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magouille et compagnie - Page 1376

  • Pierre Haski à France Inter : un trio infernal sur le service public

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    Par Florence Dunois, journaliste à Présent ♦

    Pour quiconque s’attend toujours au pire, l’avantage avec France Inter est qu’on n’est jamais déçu. Ainsi, après le départ de Bernard Guetta, qui développait du moins ses opinions exécrables dans une langue parfaite, et l’intérim souvent ridicule d’Anthony Bellanger – tout aussi asservi d’ailleurs à la pensée unique –, est-ce Pierre Haski qui, dans le journal matinal de Nicolas Demorand, le plus écouté de France paraît-il, assurera à compter de lundi prochain l’influente rubrique de géopolitique avec la bénédiction de Laurence Bloch, directrice de la station.

    Fabriquer l’information

    Rien d’étonnant dans ce choix : coreligionnaire de Mme Bloch qu’il fréquenta assidûment du temps où tous deux étaient correspondants en Afrique australe, d’où ils ameutaient l’opinion contre le « pays de l’apartheid », Pierre Haski, produit exemplaire de ce moule idéologique qu’est le Centre de formation des journalistes de Paris, fut de 1981 à 2007 un pilier de Libération. Journal que Nicolas Demorand, qui confie avoir grandi dans « un monde profondément laïque et juif, mais d’un judaïsme intellectuel, culturel et sensuel », dirigea pour sa part de 2011 à 2014, à l’appel du banquier Edouard de Rothschild devenu l’actionnaire de référence de l’ancien « quotidien du peuple ». Un paradoxe qui n’étonnera que les naïfs.

    Poursuivi à Rue89, l’itinéraire de Pierre Haski a déjà de quoi inquiéter. Mais il y a plus grave : élu le 27 juin 2017 président de l’association Reporters sans frontières, sans doute pour faire oublier la présidence « sulfureuse » de Robert Ménard, le nouveau gourou de la géopolitique se veut aussi l’arbitre des exigences journalistiques. D’où son intention, pour s’opposer aux fake news déjà dans la mire de Macron, de « créer une certification [sic] pour lutter contre les fausses informations ».

    Projet qu’il précisait récemment dans Le Nouveau Magazine littéraire : « L’idée n’est pas d’interdire des contenus, mais d’en valoriser. Non pas de faire des listes noires, mais des listes blanches. Nous n’allons pas regarder chaque information et dire “ceci est faux, ceci est vrai” mais nous allons définir des principes et des processus de fabrication d’information de qualité. » Sur le modèle, tenez-vous bien, « de ce qui existe dans le bâtiment (avec les normes ISO par exemple) » !

    Si par malheur devaient prévaloir ces normes ISO-RSF aboutissant à la fabrication d’une « information de qualité » encore plus standardisée et contrôlée qu’elle ne l’est aujourd’hui pour s’inspirer de la « ligne Jdanov » imposée sous Staline, ce qui reste de presse indépendante pourrait- il encore révéler que les assassins d’Adrien Perez sont les frères Younes et Yanis El Habib ? Si se présentait un nouveau Cahuzac jurant « les yeux dans les yeux » à ses compatriotes n’avoir aucun compte dans un paradis fiscal, pourrait-il encore enquêter ? RSF et son président peuvent bien se vouloir « sans frontières », leur conception de l’information est singulièrement bornée. Pour le plus grand profit de l’idéologie dominante au service de l’hyperclasse mondialisée.

    Florence Dunois 24/08/2018

    Source : Présent

    Crédit photo : Par ActuaLitté [CC BY-SA 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/pierre-haski-trio-infernal-france-inter/

  • Des djihadistes, aidés par les Britanniques, prépareraient une attaque chimique en Syrie, pour justifier de prochaines frappes américaines

    C'est ce que suppose la Russie, qui pose ainsi un acte supplémentaire dans l'escalade des provocations Est-Ouest. On se croirait revenu quelques décennies plus tôt. Sans passion, attendons que l'avenir proche nous en dise plus.

    "Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov, a affirmé dans un communiqué ce 25 août que le groupe djihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTC, formé de membres de l'ex-branche d'al-Qaïda), qui domine à 60% les groupes rebelles réunis dans la région d'Idleb, était «en train de préparer une nouvelle provocation pour accuser le gouvernement syrien d'utiliser des armes chimiques contre la population civile».

    Ainsi, la Russie a accusé les djihadistes de préparer une attaque chimique dans la province d'Idleb pour donner «encore une raison aux forces américaines, britanniques et françaises de mener des attaques aériennes contre les forces du gouvernement syrien» (...)

