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magouille et compagnie - Page 1372

  • Zoom – Eudes Baufreton : Le combat de Contribuables Associés

  • Nous avons pour la première fois franchi le cap des 1 000 milliards d’euros de prélèvements public

    Nous avons pour la première fois franchi le cap des 1 000 milliards d’euros de prélèvements publics

    Lu sur l’IREF :

    Certes cela faisait longtemps qu’on en parlait, mais malgré tous les efforts d’augmentation des anciens impôts par ci, de création de nouvelles taxes par là, d’extension ailleurs de multiples prélèvements et contributions, on s’en rapprochait certes, mais on n’y arrivait pas. Or cette fois-ci c’est bon, car nous venons d’apprendre grâce au rapport Giraud que dès 2017 avec 1 038 milliards d’euros (soit une progression en euros courants de 55% depuis 2002 !) nous avions pour la première fois victorieusement franchi le cap de mauvaise espérance des 1 000 milliards d’euros de prélèvements publics et que depuis longtemps à la lutte avec le Danemark, nous sommes désormais vraiment les champions avec 45,3% de notre PIB engloutis par la pompe vorace de nos finances publiques. Naturellement, comme en France on joue collectif, ce succès est un succès d’équipe. Et là, sans prétendre à une exhaustivité fastidieuse, il faut quand même savoir rendre hommage à tous ceux qui -mieux que d’autres qui n’ont pourtant pas démérité- se sont obstinés sur ces dernières décennies à exiger des Français toujours plus, sans jamais ou presque leur offrir davantage.

    À tout seigneur, tout honneur : François Mitterrand dès son premier mandat a su procéder à de fortes augmentations de la quasi-totalité des prélèvement fiscaux et sociaux notamment sur le patrimoine et surtout. Il a su aussi fragiliser gravement et durablement toutes nos retraites avec sa promesse irresponsable de la retraite à 60 ans. Mais, c’est surtout à lui qu’on doit la géniale création de l’impôt sur la fortune. Certes son rendement demeura toujours somme toute assez modeste, mais ce sont les ravages de son sillage pernicieux, qui firent le plus de mal, puisque cet impôt a réussi à enclencher sur plusieurs décennies l’expatriation continue de hordes de contribuables ulcérés par un matraquage fiscal en règle. Sont en effet partis non seulement nombre des plus fortunés mais aussi certains des plus entreprenants, avec une perte sèche pour les finances publiques et plus largement pour l’économie du pays que l’Administration n’a jamais voulu communiquer, mais qui s’apparente sans doute, toutes proportions gardées, à la saignée et à l’exode provoqués quelque trois siècles auparavant par la désastreuse révocation de l’Édit de Nantes.

    Parmi les très grands encore, il faut réserver une place de choix à un certain Michel Rocard, inventeur émérite de la CSG avec dès l’origine un luxe de complexité de taux et d’assiette – la non-déductibilité partielle sera une trouvaille absolument géniale – qui montre qu’en France on voue toujours une admiration sans borne à ceux qui savent créer les nœuds les plus inextricables. En tout cas, un succès qui ne s’est jamais démenti depuis l’origine, puisque aujourd’hui la CSG soutire déjà chaque année aux Français 100 milliards d’euros -et sans doute demain beaucoup plus- et que depuis des lustres, elle est l’un des outils préférés des politiciens sans courage et sans imagination pour maintenir la dépense publique à des niveaux exorbitants et déraisonnables.

    On passera rapidement sur l’ère Chirac, qui ne dérogea certes pas vraiment aux funestes habitudes de dépense de ses prédécesseurs et qui vécut très bien du train de vie de l’État mis en place par son devancier. À son actif, l’ineffable trouvaille de la journée de solidarité du Lundi de Pentecôte, dont la mise en place fut si compliquée, si tatillonne, si injuste qu’on en disserte encore chaque année dans les documentations sociales à l’approche de la Fête de l’Esprit Saint. Pourtant à sa décharge, il faut reconnaître que lorsqu’il n’était encore qu’à Matignon, il fut le seul à courageusement apprendre à ses dépens ce qu’il en coûte de vouloir supprimer intégralement l’impôt sur la fortune, auquel tiennent tant tous ceux qui ne le payent pas.

