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La nouvelle que nous attendions tous est enfin tombée : Nicolas Sarkozy est libre. Dieu que le suspense fut intense ! Enfin, cet homme qui a tant donné à la France (comme le souligne Laurent Wauquiez) est de retour parmi nous ! Cette détention inhumaine et injuste, imposée à un homme intègre, prend fin provisoirement. C’est un simple homme, ancien Président de la République, qui est entré en détention il y a un mois ; c’est un hybride entre Jésus Christ et Edmond Dantès qui en sort aujourd’hui.
Aujourd’hui, plus aucun parti de « l’arc républicain », seul terrain de jeu politique autorisé et délimité par de hautes figures morales telles que Nicolas Sarkozy, n’est réellement et totalement opposé à l’immigration. Enrichissement bénéfique et exigence morale pour la gauche, nécessité économique pour la droite, il s’agit désormais, au mieux, de la « réguler », de la « policer », pour, au final, l’institutionnaliser définitivement. Retour sur une trahison identitaire et morale.
Nous vous proposons ici de découvrir une analyse du monde des politiques actuels… que vous pouvez retrouver aussi sur https://politiquemagazine.fr/, avec de nombreux autres articles.
Par Richard de Seze
J’aurais aimé commencer cet éditorial par une statistique d’élite, un de ces chiffres sérieux qui posent un homme et assoient la discussion sur des bases solides : nombres d’immigrés de troisième génération au chômage ou montant exact des intérêts de la dette, par exemple.
Ce paltoquet est une calamité tant pour la métropole que pour les DOM TOM. Tout ce que ce type touche, il en fait de la merde, comme disait si bien son « ami » Donald Trump.
Depuis 2023 j’entends ce leitmotiv : « Je n’ai pas voté pour les indépendantistes, mais contre Macron ! »
Le détestation du dictateur mais pas de la France a commencé en 2020 avec le début de la dictature sanitaire. Les piquouses ont été massivement refusées. Non par idéologie antivax, mais parce qu’on n’a pas oublié qu’à la fin du XIXe siècle, la vaccination forcée contre la variole a provoqué une véritable hécatombe. La culture orale, toujours vivante malgré les médias modernes, a entretenu la mémoire du peuple.
Après Macron qui voulait réparer le Liban, Macron qui va développer l’Afrique en laissant des chèques un peu partout, Macron qui va sauver le climat de 2100 dont personne ne sait rien, avec ses accords de Paris, Macron qui va stopper la guerre en Ukraine en discutant avec Poutine, Macron qui file en Egypte pour croire que le cessez le feu à Gaza, c’est encore lui, Macron qui court au Brésil pour y prendre des bains de foules désormais impossibles en France, voici Barrot, notre illustre Ministre des affaires étranges, celui qui reste quand les gouvernements tombent, qui veut aller buter les narcotrafiquants jusque dans les chiottes en Amérique du Sud, comme le dirait élégamment Vladimir. S’inspire-t-il de Trump, qui lui, n’y va pas avec le dos de la cuiller et s’en va faire couler les embarcations des grossistes en cocaïne par les cadors de la Navy ? Mais Trump a les moyens de sa politique, lui. Martial, Barrot, dont on se demande comment il va s’y prendre après son annonce tonitruante, promet une contre offensive diplomatique musclée… sans rire… musclée ? Il dit et si derrière, il ne se passe rien, il va faire quoi ? Il fait penser à son non moins illustre collègue Le-Maire, qui allait mettre l’économie russe à genoux, puis prendre Poutine, « à la gorge »… et… et rien.
Makhete M. conteste ou garde le silence. Entendu des dizaines de fois, il a reconnu être le père biologique d’un seul enfant. Les autres ? De simples « colocataires ». Trois ex-compagnes, mises en examen pour violences sur mineurs et non-dénonciation, comparaîtront libres.
« Pour information, en Hongrie, le nombre d’immigrés clandestins est de zéro. Parce que nous avons un système clair comme de l’eau de roche des entrées et des sorties. Si une personne souhaite entrer en Hongrie, elle doit d’abord en faire la demande. Une fois la demande accordée elle peut entrer sur le territoire de la Hongrie.
Éric Zemmour, interrogé ce jour sur Europe 1, a d’abord cité son ami Patrick Jardin pour évoquer la prochaine commémoration des dix ans des attentats du Bataclan, et démontrer que les autorités politiques n’ont rien appris, ni rien changé à leur politique criminelle depuis ce drame qui a endeuillé des familles entières, et brisé à vie des centaines d’autres victimes.
Dans une France où dénoncer l’invasion migratoire semble désormais relever du crime d’État, l’affaire Jean-Eudes Gannat incarne la dérive d’un pouvoir judiciaire de plus en plus politisé. Il aura suffi d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux pour que Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et chroniqueur à Radio Courtoisie, soit arrêté et placé 48 heures en garde à vue.
Naomi Seibt, 24 ans, influenceuse allemande surnommée par certains médias la « Greta Thunberg de l’extrême droite », a officiellement déposé une demande d’asile politique aux États-Unis. Elle affirme être « persécutée en Allemagne pour [ses] opinions », en raison de son soutien au parti nationaliste AfD et de ses prises de position contre « la censure de la pensée conservatrice ».