    Le groupe HTC aurait, selon Moscou, fait acheminer huit réservoirs de chlore dans la ville de Jisr al-Choghour pour y «monter» une attaque. Les produits chimiques auraient ensuite été transportés vers un village à huit kilomètres de là, toujours selon les informations communiquées par la Défense russe.

    L'accusation de Moscou survient quelques jours après les déclarations de John Bolton. Le conseiller à la sécurité nationale du président américain Donald Trump avait prévenu que Washington réagirait «très fortement» si l'armée syrienne avait recours aux armes chimiques dans son offensive pour reprendre la province d'Idleb, l'un des derniers fiefs des insurgés islamistes dans le pays.

    En visite à Jérusalem le 22 août, John Bolton avait par ailleurs déclaré que Washington était «inquiet à l'idée que le président Bachar el-Assad puisse à nouveau utiliser des armes chimiques».

    «Mais que les choses soient claires : si le régime syrien emploie des armes chimiques, nous réagirons très fortement et ils feraient bien de réfléchir un bon moment avant une quelconque décision», avait-il lancé.

    Le même jour, Paris et Londres avaient joint leur voix à celle de Washington, dans un communiqué commun qui spécifiait : «Nous soulignons également notre inquiétude face à une possible (et illégale) nouvelle utilisation d'armes chimiques [...] Nous restons résolus à agir si le régime d'Assad utilise à nouveau des armes chimiques.»

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Communication moderne, politique ringarde : l’imposture Macron

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦

     [Rediffusion] Nous publions à nouveau cette analyse exclusive, publiée initialement dans nos colonnes le 23 juin 2018. En effet, ce texte fait partie des articles les plus lus du début d’année 2018. Un intérêt massif qui motive une nouvelle diffusion en cette période estivale pour préparer au mieux la rentrée politique. Bonne lecture et bonnes vacances.
    Polémia

    Il est jeune, il présente bien et, à la différence de son prédécesseur, il ne trébuche pas sur les estrades. Élu, il a introduit la musique techno à l’Elysée. Il assimile la France à une start-up et se gausse du « monde d’avant ». Mais on peut être jeune et incarner néanmoins le gâtisme idéologique : la gauche fait cela très bien depuis longtemps. C’est aussi le cas d’Emmanuel Macron. Car il n’incarne pas l’avenir, mais une vision dépassée du monde : le libéralisme libertaire et cosmopolite de la DavocratieLa République n’est pas en marche. Avec Emmanuel Macron elle ne fait que du sur-place et la France recule.

    Un remake du consensus de Washington, mais à contre-temps

    La politique économique et sociale d’Emmanuel Macron et de son gouvernement n’a en effet rien de nouveau.

    C’est un remake du « consensus de Washington », élaboré dans les années 1970 par des idéologues libéraux américains et dont les maîtres mots sont : diminution drastique des budgets publics et des dépenses sociales, déconstruction sociale, libre-échangisme, monétarisme, privatisations, baisse des impôts pour les plus riches.

    Or cette politique, non seulement ne produit jamais les effets promis au plus grand nombre, mais elle est, au surplus, introduite à contre-temps de la nouvelle donne de l’économie mondiale.

    L’effet de ruissellement prétendument induit par la diminution de la fiscalité pesant sur le capital ne se produit plus en effet à l’âge du libre-échange mondialiste : car le capital ainsi dégagé ne s’investit pas nécessairement dans le pays ayant mis en œuvre ces mesures. De fait aujourd’hui la richesse devient de plus en plus transnationale, quand la pauvreté reste nationale.

    Et, alors que les nuages annonciateurs d’une nouvelle crise financière mondiale s’accumulent, Emmanuel Macron remplace l’ISF par un impôt sur la « richesse » immobilière. Cela paraît-il pour nous inciter à préférer l’investissement financier à l’économie réelle.
    Ce qui revient à sanctionner par la même occasion ceux qui ont emprunté hier pour transmettre un patrimoine physique à leurs enfants. Pendant que les baisses d’impôts promises aux classes moyennes , les grandes victimes de cette politique, se font évidemment attendre.

    Un libre-échangiste indécrottable

    Pour la même raison, la sempiternelle baisse des charges sociales réclamée sur l’air des lampions par le patronat, ne profite que très marginalement à l’emploi national. Parce dans une économie mondialisée et dérégulée, l’écart entre les salaires européens et ceux en usage dans les pays émergents restera de toute façon trop élevé et cela, pour longtemps, sauf à aligner les Européens sur le niveau de vie du Bangladesh.

