Comparons un document d’archive de l’Allemagne hitlérienne sur l’euthanasie avec ce qui se met en place en république française
Document d’archive
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Comparons un document d’archive de l’Allemagne hitlérienne sur l’euthanasie avec ce qui se met en place en république française
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Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Décidemment, ce mois de Juillet 2025 s’annonce prolifique en actualités et défis économiques et obligataires…
Ils ont d’abord voulu tuer Dieu. Puis la famille. Puis le père. Ils ont ensuite tué la patrie, la mémoire, l’histoire, la virilité. Il ne leur restait plus qu’une cible, ultime et dérisoire dans leur marche funèbre vers le néant : la vie elle-même.
Bruno Retailleau, c’est l’histoire du karcher et de Sarkozy qui se répète et laisse le temps au temps, c’est-à-dire au pourrissement. Il amuse la galerie en gesticulant pendant que Marianne est, chaque jour, plus défigurée que jamais.
Mardi 13, le résident de l’Élysée a bénéficié d’une émission de trois heures sur la première chaine, dans un programme tellement taillé en sa faveur que nous flirtions avec l’ORTF, ou les démocraties autoritaires. Mais sa prestation a été accueillie de manière très critique par les Français, signe que le disque de son discours, inchangé, est rayé depuis longtemps.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré que l’Allemagne ne limiterait plus la gamme d’armes que Berlin et ses alliés fournissent à Kiev.
« L’Ukraine peut désormais attaquer des cibles en Russie »
Selon BV, Jean-François Copé, maire LR de Meaux et ancien ministre, est l’avocat de la société allemande WindStrom, qui poursuit la commune rurale de Puyrolland (Charente-Maritime) pour 44 millions d’euros. Cette somme record est réclamée après que la municipalité a refusé d’accorder des servitudes de passage pour l’installation de sept éoliennes, autorisées en 2019 mais contestées depuis en raison de leur gigantisme et des conséquences sur les chemins et les terres agricoles.
Le décor : Un aéroplane se pose à Hanoï, dans notre ex-Indochine (que je me refuse à appeler « Vietnam »). Le marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque et sa duègne apparaissent à la porte de l’appareil. Là, pour une raison qu’on ignore, la marquise – alias « Jean-Brichel » – colle une gifle bien sentie à son galopin d’époux. Sur le tarmac, les spectateurs éclatent de rire… Le soir, dans sa salle-de-bains, seul devant son miroir, le marquis fulmine.