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lobby - Page 974

  • Des listes GJ aux Européennes financées par Macron pour faire plonger Marine et NDA

    jacline-mouraud.jpgCela semble de plus en plus probable, de plus en plus clair.

    2 listes GJ au moins seraient en train de constitution, et la Jacline qui ne se sent plus et lance des satisfecit au gouvernement en veux-tu en-voilà vient d’en parler. Elle se verrait bien député européen, l’accordéoniste… De là à se dire que depuis le début elle marche main dans la main avec le gouvernement et que c’est pour cela que sa video a été connue et a buzzé ?

    Cela ferait au moins 3 listes GJ. Pour le moment. Susceptibles de se fondre en une, évidemment.

    Et l’argent, me direz-vous ?

    Une liste GJ des patriotes anti-immigration, anti-islam, anti-Cop 21… (nous avons été sollicités) serait tout à fait possible légalement et pourrait sans peine, je pense, trouver 100 personnes pour constituer la liste. Sauf que… la campagne électorale coûterait, paraît-il, la modique somme de 2 millions d’euros, soit 20 000 euros par personne sur la liste. Alors, sauf à trouver un Mécène… C’est dans le lac a priori. Sans parler de problèmes d’éthique, puisque nous savons tous que ces listes ne serviront qu’à prendre des voix aux listes patriotes ( Marine, NDA, et Philippot).

    Mais les autres listes en discussion ne semblent pas rencontrer ce genre de problèmes…

    Et voici que nos confrères de Breizh-info émettent une hypothèse qui tient la route :

    […]

    Sans attendre, la LREM a commandé une enquête à l’institut Ipsos sur le score possible d’une liste des Gilets jaunes aux élections européennes. Le résultat va au-delà des espérances des macronistes. Une liste En marche ! MoDem recueillerait 21% , le Rassemblement national 14%, EELV 13%, les Gilets jaunes 12%, les Républicains 11% et les Insoumis 9%. Conclusion : la présence d’une liste des Gilets jaunes pourrait siphonner les voix de Le Pen et de Mélenchon. Déjà, deux listes « jaunes » seraient en cours de constitution (Le Canard enchaîné, 12 décembre 2018).

    Pour le financement de la campagne, Chalençon et compagnie n’auront pas de soucis à se faire. Grâce aux fonds « spéciaux », l’Élysée et Matignon y pourvoiront.Lorsqu’il était président de la République, Jacques Chirac avait monté une opération semblable avec « Chasse-pêche-nature-tradition ».

    Aux élections régionales de mars 1998, la CNPT avait décroché un élu dans les Côtes-d’Armor et deux en Loire-Atlantique. Au conseil régional de Bretagne, Josselin de Rohan avait même eu besoin de l’élu CPNT – un certain Gabriel Lopez , directeur de la fédération de chasse des Côtes-d’Armor – pour se constituer une majorité et devenir, de ce fait, président. Lopez fut récompensé de sa compréhension : il fut élu vice-président chargé de l’environnement, bien que ne représentant que lui-même.

    La technique utilisée par le pouvoir en 1998 pour affaiblir le Front national pourrait très bien réapparaître en 2019. L’objectif étant cette fois d’empêcher le RN-FN de terminer en tête… et de sortir gagnant de ces élections européennes. Selon le dernier sondage Ipsos publié par L’Opinion , c’est la liste du RN qui arriverait en tête avec 24% contre 18% pour la liste macroniste. De quoi faire réfléchir.

    C’est peut-être de ce côté-là qu’il faut chercher la raison de l’actuelle « modération » de Jacline Mouraud. Bien placée sur une liste Gilets jaunes, elle pourrait être élue député européen… 

    […]

    https://www.breizh-info.com/2018/12/16/107923/jacline-mouraud-gilets-jaunes-europeennes

    Une seule conclusion : Gilets Jaunes, faites gaffe, ne vous laissez pas manipuler, ne vous laissez pas instrumentaliser et priver d’avoir de vrais patriotes élus pour vous défendre sur les vrais sujets qui vous pourrissent la vie. Et demandez à vos camarades de combat qui se voient bien sur une liste GJ d’où vient l’argent…