    C’est pourquoi le libre-échangisme tue l’emploi durable sur le vieux continent, comme l’a établi depuis longtemps l’économiste Maurice Allais. A fortiori lorsque les flux migratoires ne se réduisent pas.

    Mais Emmanuel Macron continue de se faire le chantre du libre-échangisme au moment où l’économie américaine redécouvre les vertus des droits de douanes et de la taxation des importations. Il soutient le traité CETA avec le Canada, au moment où l’Italie déclare ne pas vouloir le ratifier.

    Il répète la doxa libre-échangiste et Bisounours de la Davocratie en affirmant que « le nationalisme économique c’est la guerre », au moment où le monde entier réarme économiquement.

    La France à contre-temps en Europe

    Emmanuel Macron est toujours à contre-temps.

    Alors qu’un nombre croissant de pays européens veulent en finir avec le laxisme de l’Union européenne en matière d’immigration, Emmanuel Macron continue de prôner l’accueil sans limite des immigrants clandestins et fustige la « peste populiste ».

    Alors que la crédibilité de l’Union Européenne est sérieusement entamée, Emmanuel Macron réclame plus de « gouvernance » budgétaire de la part de Bruxelles.

    Alors que la survie politique de Mme Merkel apparaît de plus en plus compromise, Emmanuel Macron ne jure que par le « couple franco-allemand », maronier de la politique française, alors que là aussi la donne a aussi changé. Car nous ne sommes plus en 1963 : aujourd’hui c’est l’Allemagne qui domine l’Union Européenne et pas la France.

    Mais le jeune Emmanuel a peut-être un penchant secret pour les femmes matures et dominatrices….

    La France à contre-temps dans le monde

    Alors que même l’Allemagne émet des doutes croissants quant à la réalité de l’engagement américain dans la sécurité européenne et que le monde devient plus multipolaire, Emmanuel Macron redouble d’atlantisme. Alors que la Grande-Bretagne se dégage du Titanic européen, Emmanuel Macron aligne la France sur ses positions russophobes et bombarde la Syrie de concert avec elle et avec les Etats-Unis.

    Alors que le monde musulman est en ébullition, la France n’a plus de politique arabe. Alors que l’Afrique devient un géant démographique, Emmanuel Macron veut rompre avec la politique africaine de la France.

    Le jeune Emmanuel Macron se trompe d’époque et d’alliés en permanence. Et pour cette raison il n’obtient rien de personne sur la scène internationale : ni de Trump, ni de Poutine ni de Merkel ni de Netanyahou. Mais où est donc passée la France ?

    Le petit Guépard

    Emmanuel Macron est également à contretemps vis-à-vis de l’opinion.

    Les Français attendaient une politique en rupture avec les errements antérieurs. Mais Emmanuel Macron n’a retenu que la leçon du prince Salina dans Le Guépard :« Il faut que tout change pour que rien ne change ».Et c’est bien pour cela qu’il a été promu par la super classe mondiale à la tête de la France. Il communiques’agite et réforme à tout va mais sans rien vraiment changer au fond, sinon en pire.

    Une nouvelle forme de politique ? Mais le nouveau Président et son gouvernement font comme leurs prédécesseurs. Ils s’appuient sur une majorité de godillots à l’Assemblée Nationale et n’hésitent pas à recourir aux ordonnances.

    La nouveauté réside, il est vrai, dans le soutien constant des médias mainstream à son égard, mais ce n’était sans doute pas ce à quoi la minorité de nos concitoyens qui a voté pour lui, s’attendait en matière de changement.

    Une politique fondée sur « l’en-même-temps » ? Pas vraiment : Emmanuel Macron et son gouvernement ne sortent pas, en effet, de la doxa libérale, libertaire, laxiste et immigrationniste que l’on enseigne au Forum de Davos.

    Que ce soit en matière pénale, d’immigration, de culture ou de terrorisme, rien ne change.

    Avec Macron ce n’est pas mieux qu’avant

    Comme ses prédécesseurs, le Président de la République salue les fêtes musulmanes mais pas les fêtes chrétiennes au motif que ce ne serait pas « républicain ». Il ne veut d’ailleurs pas faire de signe de croix devant les caméras. Et comme ses prédécesseurs, il nous promet la panacée d’un nouvel « islam de France ».

    Sur le front « sociétal » rien de nouveau non plus, rue du Faubourg Saint Honoré. La PMA/GPA est toujours en ligne de mire avec l’euthanasie et on nous met une nouvelle couche de féminisme punitif. N’oublions pas non plus une énième législation « antiraciste » : ce doit bien être la 20ème du nom…Vraiment quelle audace ce Macron !

