Thomas Joly, président du Parti de La France
Après la mascarade du 10 septembre, dominée par les nervis de l’extrême-gauche la plus putride, voici qu'ont défilé, ce jeudi 18 septembre, les vieux chevaux de retour de l’appareil syndical. Les « professionnels de la grève », toujours les mêmes, ressassent leurs refrains éculés : plus d’État, plus de subventions, plus de fonctionnaires, plus de privilèges payés… par qui ? Par le contribuable, par le travailleur français, par celui qui n’a pas le loisir de bloquer les rues en pleine semaine.