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magouille et compagnie - Page 1519

  • « Bobard point de vue » : Toulouse, le bain de foule de Macron était bidon

    Les premiers candidats des très convoités Bobards d’Or ont été dévoilés. C’est au tour de l’AFP et de Fabrice Valery (France Info) de tenter leur chance pour une belle leçon de manipulation médiatique lors d’une visite d’Emmanuel Macron à Toulouse.

     Candidats : Fabrice Valery (France 3 Occitanie)/AFP
    Comme annoncé par un grand nombre de nos amis parmi les médias de la réinformation, notre soirée consacrée aux Bobards d’Or se déroulera le lundi 12 mars 2018, dans le cadre prestigieux du Théâtre du Gymnase, situé au 38 boulevard Bonne-Nouvelle à Paris 10earrondissement. Vous pouvez réserver votre place depuis le site internet de l’événement : bobards-dor.fr

    Le 11 septembre, visite d’Emmanuel Macron à Toulouse pour s’exprimer sur le thème du logement.

    Entre deux visites, le président de la république est allé à la rencontre des Français présents pour le soutenir. La presse était évidemment là. Pour l’AFP « c’est un bain de foule » sur la place du « Capitole » (place principale de Toulouse), le président a salué « plusieurs milliers de personnes réunis » entre 12h30 et 13h20 le président de la république « a fait le tour de la vaste place pour saluer la foule maintenue derrière les barrières de sécurité »

    L’émotion est présente, et un jeune homme (probablement militant de LREM) est allé jusqu’aux larmes pour exprimer sa reconnaissance au président.

    France 3 et France Info avaient un correspondant sur place il se nomme Fabrice Valery. Le journaliste a affirmé avoir assisté à « bain de foule Rock-star » place du capitole. Le président de la république aurait pris « longuement le temps de faire le tour de la place du Capitole où s’étaient réunis des Toulousains ».

    Pour illustrer ces articles les rédactions ont utilisés des photo prises à Toulouse, on peut voir en effet Emmanuel Macron souriant et saluant des Toulousains. Sauf que les photos sont en plan serrés et cachent la réalité de la situation.

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  • Agression sexuelle : c’est toute la gauche qui fait la morale habituellement qui est accusée

    6a00d83451619c69e201b8d2dca2ac970c-250wi.pngSamuel Lafont, conférencier et spécialiste en communication digitale, répond aux questions de Boulevard Voltaire au sujet du scandale qui éclabousse l'UNEF :

    "Samuel Lafont, le syndicat l’UNEF doit répondre aujourd’hui d’accusations de viol et d’agressions sexuelles. Cette information de Libération vous étonne-t-elle ?

    Je ne suis pas du tout surpris par ces accusations. L’UNEF est aujourd’hui accusée de harcèlement, viol ou agression sexuelle. Il y a quelque temps, c’était les mouvements de jeunes socialistes et des jeunes communistes. Pour moi, c’est toute la gauche qui fait la morale habituellement à toute la classe politique qui est accusée. L’affaire est très grave.

    Si on regarde l’article de Libération dans lequel plusieurs responsables de l’UNEF ont été cités. Je demande à monsieur Blanquier si une personne comme monsieur A. enseignant et syndiqué au SNES-FSU qui est cité peut rester enseignant s’il est condamné pour viol.

    Je veux également aborder le cas de monsieur Grégoire T. dont on soupçonne l’identité, parce qu’un compte Twitter de l’UNEF a été modifié dans la matinée puis supprimé. Il y a aussi Jean-Baptiste Prévôt, ancien de l’UNEF et travaillant pour l’ambassade de France à Malte, qui aurait utilisé son poste pour récupérer des numéros d’adhérentes dans les fichiers afin d’être très entreprenant envers elles.

    Comment expliquez-vous que ces faits aient pu être cachés aussi longtemps ?