    Et il n’aura fallu que quelques mois pour se rendre compte que Monsieur Blanquer n’était pas le sauveur de l’Education nationale que croyaient percevoir les éternels gogos de droite. Ses déclarations sur la réforme des méthodes d’enseignement ne sont pas suivies d’effet réel. Et l’engagement présidentiel de renforcer les zones dites prioritaires, vampirise tous les moyens, et installe progressivement une préférence inversée au sein du service public : classes surchargées dans la France profonde, classes allégées pour les « jeunes »des banlieues.

    Avec Macron, ce n’est pas mieux qu’avant.

    Un Saint Simonien qui fait des selfies

    Le jeune Emmanuel Macron plafonne dans l’opinion parce qu’on voit bien qu’il n’est pas à la hauteur des années décisives que nous traversons.

    Ce n’est qu’un Saint Simonien qui fait des selfies. Et qui croit toujours que « l’administration des choses » – on dit le marché de nos jours – pourra remplacer le gouvernement des hommes.

    Mais un Saint-Simonien qui a également repris le vocabulaire des bourgeois fusilleurs de M. Thiers à l’égard des « gens de rien » : « Si tu veux un costard tu n’as qu’à travailler ! On dépense un fric fou avec les aides sociales ! »
    Un Saint-Simonien qui rêve de déconstruire toute l’histoire sociale de la France. Ce n’est pas la marche en avant, mais la marche arrière qu’il engage !

    Sans oublier que Kim Jong Macron planifie la censure de tous ses opposants en se prenant pour Jupiter.

    Emmanuel Macron ressemble de plus en plus à un clone de Sarkozy et d’Hollande… Aussi agité que Sarkozy mais nettement moins rigolo qu’Hollande : un Sarkollande  transgénique en quelque sorte.

    Cela doit-être cela, le transhumanisme. Et ce n’est pas rassurant.

    Michel Geoffroy 23/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Estonian Presidency [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/communication-moderne-politique-ringarde-imposture-macron-rediff/

  • ZAPPING GAUCHISTE DE L'ETE

  • Longjumeau (91) : le projet de mosquée suscite des oppositions

    Face aux oppositions qui n’ont pas tardé à se faire jour, Sileymani Diakite et Ouleydy N’diaye, les porteurs de projets de la mosquée de Longjumeau (Essonne, 22 000 hab), sont « prêts à dialoguer avec tout le monde. »

    Si le calme règne dans ce secteur verdoyant de la commune, le projet de construction d’une mosquée au bord de cette voie fait grand bruit, et ce bien au-delà de la simple sphère communale. Une première salve d’oppositions avait animé la chronique voilà trois ans. Des riverains s’étaient en effet émus alors qu’un projet de ce type bruissait en ville. Réalisé début juillet, le vote en faveur de la vente de deux parcelles communales à l’association CSCIL, mobilisée pour la construction d’un centre socioculturel islamique à Longjumeau, avait relancé les craintes de certains habitants, toujours remontés aujourd’hui.

    Face à cette fronde plus ou moins visible, les porteurs du projet se disent ouverts aux échanges et aux éclairages. […] Pour favoriser la discussion et présenter le projet, une réunion « ouverte à tous » est d’ores et déjà programmée pour le soir du 28 septembre prochain à la salle Anne Frank. […]

    « Les prêches et les discours se feront, pour l’essentiel, en français, comme c’est le cas actuellement», souligne le responsable pour tenter de faire taire certaines inquiétudes. […]

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1065649-longjumeau-91-le-projet-de-mosquee-suscite-des-oppositions

  • Les lynchages LGBT prouvent que les homosexualistes veulent imposer leur idéologie

    Un lynchage impressionnant vise actuellement Jean-Yves Rineau, directeur des ventes de Lactalis et ancien candidat divers droite aux élections législatives.Son crime ? Avoir rappelé laconiquement les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce dans un tweet répondant à Mgr Ginoux, courageux évêque de Montauban, sur les nouvelles révélations relatives aux prédateurs sexuels cléricaux. On sait qu’avec l’affaire Mc Carrick (du nom de cet ancien cardinal archevêque de Washington qui semble bien avoir été lui-même un prédateur sexuel, friand de jeunes hommes) et l’énorme dossier de Pennsylvanie, l’Eglise des Etats-Unis se trouve à nouveau dans la tourmente.