    Discrètement certes, mais assez efficacement, la Présidence Sarkozy a tenu un rang somme toute honorable en majorant durant son mandat de près de 50% et sans coup férir le taux des prélèvements sociaux frappant notamment les revenus du patrimoine. Pourtant, il s’attaqua aussi, mais sans doute beaucoup trop tard, à une refonte de l’ISF pour le rendre moins oppressif. Mais son coup d’éclat fut sans nul doute, juste avant la campagne en vue de sa réélection, de porter à 30 ans de détention, pas moins, le délai d’exonération totale des plus-values immobilières, d’en renforcer aussi significativement le taux effectif d’imposition, avec un dispositif particulièrement sournois et injuste qui repoussait en fait – et qui repousse encore – sur les toutes dernières années l’essentiel de la réfaction d’assiette prorata temporis. Avec plus de trois millions de propriétaires de résidences secondaires qui se sont sentis immédiatement concernés, la sanction électorale fut immédiate, même si les partisans du candidat battu n’eurent jamais l’élégance de reconnaître son erreur flagrante et impardonnable.

    Ensuite, nous arrivons certes avec François Hollande à quelqu’un de beaucoup plus terne, mais reconnaissons qu’il sut avec son impôt à 75% sur les hauts revenus, même retoqué par le Conseil constitutionnel, séduire électoralement une majorité de Français dont l’inculture fiscale le dispute toujours à l’ignorance économique (Macron, qui le sait bien, utilisera d’ailleurs la même “ficelle” fiscale avec la promesse de suppression de la taxe d’habitation). D’autre part au fil du mandat, sur le plan des taux, des créations de taxes et de la complexité législative, on reconnut sans peine, alors que la protestation populaire grondait, qu’on avait bien à faire à un gouvernement socialiste.

    Dernier de la liste, mais non le moindre, Emmanuel Macron a tout de suite prouvé que les impôts et les prélèvements sociaux, c’était son affaire. Certes pour les baisser prétendait-il, avec la substitution bienvenue d’une “flat tax” sur les revenus mobiliers et le démantèlement prudemment partiel de l’ISF. Mais aussi en sens inverse avec une forte majoration immédiate et quasi-générale de la CSG, censée neutralisée entre autres par la promesse parfaitement démagogique citée plus haut d’une suppression progressive de la taxe d’habitation pour 80% des redevables. Or présentement nul ne sait encore comment ce “cadeau” sera financé et par quel tour de passe-passe cette taxe sera remplacée. Le Président a également montré une certaine virtuosité en jouant “forte” et avec aisance sur tous les claviers des taxes punitives, dont les verts fouettards réclament à cor et à cri l’aggravation et l’extension constantes, après avoir réussi notamment à transformer les factures d’EDF en avis d’imposition et à faire du moindre litre de carburant un vrai produit de luxe. Le nouveau mandat s’est illustré aussi par une grande première : au grand dam des entreprises concernées, le remplacement immédiat par un nouvel impôt voté d’urgence en quelques jours d’un impôt de plusieurs milliards d’euros qui venait tout juste d’être annulé par le Conseil d’État. On sut ainsi et tout de suite quel cas le législateur faisait des droits du contribuable et du respect du juge. […]”

    https://www.lesalonbeige.fr/nous-avons-pour-la-premiere-fois-franchi-le-cap-des-1-000-milliards-deuros-de-prelevements-publics/

  • Rappel : Les socialistes tueraient père et mère pour éliminer le FN : la preuve