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/12/16/des-listes-gj-aux-europeennes-financees-par-macron-pour-faire-plonger-marine-et-nda/?fbclid=IwAR1IR0nrDx6gHsUZwTtv5WM-FChxJ3XI6X9xVqNCA02ldjHRpyCyNjSXwGs

  • La propagande immigrationniste du pacte de Marrakech

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    Le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières a été adopté par la France sans débat alors que, dans d’autres pays, ce pacte a provoqué des débats parlementaires intenses. Le principal argument des défenseurs de ce pacte est qu’il n’est pas contraignant. Il est, effectivement, précisé dans le texte qu’il est juridiquement non contraignant. Mais des gouvernements xénophiles peuvent se faire un devoir d’appliquer le pacte. Dans ce cas, il devient contraignant dans les pays concernés. C’est, bien évidement, le cas de la France.

    La doxa immigrationniste constitue la base idéologique du pacte. Il est écrit : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. » Toutefois, les peuples européens concernés par les vagues migratoires ont du mal à discerner les « effets positifs ». Les viols commis en Allemagne par des immigrés récemment arrivés sont-ils des effets positifs ?

    Le pacte définit les moyens à mettre en œuvre pour favoriser les migrations. Il est précisé : « Définir des objectifs politiques nationaux à court, moyen et long terme en vue de l’intégration des migrants dans la société, notamment en ce qui concerne le marché du travail, le regroupement familial, l’éducation, la non-discrimination et la santé. » L’ONU veut ainsi imposer aux nations une politique migratoire laxiste. Par exemple, les États n’auront plus le droit de refuser le regroupement familial ni de s’opposer aux migrations répétées. L’ONU s’immisce, en plus, dans la politique éducative et la santé publique. Un gouvernement mondial de bureaucrates non élus se met ainsi en place contre les peuples souverains.

    Les propagandistes favorables au pacte cachent le contenu du texte. Il est mentionné ce que doivent faire les gouvernants : « Inviter les migrants, les responsables politiques, religieux et locaux, ainsi que le personnel enseignant et les prestataires de service, à constater et prévenir les actes d’intolérance, de racisme, de xénophobie et de toute autre forme de discrimination contre les migrants et les diasporas, et appuyer les activités menées à l’échelon local pour promouvoir le respect mutuel, notamment lors des campagnes électorales. » L’ONU incite les gouvernements à pratiquer une répression à l’encontre des opposants à sa politique migratoire laxiste. L’ONU se permet même de définir les orientations des campagnes électorales à venir. Le texte du pacte précise que cette politique est mise en œuvre « dans le plein respect de la liberté de la presse ».

    On atteint le summum de l’absurde et du mensonge. Cette politique ne peut pas être respectueuse de la liberté de la presse. Elle conforte, au contraire, la propagande institutionnalisée des médias cosmopolites et les actions liberticides contre la liberté d’expression sur Internet. Avec ce pacte signé à Marrakech, les Français peuvent constater que Big Brother ne se trouve pas à l’Élysée mais au siège de l’ONU. Il est, toutefois, évident que le locataire de l’Élysée va obtempérer aux injonctions de l’ONU contre la volonté d’une majorité de Français !

    Jean-Luc Tari

    http://www.bvoltaire.fr/la-propagande-immigrationniste-du-pacte-de-marrakech/

  • Bruxelles : les manifestants contre le pacte de Marrakech s’en prennent à la Commission européenne

    Bruxelles : les manifestants contre le pacte de Marrakech s’en prennent à la Commission européenne

    Une manifestation contre le pacte de Marrakech avait lieu aujourd’hui à Bruxelles, en Belgique où le gouvernement a explosé en raison de ce pacte.

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  • Attentat de Strasbourg : vous avez dit complotisme ?