    La principale différence avec la crise de 2002 tient au fait que l’on cerne mieux le problème en évitant de parler de « pédophilie dans l’Eglise » et que beaucoup d’observateurs situent enfin le problème où il se trouve en réalité : il s’agit bel et bien, très majoritairement, d’une attirance de certains clercs pour les jeunes gens, c’est-à-dire de l’éphébophilie ou de l’homosexualité et non de la pédophilie. C’est de cela que parlait Mgr Ginoux, déclarant : « Mgr Morerod a raison. Les victimes d’abord, la justice tjrs et notre repentance devant tant d’horreur. » Jean-Yves Rineau ajouta : « D’accord avec une plus une “politique” renforcée de détection de l’homosexualité. » Il n’y avait certes pas de quoi fouetter un chat. C’était ni plus ni moins que les directives de Benoît XVI sur les candidats au sacerdoce.

    Je n’ai aucune compétence en matière de discernement de vocation sacerdotale, mais il me semble assez logique, quand l’Eglise traverse une crise comme celle de 202 ou la crise actuelle, qu’elle édicte des normes sévères pour restaurer la confiance. Au passage, je note que bon nombre d’observateurs qui n’avaient pas de mots assez durs contre Benoît XVI, soupçonné de ne pas réagir assez fermement contre les prédateurs sexuels, ne disent aujourd’hui plus rien de ce genre, car il est clair que Benoît XVI a, au contraire, bataillé ferme, y compris contre de puissants protecteurs du lobby gay au sein de l’Eglise. Car l’un des problèmes majeurs que révèle l’affaire McCarrick est que le lobby gay dans l’Eglise fonctionne comme une mafia, c’est-à-dire qu’il protège les siens, aide à leur promotion jusqu’aux postes les plus élevés, et impose le silence aux autres clercs.

    Comme pour illustrer cette réalité mafieuse, le lobby LGBT s’est rué sur Jean-Yves Rineau, et harcèle son entreprise, Lactalis, pour obtenir sa mise à pied. Est-il besoin de signaler que Jean-Yves Rineau s’est exprimé à titre personnel, sur son compte personnel, et que c’est un prodigieux abus que de le menacer pour cela dans sa vie professionnelle ? Mais la « gaystapo » ne s’embarrasse pas de distinctions aussi primitives que celle qui sépare la vie publique de la vie privée. Pour la secte homosexualiste, tout doit être public.

    Ce totalitarisme menace d’abord les homosexuels eux-mêmes, dont l’immense majorité préférerait vivre discrètement, et qui sont en permanence soumis à un chantage au « coming out ». Et désormais, comme la terreur règne dans la prétendue communauté gay (qui n’existe pas et qui est le fruit de l’imagination terroriste des homosexualistes), on s’attaque aux « hétéros ». J’ignore si Lactalis va céder. Mais je puis d’ores et déjà dire ceci. Ce lynchage est la preuve éclatante que, contrairement au baratin de propagande que nous avions entendu lors des débats sur la loi Taubira, les homosexualistes ne veulent absolument pas l’égalité des droits (qui était déjà acquise aux homosexuels depuis fort longtemps), mais veulent imposer à tous leur idéologie. Il ne s’agissait pas, comme le disaient les discours lyriques de ce temps de « donner de nouveaux droits à certains, sans en retirer à quiconque » ; il s’agissait bel et bien de supprimer les libertés de tous les citoyens qui auraient le mauvais goût de ne pas applaudir au coup de force.

    En particulier, il s’agissait de faire taire la principale puissance de résistance spirituelle en Europe, l’Eglise catholique. Car, aussi affaiblie qu’elle soit dans notre pauvre Europe occidentale, l’Eglise catholique, ayant reçu de son divin Fondateur une anthropologie et une morale sûres, continue à être l’empêcheuse de tourner en rond pour les puissants du moment, les nationaux-socialistes ou les marxistes-léninistes jadis, les relativistes fanatiques aujourd’hui.

    Il est remarquable d’ailleurs que Jean-Yves Rineau soit attaqué sur un sujet concernant l’organisation de l’Eglise catholique. On voit mal en quoi les sectaires, qui détestent cette dernière, seraient concernés. Je doute que les dirigeants d’Act up ou les amis de Pierre Bergé, laïcistes exaltés, rêvent du sacerdoce ! Seulement voilà, si les directives de Benoît XVI sont appliquées, l’Eglise sera, demain plus encore qu’aujourd’hui, la citadelle d’où viendront les déclarations les plus nettes sur la nature humaine. Et cela est d’autant plus insupportable que nos adversaires savent bien, eux, que l’Eglise a raison. Il faut donc d’urgence la faire taire.

