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lobby - Page 976

  • Le GIEC innocente le CO2 ! (l’urgence climatique est un leurre) (Claude Brasseur)

    Ce n’est pas l’échec de TOUTES les prédictions du GIEC qui mettra fin à la plus grande escroquerie de l’histoire, c’est le fait que des scientifiques qui laissaient falsifier leurs travaux pour obtenir titres, droit de publication, fonds de recherche etc. atteignent l’âge de la retraite et osent enfin dire la vérité…
    Le professeur François Gervais, physicien, examinateur du 5e rapport du GIEC (2011-2012) n’avait pas attendu l’éméritat pour dénoncer les pratiques du GIEC (1) et je vous présente brièvement comment il explique, dans une conférence, que les informations des rapports 5 et 5,5 (actuel) démontrent l’absence de rôle du CO2 dans les variations éternelles du climat.

    Si l’Europe se faisait hara kiri et ne consommait plus de carburants fossiles, cela éviterait théoriquement 0,01°C (un centième de degré!).
    La production de CO2 anthropique liée aux carburants fossiles explose depuis 1945… elle a été accompagnée d’un refroidissement durant 30 ans, ensuite d’un réchauffement qui se termine.
    Il s’agit d’un cycle naturel de 60 ans que le GIEC refuse d’évoquer.
    Si l’arctique témoigne de ce cycle de 60 ans, l’antarctique, lui, s’étend…
    Selon le GIEC lui-même, sa théorie bénéficierait d’un consensus.
    Etrange consensus où les variations de températures pour le futur oscillent entre 0,3°C et 4,8°C !
    Les rapports du GIEC à ce sujet sont basés sur les 100 modélisations informatiques qu’il finance…modélisations toutes totalement en désaccord entre elles et – pire encore – aucune n’est confirmée par les mesures réelles…
    Le GIEC exploite les mesures prédites par ses modèles pour vous effrayer et ignore les mesures réelles !!
    Vraiment étonnant : il n’existe pas un seul travail au sein du GIEC qui mesure les effets réels, précis, du CO2.
    Ainsi, le modèle d’atmosphère du GIEC imposait une diminution progressive de la température de la stratosphère.
    RIEN ne se passe !
    Et il existe d’autres preuves pour disculper le CO2 – preuves dont dispose le GIEC – comme les travaux sur son effet.
    Et le consensus parmi les scientifiques du GIEC est parfait : progressivement, toutes les études tendent à montrer une absence complète de rôle du CO2 dans la température.
    Elles démontrent même que si on mettait 10 fois plus de CO2 dans l’atmosphère, cela ne changerait rien, ce que relève JM Bonnamy (2)
    Pour bien convaincre(?) ses victimes, le GIEC publie un graphique présentant un extrait des variations du taux de CO2 et de la température terrestre durant les derniers milliards d’années : il n’y a pas de lien du tout entre les deux courbes !!
    Et, petite cerise sur le gâteau surréaliste : le GIEC nous menace de phénomènes naturels de plus en plus extrêmes.
    Nul ne sait pourquoi mais l’énergie cyclonique baisse, les ouragans et tempêtes faiblissent… on insiste sur les cas malheureux.
    François Gervais nous engage à penser utilement : il est vrai que le taux de CO2 est passé de 280ppm (parties par million,) à 400ppm et que ce phénomène a permis le verdissement de 18 millions de km². De plus, si le CO2 augmente, les plantes ont besoin de moins d’eau, le rendement agricole augmente… et j’irais jusqu’à proposer que les pays émergents versent une prime aux pays industrialisés pour les inciter à produire – proprement, sans pollution – un maximum de CO2.
    Finalement, le gros problème, c’est que 200.000 emplois vont disparaître avec le GIEC et, pire, on perd l’occasion d’installer une dictature onusienne mondiale « pour sauver le climat ».
    François Gervais sera-t-il le Luther du climat ?
    Celui qui met fin aux indulgences – climat ?
    Claude Brasseur 26 décembre 2018
    (1) Déjà en 2013, F.Gervais osait L’innocence du carbone , Albin Michel
    L’urgence climatique est un leurre, Ed. Du Toucan, est publié en 2018
    (2) JM Bonnamy, Réchauffement climatique : le pavé dans la mare, Ed. L’Harmattan, 2018


  • L’origine du réchauffement climatique

    Le réchauffement climatique allégué pour justifier toutes sortes de contraintes, notamment fiscales, est-il le fruit d’une recherche scientifique originelle ? C’est ce que les pouvoirs politiques et médiatiques veulent nous faire croire. La réalité est différente comme le montre le texte ci-après tiré du livre d’Alexander King, (1909-2007) chimiste anglais co-fondateur du Club de Rome et de Bertrand Schneider (1929- ) diplomate français qui fut secrétaire général du Club de Rome. Il existe une version française de ce livre : Questions de survie. La révolution mondiale a commencé. (Calman-Lévy, 1991).

