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magouille et compagnie - Page 1372

  • Pour Macron les retraités sont de la chair à canon

    Du matraquage fiscal au matraquage tout court ?

    Geneviève Legay, manifestante de 73 ans, victime de violence policière, est le symbole de ce qui attend, dans le monde de Macron, les retraités : à ceux qui s'opposent aux contre-réformes, il sera « sagement » recommandé de rester chez eux – sans quoi, eux aussi finiront en chair à canon.
    Un électorat pro-Macron qui a rapidement déchanté
    Les retraités, électorat particulièrement mobilisé, ont contribué de façon importante à l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.
    De même, au début du quinquennat, Macron a joui auprès d’eux d’une certaine popularité, l’emportant même sur le candidat de la droite, François Fillon.
    Comme l’écrit Jean-Daniel Lévy, directeur du département politique et opinion de l’Institut Harris Interactive, le discours idéologique centré sur les valeurs de mérite, ainsi que la promesse de mener à bien les contre-réformes a pu un temps séduire l’électorat retraité : « Le soutien était non négligeable au début du quinquennat. Il y avait un espoir des retraités. Les notions de partage de l’effort et de réussite individuelle qu’avait annoncées Macron pendant la campagne avaient été appréciées. »
    Cependant, rapidement, les retraités, bien que constituant un électorat clé de Macron, ont été eux aussi la cible des contre-réformes.
    Le premier coup a été porté avec la hausse de la CGS, grévant particulièrement les budgets des retraités les plus modestes, dont le revenu est inférieur à 1200 euros.
    Ce coup, qui ne fut pas le premier, était loin d’être le dernier.
    Après la hausse de la CSG, c’est le quasi-gel des retraites, avec la désindexation des pensions de retraite sur l’inflation, qui a heurté les retraités les plus modestes.
    S’attirant la colère de nombre d’entre eux, surtout les plus précaires et suite à des mobilisations importantes des retraités, le gouvernement avait été contraint de faire marche arrière, du moins en partie.
    La répression n’attend pas le nombre des années
    Ce sont ces seniors justement, issus des milieux les plus populaires, qui ont été les plus mobilisés contre le gouvernement d’Emmanuel Macron – et que l’on a retrouvé sur les ronds-points et au cours de tous les actes des Gilets Jaunes, dénonçant la dégradation de leurs conditions de vie imposée par le macronisme. 
    Car le mouvement des Gilets Jaunes a démontré, depuis 19 actes désormais, sa composition éminemment populaire, nombre de retraités aux revenus plus que modestes y participant activement depuis le début.
    Paradoxalement pourtant, Emmanuel Macron a pu, dans une certaine mesure, capitaliser sur la crise des Gilets Jaunes, surjouant la posture du retour de l’ordre, en appelant à des valeurs traditionnelles d’ordre et de respect de la république, lui permettant de se reconsolider chez les retraités, particulièrement sur la droite.
    Comme l’écrit le JDD : « La crise des Gilets jaunes va paradoxalement permettre à ­Emmanuel Macron de regagner un peu de terrain auprès des plus de 65 ans. D’abord grâce à son allocution du 10 décembre, au cours de laquelle il a annoncé l’annulation de la hausse de la CSG pour les retraites de moins de 2.000 euros mensuels. Ensuite par le réflexe légitimiste des aînés qui, effrayés par les violences et les saccages commis dans le sillage des Gilets jaunes, se tournent de nouveau vers le pouvoir, séduits par la posture d’inflexibilité et de défense des institutions adoptée par le chef de l’État depuis janvier. »
    Pourtant, les contradictions traversent aussi ce secteur social hétérogène que composent les retraités. Gertrude, la foulard rouge, n’a pas les mêmes intérêts que Geneviève, la manifestante blessée par une violente charge policière au cours de l’acte 19.
    Et la brutalité avec laquelle Macron traite les retraité – et il faut entendre ici les retraités les plus modestes – est sans équivalent.
    L’objectif des contre-réformes, avec la réforme des retraites en ligne de mire, est prioritaire pour Macron ; et le recul de l’âge du départ en retraite, pour l’instant fixé à 62 ans, est une ligne rouge que le gouvernement a maintes fois franchi dans ses déclarations, qu’il s’agisse d’Agnès Buzyn (« L’âge, évidemment, est en discussion ») ou Benjamin Griveaux (« c’est une question qui est à la concertation »), profitant du grand débat pour faire passer « en douce » - mais surtout par la matraque – leurs réformes.
    Car là est l’enjeu central.
    Pour mater la contestation que soulèvent ses contre-réformes, le gouvernement est acculé à user de la répression la plus brutale, doublée de mépris.
    Geneviève Legay, manifestante de 73 ans, victime de violence policière, est le symbole de ce qui attend, dans le monde de Macron, les retraités : à ceux qui s’opposent aux contre-réformes, il sera « sagement » recommandé de rester chez eux – sans quoi, eux aussi finiront en chair à canon, brutalisés par la police.
  • Le Comité économique et social européen vante les bienfaits du … grand remplacement

