se révolter .

    Actu.fr

    http://www.fdesouche.com/1135917-vendee-des-migrants-ont-saccage-leur-foyer-car-ils-etaient-mecontents-de-la-nourriture-une-association-pro-migrants-accusee-de-les-avoir-incites-a-lemeute