    Ce texte, dû à des plumes irrécusables, montre que c’est la recherche politique d’un motif de mobilisation (en vertu du principe discutable de la nécessité d’un ennemi) qui a fixé ce choix arbitraire. Et c’est en fonction de ce choix qu’il a été demandé à la Science de le justifier a posteriori. Ceci est un exemple flagrant de la mise de la science au service d’une idéologie politique. L’Histoire connait sa version officielle, maintenant la Science subit le même sort. Lyssenko a fait école. Hommes politiques et médias s’entendent pour maintenir cette science officielle et interdire toute forme de dissidence. Les contestataires qualifiés sont pourtant fort nombreux mais le prix qu’ils auraient à payer s’ils se manifestaient est manifestement trop élevé. La dictature de la pensée règne ainsi en paix.

    Le texte ci-dessous est notre traduction très partielle de l’édition anglaise et les surlignements en gras sont de nous.

    THE FIRST GLOBAL REVOLUTION

    Alexander King & Bertrand Schneider

    Chapitre 5 LE VIDE

    L’ordre de la société est déterminé par la cohésion de ses membres. Jusqu’au milieu du 20èmesiècle ceci était normalement assuré par le patriotisme naturel, le sens d’appartenir à la communauté, renforcé par une discipline morale provenant de la religion et du respect pour l’État et ses dirigeants, aussi éloignés fussent-ils du peuple. La foi religieuse s’est évaporée dans beaucoup de pays; le respect pour la politique s’est aussi affaibli, aboutissant à l’indifférence sinon l’hostilité due partiellement aux médias et partiellement à l’inaptitude des partis à faire face aux problèmes réels; les minorités sont de moins en moins disposées à respecter les décisions de la majorité. Ainsi s’est créé un vide et tant l’ordre que les objectifs dans la société se sont désagrégés.

    ….

    Nous cherchons en vain la sagesse. L’opposition des deux idéologies qui ont dominé le siècle a disparu, créant son propre vide en ne laissant qu’un grossier matérialisme. Rien dans le système gouvernemental et son processus de décision ne semble capable de s’opposer ou de modifier ces tendances, ce qui soulève des questions sur notre avenir, voire la survivance de la race.

    ….

    Il semblerait que les hommes et les femmes ont besoin d’une motivation commune, c’est-à-direun adversaire commun, pour s’organiser et agir ensemble; dans le vide ces motivations semblent avoir cessé d’exister – ou doivent encore être trouvées.

    La nécessité d’avoir des ennemis parait être un facteur historique. Les États ont essayé de surmonter les échecs intérieurs et les contradictions internes en désignant des ennemis extérieurs. Le recours au bouc émissaire est aussi vieux que l’humanité… Unissez la nation divisée pour faire face à un ennemi, qu’il soit réel ou inventé pour la cause. Avec la disparition de l’ennemi traditionnel, la tentation est de désigner comme bouc émissaire des minorités religieuses ou ethniques dont les différences sont perturbantes.

    Pouvons-nous vivre sans ennemis ? Tout État est tellement habitué à classer ses voisins en amis ou ennemis que l’absence soudaine d’adversaires traditionnels a laissé les gouvernements et l’opinion publique avec un grand vide. Il faut donc identifier de nouveaux ennemis, imaginer de nouvelles stratégies, inventer de nouvelles armes. Les nouveaux ennemis peuvent avoir changé de nature et de lieu, ils n’en sont pas moins réels. Ils menacent toute la race humaine et leurs noms sont pollution, pénurie d’eau, famine, malnutrition, illettrisme, chômage. Cependant, il semble que la conscience de ces nouveaux ennemis soit insuffisante pour susciter la cohésion mondiale et la solidarité pour la lutte.

    Les limites de la démocratie. La démocratie n’est pas la panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle ignore ses propres limites. Il faut admettre franchement ces réalités, même si cela peut paraitre sacrilège. Telle qu’elle est actuellement pratiquée, la démocratie n’est plus bien adaptée pour ses tâches futures. La complexité et la nature technique de beaucoup des problèmes actuels ne permettent pas toujours aux représentants élus de prendre les bonnes décisions au bon moment…Les activités des partis politiques sont tellement concentrées sur les échéances électorales et les rivalités de partis, que finalement ils fragilisent la démocratie qu’ils sont censés servir.