    Quand on me l’a racontée, j’ai cru à une blague et pourtant cette histoire est tout ce qu’il y a de plus vrai.
    Elle illustre parfaitement la rage anti-FN des parlementaires PS et ex-UMP, une rage qui les a conduits à prendre une décision ahurissante que les Français doivent absolument connaître. La scène se déroule au Parlement de Strasbourg au début du mois.
    Quelques semaines auparavant, le 10 septembre, une cour de justice américaine saisie par plusieurs associations écologistes avait interdit l’utilisation du Sulfoxaflor, un pesticide produit par Dow AgroSciences (groupe Dow Chemical), au motif qu’il était aussi un redoutable tueur d’abeilles. Dans son arrêt, la cour avait d’ailleurs cru bon de rappeler que les plantes pollinisées par les abeilles représentaient environ le quart de toute la nourriture consommée aux États-Unis. Alertée, madame Sylvie Goddyn, député européen du Front national, engageait aussitôt une procédure d’urgence pour faire obstacle à ce produit qui venait juste d’être autorisé par la Commission européenne, suite à une intense pression des lobbies de l’agrochimie.
    Cette démarche était d’autant plus fondée que l’association Pollinis, qui milite contre le système agricole intensif, avait déjà alerté les parlementaires sur le fait que le fabricant était incapable de fournir les preuves scientifiques de son innocuité sur les abeilles, comme l’exige pourtant le règlement CE n° 1107/2009 concernant la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et la protection des abeilles et pollinisateurs.
    Eh bien, ce mardi 13 octobre, les députés de la commission environnement du Parlement européen ont tout bonnement rejeté la proposition de Sylvie Goddyn par 31 voix contre (tous les députés socialistes et ex-UMP), 18 voix pour et 6 abstentions.
    Vous voulez savoir pourquoi ? Dans un communiqué officiel, les parlementaires socialistes ont déclaré ce qui suit :
    « Quant au détour d’une procédure en commission environnement du Parlement européen, certains élus du Front national se découvrent soudain une fibre écologiste, personne n’est dupe. Le mécanisme est désormais bien rôdé : ces “écolos de la 25e heure” instrumentalisent des sujets environnementaux et sociétaux graves […] pour nous faire croire qu’ils participent à la vie démocratique en Europe. Cette politique de la grosse ficelle ne convainc personne ; c’est la raison pour laquelle nous nous sommes opposés, aujourd’hui, à la proposition de madame Goddyn, députée européenne, membre du groupe Europe des nations et des libertés et autoproclamée “écologiste patriote”. »
    Cette scandaleuse affaire du Sulfoxaflor a suscité un débat politique de fond au Parlement européen. Faut-il, ou non, suivre le FN lorsqu’on est d’accord sur les propositions qu’il soutient ? « Les avis divergent et les élus louvoient. Dans tous les cas, c’est compliqué à gérer », reconnaît une source au Parlement européen.
    Eh bien moi, je demande aux électeurs qui lisent Boulevard Voltaire : combien de temps encore allez-vous continuer à louvoyer ?
    Christophe Servan

  • Ce libéralisme sans frein qui écrase les pays et les producteurs.

    la tour du pin gar.jpgLe libéralisme mondialisé paraît aujourd'hui si dominateur que rien ne semble devoir l'ébranler, et la cinglante réplique de Margaret Thatcher aux partisans du keynésianisme, « There is no alternative », a désormais valeur d'idéologie officielle à la tête de l'Union européenne, si bien incarnée par la rigidité technocratique d'un Pierre Moscovici qui s'en prend aujourd'hui aux États espagnol et italien parce que ceux-ci, après des années d'austérité, souhaitent redistribuer plus justement (même si l'on peut discuter des aspects de cette redistribution) les fruits des efforts précédents : après tout, il n'est pas injuste de vouloir redonner un peu d'air à des populations « de base » sur lesquelles ont longtemps reposé les politiques de restriction budgétaires tandis que les grandes sociétés multinationales locales, elles, se sont avérées parfois fort généreuses avec leurs actionnaires... Mais la Commission européenne ne l'entend pas de cette oreille, arguant que les dettes publiques de ces deux États sont trop élevées pour se permettre de faire des « cadeaux » aux contribuables espagnols et italiens, et elle a même rejeté le budget de l'Italie ce mardi. La France pourrait bien, d'ailleurs, faire les frais de cette intransigeance européenne, au risque d'accentuer encore un mécontentement social et populaire qui ne se limite pas aux seuls retraités. La « promesse de l'Europe » semble bien s'être noyée dans les considérations comptables, celles-la mêmes que méprisait de Gaulle, non pour les nier mais pour les remettre à leur place qui ne doit pas être la première.

    Le libéralisme actuel de la Commission européenne a, il y a quelques années et encore aujourd'hui, empêché les États de défendre efficacement leurs industries nationales, au nom des droits des consommateurs qui, en définitive, s'apparente plus à ce « devoir de consommation » qui s'impose en société de consommation au détriment, souvent, des producteurs comme de l'environnement. La mondialisation est souvent vantée comme le moyen d'avoir les prix les plus bas, au risque d'en oublier la justice sociale et l'intérêt national bien compris, ce que le royaliste social et corporatiste La Tour du Pin a, dès la fin XIXe siècle, dénoncé avec vigueur à travers articles et publications nombreux. Son monarchisme était « illibéral », non par idéologie mais par souci social, et il serait peut-être encore plus sévère avec un libéralisme contemporain qui, comme hier, veut absolument s'émanciper de toute contrainte et refuse toute notion de limites, au seul profit de l'égoïsme individuel et oublieux de toute réalité environnementale.

