Chacun se souvient que certains militants de gauche étaient allés célébrer la mort de Jean-Marie Le Pen, place de la République. Quelques semaines plus tard, sa tombe avait été profanée à La Trinité-sur-Mer. Sur un autre plan, mais dans un état d’esprit similaire, certains se sont réjouis ouvertement de l’emprisonnement de Nicolas Sarkozy. Dans les deux cas, les militants de gauche, parfois même des élus, ont manifesté une haine malsaine comme un esprit de revanche ou même de vengeance, le point d’orgue étant la demande d’élus de gauche et d’extrême gauche d’aller vérifier que l’ex-Président ne bénéficiait pas d’un traitement de faveur durant son incarcération.