    En cherchant le nouvel ennemi pouvant nous unir, nous avons suggéré que la pollution, la menace du réchauffement global, les pénuries d’eau, les famines et autres accompliraient la mission. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui demande la solidarité de tous les peuples. Mais en les désignant comme l’ennemi nous tombons dans l’erreur de prendre le symptôme pour la cause. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est uniquement par un changement des attitudes et des comportements qu’ils pourront être surmontés. Le véritable ennemi c’est l’humanité elle-même.

  • Pourquoi les gilets jaunes n’aiment pas les médias

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    Samedi 29 décembre : acte VII de la mobilisation des gilets jaunes. Moins d’acteurs, mais autant de détermination. À Paris, ils protestent contre le traitement médiatique des événements. Non pas que l’information soit systématiquement altérée, mais elle est subjective tout en prétendant être objective. Si, encore, tous les journalistes reconnaissaient qu’ils défendent leurs idées ! Après tout, ce sont des êtres humains, ils ont le droit d’avoir des préférences. Mais s’ils veulent devenir des modèles d’honnêteté intellectuelle, qu’ils commencent par douter de leur propre vérité.

    Il arrive qu’on se demande s’ils ont obtenu leur diplôme dans une pochette-surprise. À moins que leur formation ne les exerce plus à répéter des lieux communs qu’à aiguiser leur curiosité. Combien de fois des Français, de toute condition, ont eu l’impression de subir, de la part des médias, un lavage de cerveau ! Bien sûr, on peut trouver, parmi les invités, quelque personnalité dissonante. Mais la ligne dominante reste celle de la pensée unique. On comprend, dans ces conditions, que beaucoup de gilets jaunes ne portent pas les médias dans leur cœur.

    Ils ont donc fait la tournée des popotes de l’information : première étape devant BFM TV, qui se vante de son audience. Ce qui ne lui confère pas un brevet de qualité. Les gilets jaunes, la rédaction s’y est intéressée tant que ça faisait de l’audience. On conviait sur les plateaux des personnes peu éloquentes, qu’on pouvait toiser de sa condescendance. Ou d’autres qui, malgré leur gilet jaune, connaissaient comme un professionnel tous les trucs du parfait débatteur. Ça faisait le spectacle.

    Seconde étape : France Télévisions. On a entendu dénoncer des « journalistes collabos », expression un peu déplacée avec ses connotations historiques – même si certains médias collaborent effectivement avec des puissances financières, politiques, ou les deux à la fois. On constate que des présentateurs manifestent outre mesure leur sympathie pour le pouvoir, avec l’air satisfait de l’esprit éclairé. Tout cela, les gilets jaunes, même s’ils n’ont pas fait de longues études, s’en rendent compte.

    Après France Télévisions, un groupe voulut se diriger vers Radio France et Europe 1. On apprenait, aussi, que plusieurs voitures avaient été incendiées devant le siège du Parisien. Si le directeur des rédactions a expliqué qu’il « n’y avait pas de certitude sur l’origine [de l’incendie] », et qu’il ne fallait donc pas « tirer de conclusions hâtives », d’autres n’eurent pas les mêmes scrupules. Anne Hidalgo apporta illico « son soutien aux rédactions des journaux Le Parisien et Les Échos et aux riverains », qualifiant l’incendie d’« inadmissible ». Richard Ferrand s’étouffa d’indignation : « S’attaquer à la presse procède de la haine des libertés. À quand des autodafés ? Condamnation totale de ces actes criminels. »

    La palme pourrait être accordée à Cédric Villani, ce brillant mathématicien, qui devrait pratiquer davantage le doute méthodique. Il écrivit, comme un vulgaire propagandiste : « Le Parisien libéré, journal fondé par trois résistants, est victime ce soir d’un incendie après une journée émaillée de slogans “Journalistes collabos”. Soutien plein et entier à tous les membres de la rédaction en attendant les conclusions de l’enquête. »

    Si la majorité des Français ressentent cet écœurement devant une partie des médias (et beaucoup de politiciens), pourquoi les gilets jaunes devraient-ils s’abstenir de leur en vouloir ? Les journalistes pourraient pourtant se corriger, s’ils admettaient qu’ils ne détiennent pas à tous les coups la vérité. Il leur suffirait de prendre exemple sur ceux qui font modestement leur métier. Il en existe, mais n’en disons pas trop de bien : ils pourraient avoir des ennuis !

    http://www.bvoltaire.fr/pourquoi-les-gilets-jaunes-naiment-pas-les-medias/

  • Suède : la télévision publique accusée d’avoir minimisé les horribles meurtres des randonneuses scandinaves au Maroc

    Suède – La télévision publique suédoise SVT a essuyé des critiques de la part de certains téléspectateurs, la chaîne est accusée d’avoir minimisé les détails horribles des meurtres des deux randonneuses scandinaves au Maroc.

    Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, du Danemark, et Maren Ueland, 28 ans, de Norvège, ont été tuées alors qu’elles étaient en randonnée dans les montagnes du Haut Atlas au Maroc. Les deux filles ont été poignardées plusieurs fois, l’une d’entre elles a été décapitée devant une caméra, la vidéo s’est rapidement répandue sur les réseaux sociaux.

    (…) La veille de Noël, le radiodiffuseur public national suédois a diffusé un reportage sur les meurtres barbares, mais a choisi de ne pas se concentrer sur les détails du crime ou sur les liens désormais établis avec le terrorisme islamique. Le reportage de SVT ne mentionne pas qu’une des jeunes femmes avait été décapitée, ne dit rien sur le lien avec l’islamisme et fait simplement référence à des « blessures au couteau » sur le cou d’une des victimes.

    Bizarrement, le reportage se concentrait presque entièrement sur le fait que le partage de cette vidéo de décapitation constituait un délit punissable par la loi.

    L’angle étrange adopté par SVT a incité les téléspectateurs à penser que le radiodiffuseur public semblait plus préoccupé par le partage de la vidéo macabre que par le meurtre en lui-même.

    Un utilisateur de Twitter a écrit qu’au début, il pensait que l’utilisation de l’expression « blessures au couteau » au lieu de « décapité » n’était qu’une sorte de formulation malheureuse jusqu’à ce qu’il réalise que dans le reportage, cette expression avait été répétée plusieurs fois.

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  • Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… enfin, peut-être !

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    La chronique de Philippe Randa

    C’est le nouveau monstre à la mode qui défraie les landernaux politiques dans le monde entier : la fausse nouvelle ou « fake news ».

    Emmanuel Macron, à peine élu à la Présidence de la République s’est plaint d’en avoir été particulièrement victime, accusant la Russie poutinienne, par complaisance lepéniste, d’avoir abondamment fourni les réseaux sociaux en mensonges divers et variés pour l’empêcher d’accéder à la Fonction Suprême. Sans succès, à l’évidence.

    Du coup, une loi est annoncée pour lutter contre les « fake news » et beaucoup craignent qu’elle soit principalement destinée à museler les médias hostiles envers la pensée unique : que ce soit moins le mensonge qui soit à juste titre traqué que la liberté d’expression qui ne soit réprimée au nom d’une censure d’État qui n’oserait pas dire son nom.

    Paranoïa ? Manipulation politique ? Complotisme ? À l’évidence, personne ne sait trop quoi en penser. François-Bernard Huygue a donc jugé utile de publier un petit livre fort décapant pour trier le bon grain de la réelle manipulation de l’ivraie complotiste : « Fake news la grande peur » (VA Editions cliquez ici) se lit facilement en une dizaine de chapitre qui permettent de se faire une idée sur la façon de « nommer le faux », de comprendre une « fausse nouvelle », de savoir si la société actuelle baigne autant qu’on le dit dans le « faux », de découvrir qui en sont véritablement les responsables et en fin de compte, de répondre à une question qui pourrait surprendre de prime abord : les citoyens en sont-ils finalement les victimes …ou les coupables ? Enfin, existe-t-il des « remèdes » pour contrecarrer la désinformation sous toutes ses formes…

    Autrefois, en temps de guerre , on nommait cela, tout simplement, de la propagande ; à moins, que nous ne soyons déjà (encore ? toujours ?) en guerre… et que tout le monde n’en ait pas vraiment conscience. Le livre de François-Bernard Huygue n’en serait donc que plus urgent à découvrir.