    Bien avant que la mondialisation libérale soit devenue la « norme », La Tour du Pin avait discerné les risques de celle-ci pour les activités productives de notre pays et pour les conditions de travail comme de vie des exploités de ce système qui, en définitive, s'avère l'un des plus grands dangers pour l'équilibre des sociétés et la justice sociale, malheureusement si négligées désormais par les oligarques qui gouvernent l'Union européenne. 

    En quelques lignes, parues dans les années 1880, tout, ou presque, est dit et annoncé : « Le système de la liberté sans limites du capital a-t-il développé la production, comme on le prétend, aussi bien qu'il l'a avilie? Nullement. Il l'a laissée dépérir sur le sol national, en émigrant lui-même, là où il trouvait la main d’œuvre (...) à meilleur marché (...). Les conséquences du système lié à la multiplicité des voies de communication (...) seront de ne plus pourvoir le marché que par les produits des populations les plus misérables; le coolie chinois deviendra le meilleur ouvrier des deux mondes, parce qu'il n'aura d'autre besoin que ceux de la bête. Puis, comme l'ouvrier, l'ingénieur, l'agent commercial, le banquier lui-même seront pris au meilleur marché. (...) Voilà comment une décadence irrémédiable attend, dans l'ordre économique,la civilisation de l'Occident au bout de cette voie de la liberté du travail où elle s'est engagée avec la doctrine de ses philosophes pour flambeau, la science de ses économistes pour guide, et la puissance de ses capitalistes. »

    Extrait du livre "Vers un ordre social chrétien", rédigé par René de La Tour du Pin, qui fût toute sa vie un ardent défenseur de la Cause monarchique sociale, et qui voyait loin, ce texte paraît aujourd'hui prémonitoire... Pour autant, il n'est pas un appel au fatalisme mais, au contraire, un appel à réagir en condamnant ce capitalisme libéral, règne d'une « fortune anonyme et vagabonde » : réagir, non par l'imposition d'un étatisme tout aussi, bien que de manière différente, dévastateur pour les libertés des producteurs ; réagir par la renaissance du politique qui doit imposer, de par sa présence tutélaire et de par son essence publique, le nécessaire esprit de « devoir social » aux forces économiques et financières de ce pays, et à celles qui prétendent y faire affaire...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1514:ce-liberalisme-sans-frein-qui-ecrase-les-pays-et-les-producteurs&catid=52:2018&Itemid=63

  • #PasDeVague : la révolte des profs – Journal du mercredi 24 octobre 2018

    Société / #PasDeVague : la révolte des profs
    Quelques jours après la diffusion d’une vidéo d’un élève braquant son professeur à Créteil, le monde scolaire est sorti de sa torpeur en lançant le hashtag PasdeVague. Un Me too à la sauce enseignante sans effet sur le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer.

    Politique / Assurance chômage : encore une réforme pour rien ?

    Union Européenne / L’Italie dans le collimateur de l’UE
    Bruxelles sort le bâton contre l’Italie. Mardi, la commission européenne a rejeté le budget du gouvernement de coalition de Matteo Salvini. Du jamais vu qui pourrait lancer une nouvelle crise.

    International / Pékin, nid d’espion
    La Chine à l’assaut du monde professionnel et administratif français. Les renseignements s’inquiètent des tentatives massives de soustractions d’informations mais aussi de brevets…

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • L’ex-n°1 d’un groupe jihadiste déchu de sa nationalité belge : à quand la même mesure en France ?

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    Mardi 23 octobre 2018, l’ancien numéro un du groupe jihadiste Sharia4Belgium, le Belgo-Marocain Fouad Belkacem, a été déchu de sa nationalité belge par la justice. Il était un proche du mouvement islamiste Forsane Alizza, dont plusieurs membres avaient projeté d’assassiner Fabrice Robert, le président du Bloc Identitaire en 2012. Le groupe Sharia4Belgium, qui avait annoncé sa dissolution en octobre 2012, est considéré comme le précurseur en Belgique du recrutement de combattants jihadistes pour la Syrie.