    Le Comité économique et social européen vante les bienfaits du … grand remplacement

    Le CESE (Comité économique et social européen), à ne pas confondre avec notre CESE français qui met les pétitions à la poubelle, a rendu un rapport sur… les bienfaits économiques de l’immigration publié au JO de l’UE le 22 mars.

    Pour ce comité, refuser l’immigration serait apocalyptique pour l’UE :

    S’en suit une éloge dithyrambique de l’immigration. Les migrants apportent même des « contacts internationaux » (réseaux de drogue et de prostitution ?)

    Alors, une fois que vous avez compris que l’on ne peut pas se passer des immigrés, il faut accompagner cette immigration…

    A noter ce passage qui valide le grand remplacement, sans citer le mot qui fâche :

    Et toute cette propagande est à l’avenant, c’est dire s’ils sont fous. Vous pouvez consulter le fil de Damieu Rieu qui a décrypté ce rapport.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-comite-economique-et-social-europeen-vante-les-bienfaits-du-grand-remplacement/

  • Éoliennes : l’affaire du siècle ?

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    Patrick Lallemand Boulevard Voltaire cliquez ici

    Que va donner le grand débat ? Avec impatience, nous attendons le retour de nos revendications… et nous verrons alors comment nous avons été écoutés ou… enfumés ! Je prends l’exemple de l’éolien, devenu l’un – mais pas le seul ! – de mes chevaux de bataille… Amoureux des vieilles pierres, amoureux de nos paysages si divers et si majestueux, en un mot amoureux de notre pays et de ses habitants, nous avons été des centaines de milliers de Français à crier aux membres du gouvernement : halte à l’éolien !

    Plus de quatre mille associations locales et nationales environnementales et plus d’une centaine d’associations départementales et nationales défendant le patrimoine immobilier et paysager ont demandé, avec force, l’arrêt d’installation des éoliennes sur notre territoire. Ces corps intermédiaires seront-ils un jour écoutés ?

    Sans être exhaustives, voici les principales raisons de notre refus de ces « machines », installées à travers tout le pays par des centaines de promoteurs, menteurs, avides d’argent et manipulateurs auprès des pouvoirs publics et des propriétaires locaux… aidés par l’État français !

    Avons-nous besoin de ce parc éolien ?

    La France est excédentaire en production d’électricité car elle est contrainte d’exporter 11 % de sa production aux pays voisins et à des prix déficitaires ! Donc, nous n’avons aucunement besoin de cette source d’énergie.

    Le parc coûte cher à l’économie française :
    – pour un prix exorbitant de son installation, il n’est utile – ou soi-disant utile – que 25 % du temps (soit vent trop faible, soit vent trop fort !) ;
    – de plus, l’éolienne est totalement fabriquée à l’étranger et les installateurs sont en majorité des étrangers, sous le régime de « travailleurs détachés ».

    Le parc éolien coûte cher aux contribuables. En effet, sur chacune de nos factures d’électricité, la toute petite ligne CSPE (« contribution au service public de l’électricité », prélèvement fiscal sur la consommation d’électricité en France, créé au début des années 2000 et qui ne cesse d’augmenter) est faite pour engraisser les producteurs de ce type d’énergie. Arrêtons leurs éoliennes, cette ligne aura disparu et « notre pouvoir d’achat » sera meilleur !

    Le parc éolien apporte un préjudice certain sur l’écologie des territoires :
    – la pollution des sols : l’énorme socle de béton armé est coulé définitivement dans le sol (car sur les plans technique et financier, rien ne sera réalisable pour l’en sortir) ;
    – l’environnement immédiat de ces « moulins à vent » est déformé : les haies sont arrachées, les bois supprimés et des routes sont créées en plein champ ;
    – un massacre de la biodiversité en détruisant la faune (la chauve-souris, par exemple, espèce protégée car en voie de disparition, ne supporte pas les variations de pression au voisinage des pales).