    Publiée dans le quotidien Présent.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Hausse du diesel : WikiLeaks révèle le pot aux taxes

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    Le MacronLeaks n’en finit pas de révéler des secrets. Rappelons qu’il s’agit d’un fatras d’emails de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron, détournés par WikiLeaks, cette « organisation » un peu trouble qui se fait une spécialité de craquer les boîtes aux lettres électroniques des puissants de ce monde et d’en dévoiler leur contenu. Le MacronLeaks avait éclaté en pleine campagne électorale 2017, mais la pêche avait été jugée, sur le coup, maigre et aucun scandale n’avait suivi ces révélations, car personne n’avait eu le temps (et le courage) de parcourir le millier de messages qui, le plus souvent, n’avaient aucun intérêt.

    Certains de ces messages refont surface et viennent d’être publiés. Il s’agit d’échanges entre Alexis Kohler et Laurent Martel, deux personnages qui avaient un rôle essentiel de conseiller du candidat Macron durant sa campagne et qui, depuis lors, l’ont suivi à l’Élysée, l’un comme secrétaire général, l’autre comme conseiller fiscalité. Daté de novembre 2016, un échange de mails débat de la possibilité d’une convergence entre les prix de l’essence et du diesel. Une convergence qui rapporterait un peu moins de sept milliards d’euros (en comptant une augmentation de 13 à 15 centimes le litre de ce carburant). Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.

    Dans cet échange, Alexis Kokhler note bien que « le financement d’une baisse de cotisations patronales par une hausse de la fiscalité diesel est potentiellement progressive sous la réserve forte de faire fi des règles d’incidence (et qu’en gros, on considère que la baisse des cotisations patronales bénéficiera à l’emploi ou aux salaires) »« On considère que… » On reste donc au niveau de l’hypothèse de travail. Rien n’est moins certain.

    Dans cet échange, Laurent Martel explique à Alexis Kohler que la bascule de cotisations patronales (pour les salaires allant jusqu’à 1,6 SMIC) vers la fiscalité diesel aurait pour conséquence de peser pour 50 % sur les six premiers déciles de la population qui financerait cette mesure. Mais qu’en retour, cette population « bénéficiera » (le conseiller met lui-même les guillemets) de cette mesure « soit parce qu’ils sont déjà salariés, soit parce que leur employabilité sera accrue ». En clair : paye ton carburant plus cher pour garder ton emploi ou trouver du boulot !

    On appréciera à sa juste valeur ce passage du mail de Laurent Martel : « Mais d’autres histoires peuvent se raconter, bien sûr, pour justifier une convergence partielle gazole/essence qui rapporterait ce que l’on cherche. » Il ne s’agissait donc, dans cette tête bien faite, que de trouver la bonne fable qui permettrait de faire passer la pilule ? L’écologie avait donc bon dos !

    Les Français ont eu raison de se révolter.

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/hausse-du-diesel-wikileaks-revele-le-pot-aux-taxes/

  • Le Royaume-Uni s’inquiète du nombre important de traversées de migrants « facilitées par des groupes criminels »

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, et toute la matinée de jeudi, les opérations de sauvetage se sont multipliées dans la Manche pour secourir une trentaine de migrants.

    La multiplication des tentatives de traversée de la Manche par des migrants est « profondément inquiétante », a estimé jeudi la secrétaire d’État britannique à l’Immigration Caroline Nokes après que 34 nouveaux migrants ont été secourus. « Le nombre d’incidents ces derniers jours est profondément inquiétant. Une part (de ce trafic) est clairement facilitée par des groupes criminels, tandis que d’autres tentatives semblent opportunistes », a noté Caroline Nokes.

    (…) Europe 1

    http://www.fdesouche.com/1133949-le-royaume-uni-sinquiete-profondement-du-nombre-croissant-de-traversees-de-migrants-facilitees-par-des-groupes-criminels

  • "Journalistes collabos": Des gilets jaunes regroupés devant les sièges de médias le 29 décembre

    Capture.pngUn important dispositif policier a été déployé devant le bâtiment de BFMTV, puis de France Télévisions.
    Plus de 300 gilets jaunes se rassemblent ce samedi matin devant l'entrée principale du bâtiment qui habite le siège de la chaîne d'information en continu BFMTV, a pu constater L'Express dont les bureaux sont situés dans le même bâtiment. 
     
    Vidéo intégrée
    Rachel Garrat-Valcarcel@Ra_GarVal

    Ils veulent que les journalistes « répondent de leurs mensonges ».  

    50 personnes parlent à ce sujet 
  • Qui va marcher pour Macron le 20 janvier ?

    Aussi incroyable que cela puisse paraître, un appel à une marche de soutien au président de la République le 20 janvier 2019 a été lancé sur Facebook.