    Il faut s’attendre à un difficile affrontement avec cette « gaystapo » dans les années qui viennent. Mais nous ne sommes tout de même pas tout à fait dépourvus de moyens. Je peux clairement annoncer que, si Lactalis cède aux pressions, cela lui coûtera très cher. Nous serons des milliers à cesser d’acheter leurs produits. Et nous sommes un tantinet plus nombreux que les homosexualistes : les puissances économiques les ont jusqu’à présent caressés et flattés parce que leur poids dans les médias en faisait des « leaders d’opinion » et que les braves gens ne résistaient point. Mais ce temps-là s’éloigne. Plus personne ne lit les journaux et le poids du lobby gay dépasse dorénavant difficilement le périphérique. Quant à l’inertie des braves gens, ne comptez plus trop sur nous. Vous vouliez du « nouveau monde » ? Eh bien, soit, allons-y, mais je doute qu’il ressemble à vos fantasmes !

    Guillaume de Thieulloy

    Directeur du Salon beige

    Le Salon Beige

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’infosphère doit dénoncer les mensonges d’État sur la faillite grecque et les dépenses publiques

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    Les contribuables européens ont versé 289 milliards d’euros de prêts à la Grèce lors de trois plans de sauvetage, la part française s’élevant à 40 milliards d’euros. La dette publique grecque s’élève à 180 % de son PIB et le système bancaire est en faillite puisque 98 milliards d’euros, soit 44,9 % des créances bancaires, sont douteuses.

    Le PIB grec a chuté de 23 % entre 2008 et 2017, tandis que le salaire minimum est passé de 794 à 684 euros, que les prix de l’immobilier ont brutalement chuté de 50 %, que les systèmes d’éducation et de santé se sont effrités, que les jeunes ne pensent qu’à quitter le pays, d’où une amélioration apparente d’un taux de chômage de seulement 20 %.

    Les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) ont usé d’un subterfuge honteux pour retarder, une fois encore, la faillite inéluctable de la Grèce. Ils ont repoussé de dix ans, à 2032 au lieu de 2022, la date à partir de laquelle la Grèce devra commencer à rembourser sa dette.

    Et que feront les mêmes larrons, de nouveau en 2031, les taux d’intérêt ayant monté entre-temps ? Ils repousseront encore, de nouveau, de dix ans la date de remboursement en affirmant que la Grèce n’est pas en faillite puisqu’elle n’a toujours pas de dette à rembourser ! Les informations sur la Grèce sont un mensonge d’État que l’infosphère, les blogs et les réseaux Internet doivent dénoncer avec force.

    L’Italie, c’est dix fois la Grèce, une situation économique, bancaire et financière catastrophique tandis que, depuis mars 2009, le Dow Jones et l’indice NASDAQ ont progressé respectivement de 300 et de 500 %, soit à un niveau plus élevé, respectivement, de 88 % et 55 % que celui d’avant la crise des « subprimes ». Mais pas un mot dans Le Monde ou Le Figaro pour mettre en garde les lecteurs sur un krach éventuel à venir.

    Nous croulons sous les mensonges d’un système décadent en faillite ! Le déficit public français est de l’ordre de 3 % alors qu’il est, en moyenne, de 0,7 % dans la zone euro. La France, avec 56,4 % des dépenses publiques par rapport à son PIB, est devenue le pays le plus dépensier du monde, alors que le joueur de flûte Macron, pendant sa campagne, s’était engagé à réduire les dépenses publiques d’au minimum 4 points de PIB, soit 100 milliards d’euros.

    La situation est dramatique puisque l’application complète du rapport CAP 22 nous ferait économiser à peine 30 milliards d’euros. La France, face à un déficit public de 59,7 milliards d’euros et de 67 milliards d’euros de sa balance commerciale, a besoin de réformes structurelles pour réduire la dépense publique, retrouver la compétitivité internationale et reprendre des parts de marché qui s’écroulent. Notre niveau de dépenses publiques est de 9 % supérieur à la moyenne dans la zone euro (où il est de 47 %). Le défi des dépenses publiques à réduire est donc, en réalité, de 200 milliards d’euros.

    La Cour des comptes sonne le tocsin pour les dépenses publiques, notre système fiscal est basé sur le foyer et non sur les ressources d’un individu, mais Macron, comme disait Pompidou, ne songe qu’à « emmerder » les Français avec le prélèvement inutile à la source. Le technocrate Macron n’a pas pensé à mensualiser le paiement de l’impôt, ce qui aurait été autrement plus simple et efficace.

    Selon l’Agence France Trésor, chaque augmentation à venir de 1 % des taux d’intérêt augmentera nos remboursements de 2,1 milliards d’euros la première année et de 6,9 milliards d’euros au bout de trois ans.