    Le parc éolien désertifie nos campagnes :
    – La qualité de vie des riverains (jusqu’à 3.000 mètres des éoliennes) est brusquement altérée, touchant même la santé de certains (l’Académie de médecine regroupe tous ces aspects nocifs sous l’appellation « syndrome des éoliennes »). Il serait grand temps de mettre en avant le fameux principe constitutionnel « de précaution » contre ces machines assez monstrueuses au motif de la santé publique.
    – Les biens immobiliers, dans un cercle de plus en plus grand, perdent leur valeur (40 %), le patrimoine naturel et culturel représenté par nos paysages et nos monuments historiques est attaqué. Ainsi, le cadre de vie de nos campagnes ne va plus attirer ce flot de touristes, ni ces familles françaises, vivant dans les villes, désirant se ressourcer durant les vacances dans de petites communes autrefois silencieuses et paisibles…

    L’État saura-t-il prendre en compte l’appel de ces centaines de milliers de Français qui pensent que l’économie, l’énergie, la technique sont au service de l’homme et non l’inverse ? Le cadre de vie d’une famille française doit être en harmonie avec la nature et non déformé et altéré par ces machines bruyantes et anonymes. C’est bien ce qu’ont voulu et même osé dire au gouvernement un président de région (« Foutez-moi la paix avec les éoliennes ») ou un président de département (« Ras le bol, des éoliennes et de leurs promoteurs sans foi ni loi… »).

    L’idéologie antinucléaire, fondée sur une réflexion sans lendemain, et la lâcheté de nos hommes politiques avides d’un électorat soi-disant écologique nous ont apporté cette arnaque financière, véritable saccage de notre pays, véritable désastre économique, véritable « affaire du siècle »…

    NDLR SN, sur le scandale éolien, lire aussi :

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  • Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Décriée lorsque Poutine fait voter le même type de loi en Russie, la loi contre les fausses nouvelles est passée comme une lettre à la poste en France. Si aucun média dominant ne la critique, c’est justement parce que ce sont les médias alternatifs ou de réinformation qui vont en être les victimes. Vous devrez donc compter sur France Inter, France info, France 2, le Monde etc pour vous informer…

    Ce post a vocation à ouvrir le débat notamment en raison du fait que cette loi va s’appliquer à l’occasion de la campagne électorale des européennes et des premiers signes inquiétants apparaissent. Ainsi, Vivien Hoch vient de recevoir ce message de Google :

    Vivien Hoch
     
    @vivien_hoch

    Reçu à l'instant de Google. Et bientôt le gouvernement va couper internet pendant les élections ?
    Comme ça il n'y aura que les canaux officiels radio, télé qui parlent de politique ? 

     
    144 personnes parlent à ce sujet
     
     Ce sont visiblement les prémices de l’application de la loi votée en France :

    Fin décembre, la loi contre les « fake news » a été publiée au Journal officiel. Le texte prévoit de nouvelles obligations pour les plateformes de diffusion, en particulier durant les trois mois précédents des élections générales (présidentielles, législatives, européennes, etc.).

    Une transparence devra être assurée par les opérateurs, du moins ceux dépassant un seuil de connexion. Ils devront alors révéler à chaque utilisateur « une information loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui ont payé pour promouvoir « des contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général » et sur l’utilisation des données personnelles.

    En outre, ils rendront public le montant des rémunérations reçues en contrepartie de cette promotion « lorsque leur montant est supérieur à un seuil déterminé ».

    Facebook, Twitter et Youtube vont être directement concernés et c’est visiblement le cas pour le compte Twitter de Vivien Hoch

    Déjà, le texte fixe à cinq millions de visiteurs uniques par mois et par plateforme, le seuil de connexion au-delà duquel les obligations de transparence s’imposent. Un tel niveau devrait nécessairement concerner Facebook ou Twitter, Youtube/Google ou Dailymotion, et même un grand nombre d’acteurs ayant une certaine popularité.