    L’affaire semble tellement mal embarquée que cet appel à une marche “en soutien à Emmanuel Macron” a rapidement été rebaptisé “Marche républicaine des libertés”. Une appellation plus fourre-tout, de façon à permettre à tous les BHL, CRIF et autres GODF de se ranger plus facilement dans cette manifestation destinée à contrer les gilets jaunes.

    La question toute naturelle qui vient à l’esprit est de savoir qui organise cette marche. Pour l’instant, seul un prénom est mis en avant : Laurent, qui se présente comme un ingénieur toulousain qui ne cache pas sa sympathie pour La République En Marche.

    Sur Europe 1, l’anonyme Laurent s’est lancé dans un plaidoyer pour sauver le soldat Macron.

    “Quand j’entends ‘le président des riches’, qu’il est à la solde des banquiers, d’un nouvel ordre mondial complotiste, ça me choque et je trouve ça injuste.”

    Alexandre Benalla sera-t-il dans le coup ?

    https://www.medias-presse.info/qui-va-marcher-pour-macron-le-20-janvier/102994/

  • Charia et droits de l’homme : la grosse artillerie contre Grégor Puppinck

    L’article de Grégor Puppinck sur la charia et les droits de l’homme, publié dans le Figaro Vox le 26 décembre, a fait l’effet d’une bombe.

    Grégor Puppinck y démontre qu’un récent et solennel arrêt de la Cour européenne admet à présent le principe même de l’application de normes de la charia en Europe. Jusqu’alors, la Cour déclarait la charia « incompatible avec les valeurs de la démocratie et des droits de l’homme ».

    Grégor Puppinck souligne, en particulier, l’affirmation de la Cour selon laquelle un État n’est pas tenu, mais peut s’il le souhaite, « créer un cadre juridique déterminé pour accorder aux communautés religieuses un statut spécial impliquant des privilèges particuliers». « En d’autres termes un État européen peut accorder à sa communauté musulmane la liberté d’être régie par des normes de la charia, sans que cela soit, en soi, contraire à la Convention européenne des droits de l’homme. » Puppinck précise que « deux conditions sont posées quant à un tel statut spécial : le respect de la volonté des intéressés et celui, elliptique, des “intérêts publics importants” ». Il déplore ensuite l’imprécision de ces conditions.

    Si cet arrêt suscite tant d’inquiétude, c’est parce qu’il pose les fondements du cadre juridique de l’application de la charia au sein de la communauté musulmane en Europe, selon une conception communautariste et libertaire de la société.

    Cet article a fait l’effet d’une bombe et a été partagé plus de 25.000 fois.

    Les défenseurs de la Cour et du communautarisme libertaire ne se sont pas fait attendre. Dès le lendemain, ils orchestraient une campagne visant à disqualifier Grégor Puppinck, en soulignant notamment ses engagements catholiques. C’est Nicolas Hervieu, étudiant en thèse depuis plus de 10 ans, qui mena l’offensive. Il publia une (bien faible et mesquine) contre-tribune dans Le Figaro Vox, puis une série d’entretiens sur France Info, Le Parisien, Ouest-France, etc. dans le registre « ne vous inquiétez pas braves gens, tout va très bien », mais sans répondre à l’essentiel.

    Grégor Puppinck a, à son tour, répliqué que Nicolas Hervieu ne répondait pas sur l’essentiel, mais seulement sur des points secondaires après avoir, plusieurs fois, déformé ses propos ou caricaturé ses intentions. Il a déclaré sur son compte FB « assumer pleinement chaque phrase » de son article. « Les attaques et critiques, relayées largement dans la presse, ne me font pas douter. »

    Grégor Puppinck a mis le doigt sur un point sensible : la question de la place de la charia en Europe. Il ne fait aucun doute qu’une partie des dirigeants adeptes de la « société ouverte » souhaite accommoder une place à la charia en Europe. Pour preuve, tous les obstacles auxquels a été confronté le projet de résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la « Compatibilité de la charia avec la Convention européenne des droits de l’homme » qui sera débattu et adopté le 22 janvier prochain à Strasbourg.

    Durant ce débat à l’Assemblée du Conseil de l’Europe, l’ECLJ organisera un séminaire de haut niveau avec la participation de femmes ayant subi l’application de la loi islamique et d’universitaires.

    L’ECLJ lancé une pétition pour encourager les parlementaires à maintenir fermement le principe du refus de toute application de la charia en Europe.

    https://www.lesalonbeige.fr/charia-et-droits-de-lhomme-la-grosse-artillerie-contre-gregor-puppinck/