    Je crois que plusieurs éléments peuvent expliquer cela. Certains militants de l’UNEF considèrent d’autres organisations étudiantes comme « coincées ». Je pense qu’au contraire, ce sont eux qui n’ont pas compris où se situaient les rapports normaux entre les personnes, ce qui leur vaut d’avoir des violeurs dans leurs rangs. Par ailleurs, il y avait peut-être un effet gourou quand Jean-Baptiste Prévôt était président du mouvement. Cela peut expliquer cette omerta. Il faut savoir que dans un mouvement comme l’UNEF, il y a des combats permanents pour obtenir la majorité. Il était donc facile pour les responsables de faire passer les accusations de viols comme liées simplement à des désaccords politiques. Il était en cela plus facile pour eux de cacher les choses’ mais la vérité éclate désormais au grand jour."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LES CLANDESTINS PEUVENT PRENDRE LE TRAIN TRANQUILLEMENT ET GRATIS : LA DIRECTION DE LA SNCF SE COUCHE DEVANT LA CGT

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    La section locale de la CGT des cheminots de Bordeaux représente-t-elle l’opinion de l’ensemble des contrôleurs de la SNCF ? On peut en douter. Jugez-en vous-mêmes.
    Une note interne du 16 février a suscité son émoi : « “Lors de vos missions”, précise-t-elle, “si vous remarquez la présence d’un groupe constitué de population migrante, il est rappelé l’absolue nécessité de ne pas vous exposer” et d’“aviser l’escale et le SA Rennes” ». Il est indiqué, notamment, « si la situation le permet, de recueillir le maximum d’informations (nombre de personnes, présence d’enfants, gare de destination, raisons de cette mobilité…) » et « si le dialogue est possible, [de] rappeler la possibilité de voyager en règle ».

    Voilà qui est dit avec précaution, dans un vocabulaire qui relève de l’euphémisme. Cette note a pourtant provoqué l’indignation de la section locale de la CGT, qui estime que ce n’est pas le travail des contrôleurs, et refuse de « faire du délit de faciès » ou de se comporter « comme une milice de la préfecture ». Elle dénonce « une incitation à des pratiques de discrimination et de délation vis-à-vis d’une population d’usagers de par leurs origines ou leur apparence physique ». Pire : « Les préconisations sous-entendent que des usagers d’origine étrangère qui voyageraient en groupes seraient soit disant (sic) dangereux et en situation de fraude. »

    Gênée aux entournures d’être accusée de discrimination, la direction a joué aux Ponce-Pilate : cette note serait « le fruit d’une initiative personnelle » et « la direction régionale n’en avait pas connaissance et ne l’a donc pas validée ». Et d’ajouter qu’« [elle] ne reflète en aucun cas la politique nationale de la SNCF qui se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées par la crise migratoire ».

    Certes, ce n’est pas la mission première des contrôleurs de signaler des groupes de migrants illégaux. Ce serait plutôt le rôle de la police. Encore faudrait-il disposer des effectifs nécessaires. Mais n’est-ce pas un devoir civique de donner des informations aux autorités de tutelle, quand ils en remarquent sur les quais ou à bord des trains ? Que dirait-on d’un professeur qui, constatant que des élèves se droguent ou sont manifestement perturbés, n’en parlerait pas à sa direction ou au conseiller principal d’éducation, en arguant que ce n’est pas son travail ? 

    Dans ces instructions contestées, on apprend aussi que des migrants voyageraient sans billet, puisque la note rappelle pudiquement qu’il est possible de « voyager en règle ». Faut-il que la CGT s’en indigne et y voie une forme de « discrimination » ? Voudrait-elle exprimer sa solidarité avec ces nouveaux prolétaires ? À coup sûr, les contrôleurs qui ne sont pas offusqués par cette note sont des collaborationnistes et des fachos !

    La direction de la SNCF, avec le courage de ceux qui baissent leur culotte, a retiré cette note et fait acte de contrition : elle rappelle que « la politique nationale de SNCF […] se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées ». Si l’on comprend bien, les contrôleurs ne peuvent pas signaler les groupes de migrants illégaux, mais doivent faire le travail de l’administration ou des associations qui leur viennent en aide.