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Hier sur CNews, le criminologue Xavier Raufer a fait part d’un certain nombre d’éléments troublants dans le déroulement de l’attentat

    Mardi dernier, en début de matinée, quelques heures avant la fusillade, les gendarmes se présentent au domicile de Chérif Chekatt pour l’interpeller dans une affaire d’extorsion et de tentative d’homicide, mais il est absent. Xavier Raufer remarque que les gendarmes sont accompagnés de membres de la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure, dont les champs d’investigation sont précisément la sécurité intérieure, ainsi que les intérêts fondamentaux de la Nation. Chekatt, simple délinquant ou criminel de droit commun, même multirécidiviste, ne saurait à priori intéresser la DGSI. Selon le criminologue, il fallait donc que la DGSI soit informée de faits précis sur une dangerosité particulière de l’individu, relevant d’un possible passage à l’acte terroriste.

    Les enquêteurs se convaincront qu’ils ont vu juste, en découvrant un véritable arsenal au domicile de Chakatt

    Pistolet 22 Long Rifle, grenade défensive, chargeurs, armes de poing… Un arsenal en effet amplement suffisant pour commettre un attentat. Les gendarmes font alors leur travail, continue M. Raufer, et diffusent sur le réseau informatique de la police et de la gendarmerie nationales une fiche signalétique de l’individu, accompagnée d’une photo, et soulignant son extrême dangerosité. A 19h30, ce même mardi, Chekatt se présente au pont du Corbeau, l’un des deux points d’accès principaux au centre de Strasbourg, où se déroule le marché de Noël. C’est sans aucune difficulté qu’il franchit le barrage de police, alors même que les policiers, alertés par leur hiérarchie et donc sur le qui-vive, sont censés vérifier les identités, et que ces mêmes policiers ont sur leur ordinateur, à côté d’eux, la photo de Chekatt. « Comment arrive-t-il à rentrer à l’intérieur de la ville ? » s’étonne Xavier Raufer, qui poursuit : « Et comment, [le lendemain soir], le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent Nunez, peut-il mettre en doute la piste terroriste ? ». Et ce, malgré l’évidence des faits. Deux questions encore sans réponse…

    Pour le gouvernement, c’est « Circulez, y a rien à voir ! »

    Avant-hier, sur Europe1, Youssef Badr, porte-parole du ministère de la Justice, a assuré de son côté qu’il n’y avait eu « aucun dysfonctionnement de la justice dans le suivi de Chérif Chekatt ». Rappelons qu’à 29 ans, Chekatt faisait l’objet de 27 condamnations et de 67 signalements. Ce laxisme judiciaire, ainsi que la scénarisation irénique du réel opéré par des médias à la botte, exaspèrent les Français qui ont par ailleurs pu constater la sévérité de la répression policière qui frappent les Gilets jaunes. Le complotisme ambiant des réseaux sociaux n’est qu’un symptôme « populiste » lié à cette exaspération. Dans son livre « La France Interdite», Laurent Obertone montre que « les théories du complot les plus puissantes et les plus délirantes sont portées par les grands médias ».

    https://fr.novopress.info/

  • France 3 pris en flagrant délit de désinformation par retouche d’image

    France 3 pris en flagrant délit de désinformation par retouche d’image

    France 3 explique qu’il s’agit d’une «erreur humaine» :

    «Une enquête est en cours. Une personne opérationnelle est intervenue, la rédaction en chef n’a pas décelé la modification. Nous allons communiquer très rapidement pour donner des explications et diffuser la photo d’origine».

    France Télévisions assure qu’il n’y a « aucune volonté de masquer cette pancarte » (!), ajoutant qu’il « faut raison garder en ces temps de complotisme ». Sic.

    https://www.lesalonbeige.fr/france-3-pris-en-flagrant-delit-de-desinformation-par-retouche-dimage/

  • Manifestants nationalistes à l’assaut de la Commission européenne à Bruxelles

    Belgique – En marge de la marche contre le Pacte de Marrakech, de nombreux manifestants nationalistes ont pris pour cibles les bâtiments des institutions européennes et notamment ceux de la Commission.

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  • Combien de temps encore les gilets jaunes vont-ils supporter fiscalement le coût exorbitant de l’immigration ?

    Combien de temps encore les gilets jaunes vont-ils supporter fiscalement le coût exorbitant de l’immigration ?

    Lu dans Causeur à propos du laxisme budgétaire du gouvernement et de sa probable incapacité à financer les modestes promesses du président Macron. Vertigineux. Et il n’est question que des “migrants” ou “réfugiés” ou plus simplement des “immigrés clandestins pris en compte par l’Etat” :

    Il faudrait indiquer à ces messieurs de la direction du Budget qu’il existe d’autres pistes de réduction des dépenses.