    Ce qui est surprenant et inquiétant dans le message reçu par Vivien Hoch, c’est que Google demande “d’interrompre les annonces faisant la promotion de contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général“. Et ce jusqu’à la fin des européennes. Il semblerait qu’il s’agisse d’une interprétation abusive d’une loi délicate à appliquer :

    Le régime est limité dans le temps. De même, la fausse information devra concerner des allégations ou imputations qui « ne recouvrent ni les opinions, ni les parodies, ni les inexactitudes partielles ou les simples exagérations », a prévenu l’institution. Le « lol » sur Twitter devrait donc être sauf. En outre, ces fausses informations seront « celles dont il est possible de démontrer la fausseté de manière objective ».

    Enfin, poursuivent les « Sages », « seule la diffusion de telles allégations ou imputations répondant à trois conditions cumulatives peut être mise en cause : elle doit être artificielle ou automatisée, massive et délibérée».

    En dépit de ces précautions supplémentaires, le Conseil constitutionnel a flairé un risque d’abus. Pour protéger la liberté d’expression, ce régime ne devra être activité qu’en présence de fausses informations dont le « caractère inexact ou trompeur est manifeste ». « Il en est de même, a-t-il ajouté dans sa réserve, pour le risque d’altération de la sincérité du scrutin, qui doit également être manifeste ».

    (…)

    Rappelons que le Conseil constitutionnel a quelque peu raboté la portée de l’expression « contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général ». Ces informations ne sont que celles en « lien avec la campagne électorale ». Il appartiendra donc à chaque plateforme de déterminer celles en lien et celles qui ne le sont pas.

    Sous cette réserve interprétative, imposée à l’ensemble des institutions, il a jugé ces obligations conformes aux libertés et droits fondamentaux puisqu’elles visent à « fournir aux citoyens les moyens d’apprécier la valeur ou la portée de l’information ainsi promue et contribue par là même à la clarté du débat électoral ».

    Le décret notifié à Bruxelles est censé être applicable à partir du 15 avril. Il devrait ainsi s’appliquer lors des prochaines élections européennes, prévues entre les 23 et 26 mai 2019.

    A suivre de près…

    https://www.lesalonbeige.fr/application-de-loi-contre-les-fausses-nouvelles-la-censure-en-marche/

  • Le protégé de l’intelligentzia de gauche, le terroriste marxiste italien Cesare Battisti, reconnaît ses crimes

     
    Il a été pendant des décennies le protégé de intelligentzia de gauche, des bonnes consciences moralisatrices, de Carla Bruni à François Hollande, en passant par l’incontournable BHL, feu le président socialiste François Mitterrand, la chanteuse Lio, l’écrivain Fred Vargas, et tant d’autres tels Philippe Sollers, Guy Bedos, Jacques Higelin, Sapho, Pierre Vidal-Naquet, Dan Franck, Miou-Miou, Georges Moustaki et même le député de l’UMP Jacques Remiller, sans oublier Danièle Mitterrand.
    Toute une gauche de radicaux-chic qui ont soutenu comme un seul homme, ils ont l’esprit de caste !, l’activiste et terroriste d’extrême-gauche, l’ancien leader des Pac, les prolétaires armés pour le communismeCesare Battisti, qu’ils avaient décrété innocent, parce que pur dans son action prolétarienne, des crimes dont une magistrature  ‘fascisante‘ l’avait accusé.
    Après 37 années de cavale et de protection en France et en Amérique du Sud, après avoir été arrêté en Bolivie à la mi-janvier et extradé dans la foulée en Italie, Battisti vient finalement de sortir de son silence de plomb en reconnaissant les crimes pour lesquels il doit purger une peine d’emprisonnement à perpétuité, à laquelle il a été condamné par contumace en 1987. 
    Il a reconnu sa participation matérielle à quatre assassinats durant ces années de plomb italiennes : deux en tant qu’acteur direct, le gardien de prison Antonio Santoro, le 6 juin 1978, à Udine, et le policier Andreza Campagna, le 19 avril 1979, à Milan, et deux autres en tant que complice, un bijoutier, Pierluigi Torregiani, et un boucher, Lino Sabbadin, ainsi que trois « jambisations » (des attaques destinées à blesser aux jambes) et de multiples vols à main armée.
    « Il a trouvé refuge à l’étranger pendant des dizaines d’années en profitant d’une image de victime innocente d’une persécution politique. 
    Maintenant il a décidé de dire la vérité », a déclaré le procureur Alberto Nobili, chef de l’unité antiterroriste de Milan, lors d’une conférence de presse, lundi 25 mars. 
    Le magistrat a par ailleurs ajouté que l’ancien activiste a présenté ses excuses aux familles de ses victimes « pour la douleur qu’il leur a causée »
    Une belle claque pour tous ces intellectuels humanitaristes, bien-pensants, communistes et post-communistes, et cette culture de gauche forte de ses « vérités » idéologiques qui s’avèrent toujours des mensonges ! 
    Une claque d’autant plus tonnante et douloureuse que selon le quotidien italien La Stampa, au cours de sa confession tardive, Battisti n’a pas eu un seul mot de reconnaissance envers ses soutiens, bien au contraire :
    « Je n’ai jamais été victime d’une injustice, je me suis moqué de tous ceux qui m’ont aidé, je n’ai même pas eu besoin de mentir à certains d’entre eux. »  
    Francesca de Villasmundo