    Il ne s’agit pas, bien sûr, de traiter les migrants qui se déplacent en train comme des parias. Mais la moindre des choses serait de ne pas pratiquer à leur égard quelque « discrimination positive », surtout quand ils sont dans l’illégalité. On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ? Voilà qui n’est pas très sérieux et tient d’un choix plus partisan qu’humaniste !

    http://www.bvoltaire.fr/clandestins-peuvent-prendre-train-tranquillement-gratis-direction-de-sncf-se-couche-devant-cgt/

  • Macron au Salon de l’Agriculture ? Éric Zemmour, “Pour lui, la terre est une abstraction, un tableau Excel”

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    Le Salon de l’Agriculture, qui ouvre ses portes samedi 24 février au public, attend la visite du président de la République. Pour Éric Zemmour, Emmanuel Macron incarne à son tour la “soumission au dieu de la concurrence“.

    C’est ce qu’on appelle au théâtre un rôle de composition. Le cul des vaches, ce n’est pas vraiment le truc d’Emmanuel Macron. Il ne sait pas faire, même pas faire semblant.
    Rien, ni sa génération, ni son milieu social, ni même une longue carrière politique dans une région rurale, ne l’a préparé à cet exercice. N’est pas Chirac qui veut. Déjà, Sarkozy n’avait pu cacher les lacunes d’un élu de circonscription urbaine et bourgeoise.

    Mais Macron, c’est Sarkozy au carré. Macron, c’est Bercy. Et Bercy, c’est Neuilly en pire. Macron ne se demande nullement si la terre ment ou pas. Pour lui, la terre est une abstraction, un tableau Excel.

    https://fr.novopress.info/209722/macron-au-salon-de-lagriculture-eric-zemmour-pour-lui-la-terre-est-une-abstraction-un-tableau-excel/

  • Ce que les médias mainstream ne vous diront pas de la Ghouta orientale

    En qualifiant la situation dans la Ghouta orientale de «nouvelle Srebrenica», les médias occidentaux évitent de mentionner que la zone en question est dominée par divers groupes islamistes.

    Il y a quatre jours, les forces gouvernementales syriennes ont lancé une opération ayant pour objectif de nettoyer la Ghouta orientale de groupes islamistes, notamment de Jaysh al-Islam, mais aussi du Front al-Nosra, d’Ahrar al-Sham et de Faylaq al-Rahmane.

    Alors que les troupes syriennes intensifiaient leurs tirs d’artillerie et les frappes aériennes sur les combattants islamistes, la Russie a exhorté les groupes armés illégaux à abandonner la résistance et à rendre les armes. Pourtant, ces appels sont restés sans réponse.

    Sur fond de dégradation de la situation humanitaire dans la région, l’ambassadeur russe auprès des Nations unies Vassili Nebenzia a proposé de convoquer une réunion d’urgence du Conseil de sécurité pour que toutes les parties intéressées puissent présenter leurs initiatives en vue de régler la crise dans la Ghouta orientale.

    Des enfants syriens dans la Ghouta

    Les médias occidentaux se sont pour leur part empressés d’accuser le gouvernement syrien de nouveaux crimes contre l’humanité, tout en refusant de prendre en considération les arguments avancés par Damas.

    «L’armée syrienne combat les terroristes, et ceux qui pilonnent Damas sont eux aussi des terroristes, mais on préfère l’ignorer. C’est une situation compliquée, il ne s’agit pas d’une rue à sens unique», a souligné M.Nebenzia.

    Néanmoins, dans un article consacré à la Ghouta orientale, The New York Times a dénoncé la «barbarie» de l’armée syrienne, citant les déclarations du général Suheil al-Hassan qui avait explicitement promis de donner à ses ennemis «une leçon au combat et dans le feu».

    Pour sa part, The Guardian a comparé la situation qui s’est créée dans la Ghouta orientale au massacre commis à Srebrenica en 1995 durant la guerre de Bosnie-Herzégovine. Dans l’interprétation du grand quotidien britannique, les forces syriennes et leurs «soutiens russes» ciblent délibérément les civils dans leurs opérations militaires.