    Mentez, mentez comme un arracheur de dents jusqu’au jour où tout le monde sait que, comme dans la Pravda de l’URSS, le Système ment ! À la première perte subite de confiance, tout explose !

    Marc Rousset

    http://www.bvoltaire.fr/linfosphere-doit-denoncer-les-mensonges-detat-sur-la-faillite-grecque-et-les-depenses-publiques/

  • Poutine remet les pendules à l'heure : c'est l'OTAN qui se rapproche de la Russie et non l'inverse

    6a00d83451619c69e2022ad365bb38200c-300wi.jpgLa carte ci-contre se suffirait à elle-même si le mauvais esprit anti-russe n'était pas de mise : 

    Moscou n’avance pas ses contingents militaires vers les frontières des pays de l’Otan, bien au contraire, c’est infrastructure de l’Alliance qui se rapproche des frontières de la Russie, a souligné Vladimir Poutine.

    Intervenant à l’issue de sa rencontre avec le Président finnois Sauli Niinistö, Vladimir Poutine a évalué le rapprochement de l’infrastructure de l’Otan et des boucliers antimissiles américains des frontières russes.

    Nous n’avançons pas nos contingents militaires loin de nos frontières vers les pays de l'Otan, c’est l'infrastructure militaire de l'Otan qui approche nos frontières, le nombre d’effectifs et de matériels militaires à proximité de nos frontières augmente, des exercices militaires se tiennent de plus en plus fréquemment», a-t-il indiqué.

    Ces actions de l’Alliance et des États-Unis obligent la Russie à réagir d’une manière adéquate et à renforcer ses frontières.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/poutine-remet-les-pendules-%C3%A0-lheure-cest-lotan-qui-se-rapproche-de-la-russie-et-non-linverse.html

  • Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme (5e partie)

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 207 – août 2018)

    Le présent article, publié en plusieurs parties au cours de l’été, se propose de montrer que le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire présente toutes les caractéristiques du totalitarisme. La première partie a traité le point suivant : « Un système où l’idéologie prédomine ». La deuxième : « Un système de pouvoir qui permet de contrôler les principales organisations et institutions »La troisième : « La propagande omniprésente ». La quatrième : « Neutraliser la société et pourchasser les dissidents ». Voici la cinquième et avant-dernière :

    • Contrôler et formater les esprits 

    C’est sa cinquième caractéristique. Le Système ne cherche pas seulement à maintenir la population dans une position de docilité et de résignation, ce qui est le cas également des régimes tyranniques ou simplement autoritaires : il cherche en plus à obtenir que tous les individus adhèrent à l’idéologie du Système, et en deviennent à leur tour les relais et les propagandistes. Un système autoritaire se contente de la docilité et est indifférent à ce que les gens pensent réellement pourvu qu’ils se taisent : un totalitarisme attend que chacun devienne l’un de ses agents. Comme on l’a vu plus haut, le Système considère que ses valeurs incarnent le Bien : il convient donc de les faire partager et adopter par tous.

    Formater les esprits pour les conduire à adopter les valeurs

    Les différents moyens de contrôle de la société qui ont été évoqués plus avant, tels que la propagande et la novlangue, ne sont pas seulement destinés à assurer le pouvoir du Système : ils ont aussi pour objectif d’opérer un formatage de la pensée. En outre le Système a mis en place toute une mobilisation collective pour conduire chacun à adhérer aux valeurs. Le cadre scolaire est un lieu privilégié. On y multiplie les médiateurs, les délégués de classe, les journées thématiques centrées sur les valeurs du Système : lutte contre le racisme, contre les discriminations, pour le respect, pour l’égalité des genres, pour l’aide aux pays pauvres… Il s’agit d’aboutir à ce que chaque élève se transforme en agent de propagande.

    Le Système a également mis en place des centres de redressement de la pensée. Les centres de déradicalisation ne concernent pour l’instant que les islamistes : mais on peut imaginer que le Système pense à les étendre à l’extrême-droite le moment venu. Dans le même esprit les stages de récupération de points du permis de conduire visent également à rectifier les pensées déviantes. De même les entreprises participent activement au formatage des esprits en multipliant les stages de formation et les séminaires professionnels consacrés à la célébration des valeurs du Système, telles que la diversité, la non discrimination et la laïcité…