    Son leader Fouad Belkacem, un Anversois d’origine marocaine, a été condamné début 2015 à 12 ans de prison pour avoir dirigé une « organisation terroriste », une peine confirmée en appel un an plus tard. Mardi, la cour d’appel d’Anvers a décidé de le déchoir de sa nationalité belge, conformément au vœu du ministère public. Celui-ci a estimé que Fouad Belkacem (36 ans) avait « gravement manqué à ses obligations de citoyen belge et constituait une menace permanente pour la sécurité publique ».

    Les identitaires saluent cette décision et encouragent sa mise en œuvre dans tous les pays européens et en particulier en France. En effet, de nombreux djihadistes francophones disposent de la double nationalité. Cette mesure avait été proposée en premier lieu par les identitaires et avait même été portée par le président Hollande et le Premier ministre Manuel Valls avant d’être abandonnée sous pression de l’aile gauche du Parti socialiste. Les identitaires avaient été une nouvelle fois en première ligne pour la défense de notre peuple, les Français s’étant prononcés massivement en faveur d’une telle disposition : plus de 92 % d’entre eux avaient déclaré y être favorables dans un sondage BVA en 2015 !

    Avec le retour incessant de djihadistes depuis des zones de guerres où ils ont pu apprendre le maniement des armes et la confection d’engins explosifs, cette mesure devient de plus en plus urgente et indispensable. Les nôtres doivent être protégés et les islamistes expulsés !

    Un communiqué des Identitaires

    https://fr.novopress.info/212400/lex-n1-dun-groupe-jihadiste-dechu-de-sa-nationalite-belge-a-quand-la-meme-mesure-en-france/

  • Albach nous démontre par l’exemple saoudien que la remigration est possible

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    Jacques Chassaing Riposte laïque cliquez ici

    Décidément Roland Hélie, fondateur de Synthèse Nationale, aura fait fort en invitant une nouvelle fois le gratin de la résistance française à la 12e Journée, à Rungis. L’écrivain Emmanuel Albach n’y est pas allé par quatre chemins pour expliquer que les portes de la France sont grandes ouvertes dans le sens de la sortie pour toute une légion d’envahisseurs venue autant qu’appelée piller les caisses de la solidarité nationale et s’approprier le pays. Après la mémorable allocution de Richard Roudier qui fait trembler les plus lucides des cadres et de la maîtrise cliquez ici, voici qu’Emmanuel Albach nous indique de sérieuses pistes pour éviter le pire.

    On peut commencer par changer les règles : « publier des décrets. Chirac a signé un décret pour le regroupement familial, il suffit d’en signer un autre pour l’interdire ». Si demain nous interdisons des autorisations de séjour, des passeports, des cartes d’identité, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas le faire. Et qu’on ne vienne pas nous dire que c’est inapplicable :  «  nous avons une police performante quand elle a des ordres, des lois, donc une volonté politique ». « Et si des petits gaillards armés de kalachnikovs décidaient de se battre, pour faire la guerre il leur faudrait des munitions donc une logistique et pour que ces petits voyous de banlieue puissent envisager de s’opposer à des troupes françaises et à la police, il leur faudrait une logistique considérable. On a les moyens de gagner, il suffit de volonté ».

    « On pourrait aussi révoquer des juges ». Quant à la partition de la France prétendue inévitable, c’est non : « on n’a aucune raison de leur laisser un centimètre carré de notre terre. Nous avons une légitimité historique. Des mouvements de population, des mouvements de remigration , il y en a toujours eu ». Rien de nouveau sous le soleil. Et Emmanuel Albach de multiplier les exemples de l’Histoire passée et actuelle.

    Emmanuel Albach : L’exemple politique de l’Arabie saoudite sur la remigration

    Discours d’Emmanuel Albach, écrivain, auteur de Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes cliquez ici, à la 12e Journée de Synthèse Nationale :

     

  • Macron et Mélenchon : les méprisants

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    Apparemment, tout oppose MM. Macron et Mélenchon. L’un est un social-démocrate, l’autre un socialiste. Le premier croit à l’économie de marché, mais poursuit une politique dirigiste fondée sur une redistribution orientée qui s’accorde avec son progressisme sociétal, favorisant les individus très riches et les exclus, au détriment des propriétaires, des familles, des personnes âgées, de tous ceux qui se sont un peu, souvent très peu, enrichis par l’épargne et le travail et entendent en faire bénéficier leurs enfants, quand ils le peuvent. L’autre veut la révolution, le retour à l’État-démiurge, créateur d’un peuple égalisé en dépit d’une diversité accueillie sans limite.