    La chaîne qatarie Al-Jazeera a rejoint le chœur, en affirmant que les forces syriennes appuyées par des avions de combat russes avaient attaqué l’enclave, faisant trois centaines de morts. À titre de preuve, la chaîne cite les rapports fournis par les Casques blancs, dont l’objectivité et la véracité ont été à plusieurs reprises remises en doute par le passé.

    En fin de compte, c’est le Département d’État américain qui a accusé les forces syriennes d’avoir mené des «frappes indiscriminées» dans la Ghouta orientale et d’avoir ainsi tué au moins une centaine de civils.

    La porte-parole de la diplomatie américaine Heather Nauert a en outre appelé Moscou à cesser de soutenir le Président syrien Bachar al-Assad alors que la violence redouble sur le terrain. Pourtant, le Kremlin a fermement rejeté les rapports sur le meurtre massif de civils dans la Ghouta orientale.

    «Ce sont des accusations infondées, on ignore sur la base de quelles données elles sont avancées (…). Nous ne pouvons pas les accepter», a indiqué le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov.

    almanar

    https://halbock.wordpress.com/2018/02/23/ce-que-les-medias-mainstream-ne-vous-diront-pas-de-la-ghouta-orientale/

  • VOIES SUR BERGE : HIDALGO BOIT LA TASSE !

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    Dans l’océan des mauvaises nouvelles, guerres et autres massacres, il s’en glisse une parfois qui amène le sourire dans l’odeur du café : mercredi 21 février, le tribunal administratif de Paris a annulé la fermeture des voies sur berge dans le centre de la capitale.

    Traduction : Hidalgo peut aller se faire voir.

    Bien sûr, Notre-Drame de Paris a décidé de faire appel, mais il n’empêche : voir les juges la prendre la main dans le sac de ses tripatouillages et autres mensonges fait du bien à l’âme.

    Comme le souligne, ce jeudi, Alba Ventura dans son édito politique (RTL), « c’est un sacré revers. Parce que là, c’est la justice qui dit que la mairie de Paris a mal fait les choses. Ce n’est pas un éditorialiste ou un automobiliste en colère, ou encore un ennemi politique. » Et puis, surtout, c’est solidement argumenté. Tout d’abord, l’étude d’impact pour la réalisation du projet a été « bâclée ». Les mots de la Justice sont forts : « omissions »« insuffisances »« inexactitudes ». Gros mensonges, même, car le tribunal administratif a relevé que « l’analyse n’a été effectuée que sur une bande de 100 mètres de part et d’autre des voies ». Vous avez bien lu. Pour la rive gauche, l’esplanade du musée d’Orsay et la rive droite, le chantier de la Samaritaine. Du foutage de gueule, comme on dit vulgairement.

    Et donc, comme on vous le disait et répétait ces mois derniers, la pollution a bien diminué dans Paris, mais seulement sur une bande de 3,5 km de longueur sur 100 m de largeur, ce que la mairie de Paris appelle « un espace de respiration » (sic). Partout ailleurs c’est un espace d’asphyxie : la pollution a grimpé en flèche, particulièrement dans l’Est parisien (jusqu’à +15 %) et bien au-delà du périphérique.

    On ne rouvrira pas les voies sur berge. Anne Hidalgo a, d’ailleurs, pris immédiatement un nouvel « arrêté de piétonisation » et, comme le souligne encore Alba Ventura, « ce ne sont pas les objectifs des opposants au projet » dont « beaucoup savent très bien que l’on ne reviendra sans doute pas en arrière ». Non, 

    « ce que veulent ceux qui ont porté plainte et qui ont gagné en première instance, c’est que désormais les décisions soient concertées, que la ville de Paris ne décide pas toute seule, dans son coin, alors qu’elle est au cœur de la plus grande région de France. »

    Le véritable problème, avec Anne Hidalgo, c’est son incapacité à écouter. Son refus de la discussion, de la concertation. Son obstination soutenue par un sectarisme politique peu commun. La piétonisation de Paris n’a jamais eu pour but de nous aider à respirer, mais seulement d’assurer sa réélection. Mais elle n’est pas très intelligente, madame Hidalgo ; surtout, elle a depuis longtemps atteint son niveau d’incompétence, raison pour laquelle elle enchaîne les mauvais coups : la gamelle des Vélib’ et les 40 millions d’euros de perte dus à l’annulation, par le Conseil d’État, du marché de l’affichage entre la ville et la société JCDecaux, par exemple. Sans compter la belle image des camps de migrants qu’on déplace d’un carrefour à l’autre, la saleté repoussante de la ville, les rats qui courent partout.