    Depuis plusieurs années, l’Etat invite tous les étrangers entrés en France sans visa – et sans intention de la quitter – à déposer une demande d’asile. Cette générosité n’est pas passée inaperçue. Alors que la demande d’asile baisse partout en Europe, le nombre de demandeurs d’asile en France est, lui, en hausse quasi ininterrompue.

    « Notre pays demeure soumis à une pression migratoire intense et évolutive », déclarait à l’AFP Christophe Castaner, le 6 novembre dernier ; « évolutive » signifiant ici « en augmentation constante ». En 2017, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a enregistré 100 613 dépôts de demandes, soit une hausse de 17,4 % par rapport à 2016. Pour 2018, l’OFPRA estime ainsi que le chiffre record de 120 000 demandes d’asile pourrait être atteint sur l’année.

    L’absurdité ne réside pas dans la pression migratoire, mais dans le fait que le gouvernement n’entend pas agir sur ces arrivées massives. Christophe Castaner s’est borné à déclarer à la commission des Finances du Sénat que « la diminution du nombre de migrants arrivant en France depuis les pays voisins a vocation à être limitée puisque les pays voisins enregistrent eux-mêmes une baisse des arrivées. C’est le pari que nous faisons ». En d’autres termes, le nombre des migrants finira un jour par baisser, pas la peine de se faire remarquer par une répression inconsidérée.

    Cette inaction – volontaire – du gouvernement a évidemment un coût. Plus d’un migrant économique sur deux verra sa demande d’asile déboutée. Mais entre le dépôt de la demande et le rejet de cette demande, ce même homme aura été hébergé, rémunéré et soigné plusieurs mois durant.

    Ce système absurde a un coût, que l’on peut décliner ainsi (pour 2018) :

    – Hébergement et allocations : l’exercice du droit d’asile représente 1,35 milliard d’euros en autorisations d’engagement et 1,21 milliard d’euros en crédits de paiement dans le projet de loi de finances pour 2019. Soit une hausse par rapport à 2018 de 36 % en autorisations d’engagement et de 18 % en crédits de paiement.

    – L’Allocation pour demandeur d’asile (ADA) est budgétée dans le projet de loi de finances pour 2019 à 335,8 millions d’euros (+ 5,7 % par rapport aux 317,7 millions d’euros de 2018). Les rapporteurs de la commission des finances du Sénat déplorent la sous-budgétisation constante du poste ADA dans la mesure où, pour 2018, le gouvernement et l’OFII ont prévu une dépense d’ADA de 410 millions d’euros, (+ 130 % par rapport aux crédits – 317,7 millions d’euros – accordés en Loi de finances initiale pour 2018).

    – Les dépenses d’hébergement sont représentées par un empilement de structures d’accueil (on en compte pas moins de cinq) dont beaucoup ont été détournées de leur mission initiale au fur et à mesure de la crise migratoire. Leur coût réel annuel ne semble détaillé dans aucun document public accessible. Les coûts d’hébergement par personne et par jour varient de 16 à 60 euros. Une rationalisation est en cours. Par déduction, le coût global tourne autour du demi-milliard d’euros.

    – A ces principaux postes (allocations et hébergement), il faut ajouter les frais de fonctionnement des administrations chargées de gérer l’asile : OFPRA, CNDE, OFII et guichets de préfecture. Ces budgets ont beaucoup augmenté depuis 2015, notamment dans le but de réduire la durée d’instruction des dossiers. Car plus l’instruction est longue, plus les dépenses d’allocations et d’hébergement augmentent.