    La technique de la vaccination

    Mais le principal moyen de formatage des esprits sont les situations de fait que le Système créée, laisse se créer et encourage, en particulier la délinquance massive impunie et l’immigration massive : ces situations de fait ont pour objectif et pour effet d’aboutir à ce que la population de Français moyens finissent par les considérer comme le cadre de vie normal. Mieux encore il s’agit de faire en sorte que les Français moyens, qui subissent depuis 50 ans l’immigration de masse et l’impunité des délinquants, perdent jusqu’au souvenir du temps où la délinquance était résiduelle et la population constituée quasi exclusivement de blancs. Le Système a procédé en quelque sorte par la technique de la vaccination. Les changements voulus par le Système, à commencer par le changement de population, ont été introduits à dose modérée et de façon progressive. Dans un premier temps la population a toléré ces changements parce qu’ils étaient limités. Puis elle les a acceptés bien qu’ils soient devenus massifs, parce qu’elle a été comme vaccinée, et qu’elle considère la nouvelle situation comme la norme. Une large fraction de la population, qui s’accroît au fur et à mesure que celle-ci se renouvelle, n’a désormais aucunement conscience de ce qu’une société différente a pu exister.

    La double pensée

    Un dernier élément est caractéristique de la nature totalitaire du Système. Les supporteurs du Système sont tous ou presque installés dans ce qu’Orwell dénomme le système de « double-pensée ». La double-pensée consiste, pour les agents et supporteurs du système totalitaire, à être persuadés du bien-fondé de deux affirmations pourtant évidemment contradictoires. Par exemple les immigrationnistes sont convaincus que l’immigration est une chance. Mais ils savent aussi qu’elle a de graves conséquences négatives, dont ils vont chercher à se protéger pour eux-mêmes. Par exemple ils vont choisir un quartier ou une école pour leurs enfants où il n’y a pas ou peu d’immigrés. Une partie des partisans du Système sont simplement des cyniques et des hypocrites et ne croient pas eux-mêmes à la pertinence de leur discours immigrationniste. D’autres en revanche, et ils sont nombreux, sont installés dans la double-pensée. Tout en cherchant à s’en protéger, ils pensent réellement que l’immigration est souhaitable. Ils résolvent cette contradiction manifeste par un raisonnement qui renvoie la responsabilité sur les adversaires du Système. Si l’immigration présente de graves inconvénients dont ils doivent se protéger, c’est, pensent-ils, parce que la politique d’immigration n’est pas conduite de façon satisfaisante par la faute des ennemis du Système. « Du fait de la pression que les Français moyens racistes exercent sur les politiques, nous n’aidons pas suffisamment les pays que fuient les immigrés. Par leur faute également, nous ne consacrons pas des moyens suffisants à l’intégration des immigrés. Par leur faute, les immigrés sont concentrés dans des ghettos au lieu d’être répartis harmonieusement sur le territoire. Par leur faute, du fait de leur racisme, de leur xénophobie, de leur égoïsme, les immigrés se sentent mal accueillis et développent à notre égard rancœur, frustration et colère… ». Ce raisonnement permet de lever la contradiction et de s’installer dans la double-pensée : l’abolition des frontières et la libre installation des immigrés sont des objectifs souhaitables ; quant aux graves inconvénients du processus, ils sont de la responsabilité des ennemis du Système.

    On rencontrait le même phénomène avec le communisme. Les agents de propagande communistes savaient que les chiffres de production industrielle dont ils se gargarisaient n’existaient que sur le papier. Ils estimaient pourtant légitime de diffuser les mensonges officiels : si les chiffres de production n’étaient pas atteints c’était en effet en raison des menées hostiles des pays capitalistes. Les échecs du communisme étaient à mettre au compte de l’insuffisance du communisme.

    On relèvera aujourd’hui que les agents de propagande de l’UE tiennent le même raisonnement. C’est, selon eux, parce qu’elle est insuffisamment intégrée, qu’il n’y a pas de budget commun, de gouvernement économique commun ou de défense commune, que l’Europe ne rencontre pas l’adhésion des citoyens. « Si l’Europe ne fonctionne pas toujours de façon satisfaisante c’est qu’il n’y a pas assez d’Europe, par la faute des populistes eurosceptiques ». Ce mode de raisonnement fondé sur la double-pensée, à la fois malhonnête et délirant, est caractéristique de la pensée totalitaire.

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    A suivre la sixième et dernière partie : « Le Système souhaite et organise l’invasion migratoire de son propre territoire »

  • Attentat de Trappes par un employé de la RATP : des langues se délient

    L'anarchie règne aussi dans les transports en commun parisiens. On le sait, mais ça va mieux en le disant : 

    ""J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal. 

    L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire".

    L'islamisme rampant s'est infiltré par leur pseudo diversité dans le recrutement des agents de la régie : 

    "Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.

    L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».

    Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…

    Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »

    Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».

    Et tout d’un coup, je réalise" (suite).

    Lahire

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