    Et puis, il y a les décisions qui hérissent tout le monde, y compris dans son bord politique, quand madame Hidalgo trouve de la place – et quelle place ! – pour la quincaillerie flashy de l’américain Jeff Koons mais pas pour accueillir les cendres d’un académicien français. Il faut dire que Michel Déon, dernier survivant des Hussards, incarnait cette droite littéraire, élégante et libertaire qui, dans les années cinquante du siècle dernier, préférait La Table ronde aux Temps modernes des Sartre et compagnie. Jusque dans l’au-delà, un crime impardonnable pour la très sectaire maire de Paris.

    En mars 2020, dans deux ans tout juste, nous élirons nos maires. Anne Hidalgo, qui se sait sur un siège éjectable, pense trouver son salut dans le vélo, le patin à roulettes et les baraques à frites.

    http://www.bvoltaire.fr/voies-berges-hidalgo-boit-tasse/

  • Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins

    Source Breiz Atao cliquez ici

    167267916.jpgLa cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.

    Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.

    Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.

    Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.

    Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.

    Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).

    Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.

    La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.

    La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.

  • LA PEINE DE MORT A ETE ABOLIE, SAUF POUR LES VICTIMES. MERCI MAITRE BADINTER !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Deux récentes affaires criminelles particulièrement odieuses, viennent de remettre en selle l’opportunité ou non du rétablissement de la peine capitale, sachant que, de toute façon, un tel mode d’exécution des criminels ne pourrait être rétabli qu’après une dénonciation des conventions européennes. Ensuite ces dernières, compte-tenu de leur « sensibilité », ne pourraient être invalidées que par un vote populaire. Et là, il faudrait avoir déjà réformé la constitution pour que l’on puisse organiser une consultation référendaires sur un tel sujet de société, ce qui n’est pas le cas actuellement, avant de modifier la loi.

    Une « punition », vraiment ?

    Supposons que ces obstacles juridiques importants soient levés, quels avantages y auraient-ils à rétablir la peine capitale pour sanctionner des crimes particulièrement horribles, commis par des assassins ayant manipulé l’opinion publique ? Tout le monde se souvient du cynisme d’un Patrick Henry interviewé à Troyes par la télévision, s’indignant de la disparition d’une petite victime alors qu’il savait très bien qui était le coupable, – lui-même ! –, ou, encore, de la duplicité de cette mère de famille de Clermont-Ferrand inventant « l’évaporation » de sa petite fille dans un jardin public.

    Autres affaires, avec dernièrement la disparition d’Alexia Daval le 28 octobre 2017, une joggeuse assassinée à Gray en Haute-Saône par, si l'on en croit ses aveux, son mari, qui a joué pendant plus de trois mois la comédie auprès des siens, ou celle de Maëlys, tuée dans l’Isère dans la nuit du 26 au 27 août dernier par l’un des convives d’un mariage à laquelle elle assistait avec ses parents.

    Ces deux crimes ont bouleversé la France profonde. Dans tous ces cas, les assassins ont joué avec les proches, la presse, les enquêteurs, mentant effrontément, se joignant même aux recherches avec une cynique hypocrisie. Y a-t-il des circonstances atténuantes pour de pareils monstres ? Dans l’état actuel de l’échelle des peines, que risquent-ils ? Une perpétuité assortie d’une peine dite « incompressible » de 20/25 ans, c’est selon ? Sachant que des remises de peines pour « bonne conduite » ou pour cause de maladie sont toujours possibles. C’est inacceptable. C’est pourquoi l’application de la peine de mort représenterait, elle, un avantage, disons…. définitif !