    Au-delà de cette opposition, ce qui les rapproche tient en un mot : le mépris. Et celui-ci s’adresse d’abord aux classes moyennes, aux Français qui continuent à fonder des familles, à travailler en souhaitant devenir propriétaires, qui fuient certains quartiers où ils ne se sentent plus chez eux, ou encore ceux qui perpétuent loin des grandes villes une manière de vivre à laquelle ils sont attachés. L’un cultive le mépris des métropolitains qui ont fait des études, qui n’ont eu que la rue à traverser pour trouver un métier plaisant bien rétribué, qui pensent qu’il faut être stupide ou inculte pour avoir beaucoup d’enfants. L’autre fait semblant d’aimer le peuple, et plus encore le nouveau, celui qui vient d’arriver et qui prend la place des prolétaires exploités de jadis. Le premier est l’élu des beaux quartiers. Le second celui des territoires perdus par la République ou par le marché. L’un est Robespierre moins la vertu, l’autre Marat moins la sincérité.

    Récemment, Mélenchon-Marat est venu involontairement au secours de Macron-Robespierre par son outrance. Avait-il tout à fait tort ? Non. En perquisitionnant le domicile de Jean-Luc Mélenchon, et en piétinant sans vergogne sa vie privée, alors qu’ils avaient été plus circonspects à l’égard de Benalla, les magistrats et les policiers se sont rendus, une fois encore, complices d’une non-démocratie en marche depuis l’exécution médiatico-judiciaire de Fillon. L’intéressé devait-il réagir avec une démesure grotesque ? Certainement pas, car il a rendu, ce faisant, un immense service au Président. Or, les deux dérives sont de même nature : Jean-Luc Mélenchon s’est drapé dans sa dignité d’élu, et il avait raison. Un parlementaire, ceint de son écharpe, est l’héritier du tribun du peuple : il incarne la République et, à ce titre, est inviolable, sauf à être coupable de délits dûment prouvés. Le fonctionnaire sert la République et ne l’incarne pas. Un magistrat n’est qu’un serviteur. Ce n’est pas un élu. Cette hiérarchie doit être respectée, mais il faut, pour cela, que l’élu ait un comportement respectable. Mélenchon ne l’a pas été.

    Car le mépris véhément de Mélenchon envers les policiers, les juges, les journalistes, les élus de son parti qui ne suivent pas la ligne a, pour corollaire, celui de Macron pour les Français qui ont l’insolence de ne pas admettre la justesse de ses vues, le toupet de se plaindre, le culot de respirer cette médiocrité franchouillarde que tout en lui déteste. Il voulait incarner auprès du peuple des Gaulois, réfractaires à la réforme par bêtise, et parfois impolis, la verticalité du pouvoir. Mais, à sa manière, le Méprisant de la République a aussi dérapé : en affichant sa préférence pour certains Français exotiques, en n’hésitant jamais à médire de son pays à l’étranger. Dans ces deux attitudes, il y a la volonté de se hisser au-dessus des autres pour se faire juge d’un passé de la nation auquel il n’a pas participé, pour humilier une armée qu’il a évité de servir.

    Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite. Face à eux, le populisme n’est que la revendication légitime d’un peuple qui veut être écouté et entendu par des élus respectables.

    Christian Vanneste

    http://www.bvoltaire.fr/macron-et-melenchon-les-meprisants/

  • Le nombre de blessés graves par arme blanche en forte hausse aux Royaume-Uni

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis deux ans, le nombre de victimes de coups de couteau avec des blessures mortelles a augmenté de 34%, selon les chiffres du National Health Service. Les médecins signalent en outre une augmentation de la gravité des agressions, les victimes arrivant de plus en plus souvent à l’hôpital avec de multiples plaies perforantes.

    Le Dr Ross Davenport, chirurgien à l’hôpital Royal London de Whitechapel, a déclaré au Guardian, « Auparavant, on voyait une ou deux plaies par victime. Aujourd’hui, nous voyons fréquemment de multiples blessures, cinq ou parfois dix coups de couteau sur un seul patient ».

    Sur la période allant de 2017 à 2018, 9 des 11 principaux hôpitaux britanniques ont indiqué avoir traité 2 278 blessures graves au couteau, soit une augmentation de plus d’un tiers par rapport à la période 2015-2016.

    https://fr.novopress.info/212392/le-nombre-de-blesses-graves-par-arme-blanche-en-forte-hausse-aux-royaume-uni/

  • “Une poussée populiste? je sens la colère qui monte!”