  • L'école de Marion Maréchal vandalisée

    Marion Maréchal. Photo © KONRAD K./SIPA

    L’Issep Lyon, l’école fondée par Marion Maréchal, a été la cible de dégradations dans la nuit de mardi à mercredi. L’ex-élue dénonce des “ milices d'extrême gauche violentes ”.

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  • Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Christian Estrosi condamné pour avoir diffamé Philippe Vardon

    Philippe Vardon, membre du Bureau national du Rassemblement National et vice-président du groupe RN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, se réjouit :

    Il y a deux ans, à l’occasion d’une séance plénière du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christian Estrosi m’avait gravement diffamé, m’accusant d’effectuer des “saluts nazis”. Le Tribunal correctionnel de Nice vient de le condamner à me verser 4000 euros, au titre des dommages et intérêts et du paiement des frais de justice. Une amende de 5000 euros avec sursis vient se rajouter à cette peine.
    Que cette condamnation vienne rappeler une fois de plus à tous ceux qui voudraient salir ma personne et mes engagements que je ne laisserai rien passer. Je considère que les mensonges et insultes, tels qu’Estrosi et d’autres les affectionnent, participent au grand dégoût du politique qui touche nos compatriotes. Pour ma part, j’y préférerais toujours les faits, le débat argumenté – fut-il vif, et la confrontation des visions et des projets.
  • Yassine Belattar, le « conseiller banlieues » de Macron placé en garde à vue

    Yassine Belattar, le « conseiller banlieues » de Macron placé en garde à vue

    Après Benalla, voici Belattar… Combien de proches du président vont passer par la case prison ?

    Bruno Gaccio, ex-auteur des « Guignols de l’Info », a déposé plainte contre Belattar pour des menaces de mort, après que Belattar aurait menacé de s’en prendre à sa famille. Bruno Gaccio a également déposé plainte pour diffamation : l’animateur l’aurait en effet qualifié de « pointeur » (violeur) lors d’une dispute publique sur les réseaux sociaux.

    Membre du Conseil présidentiel des villes – le CPV, formé par Emmanuel Macron – l’humoriste est également soupçonné d’avoir eu un comportement et tenu des propos inappropriés au travail ou face à des jeunes femmes à la recherche d’un emploi.

    Selon Mediapart, trois hommes issus « du monde du spectacle » ont témoigné devant des policiers avoir été menacés par lui de violences physiques et plusieurs femmes se sont plaintes de leur collaboration professionnelle avec Yassine Belattar.

    Belattar a défendu le rappeur islamique Médine. Quand il fait face à la contradiction, Belattar s’énerve. Cela commence par des attaques sur le physique et les dents « trop blanches » du président de l’OLRA (Organisation de Lutte contre le Racisme Anti-blanc), Laurent de Béchade. Puis ce sont des insultes à l’encontre de Amine El Khatmi, président du Printemps Républicain : « baise ta mère », « tu vas en chier grave », « baltringue », « facho » entre autres mots fleuris… Enfin, ce sont des menaces d’égorgement en pleine rue en criant « islamophobe », selon Noémie Halioua, reporter indépendant.

    En février 2018, il fut interpellé aux Mureaux, dans les Yvelines, et placé en garde à vue après avoir insulté un policier. Huit mois plus tard, sur le plateau de LCI, il se permet malgré tout de donner des leçons « au prochain ministre de l’Intérieur » pour qu’il fasse « le lien entre les gens des quartiers et la police »… Et Belattar d’ajouter qu’en cas de non respect de ses conseils, « il y aura une émeute. Ce n’est pas une menace, mais une promesse. »

    https://www.lesalonbeige.fr/yassine-belattar-le-conseiller-banlieues-de-macron-place-en-garde-a-vue/

  • Voile islamique en Nouvelle-Zélande : la compassion n’est pas la soumission

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    Ainsi donc, après la tuerie de Christchurch qui a fait 50 morts, imitant le Premier ministre Jacinda Ardern, de nombreuses femmes à travers la Nouvelle-Zélande ont choisi de porter le « hijab » en signe de solidarité musulmane. On les a vues, le 22 mars, sur les réseaux sociaux sous le hashtag #HeasScarfforHarmony (« Foulard pour l’harmonie »).