    Quatre bonnes raisons

    La première, c’est la sanction suprême pour une faute impardonnable.

    La seconde, c’est l’exemplarité de la peine qui, quoiqu’on en dise, refroidirait l’ardeur de quelques imitateurs tentés de commettre, eux aussi, l’irréparable.

    La troisième, c’est la certitude d’une non récidive, car certains condamnés « à la perpétuité » ressortent de prison, bien souvent, avant d’être des vieillards repentis, et recommencent leur cycle criminel.

    La quatrième, c’est une saine mesure économique : point de frais d’internement !

    L’affreuse guillotine inventée à une époque, comme aurait dit Georges Pompidou dans d’autres circonstances, « où les Français ne s’aimaient pas », pourrait être avantageusement remplacée par une injection létale comme cela se pratique dans nombre d’Etats américains. Un pays, aux dernières nouvelles, classé parmi les « démocraties », non ?

    Une Justice « juste », doit être rendue au nom du peuple

    Or, que constate-t-on aujourd’hui ? De plus en plus de magistrats ont les yeux de Chimène pour les coupables qui sont des victimes de la société, on connait le fameux « l’homme est bon, c’est la société qui le corrompt ». Avec ce raisonnement celui, probablement, des membres du Syndicat de la magistrature notamment, - ceux qui s’amusaient avec le fameux « mur des cons »-, le sort de la victime passe au second plan. Heureusement, c’est encore l’USM qui est majoritaire chez les robes noires et pourpres. Le hasard a fait que j’ai été juré titulaire-suppléant dans une Cour d’assises. (Fonction très frustrante, car on participe de bout en bout aux débats sans avoir le droit de vote).

    .J’avais pu remarquer dans ce cas précis, le travail remarquable de la Présidente, mais aussi l’influence énorme des juges professionnels sur les jurés. Etant « le muet du sérail », je ne pouvais mettre mon… « grain de sel » pour faire dévier les perspectives de la sanctions. Tout dépend donc, en fait, du professionnalisme des magistrats et, in fine, qu’on le veuille ou non, de leurs inclinations idéologiques ou philosophiques, même s’ils s’efforcent de suivre le code pénal. Est-ce à dire que le système américain de juges élus par les citoyens serait meilleur ? Je ne me prononce pas, n’ayant pas assez de recul ni d’expérience en matières judiciaire et juridique. Mais force est de constater que depuis l’action de Robert Badinter à la tête du ministère de la justice sous l’ère de François Mitterrand (1) et l’abolition de la peine capitale, toute l’architecture des peines appliquées s’est trouvée bouleversée dans un sens plus laxiste. « On » nous avait vendu l’abolition par son remplacement par la prison à perpétuité. Or, les abolitionnistes nous disent aujourd’hui que tout le monde a droit à la rédemption, à une « deuxième chance », - en ont-ils laissé, eux, les criminels, une deuxième chance à leurs victimes ? -, et que des hommes ou femmes enfermés à vie seraient des démons incontrôlables. Les Chrétiens diront que c’est la seule justice de Dieu qui compte et que tout pécheur a droit au rachat.

    Une peine de substitution effective et radicale !

    La cause est entendue, et pour le moment, le couperet a été remisé au magasin des accessoires obsolètes. Mais la pire des solutions est celle qui existe. Elle va à l’encontre d’une société paisible que nous appelons de nos vœux. Car, faute d’une vraie justice condamnant sévèrement, mais avec équité, tout criminel, il est possible, qu’un jour, l’homme de la rue règle lui-même ses comptes, ce qui nous conduirait à la loi du lynchage. (Nous l’avons observé dans un prétoire allemand !). Tout se discute donc, actuellement, autour de la peine de remplacement. Pour l’honneur de la justice, pour le respect de la mémoire des victimes, pour apaiser la peine de leurs familles et pour le condamné lui-même, il faudrait que cette peine de substitution ne soit pas un purgatoire doré, sorte d’antichambre d’une liberté conditionnelle à terme, mais le châtiment quotidien d’une faute à expier que seule la loi naturelle interromprait. Aux dernières nouvelles, il n’en est rien. La prison à vie, ça n’existe plus. Non seulement les partisans de la suppression de la peine capitale ont gagné, mais, en plus, ils ont aboli aussi la perpétuité.