    9224-p2-alp-gollnisch-01-300x225.jpgA l’issue de sa conférence de presse lundi à Paris consacrée aux persécutions judiciaires dont les nationaux sont l’objet,  Bruno Gollnisch  a répondu aux questions de la journaliste de Présent Anne Le Pape. Cet entretien a été publié aujourd’hui même par ce quotidien. Nous prenons ici la liberté de le reproduire. 

    Question: Bruno Gollnisch, vous donnez l’impression d’être un peu désabusé sur le rôle de député européen d’opposition…

    Bruno Gollnisch: Je crois que c’est un rôle très nécessaire, mais il est vrai que le député d’opposition je dirais, « normal », aspire à devenir député majoritaire, voire à exercer des fonctions exécutives. Si c’est à l’Assemblée nationale, il aspire à présider une commission, à voir enfin ses amendements adoptés, ses propositions de loi également, peut-être même à entrer au gouvernement etc. J’éprouve  évidemment le même désir, d’autant plus ardent que je constate les évolutions très inquiétantes de notre pays, de notre civilisation, et l’évolution catastrophique de l’Union européenne et de son parlement…

    Q:  Qui devient une maison de fous, selon vous ?

    B.G:  Oui ! Songez que nous venons de franchir le cap de la mandature précédente, soit 23 500 votes, sur les sujets les plus divers, c’est-à-dire qu’il se vote en trois jours et demi à Strasbourg plus de textes qu’en six mois à l’Assemblée nationale. [Montrant d’énormes piles de dossiers:] J’en ai apporté d’ailleurs un échantillon !

    Q:  Impressionnant, en effet!

    B.G:  L’Union européenne prétend encadrer tous les aspects de la vie politique, économique,sociale, culturelle et même sexuelle (voyez les histoires de genre, la promotion des LGBT etc.) de 500 millions d’Européens, en accumulant les lois, les règles, les normes, les contraintes, les charges… dans le temps où l’on ouvre cet espace européen à la concurrence de pays qui n’ont ni les mêmes lois, ni les mêmes règles, ni les mêmes normes, ni les mêmes charges, ni les mêmes contraintes… Cela ne peut pas fonctionner. L’un des résultats est que la France, en 20 ans, a perdu la moitié de son potentiel industriel.

    Q:  Prévoyez-vous une forte poussée populiste aux prochaines européennes ?

    B.G:  Oui ! Je sens la colère qui monte. Malheureusement, elle n’a pour effet que d’en créer encore plus, ceux que j’appelle les « eurocrates » ayant la conviction qu’ils doivent aller plus loin et persévérer dans la même voie. Ceci conduit nécessairement à une confrontation avec les peuples. On a eu le Brexit. On a le groupe de Visegrad, c’est-à-dire de pays d’Europe centrale qui refusent de se voir imposer l’hébergement d’immigrants illégaux. On a, en Italie, notre ami Salvini qui serait aujourd’hui en mesure d’acquérir la majorité à lui tout seul. Il y a la progression de mouvements semblables en Suède, en Allemagne, et la naissance d’autres mouvements, en Espagne par exemple. La mise en accusation de la Pologne et de la Hongrie ne fera que renforcer le sentiment de ces peuples fiers qui n’accepteront pas d’être placés sous tutelle. Tout cela devrait donner une poussée considérable et même, pourquoi pas ? une majorité en faveur d’une Europe protectrice de ses frontières, indépendante de toute vassalité, fonctionnant selon un mode de coopération, entre les nations qui la composent, autour de projets concrets…

    Q:  projets concrets proposés aux peuples ?

    B.G: C’est cela : quantifiables, et dont la connaissance soit accessible aux citoyens.

    Q: Un message aux lecteurs de Présent ?

    B.G:  Je leur dis toute ma sympathie, bien sûr. Je suis heureux de voir que le journal se maintient, j’y puise régulièrement des informations que je ne trouve pas ailleurs. Je leur dis de ne pas céder au découragement, qui parfois pourrait nous envahir, mais de transformer leur indignation en énergie positive pour le succès de nos convictions.

    https://gollnisch.com/2018/10/24/une-poussee-populiste-je-sens-la-colere-qui-monte/