    – Aide médicale d’Etat (AME) : les clandestins ne sont pas seulement rémunérés et hébergés, ils sont également soignés quand ils apportent la preuve qu’ils résident depuis plus de trois mois en France. L’Aide médicale d’Etat (AME), financée sur le budget de l’Etat, n’a cessé, depuis ses origines, de couter « un pognon de dingue ». Déjà en 2003, un rapport de l’inspection des affaires sociales s’alarmait « de la forte progression » des dépenses de l’aide médicale de l’Etat (AME), dépenses qui n’étaient en 2000 que d’une centaine de millions d’euros. Ces mêmes dépenses sont aujourd’hui de l’ordre du milliard d’euros pour une distribution de soins qui touche 300 000 personnes environ. Les termes du débat sont connus : sans l’AME, les migrants clandestins envahiraient les hôpitaux et ceux atteints de maladies contagieuses pourraient contaminer les populations locales, disent les défenseurs de l’AME. Mais ceux qui luttent contre une politique de frontières ouvertes affirment qu’une action résolue contre l’immigration clandestine, réduirait les dépenses d’AME et les risques sanitaires liés.

    – Prise en charge des mineurs non accompagnés: dans la masse des clandestins, une sous-population mérite d’être distinguée : celle des mineurs non-accompagnés. Depuis 2015, des gamins de 12 à 18 ans, venus généralement du Maroc et d’autres pays d’Afrique du Nord, se multiplient sur le territoire national, vivant en bandes, subsistant de rapines, semant la terreur sur la population locale. Combien sont-ils ? Selon La Dépêche du Midi, « certaines estimations parlent de 50 000 ». Sans papiers, mutiques sur leur pays d’origine, ils sont difficiles à expulser. Aujourd’hui, 40 000 d’entre eux seraient pris en charge par les collectivités locales au titre de l’Aide sociale à l’enfance contre 25 000 en 2017 et 13 000 en 2016. Sachant que le coût annuel d’une prise en charge, prévue dans le cadre de l’Aide sociale à l’enfance (ASE), atteindrait 50 000 euros par an, la facture devrait frôler les 2 milliards d’euros à la fin de l’année.

    Étranglés par cette dépense imprévue, les départements se retournent vers l’Etat estimant qu’ils n’ont pas à faire les frais de sa politique migratoire. L’Etat compense – très – partiellement, en assumant 17% de la dépense (340 millions) selon les dernières propositions de Jacqueline Gouraud, ministre des Territoires. A ces 340 millions, s’ajoutent 240 millions d’euros de frais d’ « évaluation » payés par l’Etat avant placement dans les services sociaux des collectivités.

    Lorsque les mineurs atteignent la majorité, les départements sont parfois conduits à poursuivre leur accompagnement via des « contrats jeunes majeurs », comme les 5 000 signés en 2017, au coût unitaire d’environ 30 000 euros par an.

    L’Etat dans la nasse. Les gilets jaunes ont clairement fait comprendre au gouvernement qu’ils n’entendaient pas faire les frais de sa politique mondialiste. Transition énergétique, politique migratoire ne pourront plus être financés par une taxation sans frein des classes populaires. S’il est possible de mettre entre parenthèses la politique énergétique, la dynamique migratoire est lancée et ne semble pas prêt d’être stoppée. Le choc entre les dépenses et les recettes introuvables – sauf à réintroduire l’ISF et à taxer les entreprises – va donc aller croissant.

    https://www.lesalonbeige.fr/combien-de-temps-encore-les-gilets-jaunes-vont-ils-supporter-fiscalement-le-cout-exorbitant-de-limmigration/

  • Pour retrouver les 4 articles de Lafautearousseau, « Jacques Attali : autopsie métaphysico-politique »

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    Lʼinfluent conseiller des présidents

    Pour les 75 ans d'Attali ... 

    Par Rémi Hugues 

    Intellectuel, idéologue, esthète, homme de culture et homme d'influence, conseiller des princes et banquier... Auteur prolifique. Jacques Attali a été, est ou a voulu être tout cela. Homme politique, homme des combinaisons obscures, aussi. Ses idées, ses aspirations, ses songes, qui sont ceux d'une certaine modernité ou post-modernité, Attali a rêvé de les voir se réaliser. Rémi Hugues au fil d'une série de quatre articles - dont la publication vient de se terminer - a tenté son autopsie. Une suite passionnantes dont vous pouvez retrouver l'intégralité en suivant les liens ci-dessous ...  

    Jacques Attali : autopsie métaphysico-politique

    [1]    [2]    [3]    [4]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Le Parti de la France va lancer une nouvelle campagne :

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