    La Droite nationale s’honorerait de réfléchir sur ce sujet et d’imaginer, faute de pouvoir juridiquement rétablir la sanction suprême, un système pénitentiaire radical pour les criminels les plus odieux, terroristes compris. Un « Guantanamo à la Française », une prison « à murs ouverts », en Terre Adélie ou aux iles Kerguelen, par exemple ?

    (1) Lequel, lorsqu’il était ministre de l’intérieur sous la IVème République pendant la guerre d’Algérie, n’avait pas hésité à laisser nombre de condamnés du FLN à subir le châtiment suprême !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Ecoles hors contrat : oser la liberté !, par Francis Bergeron

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    9057-20180223.jpgJean-Michel Blanquer fait partie de ces ministres bénéficiant d’un préjugé favorable, parce qu’il veut mettre en place ou soutenir des règles de bon sens dans l’école publique. Quelle mouche l’a donc piqué pour appuyer aujourd’hui un projet de loi, issu de la période Vallaud-Belkacem, restreignant la liberté d’ouvrir des écoles privées hors contrat ? Le projet actuellement examiné par le Sénat définit en effet un encadrement strict de ces écoles.

    Une soixantaine de sénateurs du centre et de la droite poussent à la roue. Ils ont sans doute dans leur viseur les écoles coraniques qui se développent à grande vitesse, et qui sont loin d’être à l’abri du salafisme et de l’islamisme sous diverses formes. Il y a eu le cas de l’école Al-Badr de Toulouse, à présent fermée, ou de l’école musulmane Mine de savoirs, à Raismes, dans le Nord. Mais si Al-Badr a pu être fermée, cela prouve bien qu’une loi nouvelle n’est pas nécessaire pour empêcher l’endoctrinement islamiste d’enfants et d’adolescents.

    En durcissant les conditions d’ouverture de ces écoles, en donnant des délais beaucoup plus longs au maire de la commune d’implantation, et à l’administration, pour contester un projet d’ouverture, c’est presque une déclaration de guerre qui est faite à l’enseignement vraiment libre, et en particulier aux écoles catholiques traditionnalistes.

    En principe le contrôle de l’administration est censé se limiter à l’hygiène et aux bonnes mœurs. Mais la sénatrice centriste qui porte le projet de loi a des formules inquiétantes. Elle explique par exemple que cette loi permettra de s’en prendre à des écoles privées assurant « des enseignements tendancieux » en histoire et en sciences.

    Sur le plan de l’enseignement tendancieux, notamment en histoire, ne faudrait-il pas alors faire d’abord un grand nettoyage dans les écoles publiques ? D’ailleurs, d’une façon générale, le fort développement des écoles privées a surtout pour origine l’effondrement de notre enseignement public, le souhait des parents de mettre leur progéniture dans des écoles de qualité. M. Blanquer en est conscient, et il est alors d’autant plus incompréhensible qu’il puisse soutenir un tel projet de loi.

    Restriction des libertés

    Demain, en histoire, sera peut-être considéré comme « tendancieux » de soutenir que la Révolution française n’a pas eu que du bon, ou que la Vendée a été victime d’un génocide. Et en sciences qui nous dit que ne sera pas considéré comme « tendancieux », et justifiant la fermeture d’une école privée, le fait d’enseigner que l’avortement tue ?

    A un vrai problème (la montée des fanatismes islamiques), répondre par une restriction de liberté de cette nature est la plus mauvaise des solutions.

    Philippe de Villiers est monté au créneau pour exprimer son inquiétude : une telle loi pourrait menacer son école du Puy du Fou. Anne Coffinier, la spécialiste française des écoles privées, avec sa Fondation pour l’école, ne décolère pas. Elle voit elle aussi dans le projet de loi un retour par la bande du vieux rêve socialiste du « tout Etat ».

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

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