- À la BCE et à la Banque de France, on reconnait une perte de 7,7 milliards. De même, la Deutsche Bank (privée) ainsi que la Banque fédérale d'Allemagne comme la Banque centrale de Hollande ont reconnu avoir perdu des milliards, participant ainsi à la déroute des pertes de la BCE.
magouille et compagnie - Page 15
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Banques : maquillage des bilans et tromperie des clients - avec Pierre Jovanovic
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Pfizergate : quatre scandales et une boîte noire
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Attention danger… l’écotaxe revient sur la table !
Débranchée avec pertes et fracas en 2014, après l’épisode violent des « Bonnets Rouges », l’écotaxe revient, et malgré les Bonnets Rouges, suivit des Gilets Jaunes, il semble que rien ne puissent arrêter la créativité fiscale de nos aimables mamamouchis qui ne savent que taxer plus pour tenter de remplir des poches toujours plus vite tant ils dépensent sans vergogne l’argent de la population !
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J’ai quitté LFI à cause de son antisémitisme et du harcèlement sexuel d’un député
Il fut un temps où ce parti politique était devenu ma raison de vivre. J’avais tout juste dix-huit ans lorsque j’ai plongé dans le militantisme d’extrême gauche, en rejoignant La France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon. Avec mon meilleur ami de l’époque, nous étions assoiffés de révolte, en quête de révolution, de sens à une vie à peine commencée. Nous étions perdus, vulnérables, malléables.
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Strasbourg : la justice ordonne à l’Assurance Maladie du Bas-Rhin de prendre en charge la transition d’un individu ayant eu recours à une ablation des seins. La CPAM devra aussi verser 3.000€ de dommages et intérêts
Dans un jugement rendu ce mercredi et consulté par “ici Alsace”, le tribunal judiciaire de Strasbourg a donné raison à un jeune homme transgenre qui contestait la décision de la Caisse primaire d’Assurance maladie du Bas-Rhin de ne pas rembourser les frais liés à une opération de changement de genre. La juge a ordonné à la CPAM de prendre en charge l’intervention chirurgicale de mastectomie (ablation des seins) et reconnaissant un préjudice, l’a condamnée à verser au plaignant 3.000 euros de dommages et intérêts. (…)
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Dans la tête du NPA : « Marine Le Pen est une cheffe néofasciste ! »
Lundi soir, le sociologue du Nouveau Parti Anticapitaliste Ugo Palheta donnait une conférence pour combattre « l'Internationale néofasciste ». Dans le sous-sol d'un troquet du 18e arrondissement, une quarantaine de sympathisants se sont interrogés sur l'ascension du grand méchant loup d'extrême droite. Armé d'un logiciel strictement économiste, l'orateur du NPA assimile joyeusement conservateurs, réactionnaires, fascistes et néolibéraux. Au passage, il occulte un fait objectif : l'explosion de l'immigration. Reportage chez les hallucinés de l'arrière-monde gauchiste.
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Juliette Binoche présidente du Festival de Cannes : tout un programme…
La 78e édition du Festival de Cannes – dont il ne faut rien attendre d’autre qu’un simple déploiement idéologique et non plus artistique, comme du temps d’Apocalypse Now (1979), de Francis Ford Coppola ou La Leçon de piano (1993), de Jane Campion – débute ce mardi et le cinéma va une nouvelle fois s’autocélébrer, se félicitant d’appartenir au camp du Bien et surtout, ne voir la réalité que par le prisme idéologique progressiste, pour ne pas dire woke.
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Europe, l’Avènement du 4ᵉ Reich : l’Allégorie d’un Cauchemar
Sous le sourire glaçant de Bruxelles, l’Europe vacille. Une allégorie cauchemardesque dévoile l’avènement insidieux d’un 4ᵉ Reich, tapi dans nos institutions, infiltré jusqu’au cœur de nos pensées — bien au-delà de nos idéaux. Comment affronter l’indicible ?
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Macron sur TF1, prisonnier de lui-même
« Rester libre » : les premiers mots d’Emmanuel Macron, mardi soir sur TF1. En réalité, le président s’est montré prisonnier de lui-même, c’est-à-dire de son narcissisme, de ses certitudes, de ses évitements. En plus de trois heures d’autosatisfactions, rien de concret n’est ressorti d’un amas de mots désincarnés. Montesquieu avait prévenu (Lettres persanes, LXVI) : « Quand un homme n’a rien à dire de nouveau, que ne se tait-il ».
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Il y a 50 ans, Phnom Penh tombait aux mains de Pol Pot : la mémoire sélective de la gauche
Le 17 avril 1975, Phnom Penh tombait aux mains des Khmers rouges. Cinquante ans plus tard, le souvenir du génocide cambodgien orchestré par Pol Pot s’estompe dans le brouillard d’un oubli savamment entretenu par ceux-là mêmes qui, à l’époque, saluaient cette “libération” comme une victoire du peuple. Un demi-siècle plus tard, il est temps de rappeler les faits, et les responsabilités.