    « Les femmes vivent d’émotion, ne pensent qu’aux émotions », disait Oscar Wilde, auquel on prête parfois aussi cette boutade affreusement misogyne que d’autres attribuent à Charles Baudelaire : « Aimer une femme intelligente est un plaisir de pédéraste. » Il est un fait, pour faire une synthèse polie, que se laisser submerger par l’émotion peut obscurcir le discernement.

    Parce qu’associer « foulard » à « harmonie », est un oxymore qui claque comme une gifle pour toutes celles qui ont été et sont encore insultées, emprisonnées, fouettées ou même assassinées pour avoir refusé de le porter. D’autant plus cinglante qu’elle est administrée par leurs sœurs, ces féministes occidentales en lesquelles elles placent leurs espoirs pour porter leur combat.

    Parce que supposer que le voile est l’attribut par excellence des musulmanes, c’est laisser entendre que celles qui n’en portent pas – et qui confessent pourtant cette religion – n’en sont pas. Ou pas de « vraies ».

    Parce qu’il n’a jamais été besoin de s’identifier jusqu’à se grimer pour condamner. Nos gouvernants sont-ils venus en soutane ou col romain rendre hommage au père Hamel ? Et, de façon générale, alors que d’après l’ONG Portes ouvertes, plus de 4.300 chrétiens ont été tués à cause de leur religion en 2018, aucun gouvernant à travers le monde ne s’est senti obligé de se travestir pour compatir… mais il est vrai que de ces victimes-ci, peu se soucient.

    Certaines ont poussé le raffinement jusqu’à se montrer index levé, pose préférée des djihadistes sur les photos, et qui serait, pour Romain Caillet (Libération), le « geste traditionnel effectué par la plupart des musulmans au moment de prononcer leur chahâda, la profession de foi dans l’islam, l’index dressé symbolisant l’unicité d’Allah ».

    Donc, pour compatir, en sus de se travestir, il faudrait aussi se convertir ?

    « Ces femmes néo-zélandaises qui se couvrent d’un voile et lèvent leur index vers le ciel comme le font les islamistes mesurent-elles un instant le sens de leur geste ? #idiotesutiles #christchurch », commente, sur Twitter, Laurent Bouvet.

    Non, sans doute ne mesurent-elles rien, donnant raison à cet affreux jojo d’Oscar Wilde et à ses clichés abominablement sexistes : toutes préoccupées à se contempler dans le miroir flatteur du selfie posté sur Facebook, les ménagères grégaires – il paraît que c’est le pays – s’aiment dans cette posture compassionnelle qu’elles trouvent belle, et dont, écervelées, elles ne voient pas la portée.

    Idiotes utiles, en effet, d’un Erdogan qui a félicité la Nouvelle-Zélande comme « un exemple à suivre par les dirigeants du monde entier », et pour la remercier de tant de gracieusetés l’a provoquée, avec l’Australie, évoquant leurs soldats tués pendant la Première Guerre mondiale dans la bataille de Gallipoli dont les Ottomans sont sortis victorieux : « Il y a un siècle, vos aïeuls sont repartis à pied ou dans des cercueils. Si votre intention est la même que la leur, nous vous attendons. » La Nouvelle-Zélande peut voiler ses femmes, lui ne voile pas ses menaces.

    Gabrielle Cluzel

  • Julien Sanchez à un député LREM :«Vous êtes plus durs avec les gens de 74 ans qu'avec les dealers»

    Julien Sanchez.jpgClash entre Julien Sanchez (RN) et le député LREM Sylvain Maillard au sujet de la Gilet Jaune Geneviève Legay gravement blessée à la tête lors de l'Acte XIX des Gilets Jaunes. 
    «Vous êtes plus durs avec les gens de 74 ans qu'avec les trafiquants de drogue, c'est ce qu'on retient aujourd'hui.»
     Source: LCI, 25 mars 2019 (YouTube)